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La ballade des saisons

La ballade des saisons



Julie veut me faire connaître ses parents. Je n’ai aucune intention de l’épouser, même si je me trouve bien avec cette nana bien dans sa peau, bonne donneuse se fellation, qui ne veut être baisée qu’en levrette pour que j’ai le choix entre ses deux orifices : elle préfère avoir une sodomie qu’une baise classique qu’elle ne refuse jamais. Elle insiste tellement que risque pour avoir la paix j’accède à demande.

Un dimanche après midi, elle vient me chercher chez moi, refuse que nous fassions l’amour, malgré mon envie et certainement la sienne.

Nous arrivons chez les patents. Julie ouvre la porte, me fait entrer. Surprise un belle femme mature fort bien conservée m’accueille.

Nous vous attendions.

Le seul hic, parce qu’il y en a un est que la dame est nue, totalement nue, sans complexe devant moi. Je la regarde hébété. Son mari est derrière elle, aussi nu qu’elle. Je réfléchis à la vitesse de la lumière : où ils viennent de baiser, ou ils allaient le faire ou, c’est normal…

Ma Julie me pousse en avant. Elle embrasse papa, maman normalement sans se préoccuper de la nudité parentale.

Mettez vous à l’aise.

Vous voulez que je me mette aussi nu que vous ?

Bien sur, on est bien mieux à poil, me dit le papa.

Julie n’attend pas l’autorisation, elle se déshabille rapidement. Je reste comme un imbécile le seul habillé. Je me connais, pour moi dès que je suis nu, je commence à bander. Je ne veux pas montrer mon sexe comme ça, même et surtout aux parents de ma dulcinée.

C’est la maman qui m’oblige à le faire :

Qu’attendez vous pour vous mettre nu comme nous. Ici nous vivons comme ça, même si ça étonne des gens.

Elle insiste :

Allez faites comme quand nous baisons.

La mère se renseigne un peu en demande à sa fille :

Est-ce qu’il te baise bien au moins ?

Oui, il m’encule aussi.

Il t’encule ? Ça je n’aime pas.

Je vais provoquer une histoire de famille, ma chérie aime ma queue dans son cul et sa mère n’aime pas la queue de son mari dans son anus.

Tu as tords de ne pas te faire enculer, j’aime, c’est bon de sentir sa queue dans l’anus. Essaie au moins une fois. Demande à papa de te sodomiser.

Le père répond :

Tu sais ma fille , il y a longtemps que je voudrais l’enculer. Elle refuse toujours.

Ma chérie intervient auprès de sa mère :

Fais comme moi, j’adore me faire enculer, le sentir jouir dans mon cul : il me fais jouir en même temps.

Tu ne connais pas la bite de ton père quand il bande. Regarde là au repose, imagine la en érection. Il bande comme un âne, il me ferait mal.

Et mon chérie, tu crois qu’il bande mou quand il est dans mes boyaux ? Tiens fais le bander tu verras.

Je ne vais pas prendre une autre queue que celle de ton père, surtout devant lui.

Mon père intervient encore :

Fais lui plaisir, prend cette queue, fait la bander pour voir.

Ma mère est obligé de se plier à la volonté de tous, sauf que je ne lui demande rien. Contrainte elle s’empare de ma bite. Je commençais à bander, je bande dur maintenant. C’est vrai que je suis un peu gros. C’est vrai que ma chérie aime quand je la sodomise avec justement ma queue épaisse. C’est même pour cela qu’elle me veut.

Enfin la mère prend bien ma pine dans sa main. Je ne sais si c’est l’habitude de la bite de son mari, elle me caresse avec profession. Si elle continue elle va me faire jouir dans sa main.

Suce la, lui demande le père.

Oh, oui, suces le, renchérit la fille pas jalouse.

Elle m’offre comme un bouquet ou un paquet de bombons. Ainsi, devant le père et ma chérie, la mère se penche vers moi, se baisse pour être à la hauteur. Je tends ma bite vers sa bouche. Elle m’avale en partie. Ce qui m’étonne le plus est de voir le père prendre sa bite, se la caresser, se branler devant nous tous, y compris sa fille.

Ma chérie regarde avec attention, elle écarte un peu les cuisses pour y passer une main. Son pubis est avancé, sa main tripote sa chatte. Elle jouit en le disant à tous.

Jouit encore, demande le papa qui la regarde faire.

Oui, mais mets moi un doigt dans le cul pour m’aider.

Il n’arrête pas sa masturbation, il avance juste ce qu’il faut pour avoir accès au cul de sa fille. Elle écarte les fesses, il lui met deux doigts profond.

C’est bon de se branler quand j’ai en plus des doigts dans le cul. Oui, encore.

Je ne peux rien répondre, ma queue est en entier dans la bouche de la mère. Si elle me lèche, elle se branle aussi. Je sens que je vais jouir. Je trompe en somme ma chérie avec sa mère : une sacrée suceuse. Elle arrête la fellation à mon grand désappointement.

Elle fait une chose inimaginable : elle me donne ses fesses, sa raie. Ma queue pleine de salive, rode vers son anus. Je sens sa douceur dans sa raie. Elle prend ma bite sans sa main. Elle me dirige en me disant

Doucement, c’est ma première fois. Regardez tous il va m’enculer.

En s’adressant au père :

Tu pourras me la mettre au cul quand tu voudras si je jouis avec cette nouvelle bite.

Je deviens l’attraction de tous. Et le mari et ma chérie regarde ma queue comme une étrangeté.

Elle tire le prépuce vers l’avant pour me mettre juste sur l’anus. Je pousse lentement. Je sens que je dépucelle un nouveau cul : il est drôlement serré. Ma peau se déplie en elle. La gland reçoit ce plaisir que l’aine tant. J’entre doucement à fond dans son derrière. Elle est totalement décrispée, trop presque quand je la sens jouir.

Elle en voudrais encore. Elle demande au mari de venir la baiser pendant que je suis toujours en elle. Une double pénétration, voilà son rêve actuel.

Bourrez moi tous les deux. C’est bon, je vais encore jouir. Ma fille tu devrais te faire mettre comme moi.

La fille ne dit rien, elle fait sortir la queue paternelle. Elle me demande de l’enculer, elle demande au père de la baiser. Je sens l’autre queue contre la mienne. C’est agréable, inédit, jouissif. Je sens les spasmes de ma chérie au moment ou je lui donne une ration de sperme. Je crois bien que le père jouit aussi dans sa fille.

Les présentations sont faite, je débande heureusement. Ma chérie m’embrasse sur la bouche, elle embrasse ma queue, comme fait sa mère à son père.

En partant ma chérie demande si j’ai aimé ses parents. Mis à part le père dont je n’ai vu que sa bite bandée, je connais tout de la famille. Elle me demande de venir souvent, elle aime échanger des orgasmes avec ses parents.

Pour être complet il aurait fallut que je demande au père de me ma mettre au cul, après tout j’ai sodomisé sa femme, et devant lui en plus. Devant ma chérie aussi.

Pourquoi pas après tout. C’est le dimanche suivant que j’insiste pour revoir ses parents. Ils sont toujours nus, visiblement ils viennent de baiser : c’est ce qu’en substance dit la mère. C’est vrai que la queue du père est bien basse : j’y aperçois des traces de mouille.

Ma chérie se fait une raison, elle ne pourra pas se faire mettre par papa, enfin pas de suite. Mais il a une langue pour compenser un peu. Jouir avec une langue sur la clitoris est aussi bon que d’avoir la bite dans le con. J’embrasse maman sur la bouche, sa langue et aussi bonne dans la bouche que sur ma bite.

Une bonne poignée de main avec le père suffit pour le moment. Je regarde sa bite avec insistance, je dis même :

Je voudrais bien être enculer au moins une fois.

Ma chérie insiste :

Oui, papa, encule le.

Là, maintenant ?

Oui, devant nous trois.

A force de penser à me faire enculer, je commence à bander. Lui le voit bien, il prend ma queue. Il commence par me branler vachement bien.

Ma chérie me demande :

Tu vas jouir comme ça ?

Je crois oui.

Il arrête tout. Je suis déçu. Il me fait me retourner, me pencher en avant. Je sens quelque chose passer dans la raie des fesses. La dernière fois que j’ai eu cette sensation c’est quand elle m’a mit son gode. J’avais apprécié. Mais là avec une vraie bite ?

Il est drôlement doux. Je sens juste quand il passe, puis un plaisir particulier arrive. Il me semble que ma queue va éclater. Il me lime le cul, je trouve que c’est agréable. A chérie vient en renfort. Elle est assise en tailleur juste devant moi, penchée vers ma queue. Elle me suce, elle se branle. J’aurais préféré sa mère. Et d’un seul coup je sens mon trou du cul se serrer presque à fond, en emprisonnant la queue qui est dedans. Je jouis en plus dans la bouche de ma chérie qui lentement avale tout sauf ce qu’elle nous réserve.

Et son père et sa mère ainsi que moi même goûtons ma semence

Drôle de famille où je commence à prendre mes habitudes sexuelles, surtout avec papa.

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