Histoires de sexe noir Histoires de sexe travesti

l’échangiste devient cocu

l’échangiste devient cocu



Histoire du net , auteur Isa13450

— Je n’y arrive pas, désolé !
— Ce n’est pas grave, c’était bien car j’ai même pris du plaisir.
— Je ne peux pas faire ce que tu me demandes, je te respecte trop, tu es ma femme, la mère de notre enfant.
— Mais ce n’est qu’un jeu, une façon de pimenter nos ébats. Je ne te demande pas de me passer à tabac, de me gifler ou de m’insulter, je voulais juste que tu accompagnes tes pénétrations avec des petites fessées et quelques mots crus.
— Ton fantasme me met mal à l’aise, je ne suis pas capable d’agir ainsi envers toi, les mots crus ça passe encore, mais les fessées, même pour le jeu, je ne peux pas !
— Dommage, mais… je comprends.
— Tu ne m’as toujours pas raconté précisément ce qu’il s’est passé entre Gilles et toi lorsque tu t’es retrouvée seule avec lui dans la chambre lors de notre weekend échangiste chez eux. Il t’a prise de la sorte ? Ça t’a plu et tu en redemandes, c’est ça ?
— Disons qu’il m’a fait l’amour différemment, c’était… comment dire… Une relation à la recherche de plaisirs sexuels intenses.
— Lorsque vous nous avez rejoints et que nous nous sommes retrouvés tous les quatre, je l’ai trouvé assez brusque envers toi lors de vos ébats, te maintenir la tête en te tirant par les cheveux, c’était tout de même limite…
— Tu sais, moi ça ne m’a pas déplu, il ne me faisait pas mal, c’est sa façon de faire… Tu as bien vu après, la façon dont il prenait sa femme… il ne l’a pas ménagée non plus.
— Ouais, il est assez sauvage. Tu ne m’as pas répondu, c’était comment avec lui lorsque vous étiez que tous les deux dans la chambre ?
— Pareil.
— Quoi pareil ?
— Il m’a un peu bousculée.
— C’est-à-dire ?
— Il a été assez sauvage dans ses gestes, à la limite du brutal.
— Ça t’a plu ?
— Oui, assez.

Je ne pouvais pas entrer dans les détails, j’étais incapable de lui avouer que Gilles m’avait lié les poignets pour me faire l’amour, incapable de lui expliquer que la fellation que j’ai entamée s’est rapidement transformée en une baise déchaînée de sa part dans ma bouche. Je ne pouvais pas non plus avouer qu’il m’a sodomisée sans aucun ménagement, je craignais sa réaction, j’avais peur qu’il me reproche de l’avoir laissé me prendre de la sorte, telle une fille que l’on baise sans le moindre respect, ni ménagement. Peur de sa réaction en découvrant que ce sont bel et bien ces actes et cette façon d’agir qui m’ont procuré des plaisirs intenses jusqu’ici non vécus.

— C’est pour ça que depuis tu me demandes de te faire l’amour de la sorte.
— Oui.
— Bon, on verra, mais je ne te promets rien… Tu penses qu’ils ont apprécié autant que nous ces deux jours de débauche que nous avons vécus ensemble ?
— Je ne sais pas, je m’attendais à un signe de leur part, mais ça fait maintenant trois semaines et toujours pas de « coucou ». Je ne pense pas qu’ils souhaitent renouveler cette rencontre.
— Ouais, dommage !
— Tu as aimé, hein ? J’ai bien vu à quel point tu prenais ton pied avec Carole, tu étais déchaîné, et elle, elle n’était jamais rassasiée ! J’ai bien cru qu’elle allait t’épuiser !
— Oui, j’avoue, c’était vraiment excitant, vraiment bon…
— Il faut se faire une raison, s’ils n’ont pas répondu à notre texto de la semaine dernière, c’est qu’ils ne veulent pas nous revoir.
— Oui, je sais, j’ai compris, mais ce n’est pas grave, nous trouverons bien d’autres partenaires de jeux et pour ça je te fais confiance, ma petite Isa…

Cela faisait maintenant plus d’un mois que nous n’avions pas de nouvelles de Gilles et Carole, il était clair que nous n’entendrions plus jamais parler d’eux. Plus jamais, jusqu’à ce lundi après-midi où j’ai reçu un texto provenant de Gilles.

— Bonjour, Isa, j’espère que tu vas bien, je suis en déplacement sur Marseille pour le boulot les 13 et 14 septembre, mais si tu le souhaites, je peux être là dès le lundi après-midi, et comme je sais que le lundi c’est ton jour de repos, nous pourrions passer l’après-midi ensemble, rien que nous deux. Qu’en penses-tu ? J’espère à bientôt, bises. Gilles

La lecture de ce message m’a mise dans un état d’excitation auquel est venu s’associer un sentiment d’angoisse. Je ne savais quoi répondre à une telle proposition, j’étais partagée entre le désir de vivre à nouveau des moments intenses avec ce partenaire de jeu et la retenue imposée à une femme mariée qui ne veut pas faire de mal à son époux. Je ne voulais pas me l’avouer immédiatement, mais je savais que la balance penchait du côté du plaisir. J’ai mis quelques heures pour prendre ma décision, mais vous l’avez deviné, je me suis dirigée sur le chemin du plaisir.

— Je vais bien, et je suis heureuse de savoir que l’on va pouvoir se revoir. OK pour une rencontre lundi après-midi. Tiens-moi au courant du lieu de notre rendez-vous. Bises, Isa.

Je n’étais pas fière de ce que je m’apprêtais à faire vis-à-vis de Jean. J’espère que vous ne me jugerez pas. Pour ma défense, je dirais que c’est la nature humaine qui l’a emporté, et je suis convaincue que nombreux sont celles et ceux qui comprendront ce message.

Les jours qui me séparaient de ce rendez-vous coquin étaient remplis d’un mélange difficilement descriptible : je vivais en étant liée à une certaine angoisse, sur laquelle le désir, l’impatience et l’excitation prenaient le dessus. Je me suis surprise à me caresser le sexe en toute discrétion, telle une jeune fille encore pucelle qui fantasme et qui rêve de découvrir la définition du mot ‘sexualité’.

Le lundi matin, vers 11 h, j’ai reçu un nouveau texto provenant de Gilles :

— Coucou, ma belle, je suis en gare à Lyon, je m’apprête à prendre ma correspondance, je devrais être sur Marseille vers 13 h. Je nous ai réservé une chambre à l’hôtel, voici l’adresse et le code de la chambre 31 […]. Je compte sur toi pour m’y attendre, tenue sexy exigée. À tout à l’heure. Bises, Gilles

Ma réponse :

— OK, à tout à l’heure, bises, Isa

Tenue sexy exigée ! Je n’étais pas forcément partie là-dessus, mais bon… j’ai ce qu’il faut, il n’y a plus qu’à choisir. Ça sera, tout d’abord mes chaussures noires à talons aux dessus dénudés et aux lacets qui montent jusqu’aux chevilles, d’après Jean c’est hypersexy, sans être aussi extravagantes que celles portées par les stars du porno, elles y ressemblent tout de même un peu. Il fait chaud, je ne porterai pas de bas ou de collant, uniquement une petite jupe noire, assez courte qui d’après ce qu’il se dit, moule assez mes formes au point de donner des envies à ces messieurs. Mon haut sera également de couleur noire, pas moulant mais plutôt ample dont la coupe est assez haute sur le devant, jusqu’au cou, mais qui laisse apparaître une grande partie de mes épaules et de mon dos. J’espère que tout cela correspond à ses attentes.

12 h, je m’apprête à partir en direction de cet hôtel. Mon cœur bat la chamade, mes mains tremblent sur le volant. Je suis excitée, impatiente. Sur place, très peu de voitures sur le parking de cet hôtel. Une fois garée, j’avance à pied en direction de l’entrée, il est à peine 12 h 45, j’espère ne croiser personne, je suis mal à l’aise, j’ai honte de ce que pourrait penser quelqu’un qui croiserait mon regard, j’ai l’impression que sur mon visage il est inscrit en gros caractères : « Je viens prendre une chambre pour un après-midi de débauche ». Ouf, personne à l’accueil, je cherche les indications me permettant de me diriger vers la chambre 31. Je tape le code, j’entre, je respire mieux, je suis soulagée, je n’ai plus qu’à attendre.

Comme dans la plupart de ces hôtels, dans la chambre, il y a un grand lit double au-dessus duquel il est superposé un lit simple à la perpendiculaire. La salle de bain est étroite mais assez lumineuse. Je m’installe, je m’allonge sur le lit, j’allume la télé pour patienter. Je choisis une chaîne au hasard, je n’arrive pas à me concentrer sur ce que je vois et ce que j’entends, mon esprit reste perturbé, je suis excitée mais aussi très angoissée. Je sais que Gilles n’aura aucune retenue dans ses actes, mais au fond de moi, sans oser me l’avouer, je crois bien que c’est ce que j’attends de lui.

Brusquement, alors que je reste évadée dans mes pensées, mon téléphone bipe, c’est un texto, de Gilles :

— Désolé, Isa, je suis à peine dans le taxi, le train a pris du retard, d’après le chauffeur je suis là d’ici 20 minutes. Bises, Gilles.

C’est effectivement au bout d’une vingtaine de minutes que l’on toque à la porte de la chambre. J’ouvre, j’accueille Gilles avec un large sourire.

— Ouaou, tu es magnifique, vraiment sexy, tout ce que j’aime ! Merci !
— Je suis contente que ça te plaise.
— Viens, approche-toi, je ne peux plus attendre !

Il m’a serrée dans ses bras, nous nous sommes embrassés langoureusement, puis une de ses mains est venu se fixer sur ma nuque alors que son autre main s’est posée sur mes fesses pour les masser, les caresser, avant de les écraser entre ses doigts une après l’autre. Suite à ce câlin en guise de bonjour, il a décollé ses lèvres des miennes pour me décrire ce que je percevais déjà très bien contre mon bas-ventre :

— Tu m’excites tellement… je bande tellement dur que j’en ai presque mal au sexe !

Il s’est écarté pour passer derrière moi, dans mon dos, il a posé ses mains sur mes hanches puis m’a poussé pour me diriger vers l’échelle en acier qui sert à accéder au lit simple superposé. Une fois devant cette échelle il me dit :

— Att**** le haut de l’échelle et garde bien tes mains fixées dessus.

Je me trouvais debout, face à ce lit, le nez à seulement quelques centimètres des barreaux de cette échelle, les bras tendus vers le haut. Gilles toujours derrière moi, collé à moi, en a profité pour balader ses mains sur moi, on aurait pu croire à une fouille au corps exercée par un agent de la police qui palpe dans les moindres recoins avec insistance. La caresse était agréable, je prenais beaucoup de plaisir à ces préliminaires. Mes épaules et mon dos étant assez dénudés, Gilles a pu y déposer quelques baisers humides tout en massant mes seins de façon assez sensuelle par-dessus les tissus.

Sans aucun mot, il a retiré mon haut puis mon soutien-gorge avant d’emprisonner à nouveau mes deux globes dans ses mains. J’adorais sa façon de mordiller la chair de mon cou tout en me caressant la poitrine avec ses mains, je frissonnais de plaisir, il s’y prenait merveilleusement bien. Ses mains m’ont ensuite libérée pour descendre sur mes hanches, au niveau de la fermeture éclair de ma jupe. Toujours en baladant ses lèvres sur mes épaules, il a baissé la fermeture de ma jupe pour me la faire glisser sur mes pieds. Sans me laisser le temps de soulever une jambe pour pouvoir l’enlever entièrement, il a enchaîné en baissant mon string sur mes cuisses bien au-dessus de mes genoux l’abandonnant ainsi. Une chaleur incroyable envahissait mon bas-ventre, mon humidité vaginale s’écoulait de plus en plus abondamment sur mes lèvres intimes.

Il s’est écarté légèrement sur ma gauche toujours dans mon dos de façon à pouvoir faire descendre sa main droite de ma nuque jusque sur mes fesses avant de glisser lentement son majeur sur ma raie. De sa main gauche, il a tourné ma tête vers lui pour pouvoir placer sa langue dans ma bouche, puis il est venu agiter le bout de son majeur sur mon petit trou avant de le pénétrer légèrement d’une longueur de phalange. Après une courte visite, son doigt s’est déplacé entre mes lèvres intimes avant d’atteindre mon clitoris. Ses déplacements, ses mouvements autour de mon petit bouton n’étaient pas très aisés du fait que mon string empêchait un écartement convenable de mes jambes, mais Gilles a poursuivi un instant cette caresse sans retirer ce dernier bout de tissu. Il s’est écarté, m’a libérée de son emprise pour me dire :

— J’ai une surprise pour toi, quelque chose qui devrait beaucoup te plaire.

Sur ces mots, je me suis retournée en lâchant cette échelle

— Non, non, je ne t’ai pas dit que tu pouvais te retourner et lâcher l’échelle, garde tes bras tendus vers le haut et tiens bien fermement les montants de l’échelle.

Je me suis exécutée, sans pouvoir observer ce qu’il faisait, je l’entendais dans mon dos, il se déshabillait, il fouillait ensuite dans son sac de voyage. Il s’est approché de moi, il a retiré mon string entièrement me précisant qu’il préférait que je garde mes chaussures aux pieds car elles étaient très sexy et que de me voir avec, ça l’excitait beaucoup. Il s’est collé dans mon dos, son sexe dur s’est écrasé contre mes reins, il a déposé quelques baisers humides dans mon cou sans aucun contact de ses mains sur mon corps, j’avais compris qu’il y tenait quelque chose, que ses mains n’étaient pas libres, même si j’imaginais ce que cela pouvait être, je n’en avais pas la certitude jusqu’à ce qu’il att**** mes poignets pour me menotter avec de vraies menottes sur le barreau le plus haut de cette échelle métallique. Ses mains ont ensuite glissé dans mon dos, pour finir leurs courses sur mes fesses. Il s’est mis à genoux derrière moi, il a déposé des baisers humides sur mes fesses tout en déplaçant ses doigts sur mes cuisses, mes hanches, mon ventre.

Je n’en pouvais plus, l’attente était trop longue, une douleur d’excitation semblait transpercer mon sexe, il fallait qu’il me soulage, qu’il me remplisse, mais il n’en faisait rien, seule sa langue glissait lentement sur chacune de mes fesses à tour de rôle. Lorsqu’il a cessé ces baisers, j’ai cru qu’il allait enfin passer à la vitesse supérieure mais au contraire, il s’est éloigné de mon intimité en passant ses mains sur mes cuisses pour descendre jusque sur mes chevilles. Ces caresses étaient suivies de très près par ses baisers qui prenaient exactement le même trajet sur mes jambes. Puis c’est en maintenant ses mains sur mes pieds, par-dessus mes chaussures, qu’il a fait glisser sa langue de ma cheville jusqu’entre mes fesses ou il a pris le temps de s’installer. Dans un premier temps, son bout de chair humide tourbillonnait sur mon anus, mais ensuite, en écartant au mieux mes fesses avec ses deux mains, il a tenté de me pénétrer le plus profondément possible avec sa langue. Après avoir joué un instant de la sorte avec la partie la plus intime de mon corps, il s’est redressé, il s’est mis debout derrière moi, il a réuni tous mes cheveux dans sa main pour pouvoir y tirer dessus de façon à faire basculer ma tête en arrière. Il a approché ses lèvres de mon oreille pour me murmurer :

— Tu aimes quand je t’encule avec ma langue ?

N’ayant pas obtenu de réponse immédiate de ma part, il a insisté en tirant brusquement sur mes cheveux ce qui a eu pour effet une première réponse de ma part :

— Aïe…
— Je t’ai posé une question, je vais te la répéter une seconde fois : tu aimes quand je t’encule avec ma langue ?

Cette fois sans attendre j’ai répondu :

— Oui.
— Tu aimes te faire prendre comme une vraie salope ?
— Oui.
— Réponds-moi mieux que ça, je ne vais pas me contenter d’un simple oui, alors je t’écoute !
— Oui, oui j’aime me faire prendre comme une salope.
— Je n’en doutais pas, si tu es là aujourd’hui c’est bien pour ça n’est-ce pas ?
— Oui, aujourd’hui je suis là pour ça.

Sur ces mots, il a libéré mes cheveux, pour poser ses deux mains sur mes fesses qu’il a écartées largement. Son sexe a pénétré mon anus d’un seul mouvement jusqu’à ce que ses cuisses se plaquent contre mon derrière. Il est resté ainsi immobile en moi, le temps de saisir mes tétons entre ses doigts tout en maintenant mes seins dans ses paumes de mains. Toujours immobile dans mon anus, je sentais son souffle chaud contre ma nuque avant que ses dents viennent presser le lobe de mon oreille. Il a entamé de lents mouvements de son bassin pour faire des va-et-vient tout aussi lents dans mon conduit, il accompagnait ses mouvements par le massage de mes seins sans oublier de tirer autant qu’il le pouvait sur mes tétons. C’était à la fois douloureux mais aussi très excitant de se faire martyriser ainsi la pointe des seins pendant la pénétration, il attendait certainement une réaction de ma part pour connaître la limite à ne pas franchir et c’est exactement ce que j’ai exprimé dans un soupir de plaisir mélangé à la douleur :

— Aie, ça fait mal, mes seins… ça fait mal.

Sur ces mots, il a libéré ma poitrine pour poser ses deux mains sur mes hanches. D’un de ses pieds il a tapoté sur ma chaussure pour me faire comprendre que je devais écarter encore plus mes jambes. Il a ensuite appuyé sur mes reins avec une de ses mains pour que je me cambre au maximum. Une fois la position souhaitée, il a accéléré ses mouvements de va-et-vient dans mon conduit et pour accompagner ses mouvements, sa main droite est venue claquer à plusieurs reprises sur mes fesses, d’abord en douceur puis de plus en plus brutalement. Sous la chaleur que provoquaient ces fessées, je devinais la rougeur de mes fesses. Pour la première fois, un homme me prenait tel que je l’avais souvent fantasmé, le plaisir et la douleur se mélangeant à tel point que je ne savais lequel des deux prenait le dessus sur l’autre. Contrairement à ce que j’avais imaginé, il s’est retiré de mon conduit avant même d’avoir joui à l’intérieur, il s’est écarté un instant, sa respiration était très rythmée.

— Cambre-toi un peu plus, je vais te prendre la chatte.

J’ai accentué ma position en baissant mon torse le plus bas possible, mais les menottes qui maintenaient mes bras en l’air, attachés sur l’échelle, m’interdisaient de me cambrer davantage. L’ayant constaté, Gilles s’est empressé de me libérer pour me rattacher immédiatement les poignets un peu plus bas sur l’échelle. J’étais donc à l’équerre, visiblement, c’était la position dans laquelle il souhaitait me prendre. Tout aussi brusquement que précédemment, son sexe m’a transpercée pour venir en butée tout au fond de mon vagin. Une nouvelle série de fessées ont accompagné ses allers-retours au plus profond de mon ventre, ma jouissance était cette fois assez proche, tout comme la sienne que je devinais par les gémissements de plus en plus bruyants qu’il émettait. Sans pouvoir réellement expliquer pourquoi, sans comprendre pourquoi, c’est à l’écoute de ce qu’il a exprimé pendant ses pénétrations que je n’ai pu retenir davantage mon passage au septième ciel :

— Putain, qu’est-ce qu’elle est bonne, ta petite chatte de pute, je vais bien te la remplir… haaaaaa… oui…

Sur ce premier acte, nos jouissances ont été parfaitement synchronisées. Il est resté un instant figé en moi avant de s’écarter. Son sperme chaud s’écoulait le long de mes cuisses. Il m’a démenottée et m’a proposé d’aller me nettoyer dans la salle de bain. Après ce brin de toilette bien mérité, je me suis allongée à ses côtés, sur le lit, il m’a souri avant de m’interroger :

— Jean te fait l’amour comme ça ?
— Non, jamais.
— Je l’avais un peu deviné lors de notre dernière rencontre, j’ai vu qu’il était plutôt doux dans ses rapports avec les femmes, et toi, ça te plaît de faire l’amour comme ça ?
— Oui, assez.
— Tu as des fantasmes non assouvis que tu aimerais vivre ?
— Oui j’ai des fantasmes, mais je ne suis pas prête à les réaliser.
— Lesquels ?
— Je préfère les garder pour moi, pour le moment.
— Tu as honte d’en parler ?
— Non… oui un peu en réalité, ils sont tellement… cochons, je ne veux pas que tu me prennes pour une…
— Salope ?
— Exactement.
— Tu le sais, tu l’as compris, ce que j’exprime dans l’acte sexuel c’est uniquement pour le jeu, pour l’excitation, j’espère que tu ne prends pas mal ma façon de te traiter, de te parler ?
— Non, au contraire j’aime bien, en revanche si tu devais me parler de la sorte hors contexte de nos jeux sexuels, là je le prendrais mal !
— On est d’accord ! Allez, s’il te plaît dis-moi ce qui te fait fantasmer, je te promets de ne pas te juger
— Eh bien, ce qui me fait rêver c’est… Tu sais lorsqu’il y a plusieurs hommes derrière un mur et que seulement leur sexe sort d’un trou de ce mur, j’ai vu une vidéo ou une fille faisait des fellations sans que les hommes puissent intervenir ou sachent qui agit sur leur sexe, seul leur pénis sort du mur par le trou et ça, ça m’excite beaucoup ! Je fantasme sur le fait de faire une gâterie de ce genre sans savoir qui est l’homme en question et sans que lui sache qui est en train de lui procurer ce plaisir !
— Ah, tu veux parler des Glory Hole !
— Oui, il me semble que c’est comme cela que ça se nomme, mais, ce n’est qu’un fantasme, je ne pourrais jamais oser faire ça en vrai, même si l’idée m’excite énormément.
— Tu me parles de fellation, du coup… Tu m’en donnes envie. Je vais me nettoyer le sexe et je reviens.

J’ai passé une merveilleuse après-midi en sa compagnie, je ne regrette en rien cette rencontre que j’espère pouvoir renouveler une prochaine fois, très bientôt…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire