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Doigt D’honneur – compilation de la 1è

Doigt D’honneur – compilation de la 1è



Nous rentrons d’un mariage, celui de la fille d’un ami, nous sommes quatre dans la voiture et nous n’avons pas bu que de l’eau…
Je conduis, j’ai 59 ans, mon épouse Annabelle à côté en a 58,

elle en paraît 45 tellement son corps est entretenu par la gymnastique quotidienne, elle est blonde, un peu rondelette et très élégante, surtout aujourd’hui où elle étrenne un nouvel ensemble veste et jupe longue, en tissu léger avec des ramages, l’ensemble est gris clair rehaussé par une veste plus foncée, ses dessous sont blancs et le soutien-gorge 95C fait ressortir sa lourde poitrine.

Sur le plan sexuel, elle est réservée et très classique par contre elle est douée de la possibilité d’avoir de multiples orgasmes les uns à la suite des autres et dans ce cas elle se déchaîne vocalement.

A l’arrière, notre fille Shannon 38 ans et notre petit fils Jacques 18 ans qui, lui aussi a un peu trop bu.
L’ambiance est joyeuse, nous reprenons en chœur les paroles des chansons que diffuse le lecteur, nous avons tous des paillettes dans les cheveux et des grains de riz qui se sont infiltrés partout.

Nous passons à proximité d’un café, des motards nous font des signes, nous leur répondons amicalement, à l’arrière mon petit fils en profite pour leur faire un doigt d’honneur.

Nous faisons encore quelques kilomètres et à la demande générale, je m’arrête au bord d’un petit chemin pour que tout le monde puisse se soulager.
Alors que nous regagnons la voiture, une pétarade se fait entendre et 6 motards viennent nous encercler.

En un rien de temps nous sommes entourés et emmenés de force dans le petit chemin qui mène à une clairière où se trouve une cabane délabrée ; comme je me débats je suis comme Jacques attaché à un arbre et bâillonné pendant qu’un des motards traîne mon épouse terrorisée.

Shannon qui s’était changée avant de monter en voiture, réussit à force de se contorsionner à se libérer en laissant sa petite veste aux mains des motards, elle part en courant vers la forêt, vêtue d’une robe légère et chaussée de baskets ; j’ai bon espoir qu’elle leur échappe car elle est très sportive.

– Ratt****z-la !

Deux des motards partent à sa poursuite.

Celui qui semble être le chef s’adresse à Jacques :

– Alors c’est toi qui nous as fait un doigt d’honneur, tu veux que te montre ce que c’est ?

– On s’excuse dit ma femme, nous avons tous un peu bu, Jacques excuse toi !

– Ça ne va pas suffire dit le motard en prenant Jacques par le bras on va lui montrer exactement ce que c’est.

– Ne touchez pas à mon petit-fils dit ma femme en s’interposant, je vous l’interdis !
Du coup l’intérêt du motard se porte vers elle

– Alors on veut faire la maligne, ici c’est moi qui commande ! Allez chercher les motos commande-t-il aux autres.
– Tu ne peux rien nous interdire et on va te le prouver, emmenez les !

Les motos sont ramenées dans la clairière, il ne reste que notre voiture sur le bord de la route.

Celle-ci a été fouillée, ils ont sorti les masques que nous avions mis lors du bal de mariage et s’amusent à nous les mettre, mon épouse se retrouve avec le masque de chat qu’elle avait lors de la fête.
Chacun s’exprime plus ou moins lourdement :

– Tu dois avoir une belle petite chatte, j’espère que tu vas nous la montrer

– Tu es mignonne comme cela, tu vas voir mon petit minou comme on va te faire ronronner.

Annabelle ne se démonte pas, elle continue à sourire malgré la situation qui semble se dégrader
Les quatre motards font cercle autour d’elle, ils la frôlent, ils la touchent, dès qu’elle fait mine de vouloir se dégager, ils la repoussent au milieu du cercle, ils se la renvoient, des mains baladeuses lui pelotent les seins, les fesses, l’une d’elle soulève la jupe montrant sa culotte blanche et ses fesses rebondies, elle se dégage comme elle peut.

Le chef lui prend son sac et regarde ses papiers.

– Ben dis donc, Annabelle ! quel beau nom, c’est vrai que tu es belle ; Hé ! tu es née en 1956, on ne croirait pas, on va voir si le contenu tient les promesses de l’emballage…

– Déshabille-toi !

Toute la bande se met à scander :

– A poil la vioque, à poil la vioque, à poil !

– Non mais ça ne va pas, il n’en est pas question ! Laissez-nous partir !

– Oh si qu’il en est question ! D’abord tu vas nous montrer tes miches que l’on voit si tu es encore baisable !

– Laissez-moi, bande de voyous

Annabelle tremble de tout son corps, elle est au bord des larmes

– Vous n’avez pas le droit !

– Pas le droit ! encore un mot de bourgeoise ! Alors tu te fous à poil où tu veux que l’on te déshabille ?

Comme Annabelle ne bouge toujours pas, il fait signe à celui qui est derrière elle. Le motard ceinture ma femme par derrière, elle se débat pour lui échapper, il att**** sa veste et d’un seul mouvement il l’a fait glisser de ses épaules emprisonnant ses bras par derrière.
Les bras immobilisés, elle se tortille vainement pour se libérer.

– Tant pis pour tes fringues !

Il sort un cran d’arrêt et commence à faire sauter un à un les boutons du corsage qui s’ouvre complètement montrant le soutien-gorge blanc.

Annabelle est pétrifiée à la vue du couteau, elle ne bouge plus.

– Et maintenant la fête au paradis !

il glisse la lame au milieu de la poitrine entre la peau et le tissu.

– NOOOON !!!
– Je vous en prie!

En rigolant, d’un geste sec il tranche le tissu libérant les seins lourds de ma femme, avec eux il tombe également quelques grains de riz ce qui le fait rire de plus belle.

– Alors on se garde un petit casse-croute de côté.

Il joue avec les seins s’amusant à les faire sauter dans sa main.

– Belle paire de nibards !
– On a de la conversation à ce que je vois !
– Elle a des belles mamelles la minouchette
– Alors tu continues le strip ou je dois m’en charger ?

Avec la fraicheur les pointes des seins se sont dressées, elle est magnifique ; il pince les mamelons qui s’érigent encore plus

Mon épouse est terrifiée mais elle continue à l’injurier ce qui n’est pas obligatoirement la meilleure chose à faire…

– Maintenant je te jure que tu vas me demander pardon

– Jamais vous êtes des voyous, je vous ferai mettre en prison !

Pendant ce temps, celui qui bloque ses bras l’embrasse dans le cou, il cherche ses lèvres

– Allez fini de rigoler ! dit le chef, je saurai après qu’il se fait appeler Jimmy.

Il sort une paire de menottes lui enlève la veste et ce qui reste du corsage et du soutien-gorge et menottée dans le dos, les seins à l’air, il la pousse devant lui jusqu’à l’une des grosses motos.
A chaque pas les seins tressautent.

En arrivant il lui suffit de lever les bras menottés pour qu’elle soit obligée de se baisser et elle se retrouve le ventre sur la selle, les seins pendant d’un côté et la croupe offerte de l’autre ; il remonte la jupe jusqu’à la taille offrant à tout le monde la vue des fesses rebondies de ma femme que masque à peine une petite culotte blanche transparente.

Il lui pince les fesses :

– C’est encore bien ferme tout cela, on va voir si tu supportes la douleur

En disant ces paroles il lui balance une claque vigoureuse, c’est le début d’une fessée en règle, Annabelle pleure silencieusement, elle a maintenant les fesses rouges.
Il a fallu quinze coups pour lui arracher un gémissement de douleur

– Demande pardon !

Devant son mutisme il continue encore quelques coups puis introduit un doigt entre l’élastique et la taille pour commencer à descendre lentement la culotte.

– NOOON ! pas cela ! je vous demande pardon

En même temps qu’elle dit ces mots, ses mains essaient vainement de récupérer l’élastique de la culotte, mission impossible avec les bras menottés dans le dos et la jupe qui l’empêche de l’atteindre.

– Trop tard ma belle, tu vas avoir ta punition !

Il baisse complètement la culotte et de deux coups de couteau, il la découpe et la jette au sol.

Ma femme est maintenant plus que nue avec le ridicule de sa jupe remontée à la ceinture, elle tremble de peur et ça fait bouger ses fesses, dans sa position penchée en avant, on peut également voir entre les jambes l’entrée des grandes lèvres, je me dis qu’elle est terriblement excitante et qu’ils vont en profiter…

– Allez me chercher une botte d’orties !

L’un des motards lui en ramène une pleine poignée, il remet ses gants pour les prendre et en frotte vigoureusement les fesses déjà rouges.

Annabelle hurle et pleure en même temps alors que son derrière se hérisse de minuscules cloques. Sous l’effet de la douleur ses jambes se lèvent l’une après l’autre ; pour finir il passe les orties entre les cuisses, ce qui déclenche des cris encore plus stridents.

– Voilà ce que c’est de me résister
– Amenez le gamin

– NOOON ! je vous demande encore pardon, laissez-nous !

L’un des motards détache Jacques et le conduit près de sa grand’mère

– Regarde bien voilà ce que c’est exactement qu’un doigt d’honneur !

En disant ces mots il mouille son index et d’un geste rapide il l’insère dans l’anus de ma femme laquelle pousse un grand cri de surprise et de douleur. Il fait quelques va et vient puis retire son doigt et le présente à mon épouse.

– Maintenant lèche, nettoie le !

Elle secoue la tête mais après quelques gifles supplémentaires, vaincue, elle lèche le doigt qu’il lui présente.
Elle a les fesses rouges brique et les regardant il dit :

– j’ai toujours rêvé de me farcir le cul d’une guenon !
– pour cette fois je me contenterai de celui d’une chatte

il déboutonne son pantalon sort un gros sexe en érection déjà luisant de liquide gluant et lui écartant les fesses, il s’introduit dans l’anus déclenchant de nouveaux hurlements de douleur et de honte ; elle s’est toujours refusée à se faire sodomiser, c’est la première fois que ma femme est baisée ainsi ; coincée comme elle est, elle ne peut résister et il la pilonne à grands coups de boutoir.

Il fait signe à un autre motard de venir par devant, il att**** une touche de cheveux d’Annabelle et tire en arrière pour lui faire lever la tête, elle crie encore plus fort mais son cri s’étrangle dans sa gorge où vient de s’enfoncer un autre sexe.

Les deux motards se synchronisent jusqu’à ce que dans un rugissement ils éjaculent dans sa gorge et dans son cul. A moitié asphyxiée elle n’a pas d’autre solution que d’avaler.

Durant tout ce temps, Jacques est resté à côté, il a tout vu et il ne peut s’empêcher d’avoir une érection.

– Il en veut le gamin, on va lui en donner !

Ils lui baissent son pantalon et mettent son sexe dans la bouche de sa grand’mère.

– Allez suce le qu’il sache ce que c’est !

Complètement anéantie Annabelle se met à sucer le sexe tendu vers elle, son petit-fils qui est réticent au départ ne peut plus se retenir, il donne des grands coups de rein et se répand presque tout de suite dans la bouche de sa grand’mère.

– J’en ai fini avec elle, je vous la laisse

En disant ces mots il bâillonne à nouveau Jacques et le rattache à un arbre
Les trois motards entourent maintenant Annabelle presque inconsciente, ils la relèvent et lui retirent les menottes et ce qui reste de la jupe, elle est maintenant complètement nue, avec son masque de chat, face à une troupe de motards en rut qui mettent leurs mains partout.

ils lui tâtent les seins, les fesses et des doigts fureteurs s’insinuent dans son vagin que protège une épaisse touffe de poils.

Elle a du sperme collé sur la figure et dans les cheveux, ses fesses sont luisantes de foutre séché

Alors on ne fait plus la maligne !

– J’ai la gorge en feu bredouille-t-elle, donnez-moi à boire, s’il-vous-plait !

– Tu as déjà bu pas mal et au goulot en plus !

– allez nous allons être sympas dit l’un d’eux en sortant une bouteille de whisky des fontes de sa machine et en lui tendant.

Elle boit une grande goulée et lui redonne la bouteille

– Tu as voulu à boire et maintenant tu refuses, tu sais que ça me vexe, alors tu vas finir cette bouteille, nous en avons d’autres dit-il en distribuant le whisky à la ronde.

– C’est trop fort, je n’ai pas l’habitude !

Effectivement Annabelle ne consomme presque jamais d’alcool et aujourd’hui, par exception elle avait bu plusieurs coupes de champagne.

– Bois ! sinon…

Terrorisée elle reprend la bouteille et boit encore une grande lampée

– Encore !

La bouteille est maintenant à moitié vide et ma petite femme commence à tanguer fortement et à ne plus trouver les mots qui se bousculent dans sa bouche.

– Vous, vous ne me fe-ferez plus de mal main-maintenant

– Mais non, c’est fini, maintenant on ne va te faire que du bien !

– Ah bon, sym-sympa !

Et en même temps qu’elle dit ces mots elle repend une nouvelle goulée d’alcool

– Allez viens dit l’un d’eux en lui touchant le sexe.

Je vois ses yeux chavirer et se fermer pendant qu’elle goûte la caresse.
Elle se raccroche à l’homme qui en profite pour accentuer son emprise.

Il enfonce deux doigts dans le sexe et commence à la masturber doucement d’abord puis de plus en plus vite, j’entends un clapotis alors que les doigts s’agitent à l’intérieur du vagin suivi des premiers grognements que je connais bien qui annoncent le prélude de sa jouissance, les grognements prennent de l’ampleur jusqu’à ce que l’alcool et les caresses répétées déclenchent dans un grand cri un orgasme qui la secoue totalement et qui la fait se vautrer sur celui qui la fait jouir.

Il se retourne vers moi

– Dis donc, elle a du tempérament ta femme on va bien s’amuser !

Elle reprend la bouteille et la termine pendant que passé derrière elle, il lui titille les pointes des seins qui réagissent comme de braves petits soldats en se mettant au garde-à-vous !

Annabelle a toujours été très sensible de la poitrine et il m’est arrivé de lui déclencher un orgasme rien qu’en lui caressant les seins ; ça n’a pas manqué surtout qu’un autre s’est mis à genoux devant elle et a commencé à lui brouter le clitoris, elle crie sans discontinuer et ce n’est plus de douleur…

Pendant ce temps les autres ont sorti de la cabane en ruine un vieux matelas défoncé.
Ils allongent Annabelle dessus en la maintenant écartelée, à vrai dire ce n’est pas la peine de la maintenir tellement elle est déchaînée, celui qui lui lèche le clitoris fait pénétrer deux doigts dans la fente gluante et entame une masturbation de plus en plus rapide ; entre les cris de plaisirs de ma femme, on peut entendre un « floc floc » qui en dit long sur l’état de son vagin, soudain il retire brutalement sa main et j’ai la surprise de voir un geyser sortir du sexe de mon épouse en même temps que ses reins sont animées d’un mouvement saccadé et que son sexe vient au-devant de la caresse ; j’ai épousé une femme fontaine et je l’ignorais…

Après cette éjaculation féminine qui l’avait pris par surprise, il recommence mais cette fois avec les cinq doigts réunis et je suis stupéfait de voir que petit à petit toute la main pénètre dans le sexe dilaté, on ne voit plus que le bras qui s’agite alors que le poing lui pilonne le vagin lui arrachant des râles de bonheur.

Ça commence à se bousculer autour du matelas, les deux autres ne veulent pas être en reste, ils bandent tous comme des taureaux

L’un d’eux, un noir baraqué (de partout) prend l’initiative, il soulève ma femme, se glisse dessous et d’un seul coup, il lui fourre dans le cul son bâton de 30 centimètres, un autre se précipite pour lui enfoncer le sexe dans la vulve, les autres lui pétrissent les seins ou s’introduisent dans la bouche, ma femme est baisée de partout et ça n’a pas l’air de lui déplaire, au contraire avec les mains elle branle ceux qui passent à sa portée.

Ils se relaient, dès que l’un abandonne un orifice, un autre prend sa place, je vois ses seins tressauter au fil des coups de boutoir de tous ces mâles assoiffés de sexe et ivres de désirs avec au milieu de ce groupe une chienne en chaleur qui s’offre impudiquement.

Soudain je vois son corps se relâcher, ses yeux se fermer, aussi incroyable que cela puisse paraître, elle s’est endormie en pleine action.

Celui qui est dans sa bouche, ne la sentant plus sucer lui donna en vain des gifles pour la réveiller, dans un sommeil profond du à la fatigue et à l’alcool, son corps ne réagit plus.
Ne trouvant plus de plaisir, il abandonne sa bouche alors que les autres continuent à pilonner le corps inerte de mon épouse.

Ils éjaculent sur ses seins, sur son corps, sur sa figure et décident que la « fête » est finie ; ils se rhabillent laissant sur place sur le vieux matelas, le corps luisant de ma femme endormie au milieu d’une quantité de bouteilles vides.

– Hé ! regardez ce qu’on vous ramène !

Les deux motards qui étaient partis à la poursuite de Shannon revenaient victorieux en traînant ma fille essoufflée qui n’arrivait presque plus à résister ; sa robe était déchirée, elle avait la figure, les bras, les jambes balafrés par les ronces.

– Elle est à vous, nous on a bien joué avec la mère, malheureusement nous n’avons plus de whisky, la vieille a tout bu et maintenant elle cuve dit le chef en désignant mon épouse ronflant sur le matelas.

Les deux motards ne se le font pas dire deux fois, d’un seul geste, ils délestent Shannon de sa robe légère, elle apparaît en petite culotte, elle n’a pas de soutien-gorge.

Comme elle se débat, le plus grand la prend sous les aisselles et la soulève de terre,
pendant ce temps, l’autre essaie d’éviter les coups de pied pour lui retirer sa culotte, elle continue à lutter farouchement l’atteignant à la figure. Il arrive cependant à se glisser sous les pieds et à choper l’élastique, la culotte ne résiste pas et il la retire faisant d’un air vainqueur des moulinets avec.

Ma fille est maintenant nue, cela faisait 28 ans que je ne l’avais pas vue ainsi, son sexe est épilé, contrairement à mon épouse dont le sexe au repos est complètement fermé, le sien est ouvert, les petites lèvres bien apparentes sous les grandes lèvres crénelées.

– Regardez ! elle s’est rasée le minou, elle a un sexe de pute !

Ils la déposent sur le sol, elle gigote toujours empêchant le petit de s’approcher alors que l’autre la tient toujours sous les aisselles.

– C’est un vrai ver cette fille, j’aime bien quand ça remue !

Elle continue à donner des coups de pieds en faisant attention de garder les jambes serrées, changeant de tactique le petit lui balance un coup de poing à l’estomac. Sous la douleur elle perd sa garde, Ils réussissent enfin à immobiliser Shannon les jambes écartées

Celui qui la tient aux jambes enlève ses gants et lui met les doigts dans le vagin, Shannon rugit mais ne peut rien faire.

– Elle est aussi sèche qu’une vieille fille, il va falloir la travailler !

En disant ces mots, il crache sur ses doigts et commence à lui masser le clitoris, complètement immobilisée, ne pouvant bouger que la tête, Shannon se laisse faire, elle serre les dents mais ne peut empêcher son corps de répondre mécaniquement à la caresse.

– Ça y est, la salope commence à lubrifier, on va te faire reluire ma belle après tout le mal que tu nous as donné !

Il sort son sexe et entre d’un seul coup dans le vagin, Shannon émet un cri de rage et de désespoir, comme elle ne se défend plus, le grand lâche les bras pour participer à la curée

Il la serre à la gorge, lui pince le nez afin de la forcer à ouvrir la bouche pour l’engloutir.
Elle devient toute rouge, serre toujours les dents, mais soudain comme elle manque de respiration, elle ouvre grande la bouche dans laquelle il s’engouffre tout en bloquant les mâchoires pour qu’elles ne se referment pas sur son sexe. Ma fille qui cherchait à prendre sa respiration est maintenant étouffée.

A chaque coup de boutoir dans son vagin, la tête de ma fille bouge ce qui fait le bonheur de celui qui lui fait faire une fellation involontaire, Il prend très vite le même rythme et éjacule dans sa bouche, ce qui la force à avaler.

Ils la retournent de nouveau et pendant que l’un s’engouffre dans le vagin lubrifié, l’autre force le passage dans l’anus ; elle hurle de douleur quand il se met à la pilonner. Il a un grognement de bête quand il décharge dans le cul de ma fille, il se retire et continue à répandre son sperme sur ses reins.

Libérée du poids qu’elle avait sur son dos, elle se dégage d’un coup de rein de celui qui la baise par-dessous et lui écrase le nez d’un coup de poing.
Puis elle s’enfuit en courant vite rattrapée par les autres qui regardaient.

Il se redresse en se tenant le nez tout sanguinolent, je crois bien qu’elle lui a cassé !

– Salope, tu vas payer, tenez là !

Pendant qu’elle est immobilisée par le reste de la bande, il lui balance un coup de poing sur la mâchoire et un autre dans l’estomac, Shannon est pliée en deux.

Il part chercher une corde dans les sacoches de sa machine, lui attache les jambes et la traîne jusqu’aux arbres où il la suspend la tête en bas, il défait sa ceinture et la frappe sur tout le corps. Je vois le corps magnifique de ma fille se strier de rayures rouges sur les fesses, les seins, il profite de ce qu’elle est écartelée pour la frapper sur le sexe béant.

Quand elle perd conscience, les autres l’arrêtent, ils la descendent au sol.

– Allez on fiche le camp !

En partant l’un d’eux me dit :

– Ben dis donc elle n’est pas périmée ta taupe, une sacrée salope cette femme, veinard !

Une heure plus tard, Annabelle se réveille, elle parait étonnée de se trouver là, dans une clairière, complètement nue, pleine de sperme sur un vieux matelas, ensuite elle nous aperçoit Jacques et moi toujours attachés et bâillonnés, elle se dirige vers nous d’un pas mal assuré et entreprend de nous détacher. Elle délivre aussi Shannon toujours inconsciente qui geint sur l’herbe.

Pas un mot sur ce qui s’était passé.
Nous sommes retournés à la voiture, elle s’est rhabillée avec les vêtements de rechange qu’elle avait au départ pour ne pas chiffonner son ensemble de mariage, elle n’a pas voulu porter plainte…
Quelques jours après, nous avons reçu des photos et l’adresse d’un site spécialisé dans les filmsX ; on y voit pratiquement toutes les scènes, sauf celles qui pourraient faire penser que ces actes sexuels n’étaient pas volontairement consentis. On la voit se donnant avec ardeur et hurler de plaisir dans ce qui semble être un gangbang librement consenti.

Shannon s’est rapidement remise, elle non plus n’a pas voulu porter plainte.
Nous n’avons plus pris notre petit fils avec nous.

De temps en temps, comme j’ai pu constater que l’alcool annihilait toutes ses inhibitions, j’achète à mon épouse une bouteille de vodka parce que le whisky, elle n’en veut plus…

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Fin de la première partie
vous retrouverez bientôt Annabelle et Shannon
pour une seconde partie toute aussi chaude

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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