ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS
Troisième séjour en enfer (8)
Troisième samedi de captivité
Je patiente aux pieds de mon maître bâillonnée et enchaînée en attendant que Jacques l’homme obèse arrive.
Comme tous les samedi matin je dois lui faire l’amour devant Nadine à qui notre maître a donné l’ordre de se mettre à genoux dans la chambre afin qu’elle n’en perde pas une miette.
Faisant abstraction de son odeur de sueur, je m’accommode comme je peux de ses bourrelets de graisse pour lui faire une fellation avalant sans enthousiasme son sperme.
Puis accroupie au dessus de lui je m’empale sur sa queue que je fais pénétrer dans ma chatte et je remue jusqu’à ce qu’il éjacule à l’intérieur.
Ensuite, après avoir fait ce qu’il fallait avec mes mains et ma bouche pour qu’il soit de nouveau en érection, accroupie sur lui je fais coulisser sa queue dans mon anus, alternant avec des masturbations et fellations quand il a tendance à débander.
L’après-midi allongée sur le sol dans la geôle je fais l’amour avec cinq hommes qui me prennent par tous les orifices, souvent à trois en même temps.
Quand je suis allongée sur un partenaire avec sa queue dans mon intimité c’est celui qui me défonce le cul à grands coups de reins qui donne le tempo, fait bouger mon corps et engendre les mouvements de va-et-vient de ma chatte sur le pénis qui l’occupe. Les sensations sont agréables.
Ceci se passe devant Nadine qui est enchaînée dans la pièce et regarde le spectacle.
Une fois les envies des hommes assouvies je me lave avec une éponge et à l’eau froide devant eux ce qui leur permet de se moquer de moi.
Troisième dimanche de captivité
Vu qu’il pleuvait la veille au soir, exceptionnellement, mon maître qui est très (trop) bon avec moi m’a fait dormir dans la pièce qui sert de geôle avec Nadine qui comme moi est retenue captive mais ne subit pas le même traitement.
Il m’a fait remarquer que la place d’un être comme moi n’est pas dans la maison et que je dois lui être reconnaissant pour son geste humanitaire.
Ma collègue de captivité a dormi couchée sur le dos chevilles et poignets enchaînés sur un matelas et bâillonnée, le bruit de ses chaînes me gêne quand elle bouge pendant la nuit.
Moi sur un plaid étendu sur le sol couchée sur le ventre les poignets et chevilles attachés ensembles dans mon dos et harnachée de mon habituelle muselière/bâillon.
Avant d’aller se coucher, puis une autre fois pendant la nuit, Mathieu s’est soulagé dans la chatte de Nadine.
Moi j’ai eu droit à la torture d’un produit chauffant qu’il a appliqué en grande quantité sur mes tétons, dans ma chatte et dans mon cul, ce qui a mis le feu en moi pendant un bon moment, m’a donné des grosses envies de sexe masculin et beaucoup fait mouiller.
Il m’a dit en se moquant de moi:
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Le matin notre maître vient nous chercher et nous conduit en laisse dans la cuisine.
Nadine lui fait une pipe et avale le sperme puis je lui en ai fais une deuxième qui dure plus longtemps avant qu’il n’éjacule dans ma bouche.
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Pendant qu’il prépare notre déjeuner je dois lécher avec ardeur la chatte et le cul de ma codétenue pendant qu’elle en fait autant sur moi. Notre maître interrompt notre petit jeu une fois que nous sommes bien échauffée avant la jouissance.
Nous déjeunons à genoux puis allons dans la salle de bain ou chacune lave l’autre.
Ensuite bâillonnées, moi enchaînée et elle menottée nous attendons accroupies à ses pieds.
Trois hommes sont arrivés.
Mathieu emmène Nadine dans la geôle ou il l’enchaîne puis il est revient dans la cuisine ou j’attends à genoux ma laisse attachée à un pied de table.
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Libérée de mes chaînes Mon maître m’amène tenue en laisse dans la geôle au sous-sol.
Je dois me coucher sur le ventre directement sur le sol qui me paraît bien froid, un épais morceau de bois est placé sous mon ventre ce qui a pour but de surélever mes fesses.
A coté de moi je vois un jerrican muni d’un tuyau d’un robinet, d’un tuyau transparent avec au bout une canule, j’aperçois également une poire à lavement.
Je commence à comprendre et ce n’est pas réjouissant.
Mathieu sort de la pièce et y revient presque aussitôt apportant un récipient.
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Il remplit le jerrican et le pose sur un tabouret qu’il a placé à coté de moi.
Après avoir fait couler un peu d’eau pour chasser l’air mon bourreau introduit la canule dans mon anus.
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Il ouvre le robinet et le liquide commence à couler dans mes intestins jusqu’à les remplir. Cela devient vite désagréable avec l’envie de renvoyer tout ainsi que les gargouillis et douleurs dans mon ventre.
Je me retiens pendant qu’ils chronomètrent. Cela devient vite insupportable et je me lève brusquement et cours vers le WC après avoir arrachée la canule de mon cul. Assise sur celui-ci je me soulage pendant que les hommes rient et commentent.
Les intestins vidés je reprends la même place. La canule de nouveau en place dans mon cul ils ouvrent le robinet du jerrican et l’eau remplit encore mes intestins puis le supplice recommence.
Surmontant au mieux les élancements dans mes boyaux j’essaie de tenir en serrant les fesses au grand amusement des spectateurs.
A bout je retire la canule et me lève mais je n’ai pas le temps d’aller bien loin, je ne peux pas me retenir et je lâche l’eau contenue dans mes intestins qui coule sur mes jambes et se répand sur le sol.
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Une nouvelle fois ils remplissent mes intestins de liquide et après avoir un peu résisté je parviens à aller jusqu’au WC pour me soulager.
Je suis de nouveau allongée mais cette fois sur le dos, le billot de bois sous mes fesses.
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Un homme me doigte puis me pénètre et sa queue fait des va-et-vient dans mon vagin pendant un moment, il se retire avant d’arriver à l’éjaculation.
Mathieu enfonce la canule de la poire à lavement dedans et appuie sur la partie récipient en caoutchouc pour faire sortir le liquide que je sens couler dans mon intimité.
Au bout d’un moment l’eau coule dans la raie de mes fesses.
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Je suis à peine debout et bien que j’essaie de fermer l’orifice en pinçant les lèvres de mon intimité avec une main, l’eau coule sur le sol.
Après m’être allongée les fesses encore plus surélevées, ma chatte est de nouveau pénétrée et défoncée pour l’agrandir.
De nouveau la canule est en moi et l’eau tiède coule. Quand mon vagin est rempli et que l’eau commence à goutter dans la raie de mes fesses ils comparent ce qui reste dans la poire par rapport à ce qu’il y avait au départ.
Mon maître place une cuvette sous mes fesses et en m’accroupissant l’eau contenue dans mon vagin coule en partie dedans et le reste sur le sol.
Un autre homme me pénètre et ils recommencent l’expérience.
Enfin c’est au tour de Mathieu puis l’eau coule de nouveau dans ma chatte.
Ils sont déçus de la faible quantité (selon eux) que contient une chatte et de l’écart peu significatif par rapport à la dimension des différents pénis qui ont fait le passage.
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A genoux sur un plaid étalé sur le sol je suce l’un des hommes pendant que l’autre pénètre ma chatte, ils sont très excités et jouissent rapidement puis ils échangent leurs places et nos ébats reprennent, ils mettent plus de temps avant d’éjaculer.
Ensuite ils alternent les pénétrations vaginales et anales chacun leur tour ou à plusieurs ils investissent mes orifices ensembles.
Satisfaits l’un des deux va chercher mon maître qui est sorti après avoir sautée Nadine.
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Le jerrican est rempli d’eau froide Mathieu introduit l’extrémité du tuyau transparent dans ma bouche et tourne le robinet pour que l’eau coule doucement, je bois tant que je peux puis je m’arrête.
Je reçois des claques sur les cuisses.
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Je me force pour continuer et au bout d’un moment je sens que mon ventre gonfle.
Je n’en peux plus et je m’arrête encore, il m’oblige encore à boire plusieurs fois en cinglant mes cuisses avec ma laisse.
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Ils chronomètrent le temps que je mets avant d’uriner.
Ils s’impatientent et me font de nouveau boire de nouveau plusieurs fois.
La quantité d’eau que j’ai ingurgitée est très importante.
Dans ces conditions je ne tiens pas des heures comme en temps ordinaire et à un moment le ventre trop douloureux je me lève précipitamment et j’ai à peine le temps d’atteindre le WC que je pisse déjà.
Ils rient de bon coeur et trouvent qu’ils se sont bien amusés à mes dépens.
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A genoux je passe la serpillière sur le sol mouillé.
Peu de temps après j’urine encore.
Pendant tout ce temps Nadine qui est enchaînée au mur assiste au spectacle.
Ses invités partis notre maître nous remonte, tenues en laisse, dans la cuisine.
Pendant qu’il prépare le repas il nous donne l’ordre de jouer les lesbiennes.
Je me positionne à genoux tête bêche sur Nadine et je commence à lécher sa chatte et son clitoris avant de passer à son anus.
Après un moment d’hésitation elle en fait de même sur moi et il faut que je reçoive une claque sur une fesse pour que nous nous séparions.
A genoux nous mangeons en silence puis, de nouveau bâillonnées, je me retrouve enchaînée contre le mur de la geôle les pieds décollés du sol pendant que Nadine reste à genoux menottée sa laisse attachée au pied d’un canapé dans le salon.
Mon calvaire prend fin quand accompagné de sept hommes mon maître entre dans la pièce tenant en laisse Nadine qu’il enchaîne à ma place tout en lui laissant de la liberté de mouvements.
Mathieu déplace le matelas qui sert de lit à ma codétenu et étale un plaid.
<<ça suffira pour cette dégénérée, allez y, défoncez la, elle n'a jamais assez de bites cette truie>>.
C’est la ruée, ils me prennent à deux ou trois ensembles, tous mes orifices sont utilisés.
je prends le plus de plaisir quand j’ai en même temps une queue dans la chatte et une dans le cul.
Dès qu’un homme a joui en moi il est aussitôt remplacé par un autre.
Mon calvaire dure longtemps, au bout d’un moment le plaisir que je ressens deviens trop fort et l’orgasme arrive suivi par d’autres car les sensations dans mon ventre ne faiblit pas.
Enfin un dernier partenaire éjacule dans mon vagin et je peux récupérer un peu.
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Il me transportent en me tenant par les jambes et les bras, ils m’allongent sur le dos dans l’allée du garage et me lavent avec le jet du tuyau d’arrosage puis ils me mettent sur le ventre et recommencent.
Je serre les dents et je grelotte, j’évite de bouger, l’eau me semble très froide.
De nouveau bâillonnée et enchaînée, tenue en laisse je rejoins Nadine dans la cuisine pour le repas du soir avant de passer la nuit entravée couchée sur la paille à l’extérieur, avec des pinces fixées sur les tétons de les seins et sur les lèvres de ma chatte. C’est douloureux mais je suis habituée à souffrir.
Troisième lundi, le matin fin de captivité
Avec Nadine l’autre pute qui a passé le weekend ici également captive, après avoir fait chacune une pipe à Mathieu, nous déjeunons à genoux sur le sol puis nous faisons notre toilette ensemble.
Rhabillée elle quitte les lieux après que Mathieu lui aie donné de l’argent et l’aie informée que si elle revient elle servira de vide-couilles aux hommes qu’il reçoit ce qui ne semble pas la gêner car elle prend date pour un prochain séjour.
Il me tend une broîte remplie de billets.
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Je compte et et lui dis combien il y a, c’est une très belle somme.
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Je baisse la tête soumise, j’accepte d’avance de lui obéir.
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Il me tend ma robe et mes chaussures, je m’habille puis je m’approche de lui et pose mes lèvres sur les siennes. Il me repousse.
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Je sors frustrée et désorientée, pas décidée à quitter les lieux, je suis maintenant bien conditionnée.
Mon mari m’attend un peu plus loin, il m’ouvre la portière arrière, je monte dans sa voiture et il démarre sans prononcer un mot.
Pendant le trajet je me couche sur le siège et je m’endors, quand je me réveille la voiture est dans le garage et je suis seule dans la maison.
Déboussolée il m’a fallu du temps pour me réhabituer à une vie normale, je pleurais souvent.
Mon meilleure amie Martine, ma confidente, m’a bien aidée.
Depuis mon retour de pénitence mon mari ne m’a plus touchée, cela me désespère et je ne sais plus quoi penser quand à l’avenir de notre couple.
Je décide de lui écrire une longue lettre ou je l’assure de mon amour, je lui dis que je ne veux pas le perdre et que je suis prète à supporter beaucoup de choses par amour.
Je mets la lettre dans sa voiture pour qu’il la trouve en partant travailler le lendemain.
Peu avant l’heure de son retour je me maquille, m’habille comme une putain. Dans l’entrée de la maison je dispose un martinet, une cravache et divers instruments de torture.
A genoux j’attends son retour.
Il ouvre la porte et me regarde surpris.
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Il me tend la main.
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Je me lève, il me prend dans ses bras, colle sa bouche sur la mienne et nous échangeons de longs baisers.
Tout en nous embrassant, caressant et déshabillant nous prenons la direction de la chambre.
Nous avons fait l’amour toute la soirée et une bonne partie de la nuit, j’ai beaucoup joui, une vraie lune de miel.
Nous n’avons plus parlé de de cet épisode de notre vie.
Doucement ne pouvant pas m’en empêcher j’ai recommencé à prendre des amants et aussi monnayer mes services mais en faisant plus attention pour que mon mari n’en prenne pas ombrage.
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