Je m’appelle Rémy, 19 ans, et je poursuis mes études d’architecte, j’habite chez mes parents qui sont tous deux dans l’administration.
Je suis en vacances scolaire et le temps est radieux.
Mardi soir, mes parents et moi sommes occupés de dîner quand le téléphone sonne, maman se lève pour décrocher, et reviens quelques minutes plus tard et s’adresse à papa.
« Chéri, ton papa a eu un infarctus mais ne t’inquiète pas tout va bien, il est hospitalisé »
« Ca va être difficile d’aller le voir, avec notre boulot, Rémy tu pourrais aller chez ta grand’mère quelques jours pour l’aider »
«Aucun problème, je pars demain matin »
Ma grand’mère vit avec son mari et sa belle-sœur, grand’mère a 74 ans et sa belle-sœur est un peu plus âgée.
Le lendemain, après environ 4 heures de route, j’arrive enfin chez grand’mère, je suis accueilli par Laure, la belle-sœur.
« Rémy, que je suis contente de te voir, tu es devenu un homme, tu as vraiment changé »
« Ben oui, j’ai changé, grand’mère n’est pas là ? »
« Non, elle est à l’hôpital, elle rentre vers 17 heures »
« Je vais aller ramasser les œufs, si tu veux m’accompagner ? »
« Je te suis Laure »
Elle est vêtue d’un ancien tablier noir en satin et des pantoufles en caoutchouc, nous arrivons dans le poulailler et Laure s’abaisse pour enlever les œufs, le tablier remonte jusque ses cuisses, je m’abaisse pour jeter un coup d’œil sous le tablier, elle ne porte pas de culotte et je vois les poils de sa moule légèrement ouverte, je me redresse comme si je n’avais rien vu.
Après avoir ramassé les œufs, nous nous asseyons sous un arbre et nous discutons de choses et d’autres.
Vers 17 heures, voila enfin grand’mère.
« Alors grand’mère, de bonnes nouvelles ? »
« Oui, ton grand-père doit prendre du repos, Rémy, comme tu as changé, tu es un homme maintenant »
Nous prenons un verre et bavardons jusque l’heure du dîner, un moment agréable que nous passons à raconter des souvenirs, il commence à se faire tard.
« Grand’mère, où vais-je dormir ? »
« Tu vas dormir avec Laure, elle a un lit de deux personnes, moi aussi, mais c’est la place de grand-père »
« Ok, je vais me doucher et ensuite au lit, bonsoir à vous deux »
Après la douche, je passe un short et je me couche, environ 30 minutes plus tard Laure entre dans la chambre et se couche de l’autre côté du lit.
« Laure, je n’arrive pas à dormir »
« Je vais te donner un somnifère, dans 15 minutes tu vas dormir comme un loir »
Elle allume sa lampe de chevet, se lève et prend un comprimé qu’elle me donne.
J’ai horreur des somnifères, je fais semblant de l’avaler, je m’installe sur le dos et jette le comprimé sous le lit.
Je vois l’heure au réveil, ça fait plus d’une heure que je suis allongé sur le dos, Laure se retourne, sa main se pose sur ma cuisse, je ne bouge pas, doucement, sa main remonte dans la jambe de mon short, elle pense que je dors, elle arrive aux couilles et murmure.
« Il doit avoir une belle bite »
Mon short est un peu trop serré, Laure enlève sa main, défait le cordon et baisse la tirette, je bouge un peu et j’écarte mes jambes, ma bite est sortie, elle saisi ma queue et me masturbe lentement, je bande dur, un doigt tourne sur le méat, je vois son corps dans la pénombre, avec son autre main elle se caresse les seins, elle accélère les mouvements sur ma bite, je vais éjaculer, d’un coup elle se baisse et englouti ma bite dans sa bouche, je serre les poings pour ne pas éjaculer mais ses mouvements vont de plus en plus vite, je lâche plusieurs jets de foutre qu’elle avale sans rechigner, mon éjaculation terminée, elle nettoie ma queue avec sa langue, Laure se redresse et murmure.
« J’adore ton foutre et j’aimerais prendre ta bite au fond de ma cramouille »
Elle remet mon short en place et se recouche.
Le lendemain, je me réveille avec une migraine, je me lève et récupère le comprimé que je jette dans les toilettes, grand’mère et Laure ont déjà pris le petit déjeuner.
« Bonjour grand’mère »
« Bonjour Rémy, appelle-moi Flore, grand’mère, ça me vieilli »
« Ok Flore, Laure n’est pas là ? »
« Elle est allée au marché pour les courses, elle revient vers midi »
« Je m’installe dehors, j’ai une migraine terrible »
Installé dans un fauteuil depuis un moment, un homme entre dans la cour et se dirige vers moi.
« Bonjour monsieur »
« Je m’appelle Louis et toi tu es Rémy, le petit-fils de Flore, je suis content de te connaître, Flore est à la maison ? »
« Oui, je pense qu’elle fait le ménage à l’étage »
Un bon moment plus tard n’entendant pas le moindre bruit, j’entre dans la maison et au pied de l’escalier j’entend, salope, tu aimes ma bite, je gravis l’escalier en silence et me dirige vers les bruits, c’est la chambre de grand’mère, la porte n’est pas fermée, je pousse la porte et dans le reflet du miroir de la garde-robe, je vois grand’mère à quatre pattes et Louis qui la baise par derrière. Je pousse légèrement la porte pour voir toute la scène.
« Alors Flore ! Tu adores mes 20 centimètres dans ta chatte »
« Va-y Louis, pistonne ma cramouille à fond, j’astique mon clito »
Louis enlève sa queue, saisi les fesses de Flore, son vagin reste ouvert.
« Flore, écarte tes fesses, je vais d’enculer »
Grand’mère pose ses mains sur son fessier et écarte, je vois sa rosette brune.
« Reste bien écartée, avant de t’enculer je vais ausculter ta moule »
« Oh oui, enfonce ta main entière comme l’autre fois »
Louis enfonce quatre doigts très facilement dons le vagin de Flore, il force un peu, sa main est enfoncée jusqu’au poignet.
« Va-y, branle ma chatte, oui, c’est bon, ferme ton poing.
Louis y va de bon cœur, il enlève sa main droite qu’il remplace de suite par la gauche, sa main est luisante de cyprine, d’un coup il rentre deux doigts dans le cul de Flore.
« Taraude mon cul Louis, bien au fond »
« Garde ton cul bien ouvert, tu vas recevoir mes vingt centimètre dans ton troufignon »
Louis saisi Flore par les hanches, pose son gland sur la rosette et d’un coup enfonce sa bite, Flore agite sa tête de gauche à droite.
« Chauffe mon cul, pistonne mon trou de balle »
« Je vais jouir Flore, tient ton cul ouvert, je vais te remplir ton cul avec mon foutre »
Il retire sa bite, le cul reste ouvert, il envoie plusieurs jets de sperme.
« Voila, ton cul est lubrifié pour deux jours »
Flore tourne la tête vers Louis et m’aperçois dans l’ouverture de la porte, je détale à toute vitesse et vais dans le jardin, quelques minutes plus tard Louis quitte la maison suivi de Flore, elle se dirige vers moi.
« Rémy, as-tu vu ce qui s’est passé dans ma chambre ? »
« Oui grand’mère, j’ai tout vu »
« Tu dois me faire la promesse de ne rien dire à personne, si tu me fais cette promesse tu pourras faire de moi ce que tu voudras »
« Ok grand’mère, nous allons commencer de suite »
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