En prenant ma douche, je me remémore mes premier pas avec Tonton Vick et du contact sur pris avec ce Maître sans scrupule pour une jeune fille comme moi. J’apportais du sang neuf à ce vieux vicieux et j’aimais ça. Depuis quelques temps, je fantasmais d’être une esclave sexuelle. Et bien je nageais en plein dedans. Très vite, je suis envahie par cette profonde émotion d’être leur proie à la merci de leur vorace bestialité. Maintenant je savais qu’elle était ma nature profonde. J’étais prête à me soumettre totalement à leurs volontés les plus déviantes en étant leur esclave. Il allaient pouvoir faire de moi une chienne sexuelle.
En redescendant dans la pièce principale, les deux homme m’attendent de pieds fermes. Nue devant eux, le Maître me demande :
« Veux-tu continuer ton dressage Michèle et parfaire tes penchant au BDSM les plus profonds ? »
Déterminée à connaître toute les subtilité de cette déviance et savoir jusqu’où j’étais capable d’aller, je réponds d’un ton affirmé :
« Oui Maître, je suis prête à être éduquée. »
Mon Oncle, très protecteur me prévient :
« Si tu accepte, tu dois nous laisser faire de toi la femelle avide des plaisirs les plus douloureux et bestiales. »
La tendre biche que je suis se lance dans la gueule du loup sans trop savoir où va me mener ce délire avec ces deux vieux vicelards. Livide, je les regarde dans les yeux, me demandant avec stupeur encore ce qui en moi me pousse vers cet enfer. Si mes jambes ne flageolaient pas autant, peut-être serais-je partie en courant. Ils m’entraînent à la cave et je suis pétrifiée en voyant sur une porte un écriteau « Chenil pour femelle ». Ils me poussent dans cette niche. Ils referment la porte sur moi et me voilà devant mon destin, brusquement plongée dans la pénombre de cette pièce seulement éclairée par un ventail. Tétanisée par la peur, je me laisse tomber sur la paillasse en pleurnichant sur mon sort. Mon visage de petite oie blanche trahit mes émotions. Le Maître me dit :
« Petite chienne, la peur et l’angoisse te vont si bien ! Ouvres le placard ! Dorénavant, voilà la tenue que tu devras toujours porter. »
Je découvre qu’en fait de tenue, il ne s’agit que d’un collier et d’une laisse de chienne, ainsi que d’un plug représentant une queue de chienne.
« Mets-ça ! On revient te chercher dans 15 minutes. »
Je met le collier de cuir autour de mon cou ? La laisse pend entre mes seins. Je regarde ce plus et hésite un instant à me l’enfoncer dans les fesses. Quand je l’introduis et que je suis prête, je sens ma chatte s’humidifier et mon corps est envahi fondre d’une douce langueur de plaisir à cette nouvelle humiliation. Une forte chaleur me prend le bas ventre. Ma jeune poitrine se soulève sporadiquement en se gonflant comme un fruit mur. Mes tétons se dressent fièrement presque douloureusement. Je ne peux m’empêcher de poser la main sur mon coquillage et caresse avec volupté ma petite fente rose détrempée. Un doigt frôle mon clitoris. Le contact est foudroyant. Je me cambre das un feulement de jeune femelle en chaleur. Mes gémissements de plus en plus sonores attirent les deux hommes. Perdant toute pudeur, mes mains s’agitent frénétiquement sur mon sexe en feu.
C’est le moment qu’ils choisissent pour me mettre plus bas que terre.
« Tu n’as pas honte de te branler comme une petite chienne en chaleur devant nous ? Je te donne l’interdiction formelle de jouir ! Sinon tu seras punie ! »
Mais j’avais atteint le point de non retour. Sourde à son ordre, un orgasme fulgurant m’emporte. Vick et le Maître me saisissent et me porte jusque sur une table où ils me lient pieds et poings, totalement écartelée, offerte à leur merci. Les deux vieux mâles m’observent en ricanant. J’ai honte d’être observée ainsi sans défense, jambes bien écartées, ne pouvant cacher ma chatte ouverte et trempée. Sans un mot, ils se mettent à m’enduire d’une crème odorante. Ils me massent fermement les seins et mon abricot. Chaque passage sur mes bouts gonflés et ma chatte m’arrache des soupirs. Puis, le massage se fait plus précis. Leurs doigts huileux glissent dans ma grotte humide. Je suis traversée par une décharge électrique. Une délicieuse sensation de plaisir, me fait perdre tout contrôle. Malgré moi, mes hanches se soulèvent à la rencontre de cette profonde caresse. Je n’aspires plus qu’à une seule chose, jouir malgré l’humiliation. A l’instant même où un autre orgasme libérateur s’empare de mon corps prisonnier, les massages cessent. Le Maître tire violemment mes cheveux en me disant :
« Petite chienne ! Je vais t’apprendre à respecter mes ordres ! »
Il agite sous mes yeux une cravache alors que mon Oncle brandit un martinet, en me déclarant :
« Nous te laissons le choix. Ou tu te retiens ou tu reçois une bonne correction. Mais de toute façon, nous devons te corriger pour avoir joui sans autorisation tout à l’heure. »
Aussitôt les lanières du martinet cinglent violemment la fine peau de mes seins me faisant hurler de douleur. Le Maître lance à Vick :
« Bâillonnez-moi cette petite salope ! Ses cris me percent les oreilles. »
Aussitôt, Tonton Vick m’enfonce dans la bouche une boule de caoutchouc et la fixe avec une lanière autour de la tête. Ce premier coup m’a littéralement coupé le souffle. La brûlure fulgurante irradie dans tout mon corps et je me convulse de douleur. Au deuxième coup mes dents s’enfoncent dans la boule de caoutchouc. Je râles et tente de supplier. Mais un troisième coup laboure mes cuisses. Mon corps est secoué par des tremblements. Mais curieusement, malgré cette terrible épreuve, une chaleur de plaisir envahit mon ventre. Les trois coups suivants donnés par mon Oncle sont reçus comme une délivrance. Mon corps tout entier est secoué de spasmes. Je gémis et m’abandonnes dans ces nouveaux plaisirs extrêmes.
Quand j’y repense, chaque image de cette scène me fait encore mouiller en restant gravée à jamais dans mon esprit et allait déterminer les reste de mon excitance. Le Maître me félicite en me disant :
« Décidément, tu es une jeune femelle prometteuse. »
Je baigne dans une violente plénitude. J’ai l’impression que mon cœur qui bat à tout rompre va sortir de ma poitrine. Les zébrures du martinet me brûle les cuisses, le ventre et les seins. Tous mes nerfs sont à vif. Je sens sur ma joue se poser le gland d’un énorme gode noir. Le gros olisbos descend entre mes seins et s’immisce dans ma fente juteuse. Mon cul toujours occupé par le plug, ma gorge se noue en pensant à ce gros truc qui va bientôt investir mon jeune vagin. Les battements de mon cœur s’accélèrent.
« Décidément tu es un belle chienne prête à tout ! »
Le gros gode se fraye alors difficilement un chemin dans mon con juteux.
« Tu mouilles comme une fontaine petite cochonne ! Regarde, le gode est luisant de ta mouille. Lèche vite ça, dévergondée ! »
On m’enlève le bâillon boule et je lape consciencieusement le latex noir nappée de ma cyprine. Le Maître m’enfile à nouveau l’engin dans ma grotte et se met à l’activer rapidement sans vergogne. Je sens mon sexe se dilater, se distendre jusqu’à être rempli entièrement, profondément. Quel sentiment exquis. Je me sens chienne. Heureuse d’être prise aussi crûment. Mes hanches se déchaînent accompagnant avec vigueur le mouvement, de plus en plus rapide de l’olisbos. Mon cerveau disjoncte et je ne suis plus qu’un sexe avide d’être rassasié. Je supplie les deux hommes de me laisser jouir. Mais ils sont inflexibles.
« Retiens-toi traînée ! Je ne fais que commencer avec toi. La soirée va être longue ! »
J’essaie désespérément d’endiguer le flot de lave incandescente qui coule dans mon ventre. Au bord de l’orgasme, je hurle une dernière supplication.
« Haaaaa !!! Maître laissez-moi jouir… Pitié !!! »
Évidemment, toute cette tension accumulée explose brusquement, m’emportant dans un torrent de jouissance. La punition ne tarde pas agitant dans l’air une longue cravache, il l’abat à plusieurs reprises sur les parties les plus intimes de mon anatomie. Tourmentée, gémissante, en sueur, étroitement serrée par mes liens, je suis transportée dans un océan de volupté masochiste. Ma peau est en feu. Je suis la proie de violents tremblements qui me secouent comme une poupée de Chiffon.
Épuisée, je sombre dans une sorte de léthargie. Le lendemain je me réveille dans le lit, courbaturée et heureuse d’avoir franchi se cap déterminant dans ma vie de femme.
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