Après pratiquement quarante huit heures de baises intenses, accompagnées d’orgasmes innombrables, nous décidons que notre dimanche après midi serait studieux. Je quitte donc sa chambre sans oublier de l’embrasser et me retrouve attablé à mon bureau pour tenter de ratt****r un peu du retard accumulé dans le week-end.
Cela fait presque deux heures que j’essaie de travailler, mais ma concentration est perturbée par les images de nos corps enlacés et emboités. Ces images qui s’agitent dans ma tête n’ont qu’un seul effet, celui de me retrouver avec une érection, qui est douloureuse comme rarement. Le grand nombre de rapport en si peu de temps doit y être pour quelque chose. J’écarte mon survêtement et mon caleçon pour me rendre compte que mon gourdin est d’un rouge cramoisi du gland jusqu’à la racine et la seule pression du caleçon le rend difficilement supportable. Je retire mes vêtements pour laisser mon sexe prendre l’air et garde seulement mon T-Shirt quand quelqu’un frappe à la porte. j’hésite à faire comme si j’étais absent, puis rattrapé par mon subconscient, je m’approche de la porte et l’entrouvre tout en restant caché derrière.
Là, je fait fasse au sourire qui illumine mon week-end, Véro se faufile dans ma chambre, je referme la porte à clé dès son entrée. Elle me regarde et me dit:
« Je vois que tu penses à moi, moi aussi, tu me manque déjà. » avec son sourire coquin.
» Oui, mais surtout, je ne supporte plus mes vêtements. »
Elle s’assoit sur mon lit et me dit:
» Approches, fais moi voir ce qui te fait souffrir, que j’essaie de t’apaiser ».
Je me présente à elle, fier, tendu tel un étendard avant le combat. D’une main, elle att**** mes couilles et les malaxe délicatement, de l’autre, elle appui sur ma queue jusqu’à ce que mon gland se trouve à deux petits centimètres de sa bouche. Ses lèvres humides se posent et sa langue caresse merveilleusement l’extrémité de ma matraque. Elle ondule légèrement sa tête tout en faisant tourner sa langue puis introduit mon gland et quelques centimètres de ma queue dans sa bouche. Elle me fait coulisser en elle lentement et je constate qu’après quelques minutes de ce traitement, ma queue disparait presque entièrement dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle soit prise de haut-le-cœur. Elle avait déjà ingurgité plus de quinze centimètres et c’était déjà beaucoup. Personne à ce jour, à par ma tante Sophie, ne m’avait autant avalé. Mais elle est persévérante, et après quelques coup contre le fond de sa gorge, je la vois, les larmes aux yeux, enfiler toute ma longueur et mon gland glisser dans son œsophage. Son visage est plaqué contre mon pubis, elle reste quelques secondes immobile, puis reprend ses mouvements. A chaque fois, elle abandonne ma queue, respire à fond et replonge jusqu’à s’écraser le nez contre mon bas ventre.
Ce délicieux supplice ne dure que quelques merveilleuses minutes, je sens mes couilles bouillonner dans ces mains douces, la pression monte, je vais entrer, tel un volcan, en irruption. Je prends sa nuque à deux mains et, je l’accompagne dans son mouvement vers l’avant qui sera, c’est certain, le dernier. Je la plaque contre moi, l’empêchant même de respirer tellement je la serre contre moi, et je crache toute ma semence brulante directement dans son estomac.
Après quelques secondes, elle me saisit par les poignets pour me faire comprendre qu’il faut la laisser respirer. je relâche mon étreinte et libère sa bouche de mon sexe volumineux et à peine ramollit. Je m’agenouille entre ses jambes, me saisi de ma serviette de toilette, posée sur le dossier de ma chaise, et commence à essuyer son visage, les larmes de ses yeux, la salive autour de sa bouche et sur son menton. Elle me regarde, me sourit et m’embrasse amoureusement puis avec son magnifique sourire, me dit:
-« Je crois que je pourrai mourir pour te donner du plaisir ».
– » Ce serait dommage de te perdre aussi jeune, tu as encore pas mal de chose à découvrir ».
Nous éclatons de rire, puis nous embrassons tendrement. Elle m’a donné un plaisir encore inconnu pour moi à ce jour; je devais à mon tour lui donner le plaisir quelle mérite. Un plaisir inoubliable d’intensité.
Je pose mes mains sur ses cuisses et remonte lentement sous sa petite robe légère jusqu’à les poser sur ses fesses. Nos lèvres se desserre et je profite de cet interlude pour remonter sa robe, elle soulève ses fesses et je la lui retire. Elle se retrouve en petite culotte, s’allonge sur le lit et soulève une fois de plus ses fesses pour me permettre de la lui retirer. Aussitôt fait, elle att**** ses jambes au niveau des genoux et viens les poser de part et d’autre de ses seins. Elle ne veut qu’un chose, que je m’occupe d’elle une fois de plus.
J’admire son sexe, il est déjà très humide et je peux voir perler quelques petites gouttes de sa douce cyprine, mais il est surtout très rouge, traces de nos multiples rapports précédents. Je viens, de deux doigts , décalotter son bouton de plaisir et avec le majeur de mon autre main, caresser délicatement toute la longueur de sa fente humide sans y pénétrer. Je la caresse ainsi pendant de longues minutes, mon doigt est luisant de mouille, elle gémit doucement. Puis mon majeur s’enfonce dans son vagin, et visite sa grotte d’amour en faisant des petits cercles en elle. Je fait lentement sortir mon doigt et alors que je viens poser mes lèvres pour gober son petit bourgeon, je présente mon majeur bien lubrifié devant son anus. Et, c’est au moment ou je resserre mes lèvres et aspire son clito qu’elle cri de plaisir et que mon doigt glisse en elle sent aucune résistance.
-« Oh mon coquin, tu m’as mis ton doigt dans le derrière? »
– » Oui, ma belle, je ne t’ai pas fait mal? »
– » Non, pas le moins du monde »
Je commence alors quelques petits allers retours lents tout en posant ma bouche et ma langue sur et dans son sexe. Elle gémit et semble bien apprécier cette nouvelle « torture ». Son sexe très très irriguer, déborde de bonheur et s’écoule naturellement pour lubrifier sans cesse mon doigt en mouvement dans son fondement. Mon majeur bien fiché dans son petit œillet, mon index prend la route parallèle et s’introduit profondément dans son vagin. Mes doigts se redécouvrent à travers la fine cloison qui les sépare. Il se frotte l’un contre l’autre d’un délicat va et vient accompagné d’un excitant « floc floc ». J’att**** à nouveau le petit bouton bien bandé d’excitation et mon index rejoint son grand frère sans plus de résistance. Mes mouvements son de plus en plus amples et rapides. j’écarte mes doigts et continu à détendre ses sphincters tout en léchant son sexe brillant. Son jus devient plus gluant, presque consistant. Mes doigts coulissent très facilement en elle, si facilement qu’elle gémit un tout petit peu plus fort au moment ou mon annulaire se retrouve dans la même prison brulante que ses ainés. Elle lève la tête et regarde mes doigts œuvrer en elle pour un plaisir encore inconnu jusqu’alors et me dit:
» Si je comprends bien, tu te prépares à me sodomiser? »
» Tout à fait ma belle, et vu l’état de ta minette, il vaut mieux que je passe par derrière. »
« Ok mon chéri, fait doucement…. mais je confiance en toi, alors vas-y. »
Elle était prête, aussi bien psychologiquement, elle venait de me le dire, que physiquement, j’en avait la preuve sous mes yeux. Mes doigts toujours en mouvement, de mon autre main, je glisse trois doigts dans sa chatte et pendant un long soupir de plaisir, je récolte un maximum de glaire vaginale que je viens étaler sur mon gland et mon sexe au garde à vous. Je viens rajouter un peu de salive en crachant dans ma main et voilà mon membre opérationnel pour une pénétration découverte. Je demande à Véro d’écarter ses fesses avec ses mains tout en gardant ses jambes levées et ses genoux contre sa poitrine. J’avance mon gland, retire délicatement mes doigts de son anus, et pousse doucement contre son œillet ouvert comme une bouche prête à sucer. Mon gland glisse mais force malgré tout le passage étroit et vierge de mon aventurière. Je la regarde serrer un peu les dents, puis se détendre, là, je force un peu et continue ma progression. En moins d’une minute, je suis enfoncé en elle jusqu’à la garde, je ne bouge pas, j’attends. Elle lâche ses fesses et me tend les bras pour m’inviter à m’allonger sur elle. Je pose ses jambes sur mes épaules, glisse mes mains sous ses aisselles et viens m’agripper à ses épaules. Elle m’enlace de ses bras, ses yeux sont écarquillés, sa bouche est grande ouverte, comme si elle était en manque d’air, et me dit:
» J’ai l’impression que je vais imploser, tu me remplis tellement… »
Je pose mes lèvres sur les siennes et l’embrasse langoureusement. J’entame alors de lents et courts va et vient, je la sens vibrer sous moi, elle réagit à chacun de mes mouvements. je ne peut discerner s’il s’agit de douleur ou de plaisir, mais elle m’en apporte la réponse:
« C’est bizarre, je n’ai pas mal, j’ai juste l’impression que si je bouge je vais me déchirer, c’est vraiment énorme pour une première ».
» Ne t’inquiètes pas tu vas t’habituer à ma présence en toi, ça va aller. »
« Oui, je sais…. » et elle m’embrasse à nouveau.
J’augmente légèrement l’amplitude de mes mouvements et à chacune de mes introductions, elle m’accompagne d’un soupir qui peu à peu se transforme en gémissement. Je sais que je suis en bonne voie. Mes mouvements sont de plus en plus profonds mais toujours très lent, elle doit sentir chaque centimètre de mon membre se promener en elle et distendre son beau petit cul. Plus de dix minutes se passe, avant que je commence à accélérer la cadence, mes assauts sont maintenant rapides et puissants, mon gland est à la limite de prendre l’air, mais replonge aussitôt profondément dans ce cul, maintenant parfaitement à ma taille. Elle n’émet plus que de profonds gémissements qui semblent être projetés de sa bouche par mon engin entrant à l’opposé. Je suis parfaitement à l’aise en elle et elle ne semble plus être gênée par cette présence étrangère.
Je me relève, agenouillé entre ses fesses, tenant d’une main ses chevilles à hauteur de mon visage, je regarde mon membre entrer et sortir de ce petit cul que j’imaginais quasi impossible à pénétrer une demi heure plus tôt. C’était pourtant bien moi qui le maltraitait maintenant. Pas une douleur, ou très peu, par un cri, pas un saignement, on aurait pu croire qu’il s’agissait là d’une habitué de la sodomie.
Je me retire, contemple rapidement les effets de ma queue sur son anus béant, puis replonge en elle pour encore quelques allers et retours. Je me retire à nouveau et lui demande de se mettre à genoux. Sans se faire prier, elle s’exécute m’offrant ses fesses tendues et sa raie brillante de mouille sur le bord du lit. Je présente mon gland devant son œillet entrouvert que j’empêche de se refermer par un violent coup de rein qui la transperce et la fait crier de plaisir.
Après quelques coups de boutoir avec lesquels je lui défonce vraiment le cul, elle m’annonce sentir une jouissance nouvelle monter en elle. N’étant pas du tout prêt à jouir, je me retire, la laissant sur sa faim et coupant son plaisir en approche. Je m’allonge sur le coté, elle vient plaquer ses fesses contre la queue, soulève une jambe et vient att****r l’objet de son bonheur et se le glisse en elle pour que je recommence à la sodomiser. Quelques minutes de se traitement latéral, je l’att**** fermement et la retourne en me mettant sur le dos. Sa tête bascule sur mon épaule, je ma maintien sur moi en la tenant sous les genoux et je reprends mes mouvements de pénétration profondes et rapides. Ses fesses claquent, ses gémissements se font puissant, ses lèvres cherchent les miennes, elle est secouée par mes assauts, elle cri, son plaisir est tout proche, elle se mord la main, étouffe ses cris, se cambre, se crispe, s’agite sur moi, nos corps s’entrechoquent, elle explose littéralement, elle jouit puissamment, plusieurs jets de cyprine arrosent mes jambes et mon lit. Son cul se resserre sous l’effet du plaisir, comprime et presse mon sexe qui rend les armes et se repend au plus profond de ces intestins.
Elle est vidé, allongée de tout son long, sur moi, les bras en croix, ma bite comprimés, toujours plantée entre ses fesses. Après quelques minutes à reprendre ses esprits elle me dit:
« Putain que c’était bon, jamais je n’aurai imaginé pouvoir jouir aussi fort du derrière, je n’oublierai jamais ce moment fantastique. »
» Moi, je savais très bien que tu en étais capable, par contre là ou tu m’as étonné, c’est que tu puisses me faire une gorge profonde. Je suis sur le cul »
» Et bien moi je ne pense plus pouvoir m’assoir dessus après ce que tu viens de me faire vivre »
» Si tu n’y arrives pas, tu pourras toujours venir t’assoir sur moi, j’ai remarqué que tu t’y sentais bien »
avec son grand sourire elle me dit:
» Ne me tente pas….. »
Nous nous remettons en position latérale, et je commence à me retirer délicatement. Ses sphincters me compriment puis finissent par me rejeter de son cul, recrachant par la même occasion une grande partie de ma semence qui s’écoule sur sa fesse pour finir par souiller mes draps blancs.
C’est ainsi qu’en tout juste quarante huit heures, j’ai transformé Véro, d’une voiture de série en véritable formule un du sexe.
Nous sommes restés très, plutôt très très, proche pendant toute l’année scolaire, après laquelle, elle est partie terminer ces études au Canada.
Je n’ai plus eu de nouvelle jusqu’au mois de Mars dernier, soit 32 ans plus tard, mais c’est ça, c’est une autre histoire…..
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