Sodomie
L’idée de me la faire mettre entre les fesses pour la première fois, même avec quelques verres de vin dans le corps, me rendait nerveuse ; même si je savais que Luce s’y prendrait en douceur et que son pénis n’était pas trop gros et même si c’était moi qui le désirais. Je voulais connaître ça. À mon âge, il était temps que je me décoince. Dès que je mis le pied dans la chambre, la chaleur moite et étouffante fit que mon grand corps nu se couvrit de sueur presque instantanément. Même si le soleil était presque couché, la nuit allait être très chaude et même pas d’air climatiser dans la roulotte. Je me promettais bien, demain en se rendant à son vernissage, de lui en payer un, même s’il fallait faire quelques heures de route pour en trouver en magasin. Luce entra à son tour avec une nouvelle bouteille de blanc et deux verres. Je me pus m’empêcher encore une fois d’admirer son corps svelte, sa démarche féline et sa poitrine qui ondulait toute en m’assoyant sur le bord du lit. Son beau sexe s’était détendu mais était resté long et frappait ses cuisses fuseler. Luce n’avait rien à m’envier, surtout pas mes jambes. C’était une belle grande femme que la nature avait dotée d’un pénis au lieu d’un vagin et j’en étais tombé amoureuse.
— Détend toi, me dit-elle en posant les verres sur la table de chevet et se penchant dos a moi pour les remplir, j’ai tout ce qu’il faut pour que cela se passe bien Julie.
Comme elle avait les jambes légèrement écarter j’avais une vue imprenable sur son scrotum un peut noir, bien rond et je ne me pus m’empêcher de tendre le bras pour le saisir et le presser doucement dans ma main, sentent les couilles a l’intérieur. Il avait un peu la texture d’une orange et je me remis à saliver en le pelotant laissant mon pouce presser son anus moite au passage.
— Et toi, dis-je en fixant son petit trou rose et plisser mignon comme et sans aucun poil, tu pratiques la pénétration anale ?
Comme elle se redressait pour me faire face je dus lâcher sa poche si douce un peu déçue pour prendre mon verre de vin. J’en avaler une bonne rasade pour me redonner du courage tout en me disant que j’avais déjà trop bue. Il était froid et fruité, un pur bonheur. Mais ma petite caresse avait fait remonter son sexe bien haut et il palpitait juste sous mon nez. Elle s’assit à côté de moi, fesses contre fesses, croisant ses longues jambes en disant :
— Oui, a l’occasion et… j’aime ça, quand c’est bien fait. Nerveuse ?
— Hum, un peut. Tu dois te demander pourquoi je ne l’ai jamais fait à mon âge.
— Soit tu ne voulais pas, soit ton ex l’avait trop grosses, soit c’est lui qui trouvait ça dégoûtant.
— Trop grosses.
— Et ça t’intrigue ?
— Oui, surtout depuis l’autre soir quand tu m’as donné ce merveilleux coup de langue en insérant ton doigt en plein dedans.
— Oh, t’as apprécié ?
— Oh, oui. Avouai-je franchement dégêner par l’alcool. Vraiment !
— Bon, fit-elle en posant son verre pour ouvrir un tiroir de la table de chevet et en sortir deux pots, un petit et un plus grand qu’elle me montra en disant :
— Ça c’est un lubrifiant anal et le petit pot un insensibilisant temporaire le temps de la pénétration. Mais l’important c’est de te détendre et de te masturber, si jamais tu changes d’idée où tu sens une douleur ce qui m’étonnerait vu que mon pénis est d’une taille moyenne, j’arrête aussitôt, ne t’inquiète pas. Je l’ai fait à beaucoup de femmes Julie et ça s’est toujours bien passé. Je vais te préparer et te mettre en condition. Prête ?
Je caler mon verre et acquiescer. Elle le prit pour le poser sur le bureau.
— Je me place comment ?
— Ça dépend. Dit-elle rieuse.
— Ah, et de quoi ?
— Si tu veux me voir le faire ou non.
— Non.
— Lève-toi, dit-elle en prenant un oreiller pour le poser par terre entre mes pieds, agenouille-toi et penche-toi sur le lit.
— Ça t’excite de me le faire ? Demandais-je en m’installant.
— Oh oui !
— C’est si agréable de la mettre là ? Ça doit vu que les hommes nous le demandent tous.
— Oui, la curieuse, très agréable, parce que c’est étroit et aussi parce que c’est l’endroit le plus intime d’une fille. L’endroit qu’une femme comme toi n’offre pas au premier venu en plus. C’est ça qui m’excite le plus Julie. Et honnêtement, après la séance de toute à l’heure je ne pourrai pas me retenir longtemps. Tu veux que je sorte pour éjaculer ?
— C’est comme tu veux. Répondis-je en me penchant sur le lit, y écrasant ma poitrine, posant la tête sur mes bras croiser.
Je souris en écartant un peu les genoux pour glisser finalement un bras sous moi, entre mes seins et pouvoir me masturber lentement. Je me rendis compte que j’étais encore bien mouillé et que mon sexe avait envie de sa bite mais je la savais trop exciter et je ne voulais pas manquer mon coup cette fois. Pas comme cette après-midi. Je soupirer longuement, me sentant prête, même que j’avais hâte de découvrir ce que je ressentirais. Soudain, la pointe d’un doigt graisseux me toucha délicatement l’anus pour y faire des cercles, je sursauter légèrement malgré moi en frissonnant. Elle se contenta de me le frotter et dieux que j’aimais ça, mais ce fut de courte durer car bien vite, je ne le sentis plus ou à peine. Je compris que c’était cette crème pour insensibiliser et cela me rassura un peu. Et soudain, le bout d’un doigt graisseux me rentra entre les fesses de moitié en tournant pour bien me lubrifier. Mes yeux se fermèrent presque complètement de plaisir tandis que mes lèvres s’écartaient, tellement c’était bon. Je me détendis pour en savourer chaque seconde et mon téléphone sonna dans la cuisine.
— Merde ! Lâchais-je déjà dans un état second.
« C’est sûrement Marie, » me dis-je, et le penser me fit mouiller plus.
— Tu veux que j’aille te le chercher ? Me demanda Luce.
— Non… oui.
— Non oui !
— Oui, désoler, c’est peut-être important.
Un peu à regret je sentis le doigt s’extirper de mon anus toujours insensible qui pulsa. Un peut saoule, même pas mal a présent je me sentais drôlement vicieuse de vouloir parler a Marie pendant qu’on me jouait dans le cul et que je me masturbais lentement mais j’avais surtout hâte de savoir si elle avait apprécier mon film.
— Tien, dit Luce en me tendant mon téléphone qui sonnait toujours, je continu ou tu veux que je te laisse un moment ?
— Continue, dis-je en tanguant du derrière tout en ouvrant mon téléphone avec un pouce pour voir la photo de Marie.
Mon coeur bondit. Je me sentis encore plus exciter en sentant le doigt se faufilée de nouveau entre mes fesses mais plus profondément cette fois et c’était surtout pour… m’agacer, se qui me fit gémir malgré moi. Sous mes doigts je sentais mon clitoris durci et devenir ultra sensible.
— C’est bon, lui dis-je toute exciter.
— Je vais te préparer, réponds pendant ce temps là.
Toujours avec le pouce je pris la communication.
— Marie, ça va ma belle ?
— Oh ! Fit-elle aussitôt. T’as bu toi.
— Ouiiii, un peut.
— Un peut pas mal je dirais, vicieuse.
— Oh, pourquoi tu dis sa ? Demandai-je coquine.
— T’es seul ?
— Non et j’ai un doigt bien lubrifier dans le cul et ses drôlement bons. Non. Ouf… deux doigts maintenant, enfin presque. Ouuuuuu !
Un long silence tandis que le deuxième doigt s’infiltrait en moi si facilement et je dis avec ma maudite voix de gamine qui ressortait quand j’étais excité :
— Marie, t’es là ? Ouuuu… que c’est bon…
Je me mordillais les lèvres en sentant mon vagin, un peut écraser par les doigts bien lubrifier s’agitant entre mes fesses, se remplir de déjection. J’allais jouir, j’en frémissais en faisait des ronds de plus en plus violents sur mon sexe. Ça, et les doigts en même temps, c’était fantastique.
— WAIS ! Eh… Je te rappelle demain Julie ?
— Nooon, dit moi avant, t’as aimé ce que je t’ai envoyé ou… t’es fâché ?
Un petit orgasme explosa soudainement dans mon bas ventre me faisant gémir, serrer les dents et tanguer du cul. J’en tremblai de plaisir pendant que la main libre de Luce me caressait les fesses. J’eus des spasmes et des contractions en haletant contre le téléphone.
— Seigneur tu me fait mouiller. Lâcha Marie. Si je n’étais pas à l’épicerie je me branlerais.
Je repris quelque peut mes esprits en souriant pendant que l’orgasme s’évanouissait. Le rouge me monta aux joues, j’avais très chaud mais je me sentais si bien.
— Vas dans ta voiture, lui dis-je pour l’agacer et fait le. En passant, je suis tes conseils et moi je me branle ma belle et je viens de jouir.
— J’ai chaud Julie, ma petite culotte est toute… Merde y as quelqu’un.
Je ris, l’imaginant se chercher un coin tranquille.
— C’est bien ça si je te fais mouiller, alors… t’as aimé ?
— Attend.
J’attendis en retirant la main de mon sexe détremper.
— Tu parles ma grande que j’ai aimée, seigneur ! J’en suis tombé sur le cul. J’ai usé les piles de mon vibro en le regardant en boucle pendant que Marcel faisait des commissions. Wow ! Ne te gêne surtout pas pour m’en envoyer d’autres. Et ce que je t’ai envoyé t’a aimé ?
— Désoler j’ai… ouf… c’est trop bon… Je n’ai pas eu le temps de regarder. Demain à la première heure c’est promis. Hummm… ça agace en tabarnouche.
— Jésus Marie, Julie, il se prépare à te la mettre là ?
— Ouiii…
— Tu me donnes le goût. Pauvre Marcel, lui qui pensais ce coucher tôt. Bon je te laisse Julie j’arrive a la caisse, éclate toi. Il est prévenant j’espère ton gars ?
— Oh oui, très. Il adore les préliminaires, une vraie fille.
J’éclatai de rire en disant cela Marie aussi et elle dit au bout d’un moment :
— Bon, je te laisse à ton plaisir Julie, salut !
— Salut ! Dis-je en coupant la communication.
J’allais fermer mon téléphone mais…
— C’est ton amie avec les gros… ? Me demanda Luce.
— Je t’interdis d’y penser en m’enculant toi, mais filme-le… Dis-je en lui tendant mon téléphone déjà sur le mode enregistrement.
— Quoi ?
— Je voudrais immortaliser ça.
— Tu ne voulais même pas poser pour moi et la tu veux que je te filme en train de te faire sodomiser.
— WAIS !
— C’est toi qui vois la bombe, je vais le poser sur le bureau, comme ça tu ne manqueras rien.
— Cool…. fis-je avant de rire pour rien en sentant ses doigts sortir de cet endroit si intime qui me sembla rester distendue, ouvert et j’adorais. Ouais j’étais saoule et heureuse la tête appuyer sur mes bras croiser a nouveau. Je la regardais toujours bander placer le téléphone pour qu’ils nous filment et j’en ressentit un fourmillement de plaisir dans le bas ventre.
— Julie ? Dit-elle en se replaçant derrière moi.
— Hummm…
— Tu lui as dit pour moi a t’ont amie ? C’est des photos de moi que tu lui as expédiées ?
— Non, jamais je ne l’aurais fait sans t’en parler avant et non, je ne lui et pas encore parler de toi, mais elle sait que je suis avec ce bel inconnu qui était au bar l’autre soir. Mais j’aimerais tout lui dire dès que je serais de retour à Montréal, c’est ma meilleure amie, elle n’en parlera pas.
— Je te fais confiance ma belle. Prête ?
— Oh oui !
Trous noirs
Le lendemain matin, c’est un mal de tête lancinant qui m’éveilla vers 6 h. Je sortis difficilement d’un sommeil sans rêves en sentant mon anus aussitôt. Une légère sensation d’étirement sans plus. Plus moyen de dormir et Luce ronflait me tournant le dos sous un drap. Je ne me rappelais plus rien de la fin de la soirée, juste un grand trou noir. « Maudit vin ! » Me dis-je décourager. Je me lever courbaturer et vaseuse pour prendre mon téléphone et filer aux toilettes, ma vessie voulait éclater. Je me soulager sans ouvrir mon appareil j’avais trop mal a la tête. Dire que j’avais si hâte de connaître la sodomie et que je ne m’en rappelais même pas, mais je me souvenais vaguement de lui avoir demandé de le filmer après avoir parlé a Marie. Je m’essuyai en soupirant longuement, me promettant de boire moins. Je me laver à la débarbouillette et trouver des cachets dans l’armoire a pharmacie et en gober quatre en me regardant dans la glace. Je faisais pitié ; les traits tirer, pale comme une morte, les yeux vitreux et coiffer comme une sauvage. Je me passer un rapide coup de peigne, me brosser les dents et fit du café en songeant soudainement a mon ordinateur portable dans mon 4×4. L’image serait plus grande et mes yeux étaient fatigués. Par fierté je n’avais pas apporté mes lunettes de lecture et le regrettait.
Café et téléphone en main je sortis de la roulotte, l’air frais du matin fini de m’éveiller calma mes nausées et fit s’iriser mes mamelons, ça me chatouilla agréablement et me fit frissonner. Un autre des nombreux petits plaisirs à faire du naturisme que je découvrais. En regardant la rivière je me revis y tomber hier soir pour ensuite poser nu pour Luce et ne put m’empêcher de rougir un peu. Au moins, je me rappelais de ça et ça réveilla mon sexe. C’est toujours le matin que mes pulsions sexuelles étaient les plus fortes contrairement à mon ex qui, lui, préférait baiser le soir.
Je rêvais de me laver a la rivière mais c’était tout de même encore un peut trop frais pour la baignade et j’allai simplement enfiler la blouse bourgogne de Luce qui avait séché pendant la nuit sans la boutonner, juste pour me réchauffer un peut. Puis je filer dans mon 4×4 ou je m’installer coucher sur la banquette arrière déjà exciter a l’idée de visionner ce que Marie m’avait expédié. Je sortis mon portable ultra mince de son sac pour l’installer sur mon ventre contre mes jambes replier et y brancher mon téléphone. Dos a la portière je fouiller dans les fichiers, fébriles, me sentant comme une gamine un matin de Noël.
J’avais un message de Marie : « VICIEUSE ! (Je ris en lisant cela.) Tu m’as fait mouiller ma grande, wow ! Quelle bonne surprise ce film. Te voir te baigner nue en pleine nature (chanceuse, j’aurais aimé être la, avec toi) et te voir te branler dans cette chaise de camping m’a fait perdre la tête, je n’en revenais pas. J’ai sorti mon vibro et eu des orgasmes a répétition pour ensuite sauter sur Marcel un peut plus tard. Le pauvre, il se demandait ce qui lui arrivait. J’espère que ce sera pareil pour toi avec ce que je t’ai envoyé. Et c’est juste pour toi, Hum ! Donne-moi en des nouvelles. Bye ! »
Je transférer toutes les photos et les films dans mon ordi le coeur battant et commencer a chercher celle de Marie et un film que je trouver. Je créer d’abord un fichier (moi) un fichier (Marie), un fichier (Luce) et un fichier (sodomie) en espérant que la pile de mon téléphone avait tenu le coup. Après avoir classé les photos de moi en buvant du café trop sucrer je tomber finalement sur celle de Marie. Je commencer a les visionner en me sentant voyeuse et j’aimais ça. Elle s’était posée nue et sous toutes les coutures dans sa chambre devant une glace, puis coucher sur le lit. Marie ne portait que des maillots une pièce dont la trace était bien visible. Là où elle n’était pas bronzée sa peau était d’une blancheur de craie. J’eus l’impression que des fourmis se promenaient dans mes veines en reluquant ma meilleure amie nue, en y ressentant du plaisir en plus.
Marie avait presque gardé son corps d’adolescente malgré la cinquantaine : pieds menus, petites jambes, cuisses rondes et lisses, petites fesses serrées un peut plate, mignonne comme tout, et elle se rasait le pubis. Ça me fit un drôle d’effet en le découvrant, on aurait dit le sexe d’une petite fille, tout comme les vulves qu’on avait elle et moi quand on c’était masturber toutes les deux a la puberté, cela me ramena presque 40 ans en arrière et me fit mouiller. Mais pour le buste la, le changement était radical, plus de petits seins menus comme a l’époque mais de gros seins ballon bien haut et coller avec de tout petits mamelons. Sa poitrine était si grosse qu’elle lui cachait presque les avant-bras et coucher sur le lit, ils s’aplatissaient jusqu’à recouvrir son torse étroit et même sa gorge. J’essayai de m’imaginer avec une poitrine comme ça mais, rien n’as faire. Je souris en repensant à ce qu’elle disait toujours quand nous étions jeunes; « j’espère que je n’aurai jamais d’aussi gros seins que ma mère. » À 14 ou 15 ans je lui avais envié sa poitrine déjà énorme car c’est elle que les garçons regardaient, moi, la grande planche a repassé, j’étais invisible, enfin presque.
« Ton mari ne doit pas s’ennuyer avec des seins comme ça Marie. » Me dis-je amuser. Je la trouver mignonne comme tout en réalisant que je la désirais tellement que j’en avais des papillons dans le bas ventre. Jamais je n’avais ressenti ça pour une autre femme, c’était étrange et très troublant. Excitant surtout de partager ça avec elle et tant pis pour le pauvre Marcel. De toute façon, si jamais il l’apprenait, ça le ferait bander plus, c’est tout. Je savais très bien qu’il fantasmait sur moi et que de savoir que moi et Marie… il ne la baiserait qu’avec plus de forces… J’en étais convaincu.
Le coeur battant de plus en plus je démarrer le film qu’elle m’avait expédié en me sentant plus voyeuse que jamais : Gros plan sur son visage comme je l’avais fait; elle était toujours coucher dans son lit, l’air sérieuse, les yeux tout petits, je compris aussitôt qu’elle était excitée comme dans le temps et j’en mouiller plus, ne pouvant m’empêcher de glisser une main sous l’ordi dans mes poils pubiens pour y faire des cercles lentement tandis quelle disait : « — Merci Julie de partager ça avec moi, je crois que tu sais à quel point ça m’excite. Regarde et… branle-toi en même temps ma belle et envoie-moi autre chose. Bisou ! »
Autre chose ! « Pourquoi pas maintenant, » me dis-je fébrile et de plus en plus exciter. Je débrancher le téléphone et vérifier la pile, elle était encore chargée a moitié et me filmer a nouveau en disant :
— Voila autre chose Marie, je me prépare a visionner ton film sur mon ordinateur bien installer dans mon 4×4. Il est 6 h du matin et mon amant dort.
Je filmer l’écran de l’ordi, me filmer et rajouter :
— Rince toi l’oeil comme je me prépare a le faire et t’es photos sont superbes, merci ! T’es mignonne comme tout ma belle et tu vieillis bien mieux que moi. J’ai même été déçu de voir que tes gros seins ne tombaient même pas ou à peine et que tes fesses étaient restées toutes petites. Fais chier Marie ! Qui aurait dit qu’un jour je mouillerais pour une fille et que cette fille ce serait toi et… C’est bandant, vraiment, de partager ça avec toi. Je reviens demain, déjà, et j’ai hâte que l’on se voie. Demain soir si tu peux rapplique chez moi même si ce n’est pas pour la nuit.
Je lui fis un bizou avant de me pencher vers l’avant pour placer le téléphone sur le siège appuyer contre la portière face a moi entre mes pieds écarter certaine de me filmer l’entre-jambes et me rassit pour redémarré l’enregistrement en glissant ma main sur mon pubis sous l’ordi. Mais mon doigt resta suspendu au-dessus de la touche parce que je réalisais soudainement qu’il y a quelques jours à peine cela me gênait de parler de sexe avec ma meilleure amie et que la… on s’expédiait des photos de nu et on se filmait en se branlant et c’était moi qui avais commencé le bal. Pire, j’avais une superbe caméra HD chez moi que j’avais acheté pour garder des souvenirs de vacances et… je pensais déjà à nous filmer, moi et Marie en baisant. J’en ressentais même des frétillements dans le bas entre en me caressant m’imaginant regarder ça sur mon écran géant. Je devais être une voyeuse refouler.
Je souris en réalisant également que de me savoir filmer en me branlant tout en regardant Marie se branler aussi, rajoutait a mon était d’excitation. Décidément j’y prenais goût, même que j’aimais vraiment ça me filmer. J’appuyai finalement sur la touche…
La caméra baissa, Marie me montra ses petits mamelons gonfler en gros plan quelle se pressa et s’étira du bout des doigts pendant que les miens se dressaient en me chatouillant. J’en frissonnai en appuyant à nouveau sur pause le temps de me débarrasser de la blouse pour la jeter sur le siège avant car je voulais être nue comme elle pour continuer le visionnement en plein écran. Je me sentais épier par mon téléphone, ça me fit frissonner en redémarrant le film. Mais je délaisser mon sexe un instant pour me titiller la pointe des seins tendrement en même temps que Marie, m’arrachant déjà quelques gros soupirent de plaisir. Puis elle se caressa la poitrine lentement, ses gros seins en remuaient comme s’ils étaient remplis de gélatine. J’en ressentie des frétillements dans le ventre de voir ça en me pressant les miens avec plaisir. Je déglutis a la vue de ses mains malaxant la peau blanche tandis que la caméra bougeait pour me les montrer de face, d’en dessous ou de côté. J’étais si concentrer sur l’écran en me massant la poitrine distraitement qu’un ours serait passé tout près que je ne l’aurais même pas remarquer. Puis la caméra suivit sa main qui glissa lentement sur son ventre un peut rond au nombril creux, je fis pareil sans même y réfléchir, puis sur son pubis bomber lisse et sans poils, mes doigts furent chatouillés par ma toison ovale et la caméra descendit jusqu’entre ses cuisses écarter. Voir en gros plan la vulve de ma meilleure amie et son petit anus brun me mit dans tout mes états; mes yeux se fermèrent de moitié et mes lèvres s’écartèrent. Les yeux river l’écran, je me sentais un peut mal alaise de regarder le sexe de Marie, mais en même temps c’était grisant. Je m’imaginer un instant la tête entre ses cuisses en me demandant si j’allais aimer ou détester ça.
Genoux relever, montrant son sexe glabre aux grandes lèvres brunes ouvertes et luisantes d’humidité comme les petites moins foncer, elle commença a se masturber écrasant le sommet de son sexe près de son clitoris toujours cacher faisant des cercles de plus en plus rapides. Un spectacle qui me fit déglutir et me mit comme en transe tandis que mes propres doigts, sûrs d’habitude, m’amenaient tout doucement au plaisir en accélérant eux aussi, déjà. Mes fesses se resserraient sur la banquette et je commençais à inspirer pas mal plus fort en mouillant terriblement. L’ordi en équilibre sur mon ventre se balançait, alors je ne remuais plus que les doigts sur mon sexe pour ne pas trop faire bouger l’image tout en me caressant les seins de l’autre main me sentant fiévreuse. Je pressais et étirait mes mamelons hyper sensibles, le plaisir irradiait dans mes seins et tout mon corps était parcourues de doux frissons. La chaleur s’élevait dans le 4×4, j’aurais dû ouvrir une fenêtre mais pas question de cesser de me caresser.
Les yeux toujours river a l’écran je la vis elle aussi serrer les fesses, soulever le bassin en l’entendant gémir de plus belle. Comme moi, sa voix devenait plus aiguë, une voix de gamine. Ses seins ballon remuaient et m’empêchaient de voir son visage. Elle faisait des cercles de plus en plus violents près de son clitoris que j’aperçus finalement. Une petite boule de chères roses pâles sous le capuchon qu’elle toucha en geignant plus fort. Je fis pareil en me tortillant sur le siège, le mien également était bandé. Ça m’électrisa en l’effleurant, surtout quand j’aperçus du liquide transparent s’écouler du vagin de Marie jusque sur son anus qui pulsait comme le mien. Le mien qu’une bite avait finalement défoncé hier et je ne m’en rappelais toujours pas, mais je le sentais un peu. On haletait de plus en plus toutes les deux, l’image bougeait énormément à cause de son téléphone et de mon ordi. Proche de l’orgasme je ne pouvais m’empêcher de le faire tanguer.
Ce que je regardais n’avait rien à voir avec ses femmes qui se masturbe dans un porno en faisant semblant. Là, c’était ma meilleure amie et elle se branlait juste pour moi comme je l’avais fait pour elle et elle y prenait toute autant de plaisir que moi. J’avais même l’impression de le refaire avec elle…
Bien a l’abri de la fraîcheur matinal dans mon 4×4, j’étais de nouveau en sueur et sur le point de jouir tellement cela m’excitait de voir Marie se masturber. Je gémissais, me plaignaient en me mordillant les lèvres, le bas ventre en feux. Je lever mes grands pieds en faisant attention au téléphone pour les poser légèrement écarter contre la fenêtre de la portière pour être plus confortable et pouvoir jouir mais aussi pour que Marie est une meilleure vue sur mon sexe mais surtout de mon anus mouiller de cyprine tout comme le sien. Je voulais qu’elle le voie car cela m’excitait au plus haut point de tout lui montrer de moi, surtout mon petit trou plisser. C’est si intime cet endroit-là.
Un petit orgasme me traversa le ventre aussitôt me faisant soudainement soulever les fesses et presser un sein très fort, l’ordinateur glissa et tomba par terre sur une pile de vieux dossiers l’écran vers le sol. Tant pis, je pourrais le regarder à volonté. J’en profiter pour lâcher mon sein et me glisser avec force un doigt dans le vagin détremper le plus profond possible sans cesser de me masturber. Je le fis aller et venir le trouvant trop petit, il ne me comblait pas assez, pas autant que la bite de Luce, j’en glisser un deuxième et ce fut nettement mieux. Comme un troisième doigt me touchait l’anus je le pousser a l’intérieur, il entra facilement car ma cyprine le lubrifiait, je le fis aller et venir comme les autres et ça m’électrisa. J’en frémis de tout mon être en me pénétrant le cul et le vagin en me branlant comme une folle, c’était si bon, si excitant, et de savoir que je le filmais en plus rajoutait a toutes mes sensations, j’en tremblais même, les orteils replier conte la vitre.
Un autre orgasme approchait déjà, plus intense celui-là, je le sentais bien, tandis que Marie gémissait de plus belle elle aussi et l’entendre même sans la voir, rajoutait au plaisir intense qui montait en moi. Je me pénétrer plus rapidement et plus profondément avec mes doigts détremper en accentuant les pressions sur mon pubis. Je regarder mes longues jambes en les imaginant sur les épaules de Luce en train de m’enculer dans cette position et… l’orgasme éclata soudainement comme une bombe me coupant le souffle et me faisant crier de plaisir en soulevant le bassin, fesses serrer, mon anus se resserrant contre mon doigt, les pieds bien appuyer contre la vitre. Je voyais des points noirs incapables de respirer, dents serrer en sentant les gros muscles à l’intérieur de mes cuisses se contracter. Tout mon corps se tendit et se mit à trembler sous la v******e de l’orgasme. Un soubresaut puissant me fit soulever plus le basin et la vitre éclata soudainement en mille morceaux sous la pression de mes jambes. Un violent choc électrique me traversa la colonne tandis que mes fesses retombaient lourdement sur la banquette faisant tomber le téléphone et que mes pieds aux orteils crisper se retrouvaient dehors. Surprise et le visage grimaçant, finissant de jouir, je les ramener en dedans pour replier les jambes en fermant les cuisses sur mes mains et rester la, transis, en position fœtale contre le dossier de cuire a finir de jouir en entendant Marie qui disait : « — Voila ma belle, j’espère que de me voir faire ça t’as excité autant que moi. Wow ! On se renvois autre chose c’est trop bandant, non ? Donne-moi des nouvelles. Ouf… j’ai chaud et le coeur me débat juste a l’idée que tu ma vue me masturber. Bye ! »
Le mien, mon coeur, cognait à toute allure, même mes oreilles bourdonnaient tandis que mon anus poisseux expulsait tout naturellement mon doigt. Les cheveux dans le visage, appuyer contre le siège, je reprenais mon souffle en sortant mes doigts de mon vagin pour me presser le sexe et je me mis à pleurer. Je n’y pouvais rien, mes joues rougies se couvraient de larme qui me tombait sur la poitrine. Je pleurais d’épuisement sans doute mais aussi de bonheur comme un enfant. Je ne m’étais jamais masturbé aussi souvent et surtout avec autant de plaisir que depuis que j’étais ici. Je n’aurais voulu manquer ce voyage pour rien au monde et surtout ce que je partageais avec Marie. J’étirai le bras pour agripper mon téléphone et le fermer. Je le garder contre mes seins comme si c’était la chose la plus précieuse du monde.
Je rester recroqueviller une bonne dizaine de minutes avant de me reprendre pour m’asseoir en essuyant mes yeux réalisant que j’avais fait exploser une fenêtre de mon 4×4 en jouissant. Au moins, cela laissait l’air frais du matin entré. Je mis a rire en le filmant tout en expliquant a Marie ce qui c’était produit pour ensuite me filmer le visage même si je n’étais pas sous mon meilleur jour et je terminer en lui disant :
— Il me reste trois fenêtres a faire exploser vicieuse. T’as plus d’imagination que ça d’habitude Marie, franchement, se masturber dans ton lit c’est banal. force-toi un peu. Bye grosses boules !
Je regarder ce que je venais de filmer, la vue était imprenable sur mon sexe du début jusqu’a l’explosion de la fenêtre. Me voir me pénétrer le vagin et l’anus me troubla énormément. J’expédiai le film en restant la encore un moment a reprendre mes esprits, ramassant mon ordinateur pour y brancher le téléphone et transféré ce nouvel épisode de masturbation, disons, fracassant. Il ne me restait qu’à me regarder me faire sodomiser et je ne me sentais pas prête à faire exploser une autre fenêtre tout de suite. L’odeur forte de mon sexe sur mes doigts me monta au nez et j’empestais la sueur. Je vérifier mes mollets et mes pieds, aucune coupure, un vrai miracle car il y avait du verre cassé plein le siège. Je ne me voyais vraiment pas obliger d’aller au vernissage de Luce ce soir en jeans par cette chaleur pour cacher des pansements sur mes belles longues jambes. Je finis le café refroidi et laisser mon ordinateur recharger mon téléphone pour aller me laver. Mais avant, j’allai emprunter un rasoir a Luce et pour la première fois de ma vie, debout dans la rivière, je me raser le pubis puis je me le rincer le trouvant si doux et j’adorais.
Après m’être fait aussi les jambes et les aisselles, laver le corps et les cheveux, je rentrer a la roulotte pour me sécher et me faire un solide petit déjeuner qui me remit sur pieds. Avec une tasse de café en main je regarder Luce qui dormait toujours a poing fermer la trouvant si belle avant de ressortir pleinement réveiller. Le soleil commençait déjà a plombé, j’allai me rasseoir pour m’enduire de crème solaire, même mon mont de vénus cette fois en souriant et me laisser doré au soleil une bonne demie heure et soudain j’ouvris les yeux car une idée un peut perverse venait de me traverser l’esprit.
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