Punition
Chapitre I
Le 2 mars 2015, Tim rentra du travail plus tôt que prévu, content d’avoir l’après-midi de libre avec sa femme. Le soleil tapait sur le pare-brise et caressait son visage laissant imaginer le retour précoce du printemps.
En arrivant devant la maison, il fit son demi-tour et aperçut ainsi une voiture de la poste garée sur l’autre flanc de la maison. Il se gara et alla voir devant la fenêtre de sa chambre espérant, sans trop d’illusions, voir sa femme nue sur son lit, l’attendant les jambes écartée avec son petit air de chienne en chaleur. Sa femme était bien la… nue… les jambes écartées… un type la pilonnant sans retenue, et elle criant de plaisir. Tim se sentit profondément mal, trahis, perturbé. Ne sachant que faire sur le coup, il décida de ne pas entrer. Il pris quelques photos pour être sûr de ne pas avoir fait un cauchemar éveillé une fois qu’il serait redescendu; il ressortit dans la rue, repris sa voiture et alla se garer à une centaine de mètres avec vue sur la voiture qui n’avait rien à faire la; il la prit en photo également. Il était censé rentrer à 15:00, il était 12:30. Il fuma clopes sur clopes, regarda à nouveau les photos qu’il avait prises, se surpris à bander, s’en voulu pour ça. Il attendit encore 1 heure et demi avant que le type reparte, c’était bien celui qui était dans son lit. Il attendit finalement 15:00 avant de rentrer chez lui, sans trop savoir ce qu’il allait faire de tout ça.
– Salut chérie! Je suis rentré!
– Salut mon amour! Elle l’embrassa tendrement comme tous les jours, il se laissa faire; elle sortait de la douche et sentait le dentifrice.
– Comment s’est passée ta journée? demanda-t-il.
– Très bien, je me suis détendue dans un grand bain en pensant à ta queue que j’ai très envie de sucer et de faire rentrer dans tous mes orifices.
– hum hum. Elle lui baissa le pantalon et commença à le sucer, Tim bandait comme un taureau bien que le moral ne soit pas au plus haut. Il la baisa comme une salope qu’elle était maintenant dans son esprit.
– Alors, t’as été une gentille fille?
– Je ne me rappelle pas… dit-elle de façon coquine.
– T’as eu des mauvaises pensées? Insista-t-il.
– Oh oui plein!
– Et tu te sens salle?
– Oh oui beaucoup! répondit-elle avec un grand sourire.
– Et t’as été vilaine?
– Oh oui, j’ai été une vraie salope en ton absence!
Putain! Pétasse! pensa-t-il.
– Alors je vais te punir! Lâcha-t-il.
– Oh oui punit moi! Défonce-moi!
Il la défonça et la défonça et la défonça et s’arrêtait à chaque fois qu’il ou elle était sur le point de jouir. Au bout d’un moment, il la laissa exploser et l’arrosa dans la foulée.
Elle lui fit un sourire, il l’embrassa, un voisin passa pour l’apéro, la discussion était reportée.
Le 3 mars, Tim alla trouver son patron et s’arrangea avec lui pour finir plus tôt toute la semaine prétextant un problème personnel bidon. Il sortit à midi, tendu; il ne savait pas trop comment il devait agir suite à ce qu’il avait vu la veille, et il appréhendait son retour anticipé à la maison; il regrettait presque d’avoir négocié ses après-midi mais en même temps si sa femme était une salope, il devait le savoir. Oui, vu de l’extérieur on se dirait que c’est une salope et que l’on ne peut éventuellement uniquement déterminer maintenant si sa femme est une salope ou une putain de grosse salope; mais Tim n’en était pas là, il était perdu et trop confus pour analyser la situation intelligemment. Il fonça chez lui et passa doucement devant sa maison, pas de voiture, juste un vélo laissé sans doute par un promeneur ; il essaya de se détendre en inspirant à fond et en soufflant doucement au maximum de sa capacité pulmonaire, trois fois.
En arrivant à proximité de la fenêtre de sa chambre il entendit des cris de sa femme, il s’avança discrètement et il la vit à quatre pattes sur le lit en train de se faire att****r par derrière par un gros black debout qui avait l’air de peiner mais qui donnait tout ce qu’il avait. La colère monta, Tim devint tout rouge, il se vit débouler la dedans et péter les dents au renoi, il respira à nouveau, se calma, pris un peu de recul et partit se planquer dans le jardin pour observer la scène, elle était insoutenable! Sa femme se faisait baiser comme une pute, le type l’attrapait sans respect, c’était qu’une salope pour lui, que pouvait-elle bien aimer la dedans; avec un mec encore différend aujourd’hui? Tim resta planqué et regarda sa femme se faire défoncer pendant encore une demi-heure avant de se faire gicler dans la bouche et de tout avaler. Il n’était même pas sûr que sa femme ait un jour avalée son sperme. Le black repartit avec le sourire, il ne remarqua pas le mari cocu dans le jardin. Justine ne se rhabilla pas, elle s’assit au bord du lit regardant par la fenêtre mais en direction du portail, elle ne remarqua pas son mari non plus. Tim pris son courage à deux main et se dirigea vers la porte quand il vit trois jeunes lycéens passer le portail; il se re-planqua. Ils rentrèrent comme si ils étaient chez eux et embrassèrent Justine comme si c’était la femme à tout le monde. Elle les suça comme une salope d’ abord les uns après les autres puis deux en même temps dans la bouche pendant que l’autre lui bouffait la chatte et le cul, il ne devait pas savoir que 5 minutes auparavant, une grosse queue de black se trouvait au même endroit. Ils la prirent ensuite à trois en même temps, Justine gémissait et se tapait orgasmes sur orgasmes, les jeunes adoraient ça et la pilonnaient le plus violemment qu’ils pouvaient, ils la pilonnèrent comme ça pendant environ une heure, changeant de trou périodiquement, avant que chacun décharge dans le trou qu’il s’était attribué pour le final. Tim vit que Justine les remerciaient, ça l’énerva; il voyait son cul et sa chatte dégouliner de sperme, les bâtards ne s’étaient même pas protégés. Les jeunes repartirent et Justine partit à la douche; Tim ressortit de la propriété et retourna à côté de sa voiture côté chemin de terre pour attendre l’heure où il devait rentrer; il restait une demi-heure. Deux types chargés de l’entretient du village passèrent par la en regardant sa maison.
-Merde, c’est rouge, il doit-être trop tard!
-Ba ouai, presque 15:00, elle ferme tôt, la salope! On passera à l’heure du déjeuner demain comme ça on aura tout le temps de s’amuser.
-Ouai, demain on se fera pas baiser! ah ah ah
-Bonjour Messieurs, excusez-moi mais la dame m’avais dit de passer quand je voulais mais je ne sais pas trop comment elle fonctionne, improvisa-t-il.
-Ha, tu la connais aussi; cette nana c’est une dingue du cul, une vraie chienne, j’ai connu des salopes mais aucune comme elle. Il faut savoir qu’elle est mariée, ce qui fait qu’elle a élaboré un code pour ne pas se faire pincer. Tu vois par la fenêtre de sa cuisine, on voit le congélateur, dessus est accroché un post-it rouge, ça veut dire que c’est mort, soit son mari est là, soit il va pas tarder. Quand elle met un post-it vert, c’est qu’elle est dispo pour se faire troncher et quand elle met un post-it jaune, ça signifie qu’elle n’est pas seule mais qu’on peut se joindre à la fête, faut pas espérer un tête à tête quoi, tu piges?
-Ha ouai, c’est très ingénieux comme code. dit Tim en essayant de cacher son désarroi. Et il y a souvent du monde?
-Oh la la, on voit que tu la connais pas bien, Ah ah; c’est un vrai moulin ici, c’est une putain de nympho, une pute gratuite, alors personne ne se prive. Je dirais que les petits jours, elle doit au moins se prendre 4 ou 5 queues; le pire c’est que son mari travaille certains week-end et alors là, c’est l’orgie totale, je suis déjà venu un samedi que ma femme faisait une sortie avec ses copines, il y avait 15 mecs à poil la dedans en train de se branler en attendant leurs tours et en la regardant se faire prendre par tous les trous, c’était phénoménal, on voit qu’elle aime vraiment ça! Elle arrête pas de jouir, c’est génial, c’est trop excitant.
-T’aimerais que ce soit ta femme, peut-être? demanda Tim avec un sourire forcé.
-Ah ah ah, non! Mais je suis content qu’elle habite ici, ça a changé ma vie, je suis content d’aller au travail, je sais qu’au moins deux fois par semaine, on a le temps de s’arrêter là et qu’on est toujours bien accueillis.
-Et elle ne prend pas d’argent?
-Non, mais on lui laisse souvent un billet quand même, elle est contente, elle se sent valorisée. Elle ne fais ça que pour son plaisir personnel, si un type est la et que son mari ne va pas tarder, elle le fout dehors sans qu’il est pris son pied, c’est pas un problème, surtout qu’elle se laisse une bonne marge pour faire du ménage et se laver avant le retour de son mari; si c’est pas du respect ça, Ah ah.
-Elle ne doit pas l’aimer, c’est pas possible!
-Ah ça, on n’en sait trop rien, elle ne parle pas beaucoup, elle a toujours la bouche pleine, Ah Ah ah. Peut-être qu’elle le garde juste pour sa situation ou son incrédulité ou peut-être qu’elle l’aime mais qu’il assure pas au pieux, mais c’est sûre que dans ce cas la, elle n’aurait pas besoin d’autant d’amants… C’est sûrement juste une folle du cul qui apprécie malgré tout de se retrouver le soir dans une situation classique avec le mari devant la télé, ça peut se comprendre, c’est pas parce qu’on est complètement dépravé qu’on veut se retrouver seul au monde. J’y ai d’ailleurs un peu réfléchit et je me dis que si elle était seule, elle ne vivrait pas comme ça justement.
-Merci pour les infos, j’irais une autre fois! déclara Tim.
-Pas de problème, on se reverra sans doute, Ah ah.
Tim retourna dans sa voiture et attendit que les deux salopards s’en aillent. Les infos étaient difficiles à encaisser. La semaine précédente encore, il se sentait chanceux, sa femme lui saute dessus tous les jours soit en rentrant du boulot, soit le soir, soit les deux, impossible dans ces circonstances d’imaginer une telle double vie! Des flashes back parcoururent Tim violemment; parfois le gout de sa chatte ou de son cul était différent, même celui de sa langue mais il avait toujours attribué ça à un repas, une boisson… puis la confiance était là, se poser des questions ne faisait pas parti de son quotidien. Et cette queue qui ne débande plus alors que la haut, ça ne va pas du tout, c’est incompréhensible. Tim était décidé à lui faire bien payer; au prix fort, merde! Mais il ne savait pas encore comment; et ensuite la quitter peut-être, mais il l’aimait tellement qu’il était encore difficile de l’envisager.
Quand il rentra chez lui, sa femme était toute belle, toute propre et lui sauta dessus immédiatement en lui disant qu’elle avait attendu ça toute la journée, Tim ne se retint pas et jouit quasiment instantanément; le soir, elle retenta mais il lui dit qu’il était trop fatigué.
-T’as quelqu’un d’autre c’est ça?
-Non. Il ne s’attendait tellement pas à cette question qu’il ne sut pas argumenter, lui qui n’était pas le fautif dans cette histoire.
-Tu ne m’as même pas fait jouir tout à l’heure et maintenant faut que j’attende demain?
-Pour une journée, ça devrait aller quand même. Tu ne t’es pas occupée de toi toute seule aujourd’hui?
-Non, je ne me touche jamais, tu le sais bien!
-Bah tu devrais peut-être de temps en temps!
Chacun s’endormit un peu énervé.
Vers 2 heure du mat, Tim se réveilla, elle était en train de le sucer; il ne se prit pas la tête, il en profita et jouit dès que ça vint. Justine ne dit rien et se rendormit, comme si elle avait apprécié.
La concentration au travail était difficile en cette fin de semaine, Tim n’arrivait à penser qu’a sa femme, il la voyait en train de se faire baiser non-stop, à la chaine, ce qui rationnellement n’était sans doute pas très éloigné de la réalité. Il l’avait espionné le mercredi et le jeudi après-midi et le jeudi avait été un vrai festival, la salope avait accueilli cinq grands black sur-membrés en même temps, elle les avait tous sucés puis en avait gardée deux près de sa bouche alternant entre l’une et l’autre; pendant qu’un gars en dessous d’elle lui empalait la chatte, qu’un derrière lui défonçait le cul sans retenu et que le dernier se branlait en lui pelotant les seins et en attendant son tour. Les cinq mecs tournèrent à tous les postes pendant plus de deux heures, minimum, l’action étant déjà commencée quand Tim arriva pour mater du jardin. La scène était vraiment époustouflante, mieux que les meilleurs films de culs sauf que c’était la réalité et que l’actrice était sa salope de femme. La bite du type qui avait la plus grosse et longue était trop énorme, dans la vrai vie, ce type aurait du mal à trouver une femme rien qu’à cause de ça et la il l’enfonçait en entier dans sa bouche, Justine l’enlevait pour reprendre son souffle puis la ravalait jusqu’au fond de sa gorge, elle avait l’air de vraiment aimer ça et d’en être fier même. Le même gars lui pilonna la chatte puis le cul à fond aussi, la pute gueulait de plaisir et en demandait encore plus, ce qui excitait le renoi qui la prenait toujours plus violemment et sauvagement; à un moment, ils rentrèrent à deux dans sa chatte, à un autre, à deux dans son cul; tout du long, elle criait de plaisir et parlait comme une grosse cochonne pour les inciter à donner toujours plus; à la fin ils giclèrent tous à tour de rôle dans son cul et la laissèrent la allongée sur le lit comme morte; morte de plaisir et exténuée. Tim bandait encore comme un taureau, il se branla, surexcité et dans l’espoir d’arriver à ne pas baiser sa femme après ça, la regardant dégoulinant de mouille de sa chatte et une quantité de foutre coulant de son cul; échec total, il jouit dans l’herbe et baisa sa femme deux fois encore ensuite; il n’était pas fier de lui mais c’était les vacances pour deux semaines et maintenant il avait un plan de punition.
Tim laissa passer le week-end de façon normale; son plan prendrait effet le lundi. Le week-end se passa bien; Justine sauta sur sa queue une demi-douzaine de fois entre le samedi et le dimanche, Tim n’arrivait pas à s’enlever l’idée que sa bite ou une autre, ça n’avait pas d’importance pour sa femme mais il essaya de ne pas trop y penser et de profiter au maximum de ce que sa pétasse lui offrait comme il avait toujours fait les années précédentes. Le malaise était surtout dû au fait qu’avant, il pensait que c’était lui qui la rendait folle, chaude, que son comportement putassier lui était réservé parce qu’il la rendait dingue, qu’il la faisait mouiller rien qu’en la regardant. Et maintenant il voyait une nymphomane folle du cul, incapable de se retenir, une pute dévergondée insatiable malgré les kilomètres de queues englouties dans tous ses orifices semaines après semaines.
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