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Béa ou les début d’une docile

Béa ou les début d’une docile



Fantasme ou vécu, c’est vous qui voyez. Dans toutes mes histoires, il y a une part plus ou moins grande de vécu. À vous à de trouver.

Chaque fin de semaine, le vendredi, je rentre chez nous, chez mes parents enfin, chez ma mère. J’en profite pour ramener mon linge sale, ma mère fait toujours la lessive le samedi matin. C’est, un vendredi soir de janvier que je rentre et me retrouve devant la porte d’entrée fermée à clef. Je sonne sachant ma mère présente. C’est une belle jeune femme anglaise qui m’ouvre. Légèrement gironde, elle a tout pour elle, surtout un visage d’ange. Dès le premier regard, l’un comme l’autre, on sent une sorte de légère électrocution dans nos corps. En français, avec un accent gallois à couper au couteau, elle me dite que madame ma mère se trouve au salon. C’est, je crois pouvoir le dire, la première fois qu’une jeune femme me fait un effet pareil. Ma question était à savoir si cela était partager. Cette fille au pair me plaisait. Pourtant, je n’étais pas très porté sur la galipette, à l’époque, j’avais d’autres préoccupations. Je profite de cette soirée pour apprendre à connaitre cette jeune femme répondant au joli prénom de Béa.

Le lendemain, le samedi, ma mère me demande si je porte toujours des slips. La question me semble aussi saugrenue qu’incongrue. Je lui demande la raison de sa question. Sa réponse me laisse bouche bée, elle n’en a trouvé aucun dans toutes mes affaires à laver, pas la plus petite trace. Et pourtant, il doit bien y en avoir cinq ou six ?!?! J’ai même pu lui dire les couleurs, oui j’aime bien en mettre de couleur, même si cela ne se voit presque pas.

La semaine suivante, histoire de ne pas me faire engueuler par ma mère, c’est devant elle que je mets mes slips dans le panier du linge sale et l’un après l’autre. Le reste est dans le sac de toile. Résultat, au moment de les mettre en machine, il en manque UN, un rouge avec un petit diable dessus, rigolo hein ? Et ce n’est pas le plus propre, c’est même le plus sale. Oui, j’avais eu un léger souci. Ce qui éveille mes soupçons sur une personne du ménage.

Un mois passe sans aucun souci. Le vendredi soir, je rentre chez nous comme d’habitude. La fille au pair, Béa, est restée pour le week-end, cela me fait une belle occasion de réviser mon anglais. En plus d’être mignonne du haut de ses 18 ans, elle est toujours aussi diaboliquement jolie. J’aime à discuter avec elle, sa culture est grande comme son intelligence. Ensemble, on parle souvent peinture, littérature et même de politique parfois, sujet bien ennuyeux s’il en est, mais surtout art au sens général du mot.

Ce soir-là, je décide de lire un peu, j’avais acheté le dernier Goncourt. Le livre est bien, l’histoire prenante quand Béa entre dans ma chambre. Elle vient prendre mon linge sale pour le trier. Elle revient peu après me parler littérature. On devise un bon moment sur mon livre et son écrivain. Cela étant, un peu fatigué par une semaine particulièrement chargée, je décide de me coucher. Béa me laisse, je crois même déceler une petite pincée de regret quand elle me souhaita la bonne nuit.

Le lendemain, ma mère entre dans ma chambre comme une tornade. « Et tes slips, tu comptes me les donner à laver quand ? » Me crie-t-elle. Ma réponse ne semble pas la convaincre quand je lui dis que je les mets dans le sac de toile à chaque fois que je me change. Soudain, un doute m’assaille, mes soupçons reviennent. C’est Béa qui est venue me prendre mon sac de linge sale, oh oh…

Dans la matinée, ma mère profite d’une longue machine à 90 degrés pour faire ses courses en compagnie de Béa et elles en ont pour un bon moment. Je profite de cette absence pour faire un tour dans la chambre de la jeune femme. Après quelques minutes, je crie bingo, je venais de trouver ma voleuse de slip et sous son matelas, dans un repli du drap-housse. Sauf qu’il en manquait un de la semaine, un boxer bleu, celui avec le point d’interrogation. Je remis tout en place, l’air de rien. En fouillant encore, je découvre quelques livres, la plupart sont en anglais et aux titres évocateurs, genre, l’esclave du camionneur ou la chienne du président. J’avoue mon trouble. Là encore, je remets tout en place après une bien trop brève lecture.

Dans ma chambre, je travaille un moment sur un projet de vacances en Amérique du Sud. Je dois me trouver un parcours hors des att****s nigaudes, loin des coins à tout triste (touriste) qui se gargarise de tout et de rien. Je déteste me retrouver au milieu de ces touts tristes. Pourtant, côté concentration, ce n’est pas le top. Les titres de cette dizaine de livres anglophones me tournent en boucle dans la tronche. Un surtout, dont la traduction en français du titre donne ; Éducation anglaise d’une jeune servante. Rien que le résumé m’avait fait bander et pourtant, il n’y avait pas de quoi, il n’y avait rien de cochon, juste des allusions.

Béa et maman rentrent des commissions après deux bonnes heures. Peu après, ma mère file à la buanderie. Dans la cuisine, Béa range les courses, tout en préparant le repas de midi. Je lui demande, sous un faux prétexte de me rejoindre. Une fois dans ma chambre, je lui demande de regarder sur l’écran et de me dire ce qu’elle pense de ce projet de vacances. Le temps qu’elle regarde, je nous enferme discrètement et à double tour.

« Dis-moi, mon slip bleu, il te va bien ? »

« Votre slip bleu ? » Délicieux accent, j’adore !

« Oui, mon boxer bleu, celui que tu portes, celui avec le point d’interrogation. Du reste, il dépasse derrière quand tu te penches ! Retire-le immédiatement !»

« Mais… »

« IMMÉDIATEMENT !!! » Le ton de ma voix était sans équivoque, brutal, autoritaire et un brin vicieux, je le concède.

Je lui empoigne son bras, l’attire sur mon lit. Couchée sur le dos, j’ouvre son pantalon. Oh surprise, elle le porte sur elle, je tire dessus, elle grimace vilain. Coincée, découverte, coupable, elle se redresse, retire son pantalon, mon slip. Je me surpris à me montrer encore plus vicelard, lui enfonçant la partie (sale) de mon slip dans sa bouche. Maintenant, vu qu’elle est à moitié nue devant moi, je la couche sur mes cuisses pour lui administrer une bonne grosse fessée. Oh, elle ne proteste pas, elle ne peut pas. Elle pleure, certes, mais aucune protestation, aucune rage et aucun gros mot à mon intention, forcément, elle est muselée. À croire qu’elle la cherchait cette correction. Satisfait, je la relâche. Elle glisse sur le sol sans me regarder. À genoux, retirant mon slip de sa bouche, elle finit par s’excuser platement. Ne voulant pas que ma mère lui donne une autre engueulade, je lui conseille d’en mettre un par jour, au sale. Cependant, histoire de la tester et, aussi, de la bousculer un peu, je lui ordonne, sans trop y croire, de ne plus mettre de pantalon et encore moins de culotte. J’ouvrais la porte et lui montre la direction de sa chambre. Heureusement, ma mère n’était pas présente, Béa traverse l’appartement en tenant son pantalon à la main.

Elle revient une bonne dizaine de minutes plus tard, en jupe, une jupe au-dessus du genou. Face à moi, je la lui fais soulever. De ses deux mains, elle la soulève lentement, pas de culotte, Béa rougit, la rendant plus attirante encore. Je caresse son sexe en la fixant, elle écarte légèrement ses cuisses. Elle mouille et pas qu’un peu. Sans que je ne le lui demande, elle serre le bas de sa jupe entre ses dents et croise ses mains derrière sa nuque. Ses yeux fermés me disent qu’elle apprécie mes caresses. Je plonge un doigt dans son sexe mouillé, Béa est encore vierge à 18 ans. Là, elle me fixe longuement, le visage tendre, ému, les joues un peu rouges par ma découverte. Je continue à masser son sexe. Très vite, les signes d’un orgasme apparaissent. Je l’achève en m’activant avec vigueur. Au moment suprême, ses yeux s’ouvrent pour me fixer. Elle a le visage défiguré par son plaisir qui explose déjà dans son corps. Son long soupir, son corps qui se tord, elle est magnifique, merveilleuse. J’attire son visage sur le mien, on s’embrasse tendrement. Ma main découvre l’intérieur de ses cuisses complètement trempées. Elle lèche encore mes doigts sans me quitter des yeux. Je la sais à ma merci, sans savoir jusqu’où encore.

« Ce soir, dans ta chambre, sois prête ! »

« Oui, Monsieur. »

Sa réponse me renforce dans mon idée tordue. J’ai tapé juste, elle est amoureuse de moi au point de me voler mes slips sales et d’enivrer de mes odeurs en les respirant ou en les mettant. Ce que j’éprouve me dépasse. Il y avait un mélange d’amour et de perversité dans ma tête. Je ne sais encore comment me comporter, tendre et amoureux ou dur et dominant. Je crois qu’un peu des deux était un bon mélange, du moins au début. Et puis, sa réponse : « Oui monsieur », qui me tourne en boucle dans ma tête. Vers dix-huit heures, ma mère, avec l’une de ses amies, sortent manger en ville et aller au théâtre après, cela tombe à pic.

Dès leur départ, je me suis rendu dans la chambre de Béa. Me voyant, elle sort mes slips de leur cachette, les respirant un à un en me fixant affectueusement, à genoux. Cela la rend encore plus belle, plus docile. Près d’elle, je la couche sur le dos, ma main sur son sexe trempé de désirS. Mon autre main glisse sous son pull, sous son soutien-gorge, découvrant une belle poitrine bien généreuse sous ma paume. Je retire mes mains, lui demandant de se lever et de tout retirer. Elle ne se fait pas prier deux fois. Lentement, elle fait glisser sa jupe sur le sol. Ma main vient caresser se sexe légèrement velu et si doux. Lentement, elle retire son pull. Plus lentement encore, son soutien-gorge glisse le long de ses bras au teint pâle. Nue, elle se remet à genoux, ses mains derrière sa nuque, genoux écartés. Je ne sais pas où elle a appris ça, mais sa position est une belle marque de docilité. Je pose mon index couvert de sa cyprine sur sa bouche, elle me le prend, me le suce, me le lèche langoureusement. D’une main, je masse sa poitrine lourde, laiteuse, belle, sublime même et surtout terriblement sensible. Je la fixe encore, elle n’en finit pas de sucer mon index. Je gifle sa joue d’une petite claque pour mes slips volés. Elle ne cligne à peine des yeux sans s’arrêter de sucer mon index. Une seconde, un peu plus forte, elle baisse son regard. Une troisième, encore plus forte, elle lâche mon index, me remercie humblement. Je la vois au bord des larmes. Pourtant, elle ne bronche pas.

Pendant un moment, je la regarde, sans savoir trop que faire. Je prends alors un sein dans chaque main, je les tripote, je les étire, je les fais onduler. C’est à peine si elle esquisse une grimace. Je pince plus fort encore, tire plus fort, les agite encore plus fort. Sa bouche et son visage me montrent le degré de la douleur ressentie quand sa frimousse se tord sous les supplices que je lui fais subir. J’étire encore, elle serre les dents, des larmes au coin des yeux. Et pourtant, si elle peut crier, protester ou me gifler, non, rien, elle reste muette et subit. Je la relève, la couche sur mes cuisses. Je me mets à la fesser encore plus durement encore que la première fois. Elle se laisse faire, c’est toujours juste si je l’entends pleurer, me demander encore humblement pardon pour le vol de mes culottes. Enfin, je la couche sur son lit, j’écarte ses cuisses laiteuses comme toute sa chair si douce au toucher, une peau satinée, délicieuse à caresser. Je retire mon pantalon, mon slip qui finit dans sa bouche, ma chemise sur le sol. Je me suis couché contre elle, caressant son sexe. Parfois, j’étire son clitoris. C’est à peine si elle grimace. Lentement, je me suis mis sur elle, me suis guidé en elle. Lentement, je me suis mis à aller et venir, butant sur son hymen.

Je l’embrasse dans le cou. Ma culotte retirée, sur sa bouche, elle répond à tous mes baisers, lascive et follement amoureuse. Sa bouche a un gout merveilleux, succulent même. Puis, D’un coup sec, je déchire sa virginité. Elle fait une vilaine grimace, fermant ses yeux. Je vois une larme poindre, je m’empresse d’essuyer de ma langue. Je suis en elle, bien elle, je reste un moment sans bouger, qu’elle s’habitue à mon sexe et moi au sien si délicieusement étroit. Puis, toujours lentement, je m’active en elle. Ses bras m’enlacent, sa tête se redresse, cherchant ma bouche.

« Je vous aime, Monsieur, soyez mon Maître, mon guide. »

« Tu sais que je peux être sévère, même bien plus sévère que jusqu’à maintenant »

« Peu m’importe, je ne veux plus que vous appartenir. »

Je nous retourne, la mettant au-dessus de moi. Elle me chevauche, accélérant le tempo au fur et à mesure. Je me retiens, me souvenant de mes premiers amours avec cette collègue âgée d’une quarantaine d’année. J’en avais à peine vingt à l’époque. Béa gémit, son visage se déforme quand l’orgasme se fait jour. Elle roucoule de bonheur, un visage comme si elle souffre l’enfer. Elle explose pour se dissoudre dans l’espace intersidéral du plaisir. Plus elle jouit, plus elle veut encore jouir. Je la freine d’une paire de claque sur son opulente poitrine. Elle me fixe encore, un tendre petit sourire enjolive son visage et me tend ses seins de ses mains. Je les gifle plus fort, jusqu’à les rendre si rouge qu’il lui devient impossible de supporter la moindre caresse. Elle jouit encore plus violemment au moment où j’embrasse son cou, la mordille. Je finis par jouir sur son ventre jusque sous ses seins douloureux.

Je l’achève d’une méchante fessée, elle ne crie pas, tout juste quelques larmes qui coulent sur son visage. Elle me remercie en léchant mes doigts, baisant ma main et se positionne à genoux à mes pieds, attendant la suite. La suite est vite réglée, je bande à nouveau devant cette fille si docile. J’attire son visage sur ma queue, elle me suce, parfois très maladroitement, cela lui vaut une gifle à chaque mauvais traitement sur mon sexe. Elle comprend vite, si vite que j’éjacule dans bouche sans pouvoir la prévenir. Elle tousse sans pour autant recracher mon sperme. Elle l’avale devant moi, la bouche ouverte pour que je ne manque rien du spectacle. Je caresse sa joue, lui disant qu’elle fera une bonne épouse si elle se montre toujours aussi docile.

Et elle me le prouve. Depuis cette nuit, Béa ne rentre chez elle que très rarement, restant près de ma mère pour l’aider, surtout quand maman travaille le weekend et me servir de vide couilles. Je sais, ce n’est pas très glamour. Pourtant, si j’en crois sa très longue lettre, c’est ce qu’elle aime être sans oublier tout ce qu’elle voudrait vivre. Depuis, aussi, elle ne porte plus que des jupes ou ses petites robes légères, plus aucune de culotte enfin…sauf environ tous les 28 jours. Aussi, dans la semaine, généralement le jeudi soir, je m’oublie un peu dans mon slip, laissant les derniers gouttes ou ne m’essuyant pas totalement. Dès que je rentre, dans le dos de ma mère, je fais venir Béa pour le lui donner. Devant moi, à genoux, elle le sort de son sachet de plastique, émerveillée, elle le hume, lascive, s’en caresse son sexe, dépravée, ses seins, immorale, son visage, passionnée, sa bouche, ardente amoureuse. Elle finit généralement par le mettre entièrement dans sa bouche, la partie sale bien sur sa langue. Là, je la penche en avant, sa poitrine posée sur mon lit, me glisse derrière entre ses jambes et je la baise. De ses mains le long de son corps, je les croise tout en la baisant encore et toujours. Si je me sens d’humeur libertine, je me finis dans son joli cul bien dodu parfois, en la fessant copieusement. Ça, c’est pour le vendredi quand on ne fait pas l’amour, ce qui arrive de temps à autre. Pour le samedi, j’ai offert un abonnement au théâtre à ma mère. Elle peut y aller quand elle veut et accompagnée par l’une ou l’autre de ses amies. Et des amies, depuis quelques mois, elle en a en veux-tu en voilà ! Je la soupçonne même d’avoir des aventures au féminin, ce qui n’est pas pour me déplaire, ma mère est une femme encore magnifique, un brin autoritaire…si vous voyez ce que je veux dire.

Durant ses absences, c’est dans la chambre de Béa que tout se passe. Elle sait se faire comprendre quand elle désire me subir. Généralement, dans ces cas-là, elle m’attend à quatre pattes, pas tout à fait entièrement nue, elle ne porte qu’une jupe et son chemisier est ouvert sans rien en dessous. Elle a déjà disposé une ceinture en cuir épais sur le bord de son lit. Là, ceinture en main, je joue les pères pervers. Soulevant sa jupe, je caresse, fesse, pince, étire au gré de mon humeur, de mes envies. Je la redresse pour m’amuser avec ses seins, les maltraiter. De son aveu, c’est ce qu’elle préfère. Cela dure un bon moment, long moment pendant lequel, Béa jouit une fois ou deux. Là encore, tout dépend si je la laisse jouir ou pas. Puis, du pied, je la pousse sur le côté, mon pied nu sur sa bouche, l’autre sur son bas-ventre, tout mon poids sur son corps, juste en travers du haut de ses cuisses. Étendue bien à plat sur le dos, elle me lèche sous les orteils en s’aidant de ses mains. Il m’arrive de lui écraser ses gros seins de mes pieds, pas les deux en même temps, un à la fois et d’un pied. Et enfin, je la baise ou lui fais l’amour, tout dépend si elle s’est montrée docile, très docile ou particulièrement très docile.

C’est ainsi chaque weekend, sauf si ma mère ne sort pas, chose très rare. Mais, depuis qu’elle peut aller au théâtre au tiers du prix d’une place, elle est plus souvent dehors qu’à regarder la télévision dans le salon. Enfin, quand je dis que toujours la même chose, non, je varie. Ainsi, si ma mère est de sortie donc, que je peux me regarder un film, j’ai un beau repose-pied ou une jolie table basse pour mon verre et mon cendrier en la personne de Béa. Parfois, je visionne un film érotique ou un vrai porno bien vulgaire et nous baisons en regardant le film, reproduisant ce qui se passe dans le film, les scènes de baise et autres parfois carrément SM, mais là, on n’est pas encore outillé pour. Parfois, j’essuie son entrecuisse d’une de mes culottes sales qu’elle va garder dans sa bouche un bon moment.

Un samedi, j’enfonce une culotte sale dans son anus, le nettoyant bien par des aller et retour, après quoi, c’est mon cul que je nettoie en profondeur. Enfin, ladite culotte vint museler Béa pendant que je fustige son popotin à grands coups de ceinture avant de m’enfoncer en elle. Autant elle que moi, nous prenons un pied d’enfer dans nos parties de baise. Plus nous prenons du plaisir, plus on a envie d’en faire plus, de pousser plus loin nos jeux, nos joutes sexuelles dans le vice corrompu et immoral. Avec sa culotte dans son anus, Béa aide ma mère, sa démarche ressemble à celle d’une oie ou d’un canard.

Après avoir terminé son temps comme fille au pair, je la prends chez moi, dans mon modeste appartement de trois pièces. Nul besoin de chantage pour la faire venir, juste un ordre sec et sonnant. Depuis, elle tient mon appartement toujours propre comme un sou neuf. Toujours prête à me satisfaire en tout temps, oui, même durant ses menstruations. La première fois, je l’avoue, je pris ça comme un magnifique présent. J’en ai été ému, mes ex me disaient que c’était impossible, douloureux même.

La journée, elle déambule nue dans l’appartement, ne portant qu’un soutien-gorge pour préserver sa belle poitrine. Parfois entravée pour faire le ménage, les repas, elle ne rechigne jamais à la tâche, une véritable fée du logis. Si je la punis, c’est parce qu’elle faute, jamais juste pour mon plaisir, si, parfois, mais toujours un plaisir partagé alors. Notre vie est heureuse, mais va changer.

Cela dure un an avant que je ne revienne vivre près de ma mère, avec Béa ce, après le décès de la meilleure amie, complice libertine de ma mère. Avant de pénétrer dans l’appartement, je mets, à Béa, sa laisse et lui laissait le soin de sonner, sa robe ouverte, dévoilant sa nudité docile. Ma mère ouvrit la porte, resta plantée là de stupeur devant Béa à genoux, les mains sur la tête. Une fois dans le salon, d’un claquement de doigt, Béa retira sa robe, dévoilant croupe zébrée par ma ceinture à maman. Je lui expliquais l’histoire de mes slips, Béa confirme en s’agenouillant et baisant les pieds de ma mère en signe d’excuse, mais pas que, d’allégeance aussi.

Le jour même, je mets Béa au travail, nettoyant tout l’appartement comme un grand nettoyage de printemps. Parfois, je la suis, lui claque son postérieur quand ce n’est pas assez propre. Maman n’avait rien à faire d’autre que de la regarder faire et la fesser si c’était mal fait.

Le soir même de notre retour, une petite mousse en trop dans le cigare, je pousse Béa entre les jambes de maman. Ni l’une, ni l’autre, elles n’avaient jamais fait ça devant moi et moi, je crevais d’envie de voir Béa faire jouir ma mère. Maman me fixe, presque horrifiée, cachant bien son jeu, son amie et elle copulait ensemble et dans mon dos. Elle oublie que j’étais au courant de ses petites aventures nocturnes. L’ordre rompt durement le silence de plomb le court instant d’un silence de plomb et Béa se met à l’ouvrage entre les jambes de ma mère pétrifiée, paralysée. Peu à peu, devant l’adresse croissante de Béa, maman se décompose de plaisir, son regard toujours plongé dans le mien.

Après une dizaine de minutes, maman est aux portes de l’orgasme. Je profite, un peu saoul, de son moment de faiblesse pour lui glisser mon sexe tendu dans sa bouche. Là où je pense me prendre une méchante paire de claques, maman me fait une délicieuse fellation. Elle jouit de Béa, je me retire de ma mère pour posséder Béa devant ma mère. Je fais jouir ma docile compagne devant celle qui m’avait enfanté avant d’éjaculer sur le dos de ma belle petite chienne. Ce soir-là, maman devient ma complice, essuyant mon sperme pour le gouter en me fixant.

Le lendemain matin de cette soirée torride, Béa eut une furieuse envie de soulager sa vessie, habillée comme une gamine, jupe plissée, petite socquette aux pieds, chemisier blanc à fleur. Sur mon ordre, elle se place dans la baignoire, devant maman, jambe très légèrement écartée. Béa, rouge de honte, humiliée délicieuse, se soulage devant nous en tenant sa jupe entre ses dents, ses mains sur sa nuque. Cela déclencha quelque chose tordu dans l’esprit de ma mère qui, prenant ma main, me serre contre elle. Elle caresse le sexe de Béa avant de lui donner sa main à lécher. Béa prit cette main, tout en fixant ma mère, elle lèche chaque doigt comme si c’était des sucres d’orge. J’avoue que ma main s’est un peu perdue sur la croupe de maman. Et comme elle s’est perdue, elle se retrouve là, à titiller le bouton d’amour de ma mère, dans sa culotte. J’ai retrouvé ma main, enfin ma bouche l’a retrouvée. Ce fut, je crois, le plus merveilleux moment de ma courte vie, ma mère prit son pied de façon magistrale. Je crois que c’est à la suite de cette courte anecdote que ma mère change plus radicalement encore.

Un peu plus d’un an après être revenu à la maison, j’épouse Béa. Le jour de la noce, à son cou, elle porte un collier de cuir blanc avec une petite médaille accrochée dessus. Il y est gravé que Béa est ma propriété exclusive. Durant toute la journée, Béa portait une culotte d’un genre spécial, munie de deux beaux vibromasseurs télécommandés à distance, elle est en mode vibreur toute la nuit et jouit autant de fois que je le veux. Surtout quand elle danse avec un membre de sa famille, cela rend la chose aussi excitante que drôle à regarder.

Dès le lendemain, avec maman, nous avons revu le règlement destiné à Béa. Sans pour autant le rendre plus sévère enfin, cela dépend comment on voit les choses. Béa se plait dans son rôle, elle ne s’en cache pas. Concernant ma mère, depuis l’histoire de la baignoire, histoire très souvent répétée, ma mère se cherche un peu. C’est une rencontre qui va en faire ce qu’elle est encore.

Un dimanche après-midi, nous étions en balade dans les environs. On croise une des nombreuses amies de ma mère. Quand cette dernière découvre que Béa est une soumise, elle commence à lui tourner autour comme une abeille autour d’une fleur. Ma mère ne le remarque pas, mais moi si. Surtout quand elle me fixe, l’air empruntée, cherchant des réponses à ses interrogations. Discrètement, je lui fixe un rendez-vous pour le lundi soir, non loin de la gare.

Elle est arrivée alors que je descends du train. Nous n’avons pas été boire un verre. Je l’ai entrainée sur un banc, un peu à l’écart. En quelques questions, j’ai mon jugement. De plus, elle semble amoureuse de ma mère, alors, je lui propose un petit scénario à mettre en place, dès ce soir.

Ensemble, on est arrivé chez ma mère. Devant elle, à moitié nue, je pousse son amie sans trop de ménagement. Cette femme se fait alors soumise, (tombant) à genoux devant maman. Ma mère qui ne percute pas immédiatement. D’une main sur l’épaule de la femme, celle-ci se penche, baise les pieds de maman, l’affaire est dans le sac. Le soir même, maman couchait avec cette femme qui se plia à tous ses désirs.

Le week-end suivant, avec ma mère équipée d’une belle ceinture gode, il nous arrive souvent de les baiser ensemble, dans le salon. Ma mère n’hésite plus à me rouler des pelles d’enfer, surtout au moment de changer de soumise. Ma mère est devenue Madame. Certaines de ses amies se sont découvert des envies folles de subir maman, Madame Carole. Non seulement, ma mère et moi, nous nous embrassons, mais il nous arrive, devant ses amies et Béa de nous envoyer en l’air comme des cochons.

Un soir que nous rentrions du cinéma, Béa et moi, dans le salon, il n’y avait pas moins de quatre femmes aux petits soins pour Madame Carole. J’envoyais Béa immédiatement aidé ses femmes. Maîtresse Carole me permet alors d’en baiser une ou deux, toutes même. Autant vous dire, notre appartement, c’est un lupanar, il ne se passe pas un jour où l’une ou l’autre des petites amies, de maman, ne viennent faire son ménage, son repassage, tout quoi, aidant Béa dans son labeur. Mais le plus beau, c’est quand ces femmes s’aventurent entre les cuisses de ma mère, là, c’est juste sublime à regarder. J’en profite aussi et largement, c’est dans le contrat de ces femmes. Ce que j’aime avec elles, c’est quand elles me supplient de les sodomiser, ce qu’elles n’osent avec leurs époux ou autres amants. Il faut dire que maman aime raconter comment je m’amuse à remplir le cul de ma belle galloise.

Faute de moyens, ce n’est deux ans après qu’on fait notre voyage de noces en Grande-Bretagne. Nous y avons visité tous les clubs fétichistes de Londres et ses alentours. Il en fut de même dans chaque grande ville visitée sur cette ile. Ma Béa était heureuse de se faire prendre sous mes yeux pendant que je baisais une autre femme ou que je la punissais. Elle fut aussi punie et, cerise sur le gâteau, percée et annelée.

De retour dans notre nouvel appartement, elle se fit plus soumise encore, devenant mon esclave, refusant la moindre liberté, le moindre cadeau autre qu’un objet de contrainte, de supplice. Nous vivons au-dessus de chez ma mère. Béa me fait deux robustes et beaux garçons. Elle fait tout pour retrouver sa silhouette d’avant. Et cela fait presque trente ans que cela dur. Jamais nos enfants ne se sont doutés de la soumission de leur mère. De ma mère, justement, elle vit toujours aussi heureuse avec son amie. Elles affichent clairement leurs amours, même en public. Et gare à qui la traite de gouine ou autres noms vulgaires, perso, je ne m’y risquerais pas. Maman est devenue accro aux self-défense, vous voilà prévenu !

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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