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Un soucis financier (13)

Un soucis financier (13)



J’avais beaucoup de travail ces derniers temps. Heureusement qu’Amalia était revenue à la maison, sinon je n’aurai jamais trouvé le temps de faire le ménage ou m’occuper de l’entretien de mes affaires (repassage, nettoyage des habits, arroser les plantes,…).
Fatalement, l’argent que je lui avais donné était parti rapidement, et elle s’était retrouvé dans une nouvelle situation où elle ne pouvait plus payer son loyer.
Elle avait donc du déménager en urgence, et elle s’était installée chez moi. La chambre d’amis était envahie de ses différents meubles. Et elle avait mis ses vetements dans la penderie, avec ceux de ma femme.
Le matin, elle se levait un peu avant moi, me préparait mon petit déjeuner. Et le soir quand je rentrais, le diner était pret, la table bien mise, l’appartement propre et rangé. Elle m’aidait à me laver (me frottait le dos par exemple, ou me coupait les cheveux parfois).
Et on passait des nuits de sexe torrides. Je la défonçais devant et derrière, même pendant ses règles, il n’y avait aucune trève. J’avais un accès illimité à sa chatte.
Un mois plus tard, nous avons eu la visite imprévue de Sandrine. Je n’avais pas eu de nouvelle, je savais juste l’essentiel par le biais d’Amalia. Elle ne disait trop rien, elle refusa un aperitif, elle alla à la baie vitrée pour regarder la vue.
– Alors tu as emménagée ici ? demanda t-elle à Amalia.
Amalia, pour qui la visite était imprévue, était en culotte et soutien gorges blancs très transparents. Elle était un peu honteuse, d’avouer qu’elle avait été incapable de s’en sortir seule financièrement, et qu’elle se retrouvait totalement dépendante de son beau-frère.
– Tu as de la chance d’avoir trouvé un homme qui s’occupe de toi. Tu n’as pas à travailler, tu t’occupes de la maison, et de lui. Beaucoup de femmes aimeraient être à ta place.
Amalia ne disait rien. Elle savait que c’était vrai, mais d’un autre coté, elle n’était pas particulièrement d’accord, à la base, pour être mon objet sexuel. Mais au fil des mois, cela s’était mis en place, et à présent, elle y pensait de moins en moins, acceptant sa condition.
– Ca m’arrive d’être parfois un peu exigent avec elle, murmurais-je. Mais bon, c’est la contrepartie des avantages que vous avez cité.
Sandrine se retourna vers la baie vitrée à nouveau. Elle regardait dans le vague.
– Jacques va vendre la maison. Légalement, elle est à lui à 100%. Nous avions fait un contrat de mariage, comme il était commerçant, à la base, c’était pour me protèger. Là, je pense que ce sont ses avocats qui lui ont suggéré l’idée. J’ai trouvé un papier d’un huissier hier matin sur la porte.
Sandrine était forte. Elle gardait une certaine dignité en disant cela. Elle ne voulait pas pleurer.
– Si je comprends bien, tu me demandes de venir vivre chez moi ?
– Je serai allée chez Amalia… Mais elle vit chez toi. Et où veux tu que j’aille ? Jacques a vidé notre compte joint. Je n’ai plus rien dans le frigo depuis deux jours. Et j’ai faim…
– Oh maman, fit Amalia, attristée et choquée.
– Si tu viens chez moi, tu pourrais aider Amalia aux taches ménagères. Et tu es une excellente cuisinière aussi. Ta maison était très bien entretenue.
– Je pourrai faire ça volontiers. Je pourrai me mettre dans la chambre d’amis ?
– C’est compliqué pour le moment, Amalia y a entreposé ses meubles. En fait, il y a deux solutions, soit que tu dormes au salon, soit que tu dormes avec nous.
– Trois dans le meme lit ? murmura Sandrine.
– C’est un grand lit, et comme vous vous doutez, il ne va pas me falloir que des compensations ménagères.
– Je sais bien, répliqua Sandrine presque au tac au tac.
– Vous acceptez ?
– Je refléchis… Tu accepterais de payer mes frais d’avocat pour le divorce également ?
– Oui.
Sandrine se tourna vers moi, jeta un oeil à Amalia également.
– Ca ne te dérange pas trop si je viens ? demanda t-elle.
Amalia ne répondit pas. Evidemment, elle était dégoutée. Mais elle comprenait, pour avoir été dans la meme situation. Elle avait du mal à imaginer une cohabitation avec sa mère dans les circonstances qu’elle connait.
– Si tu es sure de toi, non maman.
– Bon, alors j’accepte. Je vais aller chercher l’essentiel de mes affaires, et je reviens, disons, demain, si ça te va ?
Je fis signe non de la tête.
– Tu retourneras chercher tes affaires demain.
– Je n’en ai pas pour longtemps.
– Si vous acceptez mes conditions, c’est à partir de maintenant. Donc, vous irez demain.
Sandrine se tourna à nouveau vers la baie vitrée et fronça un peu les yeux.
– Très bien, comme tu voudras.
– Retirez vos vetements, mettez vous comme Amalia, et puis elle va vous montrer un peu la cuisine, et le cellier, où se trouvent les différentes affaires. Comme ça, on ne perd pas de temps. Et il va y avoir le diner à préparer bientot non ?
– Oui, répondit simplement Amalia. Tu viens maman ?
Elle fit un pas vers sa fille, puis s’arrêta, murmurant « un instant… », et se tourna vers moi. Elle deboutonna son chemisier, devoilant un joli soutien-gorge blanc Cacharel. Elle retira son chemiser et le posa sur le canapé. Puis, elle fit glisser sa jupe sur le sol, après en avoir fait descendre la fermeture éclair. Sa culotte était du même ensemble, brodée sur le devant, et laissant voir en transparence les poils de sa chatte.
– C’est bien, murmurais-je en la considérant attentivement. Allez faire ce que vous avez à faire.
Sandrine s’approcha de sa fille, en ramassant ses vêtements, puis toutes deux sortirent de la pièce. Je me mis devant la télévision, tout en prenant un dossier que j’avais à terminer pour le lendemain. Je levais parfois les yeux en entendant Amalia et sa mère aller d’une pièce à l’autre. Je tendais parfois l’oreille. Amalia était assez précise dans ses explications. Elle avait indiqué l’emplacement des produits ménagers, de fonctionnement de la machine à laver, avait détaillé mon planning habituel lorsque j’étais à la maison.
Par moment, elles parlaient un peu plus fort, alors je faisais doucement « chhuuuuttt » entre mes lèvres, et elles baissaient d’un ton. J’avais besoin de calme pour me concentrer sur mon dossier.
Il était 19h et je n’avais pas vu le temps passer. Je me rendis à la cuisine, où Amalia et Sandrine préparaient le diner. Ca sentait bon dans la pièce. Sandrine était organisée question cuisine. Je pus voir qu’elle avait réorganisé les casseroles, et une partie de mes rangements.
– Je vais prendre un bain, vous allez m’aider, murmurai-je.
Amalia et sa mère baissèrent la cuisson, et m’accompagnèrent à la salle de bain. Amalia montra à sa mère à quelle température j’aimais que l’on fasse couler l’eau, ainsi que le bain moussant que j’utilisais, et quelle quantité elle devait verser.
Je rentrais dans la baignoire et resta debout.
– Sandrine, lave moi… prends ce gant… et toi Amalia, tu mets un peu de savon dans ta bouche, et tu me suces.
J’avais pris le flacon de bain moussant dans ma main, et j’en vidais un peu dans la bouche d’Amalia. Elle en pris un peu en bouche, puis descendit au niveau de mon sexe, qu’elle engouffra aussitot. Elle se mit à me pomper doucement.
Sandrine, quant à elle, me savonnait le dos avec le gant, doucement et consciencieusement. Elle frotta partout, mes fesses, mes jambes. Elle ne disait rien, simplement appliquée à sa tache.
– C’est bon, rincez moi.
Amalia sortit ma queue toute moussante de sa bouche. Elle alla au lavabo pour se rincer la bouche, pleine de mousse et de savon, tandis que sa mère prit le pommeau de douche, et commença à me rincer.
– Elle est un peu tiède… Enlève ton soutien-gorge…
Sandrine, sans trop comprendre, retira son soutien-gorge, tout en orientant le pommeau de douche vers le bas. Lorsqu’elle se redressa vers moi après avoir posé son soutien-gorge sur le haut d’une commode, je la giffla fortement sur son sein droit.
– C’est tiède… répétais-je, en gifflant Sandrine sur son sein gauche.
Elle avait de petits seins fermes, elles ne gigotèrent pas particulièrement (comme le font ceux d’Amalia), mais ils claquèrent sévèrement, et rougirent rapidement.
Les yeux de Sandrine rougirent également et des larmes perlerent autour de ses yeux. Je sortis de la baignoire, et attrappant un peignoire blanc, quand j’enfilais, puis attrappa le pommeau que tenais encore Sandrine.
– Vas y, entre dans la baignoire, tu vas comprendre.
Sandrine entra dans la baignoire, restant debout. L’eau lui arrivait un peu au dessus des mollets.
– Tu rentres dans la baignoire en gardant ta culotte toi ?
Sandrine ne savait plus trop où elle en était. Elle baissa sa culotte, évita de la faire toucher l’eau en pliant ses jambes l’une après l’autre, puis la jeta devant elle vers son soutien gorge.
Je fis signe à Amalia de s’approcher et lui tendit le pommeau. Elle le saisit.
– Dirige la douche sur ta mère s’il te plait, et montre lui que c’est tiède.
Amalia s’executa, dirigeant le jet sur le corps de sa mère. Effectivement, l’eau était tout juste chaude.
– Ca tu vois, c’est tiède. Tu comprends ?
Sandrine fit un hochement de tete. Je mis le jet plus fort. Puis, d’un coup, baissa la température au minimum. Sandrine poussa un petit cri de surprise, puis d’autres arrivèrent, très plaintifs.
– Arrete !!! Arrete !!! C’est glacé !!!
– Reste sur ta mère, dis-je en jettant un coup d’oeil à Amalia. Cette dernière continua de viser sa mère avec le pommeau d’eau glacé, aspergeant ses seins, ses cuisses, son ventre, son visage.
D’un coup, je tournais le robinet d’eau chaude au maximum. L’eau passa de glacée, à brulante, en quelques instants. Sandrine poussa de longs cris, tandis que sa fille continuait de lui asperger le corps. La salle de bain fut rapidement envahie par la buée et la chaleur.
Je tournais le robinet d’eau froide à présent. Le jet glacé revint gicler sur Sandrine, qui continuait de piailler. Je laissais couler un long moment, jusqu’à ce que Sandrine ne dise plus rien. Arrivé à ce stade, je coupais l’eau. Elle avait les pointes des seins tendus. Sa peau était très rouge par endroits.
Je lui tendis un peignoire, qu’elle enfila aussitot. Elle se sécha activement. De mon coté, je rassemblais ses affaires, que je mettais dans un coin, estimant qu’elle n’en aurait plus besoin dans l’immédiat. Lorsqu’elle sortit de la salle de bain, je lui demandais de retirer le peignoire.
Elle le retira et le posa sur son ceintre d’origine, puis revint vers moi, nue.
– J’ai un peu froid… Je peux mettre quelque chose ?
En guise de réponse, je lui fis signe de se tenir bien droit, et je passa doucement ma main gauche sous son sein droit. Je le serrai doucement, puis, de ma main droite, je donna une méchante giffle sur ce dernier. Son sein claqua. Sandrine poussa un petit cri. Je la relachais doucement, puis lui répondit :
– Non, tu vas rester comme ça. Par contre Amalia, toi, tu vas t’habiller. Il n’y aura que ta mère de nue ce soir. Et j’aimerai que tu mettes sa culotte.
Amalia ouvrit la penderie et selectionna une robe d’été, blanche avec des petits motifs de fleurs rouges, et alla prendre la culotte de sa mère que j’avais mis de coté. Elle s’habilla dans un coin de la pièce. Je m’habillais à mon tour, légèrement, revetant juste un pantalon de jogging et un t-shirt.
– Aide ta fille à se préparer et à être belle. Aide là à la coiffer, la maquiller. Regarde dans la boite à bijoux de ma femme, si tu veux qu’elle porte des choses. Je te laisse l’aider dans le choix des parfums aussi. Je n’aime pas les choses trop fortes, j’aime mieux la subtilité.
Et je les laissais toutes les deux. Dans la cuisine, une odeur très agréable sortait des casseroles qui étaient en train de mijoter. La table avait été mise dans le salon, je n’avais meme pas remarqué auparavant, et elle était bien dressée.
Je passais un coup de fil professionnel, qui dura un petit quart d’heure, et je raccrochais lorsque Amalia entra dans le salon. Elle était vraiment très belle. Elle avait finalement échangé sa robe d’été contre une robe noire, assez près du corps, avec un beau décolleté. La robe était assez courte, elle s’arrêtait au dessus des genoux. Elle était superbement maquillée, avec un trait noir autour des yeux qui lui donnait un petit coté fatal, un rouge à lèvre très rouge, et un habile mélange de fond de teint.
Sans que j’ai à lui demander, elle souleva sa robe pour me montrer qu’elle portait la culotte de sa mère, comme je le lui avais demandé. Puis elle la fit retomber, et resta à environ un mètre de moi. Je fis signe à sa mère, nue, qui restait un peu en retrait, de s’approcher et de venir à coté de moi.
– Elle est belle ta fille, tu l’as bien réussi. Tu peux etre fière.
Sandrine ne disait rien. Elle hocha juste la tête, avec un petit sourire vers sa fille.
– Par amour pour ta fille, tu accepterais tout je pense, non ?
– Evidemment, répondit Sandrine.
Ca me faisait vraiment rire interieurement de la voir ainsi, nue, exposant impudiquement ses seins et sa chatte, le corps encore un peu rougi par sa douche et les claques que je lui avais infligué ; elle qui avait toujours été si bcbg, soucieuse d’être une bonne maitresse de maison, de bien respecter les codes de la bienséance.
– Le diner est bientot pret ? demandais-je.
– D’ici 20mn, murumura Sandrine.
– Très bien, ça nous laisse le temps de prendre un petit apéritif coquin.
En disant cela, je sortis deux coupes à champagne, et une grosse choppe à bière. Je fis signe à Amalia d’aller chercher une bouteille de champagne.
– Tu prends du bon, en honneur du premier soir avec ta maman. Je crois qu’il y a encore du Dom Perignon.
Sandrine était toute fière. Je la conduisis vers un meuble à coté de la télé et ouvrit un tiroir. A l’interieur se trouvaient plein de DVD porno.
– Choisis celui que tu veux.
Sandrine était mal à l’aise, elle n’avait jamais vu ce genre de films, et elle était étonnée d’en voir autant dans ma collection. Son regard se perdait dans les differentes jaquettes.
– Je… je ne sais pas…
– Il suffit de choisir, même au hasard.
Sandrine tandit sa main et attrappa un boitier au hasard. C’était une compilation de sodomies. Elle était un peu mal à l’aise devant la jaquette particulièrement élocante du contenu. Je lui dis d’aller mettre le DVD dans le lecteur.
Je m’installais dans le canapé, et ouvrit la bouteille qu’Amalia me ramenait. Le bouchon claqua. Tandis que je versais le champagne dans les deux coupes, Sandrine se mit accroupi pour insérer le DVD dans le lecteur. Se penchant en avant, elle nous offrit une belle vue sur sa fente et son anus. Elle se rendit compte que nous étions juste derrière elle, donc elle pivota un peu sur le coté. Le film se lança aussitot sur une femme brune se faisant royalement sodomiser par trois hommes, l’un après l’autre.
Amalia s’assit dans le canapé à coté de moi. Sandrine, quant à elle, se dirigea également vers le troisième canapé.
– Tu t’assieds par terre à coté de moi.
Sandrine s’arrêta, jeta un oeil à mes pieds, puis jeta un oeil à la télé où la pauvre femme se prenait deux queues en même temps dans le cul.
– Tu devrais être contente que je prenne soin de toi et de ta fille… Tu es à l’abri de tout avec moi.
Sandrine jeta un oeil à sa fille, qui était superbe ce soir. Amalia regardait la vidéo d’un air assez inexpressif. Elle buvait un peu de Dom Perignon par petites gorgées.
Sandrine vint s’assoir à mes pieds, sur le carelage froid, face à la télévision. Les deux mecs avaient éjaculé dans le cul dans la femme, et le troisième commençait à la ramoner.
– Lève toi, dis-je à Amalia.
Cette dernière se leva à coté de moi. Je pris la choppe, et la passa entre ses cuisses, sous sa robe. Amalia la releva jusqu’à sa culotte.
– Remplis moi la choppe.
Amalia écarta un peu sa culotte sur le coté, mettant sa chatte à nu.
– Non, je prefère que tu gardes la culotte de ta mère en place.
Amalia remit doucement la culotte en place, et s’agenouilla très légerement. Elle se mit à pisser fort dans sa culotte, et le jet traversa la culotte en flots, comme si de rien n’était. Il faut dire qu’il n’y avait que de la dentelle et cela ne retenait rien, ça ne faisait que répartir un peu le jet. Sans s’interrompre, son long jet remplit progressivement la choppe, jusqu’à atteindre les trois quarts.
Elle redescendit doucement sa robe, et se rasseya dans le canapé. Je posais la choppe lourde sur la table basse, et je dis à Sandrine de se relever.
– Tourne toi, et écarte ton cul
Sandrine s’executa, et ecarta doucement ses fesses, me dévoilant son anus.
– Ecarte encore plus, et penche toi un peu.
Je m’avançais, et commença à lui lécher son cul, tandis qu’elle écartait encore un peu plus, tout en se penchant et tendant sa croupe.
– Cherie, fit-elle à sa fille, tu devrais aller voir à la cuisine, il faut enlever les casseroles du feu maintenant je pense.
– J’y vais maman, fit-elle en se levant et s’éloignant.
Pendant ce temps, j’avais sorti ma queue. Je tirai Sandrine vers moi afin qu’elle vienne s’assoir. Elle se positionna pour présenter sa chatte mais je lui fis rapidement comprendre que c’était son autre orifice qui m’inspirait. Elle n’était pas trop à l’aise avec la sodomie, encore moins dans cette position qu’elle n’avait jamais essayé.
Mon gland resta un moment à forcer entre ses fesses, contre son cul. Elle était un peu tendue. Son anus s’écarta tout doucement, le fait de l’avoir un peu léché aida. Je poussais doucement, et mon gland entra. Je tirai Sandrine vers moi pour qu’elle vienne s’assoir. Ma queue entra en entier dans son cul, et elle se retrouva assise sur moi.
Je commençais à lui donner de petits coups de reins, tout en l’installant de manière à ce qu’elle ait les jambes bien ecartées. J’obtins ainsi un peu plus de lattitude, et je pouvais mieux faire glisser ma queue, que je faisais entrer et sortir presque integralement à chaque coup.
Quand Amalia revint, j’étais en train de bourrer copieusement le cul de sa mère. Elle était d’ailleurs génée d’être ainsi exposée devant sa fille, les jambes écartées, la chatte bien offerte, et ma queue qui lui ravageait le cul. Elle mit une main un peu maladroite devant sa chatte pour se cacher un peu.
– Raconte un peu à ta fille ce que ça te fait, de te faire enculer devant elle, lui dis-je.
– Je prefererai qu’elle ne regarde pas…
J’enfonçais ma queue bien au fond du cul de Sandrine, jusqu’aux couilles.
– Et toi Amalia, ça te fait quoi de voir ta mère se faire enculer ?
– Je l’ai jamais imaginée dans une telle position… ca fait bizarre, c’est sur…
– Tu vois comme j’ai toute ma queue dans son cul ?
– J’ai un peu la main de maman devant, mais oui, je vois ça…
– carresse toi Sandrine, je veux que tu montres à ta fille que ça te plait de te faire prendre dans le cul.
Sandrine, doucement, posa la paume de sa main sur sa chatte.
– Tu veux ? demanda t-elle à sa fille.
– C’est moi qui décide pour vous… Vous n’avez pas à reflechir. Amalia, approche toi pour bien voir.
Amalia avança de quelques pas, se retrouvant face à nous, et se mit accroupie. Sandrine dirigea ses doigts sur son clitoris et se mit à se le caresser. De mon coté, je recommençais à aller et venir dans son cul.
– Doigte toi !!
Sandrine glissa deux doigts dans sa chatte. Je les sentis au travers de la fine paroi qui la séparait de son cul.
– Maman, tu mouilles… fit Amalia, en voyant la chatte de sa mère dégouliner devant elle.
Je me mis à donner des coups de queue violents dans son cul. Elle se doigta elle-même plus vite, et ne put controler des jets de mouille qui arroserent la robe d’Amalia.
– ohh mais, maman…
Je sortis du cul de Sandrine, et cracha à mon tour deux longs jets de sperme, qui se répendirent sur sa chatte, et sur son ventre.
– ohhh ce qu’il est délicieux ton cul de bourgeoise. Regarde Amalia comme c’est beau, la chatte de ta mère, toute trempée de mouille et de sperme…
J’attapais la tete d’Amalia, et la tira en avant doucement. Elle se retrouve le visage plongé dans la moule de sa mère. Elle se mit à lécher, tout en frottant son visage dedans, se couvrant de sperme et de mouille.
– elle est bonne la chatte de maman hein ? allez, encourage là un peu toi…, dis-je à Sandrine.
– ohhh ma cherie si tu continues de me lécher juste là…. je sens que…. ohhh
Amalia léchait habilement le clitoris de sa mère, et elle fut à nouveau inondée par des flots de mouille. Amalia continuait de lécher sans s’arrêter, et sa mère coulait, sentit son clitoris devenir extremement sensible, les petits coups de langue de sa fille lui donnaient des sensations orgasmiques à chaque fois. Elle se rendit compte que son cul était ramoné de nouveau. Elle tourna la tête vers moi, mais se rendit compte que ce n’était pas moi. Amalia lui avait enfoncé trois doigts dans le cul et les faisait aller et venir.
– ohhh cherieeee…. ohhh cherieeee….
Amalia accelera la vitesse de ses doigts dans le cul de sa mère, puis d’un coup, les sortit. Elle plaça ses deux mains autour de la chatte de sa mère, et l’écarta en grand. Les lèvres s’ouvrirent, dévoilant toute l’intimité de sa mère. Amalia colla sa bouche contre la chatte de sa mère grande ouverte, et se mit à la lécher comme une folle. Sandrine coulait tant qu’elle pouvait, crachant par intermittence de petits jets de mouille.
N’en pouvant plus, Sandrine prit doucement la tete d’Amalia dans ses mains, et lui fit comprendre d’arrêter.
– Je n’en peux plus, murmura t-elle.
Amalia, le visage couvert de mouille et de sperme, se releva. Elle aida sa mère, affalée contre moi, à se redresser également.
– Maman, tu te rappelles quand j’avais 15 ans, tu t’étais fachée contre moi, parce que j’étais allée chez une copine, sans t’avertir, pendant les heures de collège…
– Heu… non je ne me rappelle pas. Pourquoi ?
– Tu m’avais punie, tu m’avais gifflée, tu t’en souviens ? C’était la seule fois.
– Ahhh. Heu oui, j’étais en colère. Mais je ne m’en souvenais plus.
– Moi je m’en souviens très bien.
Je devinais où Amalia voulait en venir. Elle refaisait sortir quelque chose de profondemment encré en elle. D’avoir été soumise, d’avoir été dominée, lui permettait d’oser à présent des situations qu’elle n’aurait pas envisagé auparavant. Elle se mit un doigt dans la chatte et recommença à se masturber, à toute vitesse.
– Giffle moi encore maman…
Sandrine fut interloquée par la demande. Elle regarda Amalia avec étonnement, ne savait pas comment réagir.
– Ca m’avait tellement marqué. Alors qu’une giffle au final, ce n’est pas grand chose. J’ai besoin que tu m’effaces cette giffle que tu m’as donné, par d’autres giffles … Que ça me prouve à quel point c’est insignifiant…
Sandrine hesita encore un moment, et considera sa fille avec un air un peu superieur, et lui administra une petite giffle sur la joue droite. Amalia sourit , ce qui fut une réaction que n’attendait pas du tout Sandrine.
– Maman, plus fort… Tu m’avais gifflé fort. Tu étais en colère…
– Mais je ne peux pas…
Amalia donna une giffle violente sur la joue de sa mère, qui lui fit tourner la tete.
– Sale pute, tu aimes ça te faire enculer !
En réaction, Sandrine repliqua par une giffle violente sur la joue de sa fille, puis une seconde dans l’autre sens.
– Ohhhhhh ouiiiii, gémit Amalia, en se doigtant de plus belle. Giffle mes seins !
Sandrine se mit à donner deux giffles violentes sur les gros seins d’Amalia, qui rebondirent de gauche à droite.
– Donne moi un coup de pied dans la chatte !
Sandrine donna encore une giffle à sa fille, et par automatisme violent, donna un coup de pied à sa fille qui écartait ses jambes, debout devant elle.
– Ohhh ouiiii, fit Amalia, en pissant par terre juste après le coup de pied de sa mère. Elle attrappa la choppe qu’elle avait rempli aux 3/4 précedemment, regarda sa mère, et porta cette dernière à sa bouche. Sans s’arrêter, elle but tout le contenu de la choppe.
Puis elle s’allongea par terre, et fit signe à sa mère de s’accroupir au dessus de son visage.
– Insulte moi maman, en me pissant sur le visage. Je t’en supplie. Je vais jouir…
Sandrine, qui se retenait depuis un moment, se mit à uriner comme une damnée sur le visage de sa fille, tout en lançant : « tu me fais honte… tu n’es plus ma fille adorée… t’es qu’une petite pute…. je suis sure que tu te branles la chatte en pensant à ton père ».
A ces mots, Amalia jouit aussitot, incapable de respirer, le visage completement arrosé de pisse.
Dans 3 jours, ma femme devait revenir à la maison.
Ca me laissait encore un peu de temps.
La dernière réunion de famille devra etre une réussite.

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