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Voici l’histoire de khadija N., 41 ans responsable des imports-exports dans une firme internationale du Maroc.
« Je voyageai beaucoup depuis ma nomination au service des imports-exports de ma boîte. Ma famille en souffrait surtout mon mari qui ne me voyait que 4 mois sur 12, mais je n’avait pas le choix, étant payé grâce ment. A mon arrivée, je fus convoquée au bureau notre directrice générale (une suissesse de 56 ans). Je retrouvai Hamed dans le bureau. Hamed était un employé hors du commun. Il était d’une grande beauté et avait un franc succès auprès des femmes de la firme. Le bruit courait qu’il en avait sauté une bonne part. J’eus droit à ses avances mais lui interdis, à contre coeur, de ne plus m’importuner. Une amie et collègue de travail à qui je me suis confiée sur la question me traitèrent d’idiote n’arrivant pas à croire que j’ai décliqué les avances d’Hamed alors qu’elle brûlait d’envie de se faire sauter par lui. Je reconnais que j’éprouvais un profond désir pour ce coureur de jupon, mais je craignais de mettre la vie de mon couple en danger. Hamed était l’amant de mes fantasmes. Il m’arrivait, pendant que je faisais l’amour avec mon mari, de l’imaginer en moi. J’en jouissais comme une folle (et mon pauvre mari qui croyait être le meilleur des amants). Bref, je fus étonnée de le voir en pleine conversation avec madame Francine R. Il semblait avoir une complicité entre les deux. La directrice m’annonça que pour ma prochaine mission, je serai accompagnée d’Hamed. Je restai hébétée à la nouvelle. Ma réaction surprit madame Francine qui me demanda sans détour si je voyais un inconvénient à effectuer ce voyage avec mon collègue. Je balbutiai que tout était bien, qu’il n’y avait pas de problème. Mon coeur battait la chamade et j’eus du mal à me concentrer sur les instructions de ma supérieure. Le voyage était prévu pour le lendemain au matin. Hamed me regardait, un sourire ironique sur les lèvres. mon compte était bon. Nous sortions de chez la directrice et je me précipitai dans mon bureau, ignorant les appels d’Hamed.
Ce fut l’heure de la descente. Un à un, tous les employés désertèrent l’immeuble. Je devrai rester pour préparer les dossiers du voyage. Après une heure de travail, je sortis dans le hall me dégourdir les jambes. Je marchai pieds nus sur l’épaisse moquette quand je vis Hamed rentrer dans le bureau de madame Francine. J’étais intriguée car je voyais mal ce qu’ils pouvaient faire en dehors des heures du travail. Je voulus en avoir le coeur et me dirigeai avec précaution vers le bureau managérial. J’entendis la directrice dans une étrange conversation avec Hamed. Elle lui disait qu’il lui manquait depuis la dernière fois. J’arrivai à temps pour les voir s’embrasser avec ardeur. Madame et le Hamed étaient donc amants ! Le jeune homme la couvrait de chauds baisers et la parcourait de caresses. La patronne semblait ravie et le suppliait de continuer. L’autre la déshabilla entièrement, malaxant ses fesses et les seins pendant qu’elle lui massait la bite en travers du pantalon. Madame fit surgir une énorme queue et la fourra dans la bouche après s’être agenouillée devant mon collègue. Hamed était monté comme un cheval! Il accompagnait les sucions de madame en lui maintenant la tête et s’agitait lentement dans la bouche. Je ne pouvais pas réaliser qu’il puisse éprouver pareil plaisir avec une dama qui pouvait être sa mère. Lui n’avait que 30 ans, et madame Francine 54. Il la releva et la fit assoire sur le bureau, écarta grand ses cuisses et plongea dans sa chatte d’un seul coup. Madame cria de plaisir. Les vas et viens commençaient, aussi puissants que réguliers. Je ressentais une douce chaleur dans le bas ventre. Cette scène m’excitait aussi. Je me mettrai bien à la place de ma patronne à recevoir la grosse queue d’Hamed. Hamed, je comprends pourquoi il avait tant de succès dans l’entreprise. La directrice râlait à chaque coup de boutoir porté dans son ventre. Elle était ravie, la tête reversée, les yeux révulsés. Je relevai ma jupe et commençai à me masser la chatte. Elle était dégoulinante de mouille. Je ne quittais pas le couple adultère des yeux. Mon plaisir montait aussi. J’astiquais à toute vitesse mon clitoris et jouis sur le coup. Je glissai sur la moquette terrassée de plaisir.
Hamed se retira de la chatte de Francine et la place en levrette. Il s’enduit abondement la queue de salive et la plaça plus haut sur la raie des fesses. Il mit un certain temps à la pénétrer et je compris qu’il essayait de la sodomiser. La directrice était une véritable cochonne. La bite s’enfonça profondément en son anus. Il l’enculait bien et elle en pleurait de plaisir. C’était beau de voir Hamed s’agiter aisément dans le cul de ma patronne. Il la maintenait ferment. La sodomie dura près de 5 minutes et Hamed ne semblait plus se contenir. Il accéléra et dans un cri explosa dans les fesses de madame Francine. Elle s’écroula ivre de plaisir son bureau accompagnant Hamed dans sa chute. Le cinéma était fini. Je retournai donc pour me réfugier dans mon bureau quand je tombai nez à nez sur Nasir un jeune gardien de 25 ans. Il devrait se trouver là depuis un moment et absorbée par la scène insolite, je ne l’avais pas remarqué. Il me saisit comme une malpropre qu’on expédiait d’une salle pour m’emmener au fond du couloir. Je fuis tellement surprise par son attitude que je restai bouche cousue. arrivée dans le pénombre, le jeune m’expliqua qu’il m’avait surpris entrain d’épier la patronne et qu’il allait lui en parler. Je risquais vraiment mon emploi et le priai de ne rien dire car je savais que la directrice était sa marraine. Il me rassurait mais exigea de me sauter. Je faillis lui foutre une bonne baffe, mais me retins. Mon avenir dans l’entreprise se jouait. Sitôt, il me poussa dans une pièce encombrée de fournitures de bureau et me serra dans ses bras. Passé le dégoût (il avait l’âge de mon fils), je l’enlaçai à mon tour cherchant sa langue qui me fouillait la bouche. Il embrassait vraiment bien le jeune Nasir. Il me lécha dans le cou, ma malaxa les gros seins. Je baissai sa braguette pour en sortir sa queue qui formait une bosse impressionnante sous le tissu de son uniforme. Elle était grosse et longue, parsemée de veines. Je m’agenouillai devant lui pour prendre la bite dans ma bouche. Elle était bien grosse! Je suçai ce jeune employé comme une pute. Il me flattait de mots tendres et me tenait la tête d’une main ferme. Nasir me dit qu’il voulait me baiser. Je lui répondis moi aussi et me penchai les mains en appui contre le mur, lui offrant mes grosses fesses. Il les caressa un moment et sans m’y attendre m’enfuis d’un coup sa grosse queue dans le ventre. Je criai mon bonheur, remplie par cette queue qui commençait à se mouvoir en moi. Oh qu’il me baisait bien ce jeune Nasir. Il me pilonnait la chatte, me tenant fermement. Je jouissais sans arrêt, le suppliais d’aller plus profondément en moi. Jamais mon mari ne m’avait procuré un plaisir aussi puissant. Je perdais la tête et me retrouvai à 4 pattes. Mon amant ne m’avait pas lâché. Nous étions en sueur, soudés l’un à l’autre par cette queue qui me ravageait.
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