Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe soeur Histoires érotiques au travail

Chap. IV – Bio amoureuse – « Livraison &agrav

Chap. IV – Bio amoureuse  – « Livraison &agrav



— Chapitre IV —

D’autres chapitres et histoires sur

Il y a un outil qui eut une importance extrême dans ma vie, c’est le Minitel, c’était presque mon job, du moins j’avais accès à cet outil dès sa création et sans restrictions. Si au débit ce fut un objet de curiosité, l’arrivée des service de dialogue, de petites annonces et autres moyens de communiquer fut une véritable aubaine.Au début, je ne m’en servais que de temps en temps pour discuter, en général j’essayais d’avoir mes correspondantes au tel, pour prolonger la discussion. Et naturellement je ne cacherais pas que bien souvent nous terminions par des assauts amoureux au tel. Vous serez peut être un certain nombre à de pas comprendre quel plaisir il y a à faire l’amour au tel… Avez vous au moins essayé? Non? Alors ne critiquez pas.. Certes c’est pas aussi bon qu’a deux ou plus.. mais c’est tellement meilleur qu’une masturbation en solo…

Suite…

Dans le cas ou c’est une rencontre de passage, on prend du plaisir selon l’attitude de la personne, il faut qu’elle ne soit pas trop timide pour oser parler, exciter le partenaire. Mais si c’est une personne que l’on connait déjà et qu’on est séparé par la distance, c’est encore différent, on a déjà l’expérience de cette partenaire, on sait ce qu’elle aime, on est moins timide et c’est encore meilleur.. Moi j’aimais beaucoup ces amusettes, mais naturellement le but ultime était la rencontre.. Évidemment la distance, les contraintes divers faisaient que ce n’était pas toujours possible. Mais étant libre et célibataire il m’arrivait de faire des centaines de km pour une rencontre qui au final pouvait bien ne pas avoir lieu ou être manquée.. Honnêtement le cas ne c’est presque jamais produit et on ne m’a posé qu’un seul lapin.

Donc dès l’avènement des services de dialogue sur minitel, j’y passais un certain temps. Contrairement à ce que d’aucun aurait pu penser je suis toujours tombé sur des gens qui ne trichais pas, ceux qui montaient des bateaux ou trichaient n’acceptent pas en général de téléphoner ou de rencontrer les gens. C’est ainsi que j’évitais les mauvaises surprises. Étant libre, je donnais mon téléphone on prenait contact et on avisait sur ce qu’il convenait de faire. Il était évident que trouver une femme seule était assez ardu. Encore que je fis la rencontre de plusieurs filles seules, qui cherchaient de la compagnie, une aventure ou parfois le prince charmant. J’étais très clair, pour ma part je cherchais une aventure d’un soir ou de quelques soirs. L’avenir dirait si on gardait contact ou pas.

Ma première rencontre par minitel s’appelait Sandrine. Jeune enseignante, elle avait échoué dans la région pour son premier poste. Sandrine était timide, complexée par son corps, elle était forte, n’avais pas la taille mannequin et se sentait pas attirante. Vous allez dire ah oui bien sur sur minitel on trouvais que ce genre de profil.. Hé bien non erreur, il y avait de tout les gabarit.

Je dialoguais plusieurs fois avec elle. Elle était intelligente et drôle. Elle avait fini par m’avouer qu’elle avait pas mal de fantasmes mais qu’elle en avait honte. Elle admettait également qu’elle n’avais pas eu beaucoup de petits copains a cause de sa propension à être une bosseuse et que sa taille au dessus de la moyenne la complexait tellement qu’elle avait du mal à se mettre nue.

Pour ma part, je n’ai jamais eu d’archétype féminin. Mon type de femme c’est celle qui me dit oui et qui fini dans mon lit. De toute façon on les trouve toujours belle quand on leur fait l’amour. Ce qui compte c’est l’envie de partager, de donner et recevoir du plaisir. Sandrine était au courant que si on se voyait il n’était pas question si on n’allait jusqu’au lit , de ferme la lumière ou de vouloir se cacher.. Je voulais la voir telle qu’elle était.

Je lui avais clairement dit que je ne cherchais pas d’aventure durable, mais que rien n’interdisait de se voir de temps en temps si la rencontre marchait bien.

Elle était en confiance et pour la rassurer encore je lui donnais rendez vous dans un bar, en ville. Elle m’avait donné d’elle une description complète et surtout la tenue qu’elle porterait en me disant que de toute façon je la remarquerais à ses yeux bleus très pales  » la seule chose bien chez moi disait-elle ».

Nous avions expérimenté un peu l’amour par tél. Elle n’arrivait pas à se libérer et je l’entendais a peine, mais disait-elle elle avait pris du plaisir. Mais elle était bien trop timide pour arriver a un plaisir valable. Elle m’avoua que c’est presque avec moi au tel qu’elle avait pratiqué la masturbation pour la première fois.

A l’heure dite, même bien avant j’étais arrivé à notre rendez-vous. A cette heure peu de monde dans le café, c’était idéal. J’étais installé avec un café depuis 10 minutes, que j’aperçus une jeune femme, blonde aux cheveux longs, forte avec une poitrine affolante. Elle n’avait pas la taille mannequin, mais dans sa robe, un peu stricte mais élégante, elle avait belle allure. Je remarquais qu’elle portait des talons haut et sa démarche était vraiment sensuelle, chose assez rare elle savait marcher avec des talons. Je me levais et alors qu’elle approchait je lui fit un petit signe. Elle répondit par un joli sourire. Une fois prés de moi elle hésita un instant et m’embrassa gentiment. Elle avait la peau douce et mon dieu qu’elle sentait bon.

Je lui commandais un café, et nous commençâmes à nous découvrir. Je ne pouvais résister à la tentation de lui dire que je trouvais qu’elle était trop dure avec elle. C’est vrai elle m’avait fait un portrait pas très flatteur de son aspect. Alors que je découvrais une très jolie fille, certes rondes avec pas mal de kg en trop selon les critères établis. Mais elle avait un charme fou, des yeux magnifiques, d’un bleu si pale qu’on aurait pu se noyer dedans, bleu très pales avec des petits éclats gris. Elle avait passé du temps a se maquiller sans doute, c’était parfait. Elle m’avoua plus tard qu’elle avait fait un crochet par l’esthéticienne pour mettre tous les atouts de son côté. Sa poitrine était impressionnante, je dois avouer que j’avais une terrible envie de la voir, mais sa robe était peu échancrée et ce que je voyais n’était pas significatif. Ses jambes étaient gainées de noir, des bas a couture en plus qui donnaient un certains style à ma peut être future conquête.

Je lui demandais ce que Elle pensait de moi. Elle trouvait que j’avais également de très jolis yeux, elle me fit même enlever mes lunettes pour les voir. J’avais comme toujours joué franc jeu et elle n’était pas surprise . La barbe semblait un peu la chagriner, mais après avoir osé passer ses doigts doucement dessus elle trouva qu’elle était douce . Elle se détendit au fur et a mesure que nous faisions connaissance. Et bien sur in finit par aborder le sujet principal… Elle cherchait une aventure, elle ne cherchait pas le prince charmant mais disait elle un peu de vie, de folie . J’appris que sa vie sexuelle se résumait a une paire de copains il y avait un moment, ça avait duré quelques temps avec l’un d’eux à qui elle avait donné sa virginité, mais que rapidement il la laissa tomber. Ensuite c’était le désert. Je réussi quand même a lui faire dire que de temps en temps elle se donnait un peu de plaisir. C’était fort rare. Mais elle faisait des rêves érotiques fréquemment. Elle était dans la région a cause de son poste d’enseignante remplaçante. Elle était originaire du Nord.

Rapidement nous étions arrivés à la conclusion que, nous n’en saurions pas plus à la terrasse d’un café. Il nous fallait maintenant de l’intimité. Elle m’avait laissé prendre sa main, durant notre discussion et m’avais laissé lui caresser la joue a plusieurs reprise. Elle se sentait en confiance et semblait prête à aller plus loin. Je lui avais demandé d’ailleurs et elle avait répondu que sans doute ça irais mais elle avait vraiment du mal à réaliser.

J’emmenais donc Sandrine chez moi, mon appartement était au premier, et tout l’immeuble était occupé par de vieilles dames qui avaient toujours un œil sur ce qui entrait ou sortait.. Elles eurent beaucoup de travail avec moi.

Une fois chez moi, j’installais confortablement Sandrine dans un fauteuil, et j’ouvrais le champagne.. Quelle femme y résiste? Maintenant comment allait elle réagir?

En ce qui me concerne je la trouvais très à mon goût, mon seule reproche étant sa réserve et sa timidité. J’avoue que j’ai un faible pour les femmes qui assument, qui osent, au besoin prennent des initiatives en un mot et c’est un compliment dans ma bouche, j’aime les salopes. Et Sandrine n’était pas à première vue de cette catégorie.

Je m’étais installé prés de Sandrine, assis sur l’accoudoir du fauteuil, prés d’elle. Sa coupe à la main elle bavardait. Je senti qu’elle attendait le moment ou j’allais passer à l’offensive, prie j’ai eu l’impression qu’elle commençait a trouver le temps long. J’avais temporisé pour qu’elle ne se sente pas trop pressée… Mais nous devions passer à l’action. Je posais ma main sur ses cheveux, les caressant, j’étais au dessus d’elle, et elle laissa aller sa tête en arrière, ses grand yeux me scrutaient avec une point de malice, ses lèvres rouges s’entrouvraient et lentement je posais mes lèvres sur les siennes. Son bras entoura mon cou et elle m’attira vers elle, sa bouche s’ouvrait, sa langue repoussait la mienne et explora ma bouche avec avidité. Je sentais sa respiration accélérer, ses lèvres avait le gout de fruits rouges, son parfum m’enivrait. Notre baiser fut très long. Mes mains parcourait ses seins qui se soulevait au rythme de son souffle, j’entendais le crissement des ses bas alors qu’elle croisai frottait ses jambes les serrant et desserrant au tempo de son désir qui montait. Le mien également était grimpé en flèche. Ma main se glissait sous sa robe, caressant la soie des bas, elle écartait docilement les cuisses, je sentais la limite de ses bas sous mes doigts, j’allais plus avant, le grain de sa peau était fin, l’intérieur de ses cuisses d’une douceur de bébé. Je sentais maintenant sa culotte, en fait elle semblait disparaitre entre les lèvres de son sexe. Je sentais le tissu, il semblait moite, oh oui ma belle et charnue partenaire était déjà bien mouillée.

De son côté elle perdait toute sa réserve, elle avait lancé sa main entre mes cuisses et c’était emparée de mes couilles, les malaxant avidement ou point que c’était un brin douloureux, mais ça me faisait bander comme un carme.

Entre deux baisers je lui dit  » Vient au lit  » elle se leva du fauteuil, et nous avons fait les quelques mètres entre le salon et la chambre en nous déshabillant mutuellement. C’était vraiment torride. Une fois sur le lit, il ne restait a Sandrine, que son porte jarretelle, ses bas et ses talons. Elle était dodue, mais franchement très belle, ses seins étaient énormes mais pas flasques comme cela arrive, ses tétons étaient roses, petits mais dressés et durs. Ses hanches larges, sa croupe rebondie. Sa peau blanche était d’une douceur incomparable, son sexe, a peine ombré de quelques poils se nichait entre ses cuisses, qu’elle ouvrait largement pour que je la prenne..  » Viens prend moi vite, baise moi j’en ai envie. » Contrairement à mon habitude, je m’installais entre ses cuisses, sans même un petit coup de langue, c’était inutile tant elle était mouillée déjà. Je léchais ses seins enfouissait mon visage entre eux, ma queue se glissait dans son antre bouillant. Elle gémissait les cheveux épars autour de son visage. Ses grand yeux me scrutaient, plein d’une lueur sauvage. Elle se déchainais, ondulant, se cambrant, roulant du bassin. Plus agile qu’elle ne l’aurais laissé imaginer. Mon sexe était à la fête. Je sentais vagues après vagues ses sucs qui coulaient sur ma queue tendue. Je ressortais mon membre entièrement et jetant un coup d’œil je le vis couvert de crème. Sandrine agrippa et m’attira.  » Vite baise moi, défonce moi la chatte ». Quelques instants plus tard, j’éjaculais dans son ventre. Nous étions tous les deux aux anges. Je me laissais aller sur le dos pour reprendre un peu mon souffle. Sandrine aussi.. Elle me regardait amoureusement, en caressant ma poitrine. Elle vit que je bandais toujours.. Sa main pris mon sexe, et elle me caressa doucement.  » Je te fais pas mal? »  » Tu veux que je te suce? je l’ai jamais fait tu me dira si c’est bien.. » Et disant cela elle s’installe confortablement pour me sucer. J’observe, elle hésite un peu, puis ses lèvres pose un bisou sur mon gland, puis elle s’arrondissent et commencent à descendre sur ma tige. Sa bouche est chaude, et pour une novice elle est plutôt douée. Sa langue me cajole le gland, elle aspire. De mon côté ma main s’égare dans le sillon de ses fesses, glisse vers sa chatte qui est gluante, de son jus, de mon sperme qui lui coule le long de la cuisse. Je lui demande de se mettre a califourchon sur moi en 69. Elle se fait prier  » Non je suis toute collante, tu sent bien » Cet argument ne tiens pas. Elle passe un genou par dessus ma tête et là je suis aux anges, sa chatte largement ouverte dégouline, je plonge avidement ma bouche dans ce gouffre de plaisir, je lèche mon sperme mêlé à son nectar, le mélange est savoureux, l’odeur forte m’enivre, son sexe sent l’amour. Sandrine m’étouffe presque, tant elle donne des coups de hanche pour que je la broute plus profondément. De son côté elle me suce vraiment bien pour une femme qui ne l’avais jamais fait. C’est perfectible certes et je lui ai appris plus tard comment faire plaisir.. Mais pour l’heure c’est largement suffisant.. pour m’amener au bord de l’orgasme. Comme je ne tiens pas à la surprendre, je la préviens, elle continue a me sucer jusqu’au moment ou elle sent la première giclée, léger mouvement de recul et elle me reprend en bouche me faisant jouir complètement..

Nous sommes tous les deux un peu fatigués, nous nous étendons côte à côté, elle a le minois tout barbouillé, mais elle est radieuse.. Elle se serre contre moi m’enlace et me couvre de baisers.

« C’était génial!! , je ne pensais pas qu’on pouvait prendre autant de plaisir » Sandrine semble comblée. On en parla longtemps, cet après midi là.. entrecoupant nos discussions d’assauts amoureux. Elle était enchantée de notre rencontre, moi aussi car franchement elle était douce, ses tabous tombaient l’un après l’autre, c’était un peu le papillon sortant de sa chrysalide. Elle se rendait compte que malgré que son physique n’était pas celui de miss monde, elle avait un potentiel érotique certain. Je lui imposais de se regarder nue dans la glace, de prendre des poses, qui mettait en valeur ses rondeurs. Au début elle ne voulait pas, se trouvant moche, mais ma patiente paya au bout du compte. Elle fini par aimer son image, se trouva sexy au bout d’un certain temps. Et elle l’était. Nous avons passez plusieurs WE ensemble. Je l’emmenais au resto, on est allé voir des concerts aussi. Ensuite nos rencontres prirent fin quand elle fut envoyé dans un autre poste, en région parisienne. On s’appelait de temps en temps. Et elle c’est trouvé un prince charmant un soir.. sur minitel.. Quand elle me l’a appris cela m’a bien fait rire.. J’ai gardé un excellent souvenir de cette première conquête sur minitel.

J’avais remarqué qu’il était plus facile de croiser sur minitel des couples qui recherchait un couple, une femme ou un homme, que des femmes seules.. Je n’avais jusque là pas répondu à ce genre d’attentes ayant envie d’une partenaire et non d’en partager une. Cela dit je ne m’interdisait pas le dialogue sur minitel avec les couples bien sûr. Et un soir ou je travaillais, ne trouvant aucune coquine seule, je discutais avec un couple, qui s’avéra être à deux pas de chez moi. Michelle et Marc. Ils étaient des habitués du trio qui leur semblait la meilleure configuration pour que Michelle prenne beaucoup de plaisir. Et c’est une évidence, mais 2 hommes pour une femme c’est le gage pour cette dernière de passer de très bons moments. Toutes celles que je connais ayant osé, ont vraiment apprécié et souvent renouvelé l’expérience. Pour l’homme c’est aussi une bonne formule elle permet de regonfler les batteries avant de se relancer dans un nouvel assaut. On comprendra que l’alternance ainsi organisée permet à madame de profiter d’une occupation à temps plein.

Michelle était vraiment charmante, amusante et sans tabous. Au bout de quelques temps au clavier je trouvais plus sympa de se contacter par tel. Elle me donna son numéro aussitôt que je proposais de nous contacter de vive voix. Nous avons passé toute la soirée au tel, a bavarder de tout de rien, de sexe bien sur. De ce que j’aimais, de ce qu’eux aimaient. Je ne cachais pas que si on se voyait se serait pour moi la première fois à trois. Cela ne semblait pas leur poser de problème. J’appris que Marc était bisexuel, qu’il ne dédaignait pas s’amuser avec les hommes. Pour ma part ce n’était pas ma tasse de thé, Michelle me dit que ce n’était pas important. Elle ajouta que un jour ou l’autre j’y viendrais compte tenu de notre discussions elle trouvait que j’avais justement le profil pour me lancer dans cette découverte.. J’avoue que ce discours me fit hésiter d’aller plus loin avec eux. Mais Michelle était tellement gentille que je continuai quand même.

Au bout de notre discussion la question se posait.. on se voit? On se voit pas? Michelle était seule à la maison Marc comme moi travaillait la nuit. Je lui dit que je pouvais rappeler quand il serait là. Elle m’expliqua que c’était pas nécessaire que de toute façon elle avait en fin de compte la décision. Ce qui était bien normal puisque c’est surtout elle qui bénéficiait d’un homme en plus. Et au vu de nos échanges Michelle avait envie de me rencontrer.

Nous décidions de nous voir chez moi, le samedi après midi suivant, soit 2 jours plus tard. On s’amuserait l’après midi avant d’aller passer un moment au resto.

Le samedi après midi , coup de sonnette. Je descend ouvrir la porte, et là Michelle est sur le pas de la porte, souriante et je vois une voiture qui redémarre et un bras qui me salue par la vitre ouverte.. Je suis assez surpris.. Michelle m’explique, ils sont en train de refaire leur appartement, Marc a pris du retard il lui reste du papier à poser. Il est venu déposer sa femme, et on se retrouvera tout à l’heure pour le resto. Je suis estomaqué, le mari me laisse sa jolie femme en dépôt, amusante situation. Michelle est une belle femme, son visage n’attire pas vraiment le regard, de petits yeux noisettes cachés derrière de grandes lunettes, de petites rides malicieuses au coin des yeux, une jolie petite bouche, des cheveux châtain clair, bouclés. Mais c’est sa plastique qui attire le regard, enfin pour ma part j’ai aussitôt remarqué, les jambes aux mollets galbés, une taille fine, des fesses rondes ni trop ni trop peu. Une poitrine généreuse haut perchée. Une démarche à vous faire péter les boutons de braguette. Michelle est sans doute l’un des plus beaux corps que j’ai caressé. Une fois dans mon appartement, je me rendis compte qu’elle n’avait aucune inhibition. Au bout de 15 minutes, elle était presque nue, et je la caressais comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Épilée , sa motte était rebondie et faisait vraiment penser à un abricot. Elle s’installa sur la table pour que je puisse la lécher confortablement. Elle avait durant notre courte discussion, avancé le fait que les hommes en général ne sont pas forcément très doués, à ce jeu. J’avais proposé de lui prouver le contraire. J’eus la bonne surprise de trouver un bouton d’une taille plus que respectable, en fait il était gros et long comme la dernière phalange de mon petit doigt. Tout tendu et décalotté je me faisais un plaisir de le sucer, de l’aspirer. La belle, semblait apprécier mon traitement, et poussait force soupirs.. Je m’appliquais à la faire jouir, ce qu’elle ne tarda pas à faire. Maintenant qu’elle était mouillée, je me glissais en elle, dieu qu’elle était musclée. Je pensais qu’elle était étroite quand brusquement je m’enfonçais jusqu’à la garde avant de sentir son sexe tenter de broyer ma queue. Il était temps d’aller au lit. Elle préférais également. Là elle me fit allonger, puis se mit à califourchon sur moi, s’empalant sur mon sexe dressé. Elle posa ses mains sur ma poitrine et me dit  » Tu m’a léché comme jamais.. maintenant a moi de te faire plaisir ». Elle ne bougeait pas ou presque mais les contractions qu’elle imprimait à son vagin, me massait la queue. C’était lent, progressif.. Ses mains caressais, ses doigts se mirent à pincer mes tétons.. Je tressaillais et comme toujours ma queue eu un regain d’érection. Elle sentit que cette caresse me plaisait..  » Ah tu aimes çà.. » Et elle se mit à me triturer les pointes, elle me faisait même un peu mal, mais j’adorais.

Elle me chevauchait, immobile ou presque, je pétrissais ses seins aux pointes dressées. Michelle me regardait avec un sourire malicieux, guettant sur mon visage les signes de mon plaisir. Elle aussi prenait plaisir à cette chevauchée. J’avais de plus en plus de mal a rester concentrer sur les caresses que je lui prodiguais. Vague par vague mon plaisir montait, j’avais l’impression de n’être plus qu’une queue palpitante, broyée dans son vagin. Quand je dis broyé je pèse mes mots, la constriction était parfois si forte qu’elle me faisait mal. Elle sentait que mon plaisir arrivait. Brusquement au moment ou j’allais jouir elle sauta littéralement de sur moi , pour venir se placer entre mes cuisses. Ma queue tendue, luisante de tout son jus luisait, elle serrait la base de ma queue, le gland était presque violet, les grosses veines saillaient. Michelle passa sa langue sous le gland lentement. Malgré mon état d’excitation je ne pouvais détacher mon regard, elle serrait et me décalottait de plus en plus loin. La tension de mon sexe était presque au maximum, et elle tirait encore, donnant de petits coups de langue. Je vis un fin filet translucide perler au sommet de mon gland, il se mit à dévaller le long de la tige. Suivit d’un autre, et d’un autre. Je sentais monter chaque émission. Et venant du fond de mon ventre je senti venir l’orage. Je poussais un cri lorsque enfin je fus libéré. Michelle avait la bouche grand ouverte et je voyais les giclées s’écraser sur sa langue, ses lèvres, ses joues.. Cet instant me donnait l’impression de durer, ce n’est qu’au bout d’une douzaine de giclées que enfin la tension retombait. Et encore quand je dis la tension retombe ce n’est que partiellement vrai. Quand je suis excité, que j’ai encore envie de profiter de ma partenaire, je mets un temps infini a débander même après avoir joui. Et naturellement si on reste gentiment côte a côte la tension retombe mais si rapidement on reprend une activité je ne perd pas mon érection. C’était surtout vrai à cette époque ou j’étais jeune. Michelle avait la bouche pleine de sperme, elle me contemplait l’air rieur. Je me mis a genoux, et prenant sa tête entre mes mains, je l’attirais vers moi, pour l’embrasser. Elle ne parut pas surprise par cette démarche et me laissa lécher mon sperme sur ses lèvres avant que nous profitions tous deux de ce qui était dans sa bouche dans un baiser plus que fougueux.

« Tu est un vrai pervers toi… Mais j’aime bien »

Ma main entre ses cuisses constatait qu’elle était trempée, ma queue qui frottait contre son ventre, avait envie d’action. Je lançais mes doigts à l’assaut de son anus.. Elle se cambrait, puis se mettant à quatre patte me dit « Tu a envie de m’enculer? Vas y j’adore çà. » Je ne me fis pas prier et empoignant sa croupe, je posais mon gland contre la pastille brune que j’avais largement humecté de quelques coups de langue. Je la pénétrais facilement, son anus cédait sans opposer de résistance. Visiblement la sodo était une habitude. En fait j’ étais moins serré dans son anus que je ne l’étais dans son sexe quand elle se contractait. Le plaisir est différent, la sensation agréable. J’aime beaucoup sodomiser celles qui apprécient. Michelle en experte, se caressais le clitoris en même temps. Elle osait ce que beaucoup ne font pas, pourtant c’est un excellent moyen de se donner le maximum de plaisir. Ajouter le plaisir de la masturbation à la pénétration anale c’est un must.. Et en plus quel homme n’est pas émoustillé par cette vision? Passablement excité l’assaut ne dura pas très longtemps mais suffisamment pour qu’elle et moi atteignons un orgasme ravageur après cette débauche d’énergie en peu de temps en fait tout cela nous avait a peine pris 2 heure..

Après cela nous sommes restés au lit, pour bavarder. On était enlacée ses cuisses serrées autour de des miennes, je sentais la chaleur humide de son sexe quand elle bougeait, je sentait même son clitoris toujours tendu. Ses seins contre ma poitrine. Elle avait la main sur mon sexe qu’elle cajolais doucement comme un petit a****l. On se donnait des baisers, tout en parlant. Elle avait beaucoup apprécié nos premiers assaut. Elle était contente, se disait surtout impatiente de pratiquer à trois. Elle trouvait que j’étais surtout très attentif au plaisir de ma partenaire. Selon Michelle c’était rare que surtout la première fois avec un inconnu elle prenne autant son pied. Pour ma par j’avais aussi pris énormément de plaisir. Et ce n’était pas fini.. Nous avons remis çà après un peu de repos.. Mais sans forcer.. car nous devions retrouver son mari, aller au resto et finir la nuit a trois. Il aurait été idiot de nous épuiser totalement.. Et comme je le lui avait dit, c’était pour moi la première expérience à trois.. j’étais impatient mais aussi un peu anxieux.. me retrouver à poil avec un autre homme me stressais un peu.. D’autant que je savais que son mari ne détestait pas avoir des relations avec des hommes..

Le soir, je raccompagnais Michelle et faisais la connaissance de Marc. On décide d’aller au resto de bonne heure, afin de ne pas rentrer trop tard et de profiter de la soirée et de la nuit pour faire des folies. Quand Michelle à commencé de brosser son après midi, je fus assez gêné.. Pas évident de voir sa partenaire raconter par le menu ce qu’on a fait avec elle. En général on cache ce genre de choses.. là tout était sur la table. D’un autre côté.. Michelle ne tarissait pas d’éloges. J’étais un peu gêné car elle me touchait, me caressait la main tandis qu’elle parlait. Marc écoutait avec attention et semblait aussi enchanté qu’elle. Il finit par dire qu’on allait bien s’amuser après.. Au restaurant, Marc insista pour que je m’installe à côté de Michelle, lui se mit face à elle. Il dit en substance que comme çà je serais prés d’elle pour la chauffer.. étant le petit nouveau elle apprécierait encore plus.. J’étais stupéfait de la complicité entre eux deux. Et je sentais également qu’ils étaient amoureux, étonné aussi de la façon dont ils géraient la situation. Je finis par dire que au fond de moi, j’étais au départ un peu gêné de la situation.. Marc éclata de rire.. et dit  » C’est normal la première fois.. comme çà « 

Cette discussion était vraiment agréable Marc n’arrêtait pas de m’engager à lutiner Michelle qui ne demandais que çà. Nous étions elle et moi sur une banquette dans je fond du restaurant, que je connaissais par ailleurs très bien. Sa jupe était retroussée, et comme elle n’avais pas de culotte, j’arrivais sans aucun problème à lui caresser le minou. Elle ne se gênais pas pour poser sa main sur mon sexe qui je dois dire était gonflé.. Marc, observait et savourait les mimiques que nous faisions.. de même que nous nous amusions Michelle et moi quand elle posa son pied sur le sexe de Marc.. et là c’est lui qui faisait plaisir à voir. Ce repas fut mémorable, allier bonne chère, bon vins et sexe c’est vraiment le bon côté de la vie. Je crois que ce moment j’ai compris que ce que plus ou moins vulgairement on appelle partouzes, n’est que l’expression de l’envie de vivre, de prendre du bon temps et profiter. C’était mon coup d’essai, j’avais encore une fois la chance inouïe de tomber sur ce couple génial. Durant le repas j’avais tellement chauffé Michelle que sa chatte était trempée, et ayant pousser un peu plus loin mes investigations, je sors ma main de sous la table, mes doigts jusqu’à la deuxième phalange dégoulinait de suc, transparent. Sans hésiter, Michelle pris ma main et se mit a sucer mes doigts, se moquant éperdument des regards en biais d’un couple un peu plus loin. Elle dit et je me rappelle mot pour mot..  » Les garçons vivement qu’on soit à la maison.. vous allez me baiser par tous les trous » . On était bien décidés à le faire avec Marc.. Puis vint une petite discussion sur les relations homme/homme. Marc était bisexuel, et appréciait les hommes. Il ajouta que bien sur si moi je n’appréciais pas. Ce n’était pas grave, il disait que c’était juste un plus. Une sorte de bonus quand il avait la chance de rencontrer un autre homme qui acceptait ce genre de relations. Il me dit que j’avais une bonne tête et qu’après ce que Michelle avait raconté, il serait plutôt intéressé.. Comme il voyait que ce n’était pas ma tasse de thé, il déclara solennellement et en rigolant qu’il ne tenterait rien.. Il ajouta aussi.. que certes j’avais le droit de pas aimer.. mais que dire j’aime pas quand on à pas essayé.. c’est un peu idiot. Il avait effectivement raison.. et après cette idée fit son chemin.. mais pas ce soir là.

Sur le chemin du retour, dans la voiture, se fut assez épique.. Michelle était à côté de moi, Marc avait insisté pour qu’elle monte devant avec moi. Et a peine étions nous assis qu’elle ouvrait mon pantalon, sortait ma queue et commençais à me branler.. Puis elle se mit à me sucer. Tout cela en ville, certes ils faisait nuit, mais arrêtés aux feux certains automobilistes ont eu droit à un petit bout de spectacle.. Marc lui nous matais et je fini par comprendre qu’il avait la queue à l’air et se masturbait excité par Michelle et moi. Arriver dans une tenue à peu prés décente dans l’appartement fut impossible.. Par bonheur on ne croisa personne. Michelle avait le chemisier ouvert, les seins par dessus le soutien gorge, la jupe troussée et roulée dans sa ceinture. Marc et moi chemise ouverte, queue à l’air.. Dans le parking déjà, Michelle a peine descendue de voiture, s’appuyant sur le capot me présenta sa croupe. Je ne pouvais que la prendre.. Je m’enfonçais en elle, tandis que Marc venait se faire sucer.. cela ne dura pas très longtemps car la lumière finit par s’éteindre.. En riant nous avons tâtonne pour retrouver l’interrupteur.. Dans l’ascenseur.. Michelle s’agenouilla et se mit à nous sucer à tour de rôle.. En disant surtout partez pas vous n’avez pas le droit tout de suite. Pourtant elle s’affairait si bien que Marc et moi qui étions maintenant vraiment très chauds.. Nous aurions pu facilement nous laisser aller.. Le spectacle était intéressant dans la glace de l’ascenseur. Je dois dire que je savais à cet instant que c’était ma première fois à plusieurs et que ce ne serais pas la dernière..

Ce qui me plaisait c’était la bonne humeur, la folie, la gaminerie dont nous faisions preuve.. De grands gosses qui font ce qui leur passe par la tête.. On joue avec l’autre, on se fait des niches c’est vraiment çà la pluralité que j’aime.. Pas question de faire des prouesses, d’être les plus beaux, les plus sexy, les plus virils.. Non c’est se faire plaisir, faire plaisir aux autres. Les orgasmes que nous partageons donnent du plaisir à tous.. Il suffit de regarder ses partenaires, une fois qu’on a pris du plaisir cette lueur dans leurs yeux.. ils partagent notre plaisir. Comme moi je ne peux m’empêcher d’adorer voir si je le peu, mais au moins sentir tous les tressaillement, les frissons , les cris les soupirs de mes partenaires.. On est à l’écoute de leur plaisir.. avec une femme si on est amant depuis longtemps, je sais devenir exactement le moment ou elle va atteindre l’orgasme, je sais comment le retarder, ou l’accélérer. Tout cela s’apprend uniquement en ayant de l’attention pour l’autre.. Quel plaisir c’est également lors de parties où l’on est un peu nombreux, ce moment ou tous nous sommes actifs , on entend les soupirs, les petits cris, les frôlements, les bruits humides et n’oublions pas les odeurs.. certains ont un tabou avec les odeurs, alors qu’elle participent à notre excitation et à la satisfaction de nos sens.. La sueur , le nectar de nos femmes, notre sperme, tout à une odeur une saveur. Cela fini par faire un parfum unique. Il flotte dans les lieux ou l’on s’aime. Ceux qui n’ont jamais fait l’amour qu’avec une seule personne à la fois ne peuvent pas comprendre. Ce plaisir est différent et semblable. J’ai remarqué que souvent une partie à plusieurs regonflais ma libido et qu’avec ma partenaire habituelle, après une partouze et pendant disons plusieurs semaines nous étions plus empressés.. plus enclin à faire l’amour puis l’effet s’estompe.. Ces soirées permettent de recharger les accus.. Et si on réfléchit, avoir la possibilité de faire l’amour avec d’autres femmes, d’autres hommes évite les envies mal assumées, voir l’envie de tromper l’autre. Pourquoi tromper sa femme, quand avec des amis on peut en changer, la réciproque est vraie pour elles.. Mais il faut absolument laisser au vestiaires les sentiments.. Si par malheur on commence à ressentir un autre sentiment que l’amitié et la complicité avec une partenaire dans ce genre de soirée il faut absolument s’arranger pour ne plus la voir. C’est un équilibre délicat à maintenir parfois. Il arrive que ça nous tombe dessus sans crier gare et là on peut faire beaucoup de dégâts faire voler en éclat deux couples.. Avec un peu d’expérience on sent celle ou ceux qui peuvent s’attacher et à nous de faire comprendre que que l’on s’amuse, on joue.. on joue a faire l’amour.. on ne fait pas l’amour.. La nuance est ténue mais très réelle. Oh bien sur cela m’est arrivé d’avoir des coups de cœurs pour certaines.. parfois difficile de démêler l’attirance naturelle pour un corps, l’envie de le « posséder » et l’amour, là on veut l’âme de la partenaire et pas seulement son corps. Ce qui sauve souvent c’est que le sentiment n’est pas partagé donc, on peut sans problème continuer à se voir, il faut que celui qui conçoit un sentiment se fasse une raison dans ce cas. Parfois c’est une passade, qui dure sur une rencontre ou deux et disparaît ensuite.

Depuis que je pratique l’échangisme ; plutôt le mélangisme, car je ne suis pas vraiment adepte de je te passe ma femme donne moi la tienne.. et on se retrouve en couple au bout du compte.. je préfère de loin on est a 4 ou 6 voir plus dans un lit.. on ne sait plus qui est ce sein, ce sexe mais on joue on fait plaisir çà c’est sympa. Depuis le début j’ai rarement vu de couple éclater à cause de cette activité.. Une fois.. oui.. Mais la plupart du temps au contraire j’ai vu plus de couples parfaitement soudés, qui s’amusaient et étaient parfaitement en harmonie avec leurs désirs, leurs envies une vie bien plus satisfaisante que beaucoup de couples dit normaux.

Ah oui.. est il normal.. de pratiquer le sexe avec plusieurs partenaires.. Bien sur que oui.. ce ne sont que l’éducation, des conventions, des normes imposées qui nous formatent. Le bien, le mal.. Billevesées.. Qui peut honnêtement penser que faire jouir deux femmes qui ne sont pas les vôtres et au même moment dans votre lit est ce répréhensible? Non au terme de la loi.. quid de la morale? Les deux belles son consentantes… elles sont libres de faire ce qu’elle veulent.. je ne vois rien d’amoral à cela.. bien sur si on commence à faire commerce de cette activité.. c’est discutable, si on la pratique avec des gens non consentants également.. Ceux qui nous pointent du doigt on surtout un problème.. c’est qu’il n’oseront jamais, il sont incapables d’assumer leur fantasmes.. Moi j’ai totalement assumé ( enfin a voir.. ) la plupart de mes fantasmes, et les ai concrétisés.. Certains disent qu’il vaut mieux que le fantasme reste fantasme.. c’est discutable.. C’est vrai qu’une fois réalisé je ne dis pas qu’il perd de sa saveur, non. Il perd le caractère de la chose que l’on pense impossible.. et souvent il sera remplacé par un autre encore moins atteignable..

Maintenant arrivant à l’orée de l’état de vieux schnock, mes fantasmes sont sans doutes inavouables et je crois que je n’en parlerais pas.. Mais tous ceux que j’ai réalisé, j’assume et j’ai aimé.. même si certaines choses me laissent un goût de cendre je ne regrette pas et je crois que je referais tout ce que j’ai fait.. Même en sachant que certaines actions me torturent un peu.. Mais vous le verrez plus tard j’ai voyagé du côté obscur pendant un long moment.

Donc, revenons à cette mémorable soirée qui est restée.. bien présente dans mon intellect au bord de la sénilité..

Sur le palier.. Marc et moi la queue au vent.. en fait.. Michelle nous tenaient par nos queue et nous a emmené jusqu’à la porte de l’appartement.. Pitrerie de mômes.. en fait mais qu’est ce que ce fut agréable.. Une fois dans l’appartement, nos vêtements volèrent dans tous les coins ( tant et si bien que le lendemain j’ai longuement cherché une chaussette.

Michelle était a quatre patte sur la moquette, et avait commencé à pomper Marc.. Elle me fit signe de la prendre.. trop occupée à déguster la queue de son homme. Ce fut avec facilité que je me glissais en elle, après toutes ses mises en bouche si j’ose dire elle était trempée.. Je remarquais seulement maintenant que Marc avait une queue, différente de la mienne mais pas plus grosse.. C’est une constante je pense quand on débute dans l’amour de groupe.. cette hantise.. est elle assez grosse.. Et au bout du compte on voit que la plupart des hommes ont un sexe a peu prés dans les mêmes tailles.. sauf quelques individus qui ont des sexe parfois monstrueux, et d’autres assez rare plus petits.. Mais jamais je n’ai entendu la moindre femme nous dire c’est trop petit.. par contre j’en ai vu certaine se refuser à des hommes trop bien pourvus.. du moins refuser la sodomie par exemple.

Donc bien calé entre les fesses de Michelle je la besognais, je dois dire assez vigoureusement. Très excité.. par tout çà.. Elle réfréna mon ardeur.. gentiment..  » Pas si vite, on à le temps mais continue c’est bon » Au bout d’un moment on inversa les positions, me faisant sucer avec délice. Puis Michelle me fit allonger, sur le dos.. vint me chevaucher. Elle s’empalait doucement, tandis que Marc arrivait .. elle se plaqua contre ma poitrine je sentais le bout de ses seins durcis qui agaçaient les miens.. Elle me regardait dans les yeux et je la vit chavirer quand Marc pénétra son anus.. Elle adorait la double pénétration.. et moi aussi .. je sentais la queue de Marc au travers de la fine cloison séparant le vagin de l’intestin, sensation étrange mais agréable. Michelle appréciait, ses yeux étaient dans le vague.. sa bouche ouverte laissait échapper des gémissements de plus en plus forts, sa respiration était saccadée.. JE pris ses tétons entre mes doigts et les triturais.. Instantanément elle se cambra légèrement.. me faisait pénétrer plus loin en elle.. « Allez y fort, bourrez moi mes chéris C’est bon » Sa chatte convulsais et me serrait vigoureusement.. Glissant ma main entre elle et moi je cherchais son clitoris, je mis le doigt dessus, lui tirant une longue plainte..  » Oh ouiiiiiiiiiiii » a partir de là je savais que ça n’allais plus durer longtemps.. Michelle me cramponnait les épaules enfonçant ses ongles dans ma peau, au rythme de mon doigt sur son bouton. Dieu qu’elle était excitante.. Sa bouche tremblait de plaisir, elle était parcourue de frissons.. Dans sa chatte c’était la foire.. contractions, soubresauts.. je crus un instant que Marc et moi allions être expulsés.. Soudain elle planta ses ongles violemment , se pencha sur moi et pris ma bouche  » JE jouis je jouis » disait elle d’une voix rauque Et presque en même temps Marc et moi nous jouissons .. les giclées se succèdent..  » Je vous sent, oui encore » disait-elle . Son orgasme dura longtemps.. Marc c’était retiré.. Michelle restait sur moi, joue contre joue.. Marc lui caressait le dos.. mon sexe était toujours en elle.. et toujours dur. mais je sentais le sperme me couler le long des couilles.  » Elle a drôlement prit son pied …  » dit Marc.. Rêveuse et alanguie, Michelle déclara  » Ah c’était génial.. c’était fort vraiment fort!! » Elle descendit de sur moi.. ma queue était toujours dure. Marc fut surpris..  » Ah la vache après çà tu bande encore!!  » et avec un clin d’œil..  » T’es sur que ça te dit pas d’essayer avec un mec? » Michelle intervint, mettant une claque sur les fesses de Marc..  » Arrêtes il t’a dit qu’il aimait pas..  » Et en souriant elle me regarda me mit également une claque sur les fesses et dit  » Allez pas de jaloux… Bon les garçons j’ai soif.. » Marc alla chercher une bouteille de champagne qui était au frais. On s’assit sur le canapé. Michelle m’avoua qu’elle avait pris son pied comme une petite folle que c’était rare que ce soit bon à ce point.. Elle était enchantée que nous ayons fait connaissance et s’inquiétait de savoir ce que moi je pensais. JE ne put lui cacher combien j’étais enchanté de cette expérience à plusieurs, qui je lui avouais seulement maintenant, m’avait quelque peu inquiété. Peur de défaillance, de pas être bien accepté, des bêtises en somme. Malgré les apparences je peut être parfois fragile même si je ne l’admet pas. D’ailleurs je ne cache pas et mes compagnes l’on toujours su et vu, pleurer n’est pas rare chez moi. Certaines émotions ou sentiments peuvent me mettre dans un état tel que je vais pleurer, alors que je peux être très dur voir insensible pour certaines choses.. Nous y reviendrons plus loin.

Nous avons avec Michelle et Marc, continué la soirée par d’autres assaut jusque tard dans la nuit. Et nous avons fini par nous endormir dans leur grand lit, Michelle entre nous deux, qui nous enlaçait a tour de rôle dans son sommeil.. Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit là.. c’était trop étrange et agréable.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire