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Jeanine et sa fille V

Jeanine et sa fille V



Le mercredi après midi suivant, Angélique vint à 15 h chez mes parents, nous étions seul, je l’installais sur la table de la salle à manger, le bureau de ma chambre était trop exiguë pour travailler à deux

Angélique fine et altière, les cheveux attachés portait une combinaison blanche, avec juste en dessous une brassière qui maintenant ses tétons naissants. Elle dégageait une énergie sexuelle incroyable, c’est souvent le cas de ces vierges pubères sur la route de la maison de mère grand espérant rencontrer le loup.

Comme à son habitude, elle ne parlait pas trop, en un quart d’heure, je compris vite qu’elle souhaitait que je lui fasse sa rédaction, n’avait pas d’idée, ne collaborait pas au devoir. Je décidais de lui dicter sa rédaction tout en me payant sur elle. Pendant qu’elle écrivait je caressais ses petits seins, elle ne broncha pas.

Elle pointait bien, écrivait consciencieusement sous ma dicté. ces deux petits tétons bien dressés sous la brassière en coton, je décidais de lui caresser les genoux, les cuisses puis l’intérieur des cuisses. Elle restait immobile, n’ouvrit pas les jambes pour me faciliter le passage. Je descendais la braguette de sa combinaison, vue une culotte blanche avec de petites fleurs roses.
Je glissais pas main dans sa culotte et je vis une très belle petite toison rousse, petite chatoune très soyeuse, un beau gazon roux. Je glissais un doigt en elle,

Lique était chaude et mouillée. Doucement, avec précaution je bougeais mon doigt en elle. Elle fit comme si de rien n’était, écrivant toujours en silence sous ma dictée. Je la caressa un quart d’heure comme ça doucement juste un doigt dans sa petite chatte vierge que j’étais le premier à explorer. Au bout d’un moment elle serra fort ma main avec ses cuisses. elle jouissait en silence, sans signe perceptible sur son visage. La première fois qu’un garçon faisait jouir sa petite chatte.

Quelques instant après sans doute un peu honteuse d’avoir jouit pour la première fois du doigt d’un garçon. Elle prit ma main d’un mouvement sec, la retira de sa culotte, la posa sur ma cuisse et remonta sa braguette. On ne joue plus j’ai jouis semblait t’elle me dire.

Je portais mon doigt mouillé dans ma bouche pour goûter sa chatte. Son gout était léger et faiblement épicé, il était doux et subtil le gout de la chatte d’Angélique. Elle m’observa sans mot, sucer mon doigt, intriguée mais fière que je la goutte à cet endroit là.

Je ne comptais pas m’arrêter là, je repris les caresses de ses seins plus longuement, puis environ vingt minutes plus tard, je ré-ouvrais sa braguette et replongeais ma main dans sa culotte à fleurs. Elle était plus ouverte et plus mouillée encore, mon doigt se glissa facilement dans sa petite vulve, et je ne tardais pas à lui en mettre un deuxième. Lique se laissait caresser plus sereinement que la première fois, sans doute savait-elle qu’elle était sur le chemin du plaisir mes doigts lui indiquant la bonne route à suivre.
Elle s’ouvrait sous mes caresses, je puis mettre trois doigts dans sa petite chatte dilatée de collégienne. Elle ne montrait aucun signe, ni râle, ni respiration saccadée, ni transpiration. Seul son sexe était ouvert et mouillé. Je restais de longs moment avec trois doigts dans sa vulve, la caressant puis stoppant et reprenant et ainsi de suite.

Soudain elle prit ma main en appuya fort en remontant. Je fus surpris.

« Guide moi » lui dis je la voix presque éteinte de surprise

Elle continua la forte pression sur ma main se labourant littéralement la chatte avec mes trois doigts faisant office de soc. Je craignais de lui faire mal en moins d’une dizaine de pressions, elle gicla !!!

Je cru qu’elle pissais, mais le liquide était clair et transparent sans odeur, ma main était trempée, sa culotte et l’entrecuisse de sa combinaison aussi et une petite flaque luisait sur le carrelage.

Je ne savais pas ce qu’il venait d’arriver, j’avais vaguement entendu parlé de femme fontaine, sans trop y croire. Angélique à voir son attitude non plus, elle fila vite aux toilettes ou elle s’essuya longuement. Pendant se temps je passais la serpillière pour effacer les traces. Curieux je touchais mes doigts, ce n’était ni de la pisse ni de la cyprine mais un liquide très proche de l’eau. Encore une expérience nouvelle, Angélique revint, je finissais sa rédaction, elle prévint ces parents de venir la chercher. L’épisode fontaine m’avait je dois le dire refroidi. On voyait clairement que son bas ventre était tout trempé, on pouvait croire en voyant sa combinaison qu’elle s’était pissé dessus, elle avait juste jouit avec le concours de mes trois doigts à l’intérieur d’elle. Avant de partir, elle me dit.

« J’ai une autre rédaction dans quinze jours je peux revenir ? »

-« Tu as aimé ce qu’on a fait ? » lui dis je

– « Oh oui, je vais avoir une bonne note je pense »

Je compris qu’elle voulait revenir non seulement pour sa rédaction mais pour se faire doigter, je lui donnais mon accord cette petite vierge de 4 ans ma cadette m’avait vraiment chauffé. Dès son départ je me branlais en pensant à elle pour la première fois.

J’appris bien des années plus tard avec internet le terme « squirt » et la manière dont il fallait s’y prendre pour faire jouir une femme de cette façon là. Angélique et moi avions trouvé cette voie ce jour là, dans nos jeux d’adolescents. Le sexe à parfois des hasards surprenants et des plaisirs subtils. Je demeure dans la mémoire d’Angélique comme le premier garçon à l’avoir doigter et fait squirté, elle est prof d’EPS, quadra, et mère de deux enfants aujourd’hui, a t’elle « squirté » avec d’autres hommes que moi, je l’ignore.

A suivre

« Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite » 😉

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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