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Maman offerte et soumise 3

Maman offerte et soumise 3



Troisième volet de mon histoire au sujet ma mère. Il existe un certain nombre de famille où les enfants sont les rois. Mais il y a peu de familles où les choses étaient allées aussi loin que chez nous : notre mère nous était entièrement soumise. Léo l’avait contrainte à être à notre service : repas, lavage, ménage, mais aussi et surtout des choses qui allaient bien au delà du rôle d’une mère. Elle avait ainsi l’ordre d’être pleinement à notre service sexuel : caresses, fellations, etc … nous n’avions dorénavant plus de limites dans nos exigences…

Ce soir là, Léo m’avait promis de l’animation. Je rentrais donc impatiemment après mes cours. Avec surprise je constatais qu’il y avait du monde à la maison, au moins une dizaine de copains de Léo. Ils étaient tous là, en train de boire, manger. Léo faisait souvent ça, il aimait recevoir ses copains, faire des fêtes à la maison.

Mais ce jour là, il leur avait promis quelque chose de mieux encore…

– Ah, tu es là, Kevin ! s’exclama Léo en me voyant. C’est cool ! Tu vas voir, on va bien s’amuser ! Maman, viens par là !

Ma mère arriva, un plateau à la main avec des rafraîchissements. Visiblement c’était elle qui faisait le service. Faire office de servante pour ces jeunes hommes, ces copains de Léo, dont certains qu’elle connaissait depuis plus de 20 ans, n’était pas très digne pour une maman de son age. Mais le plus étonnant, c’était sa tenue : elle était entièrement nue.

Ma mère avait un gros cul superbe, des beaux seins magnifiques. Léo avait jugé que ça serait une très bonne idée d’offrir tout ça à l’admiration de ses invités.

Ma mère regrettait d’avoir accepté, d’être si faible. Elle avait honte de cette soumission. Elle, la bourgeoise  » bien comme il faut » était tombée bien bas. En attendant, une fois de plus elle allait se plier aux demandes les plus perverses de son fils.

Car Léo lui avait demandé cette fois d’aller plus loin, être entièrement à la disposition de ses copains, ne rien leur refuser, ni caresses, ni relations plus « poussées »…

– Léo ! s’inquiéta ma mère, ils sont trop nombreux ! S’il te plait, c’est pas possible !

– Bien sûr que si maman ! Je ne peux pas annuler, maintenant, c’est trop tard ! Ca se passera bien, tu verras. Tu les connais tous, ce sont tous de très bons copains.

Bien sûr, malgré les paroles rassurantes de Léo, ma mère restait extrêmement inquiète.

En effet elle connaissait presque tous les copains de Léo. C’était justement ça le problème… L’idée de devoir accepter des attouchements sexuels de leur part lui était très difficile. Sa réputation allait sans doute être bien entamée…

Et puis sous l’effet de l’excitation, qui sait de quoi ils seraient capables ? Ils allaient certainement en profiter !

Elle avait raison. Elle n’eu en effet pas longtemps à attendre pour voir ses prédictions se réaliser. Sous l’effet de l’alcool, les esprit s’échauffaient. Plusieurs copains de Léo osèrent porter leur main à son cul lorsqu’elle passait devant eux avec son plateau. Puis l’un d’eux fut plus entreprenant. Il la fit basculer dans le sofa où il était assis.

– Léo, tu sais qu’elle est vraiment excitante ta mère ? Elle me fait bander depuis des années !

– C’est vrai ? Alors amuse toi mon pote !

Le gars ne se fit pas prier. Devant tout le monde, il commença à caresser ma mère partout, ses jambes, ses seins, puis descendit vers sa chatte, entourant avec délectation les doigts dans les longs poils doux de son sexe. Puis il se mis a la doigter. Ma mère, passive, laissa les doigts impatients du jeune homme explorer son vagin.

En peu de temps,elle se retrouva entièrement livrée à l’appétit de ces jeunes mâles affamés.

Plusieurs autres gars s’étaient rapprochés, se pressant les uns contre les autres pour essayer de toucher une partie de son corps, ses seins, sa chatte, son cul. Ma mère avait des mains partout, était un peu débordée. Un des mecs (d’ailleurs un de ceux qu’elle connaissait depuis que lui et Léo étaient enfants) avait même sorti sa queue et essayait de la mettre dans sa bouche.

Léo dut intervenir.

– Ho, les copains ! Tout doux ! Il y en aura pour tout le monde. Allez, on va s’organiser : si vous voulez qu’elle vous suce, mettez vous en rang et sortez votre queue.

Obéissants, tous les garçons se mirent les uns à coté des autres et sortirent leur queue. C’était surréaliste, tous ces jeunes mecs la queue à l’air. Docilement, ma mère se positionna devant le premier qui bandait déjà bien, et le suça avec application. Puis elle passa au deuxième, et ainsi de suite. Lorsqu’elle avait bien sucé une queue, elle passait à la suivante…

Le pire pour ma mère était que quelque part, même si elle mourrait de honte, elle aimait bien ça, avoir toutes ces queues dans sa bouche, toutes différentes, en taille, en texture, en goût.

« Je suis une salope » se lamentait elle intérieurement.

Tout d’un coup elle arriva sur une belle queue qui lui rappela quelque chose de familier, et pour cause : c’était la mienne.

Avec Léo, il n’y avait pas de raison qu’on se prive.

Après toutes ces queues étrangères, ma mère ressenti comme un soulagement d’arriver sur celles de ses deux fils. Elle s’aperçut qu’elle aimait nos deux queues, ce qui ne fit qu’augmenter sa honte. Elle nous suça plus longtemps que les autres, avec un plaisir et une délectation coupable.

Léo me glissa à l’oreille :

– Elle adore ça ! Elle est chaude bouillante. On va pouvoir passer aux choses sérieuses ! Viens, je vais te montrer quelque chose.

Il m’ entraîna, dans la pièce à coté. Là, au milieu de la pièce, il y avait un fauteuil en cuir avec deux étriers : un fauteuil d’examen gynécologique.

– C’est quoi ça, Léo ? Tu as eu ça où ?

– Par internet. Pas mal, non ?

Léo baissa le fauteuil à son maximum, l’inclina en position couchée, puis appela notre mère. Elle avait bien sûr déjà vu l’engin et se doutait à quelle utilisation Léo le réservait. Léo l’obligea à s’y asseoir, toujours nue, écarter les jambes et les poser dans les étriers. La position était magnifique, offrant une vue de rêve sur son sexe (c’était bien le but du fauteuil).

– Le mieux serait qu’on t’attache les chevilles aux étriers avec les sangles. Tu es d’accord, maman ?

Il y avait en effet deux sangles qui devaient empêcher complètement la « patiente » de bouger.

– Oui, allez y… répondit elle en évitant de nous regarder.

Avec Léo on s’étonnait toujours que ma mère accepte ce genre de traitement. Mais on savait quelle aimait cette sensation d’être attachée, livrée à nos fantasmes.

– C’est pas mal, hein ? Tu vas être bien, comme ça, maman !

A la perspective de ce qui allait arriver, ma mère eu à nouveau très peur. Allait elle pouvoir tenir ? Elle eu l’idée de tout arrêter, mais c’était trop tard. Tous les mecs étaient excités comme des fous à l’idée de se taper la maman bourgeoise. Déjà ils se pressaient dans la pièce, la bite à l’air, prêts à l’enfiler.

– Attendez les gars, avec mon frangin on passe avant ! C’est notre mère, quand même !

Léo se présenta entre les jambes de maman. Il la regardait allongée dans le fauteuil d’examen, jambes ouvertes, sexe exposé. Sa vulve était magnifique, faite pour recevoir des queues. Léo allait être le premier de la soirée à y enfoncer la sienne.

Mais avant ça il introduit deux doigts dans son vagin. Il les ressortit trempés, me regardant avec un sourire satisfait : ma mère mouillait. Cette situation d’extrême soumission l’excitait.

Léo la pénétra avec délice. Puis il la baisa énergiquement. Je regardais la longue et belle queue de mon frère entrer, sortir, disparaître entièrement dans le vagin de maman. C’était impressionnant. J’avais toujours été étonné de cette capacité des vagins féminins à recevoir de tels engins…Quelques minutes après Léo éclata dans un cri de jouissance.

– Putain, c’est bon !!! Allez Kevin à toi !

Trop excité pour me retenir plus longtemps, je me positionnais devant ma mère et la baisais à mon tour comme une vraie salope. C’était délicieux, incroyablement intense. Ma mère gardait les yeux fermés, mais ne pouvait s’empêcher de laisser échapper quelques gémissements. Était ce de plaisir ?

Je supposais que oui : un liquide très blanc suintait de sa chatte : sa cyprine. Du coup je me sentais doublement excité. Je la baisais avec un énorme plaisir. Tellement bien que moi aussi je ne tardais pas à jouir à l’intérieur d’elle.

Les autres copains se succédèrent derrière nous. Tous ils trempèrent leur queue dans la chatte offerte, sans aucune hésitation. Et que plusieurs mecs soient passés avant eux, que ma mère soit dégoulinante de sperme, ne les gênait visiblement pas tellement ils avaient envie.

Certains revinrent même la baiser une deuxième fois. Ils remettaient leur queue avec le même désir, la bourraient de coups de reins bien sentis qui faisaient vibrer le fauteuil et ma mère avec. D’autres étaient plus doux, imprimaient de lents à et vient à l’intérieur de cette maman offerte. Ceux qui connaissaient ma mère depuis des années se régalaient vraiment. Qu’ils aient fantasmé sur elle étant plus jeunes ou pas, elle restait la maman qu’ils respectaient… jusqu’à ce qu’ils découvrent qu’elle s’abandonnait volontiers à ces jeux pervers, que c’était une maman cochonne qui aimait la bite…

Ce n’est qu’au bout d’une bonne heure que tous furent rassasiés. Ils laissèrent enfin ma mère tranquille, se rhabillèrent et s’en allèrent.

Nous restions seuls avec maman.

Léo l’avait détachée. Elle s’assit sur la chaise pour reprendre ses esprits. Une heure sur le fauteuil de gynécologie, à se prendre des bites, l’avait quelque peu perturbée. Le sperme dégoulinait de sa chatte, coulait entre ses jambes. Alors elle se leva et fila dans la salle de bain pour nettoyer tout ça.

Avec Léo, nos étions allés un peu loin. Comment allait elle réagir ? C’est avec appréhension que nous la vîmes sortir de la salle de bain, un peignoir sur le dos.

La tête baissée, elle demanda timidement :

– Vous avez faim ? Je peux préparer à manger si vous voulez…

– Volontiers ! avons nous répondu de concert, ravis qu’elle ne semble pas plus affectée que ça par ce qui venait de se passer.

Sous nos regards scrutateurs elle se dirigea alors vers la cuisine.

Je remarquais avec une certaine satisfaction que son peignoir était bien ouvert, que ma mère ne prenait pas le soin de cacher ses seins. ce qui me donna envie de les caresser à nouveau…

La suite bientôt…

A propos de l'auteur

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