Histoires de sexe en groupe Histoires de sexe noir

Fan d’exhibe

Fan d’exhibe



Week-end entre amis

Nous sommes partis en week-end dans la maison de campagne d’un couple d’amis. Deux autres couples de leurs voisins devaient nous rejoindre. Nous les avions déjà rencontrés, lors de soirée chez nos amis. J’avais déjà remarqué que l’un des hommes était particulièrement attiré par mon anatomie. Il est vrai qu’à mon habitude, je ne faisais rien pour dissimuler mes avantages. Du coup, maintenant, à chaque rencontre, je me débrouille pour qu’il puisse se poser des questions sur ma tenue vestimentaire.

Donc, un soir, après le repas, quelques parties de cartes sont organisées. Toute la soirée, ce fameux copain ne cesse de m’observer. D’autant plus que ma tenue est des plus succinctes, puisque, en tout et pour tout, je ne porte qu’une robe. Même si elle est assez longue, juste au-dessus des genoux, elle ne cache pas le fait que je ne porte pas de soutien-gorge et laisse le doute sur le port de la culotte. Heureusement, il fait chaud, et cela permet quelques légèretés vestimentaires. D’ailleurs je ne suis pas la seule sans soutien-gorge.

L’heure est venue d’aller nous coucher. Avant de nous mettre au lit, nous prenons une douche conjointe. Bernard en profite pour me caresser. Puis nous allons au lit, lire quelques pages. Nous restons nus tous les deux, la température le permet et Bernard laisse les volets légèrement entrouverts.

Pendant qu’il lit, mon chéri recommence à cajoler mon corps. J’aime ces moments de tendresse et de douceur. Aussi, je me laisse aller au plaisir de ressentir ce bien-être. Seulement, juste la tendresse ne semble pas satisfaire mon chéri, car les câlineries deviennent plus précises et la main cajoleuse s’attarde de plus en plus souvent sur mes seins et le haut de ma fente. Petit à petit, les câlins deviennent caresses et la tendresse se transforme en préliminaires, agréables, d’ailleurs !

Bernard a bien senti que je réponds positivement. Du coup, il pose son livre et se dirige vers mon entrejambe. Il embrasse mon pubis épilé, puis insinue lentement sa langue entre mes lèvres. Je savoure ces moments qui précèdent l’acte sexuel.

Malgré le bien-être que j’éprouve, je perçois quand même une légère odeur de fumée de cigarette, à laquelle je suis particulièrement sensible : quelqu’un fume dehors, près de notre fenêtre. Je sais qui c’est puisqu’un seul d’entre nous fume : celui qui a régulièrement le regard dirigé sur moi. Est-ce qu’il nous regarde ? C’est probable. Dans un sens, cela me dérange et dans l’autre cela m’émoustille : il désirait certainement me voir nue, alors pourquoi le décevoir, il lui suffirait de venir à la plage avec nous pour en voir autant.

Comme je ne sûre de rien, je ne le dis pas à Bernard et je le laisse continuer à m’embrasser le minou et, pour lui faciliter la tâche, je relève mes jambes et les tiens écartées avec mes mains derrière les genoux. Les cunnilingus de mon chéri sont toujours un véritable enchantement et celui-là ne manque pas de me procurer mon premier orgasme. J’ai envie qu’il me pénètre :

— Viens dans moi !

Bernard se relève et s’allonge sur moi. Sa tige de chair trouve son chemin sans hésitation et entre en moi. J’adore quand il me pénètre pour la première fois, rien que ça me ferait presque jouir, surtout après le plaisir ressenti juste avant. Mon chéri s’enfonce en moi et mon vagin accueille avec bonheur son pieu de chair. Ses allers et retours dans mon intimité commencent aussitôt et mon excitation grandit au rythme de ses mouvements. L’orgasme s’approche à grand pas. En fait, j’ai l’impression de jouir vite. Je pense que le fait d’être observée y est pour quelque chose. Qu’importe, faire l’amour est naturel. Comme d’habitude, quand j’ai les sens exacerbés, je jouis avant mon chéri.

— Prends-moi par derrière !

Mon chéri me prend à quatre pattes, ma position favorite, je jouis encore plus rapidement et plus longuement que d’habitude. Bernard me suit de peu dans la jouissance. Nous nous endormons emboîtés l’un dans l’autre.

Le lendemain matin, Bernard est parti faire du VTT, je me lève pour aller me doucher. La salle d’eau est proche de la cuisine où j’entends les voix de personnes en train de déjeuner. Avant de commencer à me doucher, j’entends un des convives qui prononce mon nom. Je ne veux pas être indiscrète, mais à l’écoute de mon nom, je ne peux m’empêcher de prêter l’oreille. Ce qui fait que je surprends cette confession de notre voyeur de la veille au soir :

— Hier soir, je ne pouvais pas dormir, aussi, je suis sorti fumer dehors. Quand je suis passé devant la fenêtre de Nanou et Bernard, je me suis aperçu qu’ils avaient laissé leurs volets entrouverts et la lumière allumée. J’ai jeté un regard rapide et je les ai vus en train de faire l’amour.
— Et tu es resté regarder ? (voix de femme.)
— Bien sûr ! C’est trop excitant de voir des gens qui baisent et j’étais sûr de ne pas être remarqué, puisque j’étais dans le noir.
— Voyeur ! (même voix de femme.)
— Dis-nous ce que tu as vu, maintenant on veut savoir. (voix d’homme.)
— Ah ! Vous êtes intéressés maintenant, vous me traitez de voyeur, mais vous l’êtes par personne interposée. Bon, puisque vous voulez tout savoir, je vous raconte : Bernard était en train de lécher le minou de Nanou qui, visiblement, y prenait plaisir. Elle tenait ses cuisses bien écartées avec ses mains. Il devait avoir commencé depuis quelques temps car à peine étais-je arrivé qu’elle a joui en feulant doucement.
— C’est tout ?
— Attends, je n’ai pas fini. Ensuite, elle lui a dit : « Viens dans moi ! » Bernard s’est mis à genoux avant de s’étendre sur elle. Et là, j’ai vu que la petite polissonne est totalement épilée !
— Ce n’est pas une nouveauté, l’année dernière nous sommes allés ensembles nous baigner sur une plage naturiste, elle était déjà épilée. (voix de notre amie.)
— Ah bon ! Je n’aurais pas cru qu’elle était si coquine.
— Et tu ne sais pas tout, poursuis, je te dirai après.
— Je continue : il l’a pénétrée doucement mais profondément. Puis au bout d’un moment, après avoir joui une autre fois, elle lui a dit : « Prends-moi par derrière ! » Elle s’est mise à quatre pattes, Bernard s’est approché d’elle et l’a pénétrée.
— Dans les fesses ? (la femme.)
— Non, non, en levrette. Enfin à ce que je pouvais voir. Et puis, je ne pense pas, car il est entré d’un seul coup, il y serait allé plus doucement s’il l’avait sodomisée.
— Ou alors, elle a l’habitude, vu qu’elle a l’air assez polissonne. (l’homme.)
— En tout cas, elle aime cette position car elle n’a pas tardé à jouir à nouveau sous les coups de boutoir de Bernard. Ensuite, lui aussi a dû jouir et ils se sont couchés sur le côté toujours accolés l’un à l’autre. Puis la lumière s’est éteinte, le spectacle était terminé. Maintenant dis-moi ce que tu voulais me révéler tout à l’heure.
— Mais à une condition : tu ne le répètes pas, car autrement Nanou va croire que je divulgue tout ses secrets, bien qu’elle ne s’en cache pas particulièrement.
— Bien sûr, je ne vais pas non plus aller dévoiler à tout le monde que je l’ai vue toute nue et complètement épilée. Je vous ai raconté ce que j’ai vu hier parce que nous sommes entre amis, vous n’irez pas le répéter non plus !
— C’est évident. En fait, l’année dernière, lorsque nous sommes allés sur la plage naturiste, chaque fois, elle venait en robe ou en jupe et débardeur et là j’ai constaté qu’elle ne mettait aucun sous-vêtement.
— Pas de soutien-gorge, pas de culotte ?
— Non, rien !
— Eh bien, c’est encore mieux !

Et voilà encore des gens qui vont me regarder avec un nouvel œil.

Après-midi bronzage qui dérive

Ce samedi après-midi, je suis seule à la maison. Mon époux est parti faire du vélo avec notre ami Stéphane, nos enfants sont chez des copains, pour un anniversaire. Comme il fait beau, je décide de me faire bronzer au bord de la piscine. Un bon livre, de la crème solaire, voilà de quoi passer le temps agréablement. Je suis tranquille pour quelque temps, aussi, je me dis que je peux en profiter pour me mettre dans ma tenue préférée, c’est-à-dire nue. Notre piscine est derrière la maison, donc invisible de la rue, le terrain est entouré de haies et nous n’avons aucun vis-à-vis : la maison de nos seuls voisins n’a pas de fenêtre d’où il est possible de voir chez nous.

Précaution supplémentaire, nous avons un code avec mon chéri : comme il sait que, dès que je le peux, je me baigne et bronze nue, quand il rentre de ses sorties, accompagné par un collègue, il sonne trois coups brefs. De cette façon, je sais qu’il n’est pas seul et j’ai le temps de m’habiller pour être « décente ». Pour parer à toute éventualité, je garde toujours un maillot ou un peignoir à proximité, au cas où quelqu’un se présenterait au portail.

Donc, me voilà allongée sur un bain de soleil, un livre à la main. De temps en temps, je vais me rafraîchir dans la piscine, puis je retourne m’étendre pour me sécher à la caresse des rayons solaires. Mon esprit vagabonde, je pense au retour de mon homme qui va me trouver toute nue et cela me réjouit d’avance. Pour un peu, je me caresserais, toutefois, je me retiens, l’imagination fera son œuvre.

À un moment, j’observe une mésange bleue qui se dirige vers son nid. En même temps, mon regard est attiré par un mouvement dans la haie qui nous sépare de nos voisins. J’ai l’impression que quelqu’un essaie de se dissimuler, tant bien que mal.

Pour être clair, il faut préciser qu’avec nos voisins, nous avons planté la haie sur la limite du terrain, ce qui partage la corvée de la taille annuelle. Et que, comme nous avons fait construire nos piscines en même temps, nous avons adossé les locaux techniques l’un à l’autre, d’où un gain de place et moins de gêne visuelle pour les voisins. De ce fait, cela laisse un petit espace entre la haie et le local et la possibilité, limitée, il est vrai, de voir chez les voisins.

Intriguée, les yeux cachés par mes lunettes de soleil, je m’efforce, discrètement, de vérifier mon impression. Et je la confirme. Il y a bien quelqu’un qui se planque dans la haie et, vu les vêtements, c’est à coup sûr notre voisin, Michel. La voisine travaille, leurs enfants sont des vrais « geeks » qui passent leurs journées sur l’ordinateur, même si le temps est au beau fixe et qu’ils peuvent profiter de la piscine.

Un peu émoustillée par mes pensées précédentes, je me demande que faire. Une pensée idiote me passe alors par la tête : puisqu’il veut du spectacle, pourquoi ne pas lui en donner. Il doit savoir par sa femme que j’ai l’habitude de bronzer nue et il veut se rincer l’œil. Lui, le macho jaloux, se permet ce qu’il ne tolérerait pas que l’on fasse à sa femme. Comme je sais qu’il ne se vantera pas de sa bonne fortune, je décide de lui donner une leçon de féminité libertine et d’exhibition volontaire.

Je commence à descendre ma main sur ma poitrine, que je caresse doucement, pendant quelques instants. Je continue ma descente et ma main touche ma légère toison de blonde. Je ne vais pas plus loin, car une autre inspiration subite me vient à l’esprit : c’est le début de la période chaude et j’ai encore ma pilosité intime. Une petite séquence épilation sera bénéfique pour la libido de mon homme, qui adore cajoler ma petite chatte toute nue, et, par la même occasion, me permettra de m’exposer, sans en avoir l’air, à mon mateur de voisin.

Je pose mon livre, je me lève et me dirige vers notre chambre qui donne sur la terrasse de la piscine. Je récupère la tondeuse que Bernard a achetée pour s’occuper de ma toison pubienne et son rasoir électrique. C’est un modèle qui distribue de la crème apaisante en même temps que le rasage et je peux vous assurer que c’est très agréable.

Je retourne m’asseoir sur le bain de soleil, bien orientée vers le voisin. Avec la tondeuse, je commence à tailler les poils de mon pubis. Avec ma pilosité peu abondante, c’est assez rapide, toutefois, je fais un peu durer le plaisir. Mes lèvres intimes sont déjà quasiment glabres, vu que Bernard s’en occupe régulièrement, je peux passer au rasage. Ce rasoir à trois têtes avec lotion apaisante est un vrai délice, la crème rafraîchit ma peau et rend plus efficace le rasage.

Une fois mon opération épilation finie, je lève les jambes et écarte largement les cuisses pour faire semblant de vérifier le résultat de mon travail. Mon entrejambe est totalement exposé au regard de mon voyeur. Puis, je passe ma main sur mes lèvres intimes et mon pubis pour m’assurer qu’il ne reste rien. Ensuite, je me lève pour rapporter les appareils dans notre salle d’eau. Je reste un moment debout, histoire de bien laisser contempler mon anatomie à mon mateur personnel.

Je me rallonge sur le bain de soleil. Cet intermède érotique m’a mise dans un état singulier, entre trouble et excitation. Si Bernard était là, je lui sauterais dessus. Vivement qu’il revienne. Sans plus faire attention à mon voisin, je reprends mon livre, mais j’ai des difficultés à me concentrer sur la lecture.

Quelque temps après, je perçois le bruit de la porte du garage, signe que mon chéri revient. Je m’apprête à me lever quand, de la terrasse, je l’entends me dire :

— Hello chérie ! Nous voilà !

Je reste un instant interloquée : comment ça « Nous voilà » ? Il est revenu avec notre ami sans faire notre code ! Il savait pourtant qu’il y avait toutes les chances pour que je sois totalement nue !

Comme je suis toujours sur le bain de soleil, je suis dans l’impossibilité de me rhabiller, sans m’exposer totalement, puisque mon peignoir est sur une chaise de la terrasse, où ils sont déjà arrivés. J’ai bien la solution de m’entourer dans ma serviette de bain. Toutefois, le souvenir de ma récente provocation devant notre voisin m’incite à faire autrement. Puisque Bernard n’a pas daigné me signaler qu’il revenait accompagné, tant pis pour lui : je reste comme je suis et je me lève dans ma nudité épanouie. S’il ne voulait pas que je dévoile mes charmes à Stéphane, il savait ce qu’il fallait faire. D’ailleurs, je suis intimement convaincue qu’il l’a fait exprès, je connais son côté espiègle et je sais qu’il aime que les autres hommes me reluquent.

Je me dirige vers Stéphane et je lui fais la bise, puis je me tourne vers mon chéri que j’embrasse sur les lèvres.

— Alors les sportifs, la sortie a été bonne, pas de chute ? Pas de casse ?
— Non, non ! Tout s’est bien passé !
— Parfait alors ! Installez-vous au bord de la piscine. Vous voulez une bière ou autre chose ?
— Une bière !
— Moi aussi !

Je les laisse s’installer pendant que je vais chercher des verres et leurs boissons. Je suis sûre qu’ils m’observent et contemplent mes fesses nues, aussi, je n’hésite pas à accentuer légèrement mon mouvement de hanches. Je vais dans la cuisine chercher un plateau, des verres et deux bouteilles de bière. Quand je ressors, ils sont assis sur les chaises longues. Bernard devait peut-être penser que j’allais mettre ma sortie de bain, puisqu’elle est posée sur une chaise de la terrasse. Que nenni ! Jusqu’au bout j’irai ! Cela lui apprendra à me faire des surprises.

Je me dirige vers eux. Je les entends parler de leur sortie. Cependant, derrière mes lunettes de soleil, je vois bien que leurs regards sont fixés sur moi. Je me positionne entre leurs bains de soleil, je pose le plateau à terre et je me relève pour les servir l’un après l’autre. Comme je suis debout et eux assis, ils ont mon bas-ventre en ligne de mire. Ils voient certainement, en détail, ma fente parfaitement découverte par mon épilation toute fraîche et cela me provoque un émoi sensuel assez délirant. Stéphane m’a déjà vu seins nus, puisqu’il est déjà venu se baigner avec son épouse, qui pratique aussi le monokini. Seulement là, je suis totalement nue et quelle nudité ! Je ne peux rien découvrir de plus. Quoique ! Quand j’ai fini de servir Bernard, je pose la bouteille vide sur le plateau. Pour ce faire, je m’accroupis en écartant légèrement les cuisses, comme ça, je dévoile mieux mes lèvres intimes que je commence à sentir légèrement gonflées par le trouble que me provoque la situation. Avant de retourner m’étendre sur mon bain de soleil, je dis à Stéphane :

— Tu sais que tu peux te baigner, si tu veux. Cela te détendra, après un exercice physique intense.
— Je sais bien, mais je n’ai pas de maillot !
— Oh, tu sais, ici, pas besoin de maillot, comme tu peux t’en apercevoir ! Personne ne peut nous surprendre !
— Je vois bien. D’ailleurs, c’est très agréable d’être reçu comme ça. Mais si je me baigne, je sens que cela va durer longtemps et une fois refroidi, je vais avoir du mal à repartir et moi, j’ai encore quelques kilomètres à faire.
— Comme tu veux, c’est à toi de voir.

Je prends un malin plaisir à prendre tout mon temps pour reprendre ma position allongée. J’essaie de voir si notre voisin est toujours en embuscade : il me semble qu’il n’est plus à son poste d’observation, il a dû craindre de se faire repérer.

Quelques minutes plus tard, Stéphane prend congé. Il vient m’embrasser. Je distingue son regard qui parcourt toute mon anatomie dénudée. Bernard le raccompagne au portail. Quand il revient, il s’assied à mes côtés et me dit, avec un grand sourire :

— Dis donc, petite friponne, ça te prend souvent de t’exposer toute nue devant nos amis ?
— C’est de ta faute ! Tu n’as pas trouvé nécessaire de faire notre signal habituel, pourtant tu savais bien que j’allais être toute nue. Alors, tu t’en prends à toi.
— Tu aurais pu juste te lever pour lui dire bonjour et aller mettre ta sortie de bain, je l’ai vue, elle est sur une chaise, sous l’auvent.
— Je te rappelle que j’en prévois toujours une, au cas où quelqu’un sonne. Ce que tu aurais dû faire. Donc, comme Stéphane venait de me voir nue, je ne vois pas pourquoi je me serais rhabillée. Qu’il me voit une fois quelques instants ou deux fois un peu plus longtemps, le mal, enfin façon de parler, était fait.
— Tu avais même la possibilité de t’entourer dans ta serviette, avant d’aller faire la bise à Stéphane.
— Ah oui ! Je n’y ai pas pensé. De plus, je suis persuadée que tu l’as fait exprès. Tu aimes bien quand un homme me reluque, malhonnête !
— Je l’avoue, je l’ai fait un peu exprès. Seulement, je n’imaginais pas que tu t’exposerais sans vergogne aux regards de Stéphane. Encore pire, ce matin, tu avais encore ta petite fourrure intime. Cet après-midi, plus rien, maintenant, il connaît tout de ton anatomie la plus secrète.
— J’ai pris cette initiative pour te faire plaisir ! Ce n’est pas le seul qui m’aura vue « plus nue que nue » comme tu le dis si bien.
— Et ça me fait plaisir !

En même temps, il pose sa main sur mon pubis tout lisse. Je ne peux pas m’empêcher d’écarter les cuisses, ce qui lui donne accès sans effort à ma fente, que je devine moite de l’émotion que je ressens depuis le début de notre discussion. Surtout quand je pense à l’enchaînement des événements de cet après-midi. Bernard continue sa caresse et sa main atteint l’entrée de ma grotte d’amour qu’il découvre humide. Immédiatement il s’aperçoit de mon trouble.

— Eh ! Cette situation semble t’avoir excitée !
— Oui, j’ai envie de toi.
— Attends ! Je me déshabille et me je douche vite fait. Je reviens tout de suite.
— Profite de la douche solaire, ça ira plus vite !
— Tu as raison !

Il se déshabille et va se doucher. Pendant ce temps, j’essaie de voir si notre voisin est revenu. Cette fois, il s’avère qu’il est de retour. Je sens qu’il va avoir un sacré spectacle et je ferai tout pour ne pas le « décevoir ». D’ailleurs, Bernard est déjà de retour. Il m’embrasse, une main cajole mes seins, déjà fermes, les tétons érigés. Sa main descend sur mon ventre, caresse mon pubis. Il semble se repaître de la douceur de mon minou imberbe, avant de continuer sa descente vers ma grotte d’amour. Un doigt s’immisce entre mes lèvres humides de désir, puis remonte vers mon bouton érectile, qui n’attend que ça.

Mon chéri devance ma requête : il change de position pour s’agenouiller entre mes cuisses. Je les écarte complaisamment et, immédiatement, il colle sa bouche sur mes lèvres intimes, sa langue vient titiller mon clito. Je me mets à gémir de plaisir. Bernard continue ses caresses buccales en alternant pénétration linguale de mon minou, titillement de mon clito. Je sens l’excitation monter en moi. Le cunni est, depuis que Bernard me l’a fait connaître, une de mes caresses préférées. Pour moi, ce n’est pas seulement un préliminaire, c’est une source de plaisir et de jouissance, qui arrive peu à peu. Mon chéri en profite pour me pénétrer d’un doigt. Est-il à la recherche du point G, l’a-t-il trouvé ? Quoi qu’il en soit, je jouis, j’atteins l’orgasme. C’est certainement un des orgasmes les plus rapides que j’ai jamais ressenti.

Toutefois, je ne suis pas rassasiée pour autant. J’ai envie de sentir la tige de mon homme pénétrer mon corps, déjà en quasi extase. Le bain de soleil n’est pas approprié à ce genre d’acrobatie, aussi, je propose à mon chéri d’aller sur la pelouse toute proche. Je me lève, prends la serviette que j’étale sur l’herbe, avant de m’allonger sur le dos.

— Viens, prends-moi ! J’ai envie de sentir en moi !

Il s’allonge sur moi, son pénis touche sans hésitation mon abricot fendu. Doucement, il se fraye un passage dans mon puits d’amour, moite d’envie et de désir. Il me regarde, nous sommes les yeux dans les yeux, en pleine communion érotique. Son pénis continue sa progression en moi, jusqu’à ce que nos pubis soient en contact. Je sens ses poils sur ma chatte épilée et cela me semble des caresses supplémentaires. Il recule, jusqu’à presque sortir de moi et rentre à nouveau, cette fois-ci, d’un seul coup. Puis, il commence des mouvements de va-et-vient, comme il sait si bien le faire. Il alterne douceur et lenteur puis rythme accéléré et profondeur, tout ça en phase avec ma jouissance grandissante. Je sens son sexe parcourir mon intimité, j’ai l’impression qu’il est encore plus dur et plus gros que d’habitude, ou peut-être est-ce mon niveau d’excitation qui me fait percevoir des sensations plus intenses. Je me sens humide, ou plutôt trempée de mes sécrétions intimes qui finissent par suinter et couler entre mes fesses. Et mon chéri poursuit toujours, étranger à son plaisir, il attend que je prenne le mien. Pourtant, j’aimerais le sentir se répandre en moi, pour jouir en même temps. Cette fois-ci, cela ne se fera pas, je suis au point de non-retour, ma conscience est submergée par des frissons de plaisir incroyables.

Quand je redescends « sur terre », il est toujours en moi, dur, tendu. Il attend que je reprenne un peu mes esprits, mon chéri adoré, il me connaît par cœur.

— Ah ! Mon chéri, j’ai joui comme rarement ! C’était merveilleux ! Mais toi, tu n’as pas joui.
— Tu as joui vite, ne serait-ce pas ta petite séance d’exhibition devant Stéphane, qui t’a mise dans des états pareils ?
— Pourquoi tu me demandes ça ? C’est toi qui sais jouer avec mon corps et me faire jouir comme une déesse.
— Flatteuse ! Je suis sûr qu’il n’y a pas que ça.

Je ne lui réponds pas, s’il savait !

— J’ai envie de changer de position, tu veux me prendre à quatre pattes ?
— Pas de problème, tu sais bien que j’adore voir ton petit cul bouger devant moi.

Il sort de moi et je me mets à genoux sur la serviette. Aussitôt, je sens sa tige se présenter à l’entrée de ma grotte d’amour. Sans hésiter, il s’enfonce en moi, je suis toute prête, après mon premier orgasme. Avant que Bernard commence ses mouvements, je bouge d’avant en arrière pour le faire coulisser dans mon antre trempé de ma jouissance précédente. Il s’agrippe à mes hanches et oscille en rythme avec moi. Le ventre de mon chéri frappe sur mes fesses et, à peine redescendue du septième ciel, je recommence l’ascension. Dans de pareilles circonstances, il m’en faut peu pour, à nouveau, atteindre l’orgasme. Surtout qu’un coup d’œil vers la haie me prouve que mon voyeur est toujours présent. Aussi, en quelques dizaines de secondes, les allers et retours du pénis de mon mari dans mes chairs intimes, trempées de toute mon ivresse sexuelle, les contractions de mon vagin autour de son sexe turgescent ont raison de moi et je jouis à nouveau.

Et Bernard est toujours en moi, tout rigide, pourtant, j’espérais bien arriver à ce qu’il fasse jaillir son sperme en même temps que j’atteignais l’orgasme. Visiblement, j’ai encore joui trop vite et j’ai encore envie qu’il s’agite en moi. Je suis dans un état second, je ressens comme un emballement de mes sens, provoqué par l’étalage de mon corps nu à deux hommes connus. Je sais que Michel est toujours en train de me mater, de nous mater. Cela accroît encore plus mon désir. Du coup, je fais quelque chose que je n’aurais jamais imaginé être capable de faire. Je passe une main derrière moi, je saisis le pénis de mon homme et je l’interpelle :

— Tu es vraiment dur ! Toi aussi, tu es excité de m’avoir vue totalement nue devant Stéphane ! Tu aimes quand je dévoile mes charmes à d’autres hommes, n’est-ce pas ?

Et sans attendre sa réponse, je sors sa tige de ma grotte des plaisirs détrempée. Puis je passe ma main sur mon minou, pour récupérer un peu de nos sécrétions intimes et en tartiner mon œillet. Je reprends en main le bâton de joie de mon homme et le présente devant mon anneau étroit. Sans lui laisser le temps de réagir, je pousse mes fesses en arrière, je sens mes chairs s’écarter sous la pression de sa verge. J’éprouve un léger tiraillement, pourtant, cela ne m’empêche pas de continuer, car c’est toujours un peu comme ça au début. Bernard le sait, aussi, il ne bouge pas et patiente pour que mon petit trou s’habitue à l’intromission de son membre, gorgé de sang.

Puis, il prend les commandes de l’action. Lentement, il s’enfonce un peu en moi, avant de se retirer en partie, puis de s’engager à nouveau, un peu plus profondément. Il recommence le manège jusqu’à ce qu’il soit entré entièrement dans mes fesses. Il ressort presque complètement de mon petit cul et répète la même opération, toujours sur un rythme lent. Il s’agrippe fermement à mes hanches, pour pouvoir accélérer progressivement ses va-et-vient. Je sens sa tige prendre sa place dans mon paradis le plus secret.

À chaque mouvement, son membre viril écarte mes muscles intimes et j’amorce, une nouvelle fois, mon ascension vers le septième ciel. Je suis bien, je ressens encore l’effet de mes jouissances précédentes. En plus, j’imagine la vision que j’offre à mon chéri et à notre voisin, même si lui doit deviner plus que voir : les globes de mes fesses écartés, le pénis de mon homme qui entre et sort de mon petit trou. Je me mets à gémir sous les coups de boutoir, à chaque pénétration je grimpe d’un cran sur l’échelle qui monte au plaisir suprême. Mon corps commence à être parcouru de frissons, signe que je ne vais pas tarder à atteindre le plateau orgasmique. Bernard ressort sa bite et je m’écris :

— Non ! Continue ! Vas-y, sodomise-moi, j’ai trop envie !

Et il le sait bien, le canaillou, car il revient aussitôt en moi et je reprends ma progression sur le chemin de la jouissance. Cette fois-ci, il me pilonne carrément, il me connaît et sait que quand je suis dans cet état, je peux quasiment tout accepter. Mon corps est parcouru de spasmes, témoins d’un orgasme imminent. Bernard poursuit son action, j’aime être dans cet état de sublimation sexuelle. À chaque pénétration, son ventre vient heurter mes fesses, ses boules cognent contre mes lèvres intimes, je l’ai rarement ressenti de cette manière. J’aime trop ça, c’est trop bon. Je ne suis plus qu’une poupée désarticulée par le plaisir qui l’inonde. Je perçois mes gémissements comme s’ils étaient exprimés par quelqu’un d’autre. Je me pâme, je tombe presqu’en syncope. Ma jouissance devient presque irréelle. Et, détail qui ne trompe pas, je sens mon anneau se contracter, je le ressens, sans doute possible, se resserrer à plusieurs reprises, en cadence avec mes ondes de jouissance. Bernard aussi doit être à bout, car je sens ses mains se crisper sur mes hanches, il s’aboute au fond de moi et je perçois le jet de sa semence au fond de mes entrailles. Sa jouissance en moi engendre une nouvelle vague de plaisir qui déferle en moi comme un tsunami d’amour.

Mon chéri reste immobile, le temps que je reprenne « pied ». Puis, il m’entraîne sur le côté, et nous restons comme ça, lui toujours emboîté dans mon petit cul. Il me caresse les seins un moment et sa main descend sur mon minou tout lisse. Je sais qu’il adore ce contact.

— Eh bien, dis donc ! J’ai l’impression que tu as joui comme rarement. J’ai bien aimé, moi !
— Oui, c’était énorme !
— Et pourtant ce n’est pas ce que tu préfères, c’est la première fois que je te sodomise aussi fort.

Je me sens incapable d’en dire plus. Nous nous relevons quand le pénis de Bernard quitte mon corps.

Toute la soirée, je perçois les effets de la présence de mon homme dans mes fesses, toutefois, le plaisir que j’ai ressenti me fait oublier ces légers désagréments.

Le soir, j’explique tout à mon chéri, qui me traite de petite « cochonne exhibitionniste ». Il n’est pas gêné de m’avoir sodomisée devant Michel et encore moins que je me sois épilée en m’exhibant à ce dernier. Il m’a même posé la question suivante :

— Si Stéphane était resté, tu crois que tu aurais pu contenir tes ardeurs ?

Je n’ai toujours pas la réponse, je pense que je me serais retenue, vu que nous sommes amis et que cela peut briser une relation. Toutefois, je ne parierais pas.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire