J’aime prendre les transports en commun. Mais , seulement quand ils sont bondés. La promiscuité entre les voyageurs stimule mon imagination. Quelquefois même, ça va plus loin. Le moindre frôlement contre mon cul devient, dans mon imaginaire, une caresse d’un voyageur appréciant le galbe de mes fesses. Je l’imagine en train de se frotter à moi, sa queue durcissant dans son pantalon. Sa main qui vient vérifier que je réagis bien à la caresse et qui prend ma bite entre ses doigts. La voilà qui ouvre ma braguette et qui se glisse dans mon slip. Son propriétaire se baisse et descend mon pantalon sur mes chaussures. Puis, ses mains agrippent les bords de mon slip et le descendent lentement, le long de mes jambes. Il se recule, ouvre sa braguette et sort sa bite. Il glisse un doigt entre mes fesses et y inserre son gland. Il le pose sur mon petit trou et pousse sa queue dans mon cul, d’un magistral coup de reins.
Si effectivement, il ne se passe rien, le simple effleurement contre mon cul déclenche une éjaculation. Dans le cas contraire, je me laisse emmener par le voyageur, dans un endroit plus intime, où il pourra mettre au point son entreprise commencée dans le bus. Dans cette dernière alternative, je conforte l’entreprenant sur ma disponibilité. Je recule vers lui, et j’appuie mon cul contre son entrejambe. Le fait que sa queue se raidisse me montre que je ne me suis pas trompé. Il descend du bus, et je le suis. Tout de suite, et sans vergogne, il plaque sa main sur mon cul, devant tout le monde, glissant, à travers le tissu de mon pantalon, un doigt dans la raie de mes fesses. Il me prend par la main et m’entraîne à l’écart. Il se penche vers moi, et me glisse à l’oreille :
– T’as un putain de beau cul ! Je veux t’enculer !
– J’avais bien compris ! Répondis-je.
– Je t’emmène chez moi ?
– Pourquoi pas !
– Tu sais, je suis un peu exhibitionniste…
– Et alors ?
– J’aimerais bien que tu te foutes à poil dans la cage d’escalier et que tu me suces à cet endroit.
– Pourquoi ?
– Parce que j’espère qu’on nous surprendra dans cette position.
– Tu peux ausssi m’enculer sur le palier de ton appartement et j’appelerai à l’aide si tu veux. Comme ça on te verra aussi au fond de mon cul !
– Tu le ferais ?
– Bien sûr ! On peut même aller plus loin…
– Ah oui ?
– Ouais ! Tu préviens un copain à toi, qui fait semblant de répondre à mon appel. Quand il te voit au fond de mon cul, il fait mine d’en profiter et fourre sa queue dans ma bouche !
– Franchement, t’es génial. Dommage que je t’ai pas connu plus tôt. Tu te rends compte de la tête des voisins ? Ils entendent crier, ils sortent pour voir ce qui se passe et ils voient un mec à poil que deux mecs sont en train de baiser !
– Ca te plaît ? Alors y a qu’à le faire !
Et, c’est comme ça que je me suis retrouvé, à poil, une bite dans la bouche, l’autre dans le cul, au milieu des voisins de l’un deux, et qui regardaient médusés, le spectacle qu’on leur proposait.
Les gars m’ont proposé de recommencer, mais j’ai refusé. J’aime trop le jeu du hasard qui fait que j’offre mon cul à des inconnus, ce qui pimente le jeu à souhait.
Chaque voyage sur les bus de la ville, m’offre l’opportunité de chevaucher une bite ou de la bouffer. Je ne sais jamais. Chose étrange, je n’ai jamais été l’objet d’une chasse aux pédés. Je fais ça pour le plaisir. Sentir une queue s’enfoncer dans mon cul, me transporte jusqu’au 7ème ciel. Si, en retour, je peux donner du bonheur en donnant mon cul aux autres, je suis comblé.
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