Ma femme Sophie se libère (partie 2)
J’aide Sophie à se remettre sur ses pieds. Elle est chancelante après ce que je lui ai fait subir. Alors qu’elle redescend sa robe sur ses fesses, je remets ses seins qui pointent toujours autant à l’intérieur de sa robe. Elle est encore en train de réajuster sa coiffure quand je la prends par la taille pour quitter notre petit recoin sombre du parc. À la lumière des lampadaires, je peux mieux évaluer son état. Son maquillage a complètement coulé, elle reste ébouriffée et le dessus de ses seins est brillant de toute la salive qui a coulé dessus.
Sophie se blottit contre moi pendant que nous traversons le parc, elle ne voit pas que je regarde autour de nous à la recherche de la présence de notre voyeur, mais soit celui-ci est déjà reparti, soit il reste bien caché. Nous finissons par arriver à notre voiture sans croiser âme qui vive.
Nous roulons tranquillement en silence. Sophie à côté de moi nettoie tout son maquillage qui a coulée. Cela fait cinq minutes que nous sommes sur notre route de campagne quand je sens tout à coup la main de Sophie se poser sur mon entrejambe. Je jette un coup d’œil vers elle et je la vois sourire tandis qu’elle accentue la pression de ses doigts. L’effet est immédiat et je me remets doucement à bander. La main de Sophie se fait vite plus aventureuse, elle ouvre ma braguette et s’insinue dans mon boxer pour serrer délicatement mon pénis. J’aimerais bien qu’elle aille plus loin que cette légère masturbation, qu’elle me suce alors que je conduis, mais je tiens à rentrer en vie. Il faut que je prenne mon mal en patience, j’aurais tout le temps de profiter d’elle quand nous serons enfin arrivés chez nous.
Ce voyage me parait durer une éternité, mais enfin je touche au but. Je m’arrête devant notre portail automatique dont j’active l’ouverture. Je me gare dans notre entrée gravillonnée et coupe le contact. La lumière du portail est toujours en train de clignoter quand je recule brusquement mon siège. Je n’ai pas besoin de prononcer le moindre mot, mon invitation est claire et Sophie plonge sur ma bite. Pour elle aussi, le voyage a apparemment été long, car je me retrouve immédiatement au fond de sa gorge. Elle se met à me pomper avec une avidité folle, je n’ai absolument pas à lui imposer mon rythme tellement c’est bon.
Puisque mes mains sont libres, j’en profite pour m’occuper du corps de Sophie. Je remonte sa robe au-dessus de ses fesses. Je commence à les caresser, à passer sous sa culotte noire. Mes doigts finissent par arriver au contact de sa chatte. Elle est littéralement trempée. Je joue un moment avec ses grandes lèvres avant de partir en quête de son clito que je trouve bien dur sous mes doigts. Immédiatement, je me mets à le caresser, à le pincer légèrement. Je sens aussitôt Sophie gémir autour de ma queue. Elle aime ce que je lui fais et me remercie en accélérant un peu plus le rythme de sa pipe. Par moment, elle garde mon gland au bord de ses lèvres pour faire tourbillonner sa langue dessus, d’autre fois, elle s’amuse à rester immobile de longues secondes mon gland planté tout au fond de sa gorge.
— Hum, c’est bon ma salope, mais je veux plus. Je te veux tout entière. Viens, on rentre à la maison.
Après un dernier profond va-et-vient, Sophie abandonne ma bite gluante de bave. Elle me regarde et me sourit avant de sortir de la voiture. Je m’empresse de la rejoindre au-dehors. Je la ratt**** alors qu’elle passe devant la voiture. Elle est à moitié nue, elle n’a même pas pris le temps de redescendre sa robe. Devant cette vision, une envie subite me prend, la maison attendra encore un peu. Je pose mes mains sur les épaules de Sophie et la bascule sur le capot. Elle n’a pas le temps de réagir et se retrouve en un instant allongé sur le dos. Je me penche sur elle et me saisis du haut de sa robe que je tire d’un sec vers le bas libérant ses seins. Sophie pousse un petit cri aigu. Son soutien-gorge subit le même sort et je me retrouve enfin devant ses tétons qui pointent. J’avance sur eux et me mets à les lécher et à les sucer à tour de rôle sous les gémissements de Sophie.
— AH !
Sophie n’a pu se retenir de crier quand mes dents se sont refermées sur son sein gauche. Elle pousse un nouveau cri quand je m’attaque à celui de droite. Sophie devient vite haletante et sa main repart à la recherche de ma bite qu’elle se met à branler dès qu’elle la trouve. Nous continuons ainsi pendant un moment, puis je décide de mettre un terme à ce petit jeu et la pousse vers la maison.
Arrivée devant la porte, Sophie me gratifie d’un baiser passionner et j’ai du mal à trouver la serrure. Je finis par parvenir à ouvrir et je l’invite à l’intérieur par une légère claque sur les fesses qui la fait rire. Tout juste la porte franchie, je retiens Sophie par la main pour qu’elle n’aille pas plus loin et je la fais s’asseoir sur le guéridon de l’entrée. Je me retrouve à genoux devant ses cuisses nues que j’écarte légèrement, dévoilant sa belle culotte noire. Elle est marquée de la mouille que Sophie a répandue en voiture alors que je la caressais, mais je remarque aussi une trace bien plus grande en partie séchée, la preuve du plaisir qu’elle a pris sous mes assauts dans le parc. Mes mains glissent le long des jambes de Sophie jusqu’à sa culotte que je saisis des deux côtés pour la faire redescendre. Je la jette au loin, les yeux perdus dans la chatte lisse de Sophie. Je m’approche délicatement de ce puits d’amour. Je le hume, je savoure l’odeur de désir délicat qu’il dégage. Je me mets à souffler délicatement dessus ce qui fait instantanément réagir Sophie, elle pousse un léger soupir tout en cherchant à refermer ses cuisses. Je pose mes mains à l’intérieur de ses cuisses pour l’en empêcher et la force à les ouvrir même davantage. Je continue de souffler doucement sur sa chatte puis mes lèvres se posent enfin dessus. Je me mets à embrasser sa chatte, je l’embrasse partout, m’attardant à plusieurs reprises sur le clitoris de Sophie qui pointe toujours autant. Ma langue se joint enfin à ce ballet et je lèche cette chatte humide. Sophie apprécie ce que je lui fais, car elle ne cesse pas de pousser des petits gémissements.
Je décide d’aller enfin plus loin et je pose mes lèvres à l’entrer de son vagin. Je reste un moment immobile en fixant Sophie des yeux, attendant qu’elle me regarde en face à son tour. Nos yeux finissent par se croiser et ma langue s’insinue alors à l’intérieur d’elle. Cette intronisation fait pousser un long gémissement à ma femme. D’abord délicate, ma langue se fait plus intrusive, je la plonge à l’intérieur de sa chatte aussi loin que je peux.
— Oui, c’est bon. Continue. Là ! Oui, lèche-moi là !
Sophie pose ses mains sur ma tête pour surtout que je ne bouge pas et que je continue ce que je lui fais. Je n’avais aucune intention de la laisser là et je me mets à la lécher avec encore un peu plus d’avidité tout en remontant deux doigts vers son clitoris. Sophie gémit de plus en plus, sa respiration se fait haletante, elle va bientôt jouir. Je décide de m’arrêter pour la frustrer et l’exciter davantage.
— Non, ne t’arrête pas, je t’en supplie.
Je la regarde en souriant tout en me branlant. Elle est si excitante. Je compte bien la faire jouir, mais pas avec ma langue, pas dans cette position. Alors qu’elle se caresse en attendant que je revienne vers elle en me regardant d’un regard empli de luxure, je me déshabille. Il ne me faut que quelques secondes pour ôter tous mes vêtements que j’envoie voler contre la porte d’entrée. Le spectacle que j’offre à Sophie, complètement nu, ma queue dressée vers elle, l’excite encore un peu plus et elle fait glisser sa langue le long de ses lèvres. Elle sourit quand elle me voit enfin me rapprocher d’elle. Je la saisis par la taille pour la faire descendre du guéridon. Je fais remonter sa robe par-dessus ses épaules et la jette avec mes vêtements. Son soutien-gorge ne tarde pas à la suivre. Je reste un moment subjugué devant sa poitrine ferme. Je dépose quelques baisers alternativement sur ses tétons dressés. Je recule une fois de plus pour admirer ma femme. Je me saisis de l’une de ses mains, elle croit que je vais l’emmener ailleurs pour poursuivre nos ébats, mais je me contente de la retourner et la force à se cambrer. Elle a désormais les deux mains posées sur la table, ses fesses sont tendues vers moi. Je me saisis de son chignon et la force à regarder son reflet dans le miroir.
— Regarde-toi, regarde comme tu es belle. Comme tu es bandante ce soir. Tu as des yeux de salope. Une salope que je vais bien baiser. Je veux que tu voies à quoi tu ressembles quand je t’enfile. Regarde bien le plaisir que tu prends.
D’une main, je maintiens sa tête et de l’autre je dirige mon gland à l’entrée de sa chatte. Je fixe nos reflets dans le miroir, je plonge mes yeux dans les siens. Elle est excitée, elle attend que je la pénètre. J’enfonce mon gland en elle tout en observant sa réaction. Ses lèvres viennent de se séparer et elle ouvre un peu plus les yeux. Je continue ma progression dans sa chatte en allant doucement, mais sans jamais m’arrêter tellement Sophie est trempée.
— AH !
Sophie vient de pousser un petit gémissement et de fermer les yeux au moment où ma bite est entrée entièrement en elle. J’abats aussitôt ma main sur ses fesses.
— Ouvre tes yeux !
Sa réaction est immédiate et elle m’obéit et fixe mon reflet. Je soutiens son regard tandis que ma bite ressort lentement de sa chatte. Je m’arrête juste avant de faire ressortir le gland pour replonger tout aussi doucement en elle. Sous cette pénétration, Sophie a du mal à se contenir, je dois lui maintenir fermement les cheveux pour qu’elle continue d’admirer le spectacle. Je ne tarde pas à varier le rythme et la profondeur, j’alterne entre mouvements rapides ou extrêmement lents et entre coups bien profonds ou justes à l’entrée de sa chatte. Sophie adore ça, elle dégouline autour de ma queue, facilitant d’autant plus mon travail. Je la prends ainsi de longues minutes jusqu’à ce que je sente sa chatte tressaillir autour de ma queue. Sophie est prise d’un orgasme aussi violent que soudain, elle se met à hurler comme une folle.
— OUUIIII ! AAAAH, OUUIII ! OUI ! PUTAIIIIN !
— Regarde comme tu jouis, salope !
Je lui donne une nouvelle claque sur les fesses pour qu’elle s’observe dans le miroir ce qui a pour effet de prolonger son orgasme. Quand Sophie se calme enfin, je sors complètement d’elle et glisse mes bras autour de ses seins pour la ramener contre moi et la plaquer contre mon torse.
— Eh bien, t’as aimé ça, ma belle.
— Hum oui, souffle-t-elle d’une voix lascive.
Je dépose plusieurs baisers dans le cou de ma femme qui la font frémir.
— Je n’en ai pas encore terminé avec toi. Le reste de la maison doit encore être le témoin de la salope que tu es ce soir.
Je prends Sophie dans mes bras et la porte jusqu’au salon. Je la pose sur notre table à manger et la fais s’allonger sur le dos. Ses fesses sont légèrement dans le vide. Je me saisis de ses deux chevilles et je tends ses jambes en l’air pour former un V. Je la fixe un moment dans cette position. Elle est terriblement bandante. Ses seins se soulèvent au rythme de sa respiration rapide. Une fois de plus, je plonge ma queue dans sa chatte, mais cette fois-ci je vais bien moins doucement que tout à l’heure. Je la baise comme un fou, enivré par les petits cris qu’elle pousse.
— Ah ! Doucement…
Je lâche l’une de ses chevilles et j’abats ma main sur son sein gauche.
— Ah ! Salaud ! Salaud !
Ma main fouette cette fois-ci son sein droit.
— Moins… fort… Je…. Ah !
Une nouvelle gifle vient mettre un terme à ses protestations. Il n’y a plus que des gémissements de plaisir qui sortent de sa bouche.
Je passe de longues minutes à la baiser ainsi sans ralentir quand un nouvel orgasme la prend ce qui a pour effet de la faire hurler encore plus fort. Le temps de son orgasme je me fige au fond pour en savourer toutes les contractions autour de ma queue. Sa jouissance terminée, j’enroule les jambes de Sophie autour de ma taille. Je passe mes bras dans son dos et la redresse jusqu’à écraser ses seins contre mon torse. Elle comprend ce que je veux faire et passe ses bras autour de mon cou. Mes mains descendent sur ses fesses pour la soutenir et je la soulève de la table. Je me mets à marcher dans notre maison tout en la faisant monter et descendre sur ma bite. Sophie pousse des petits cris absolument divins à quelques centimètres à peine de mon oreille.
Si l’exercice est particulièrement excitant et plaisant pour nous deux, il est aussi fatigant. Je me décide donc à rejoindre nos derniers lieux de débauche. Je fais descendre Sophie et la force à s’allonger sur le ventre sur la table basse du salon. Sa tête dépasse de la table et pend dans le vide ce qui me donne la furieuse envie de venir revisiter sa bouche. Je m’agenouille devant elle et saisis ses cheveux avant de m’enfoncer d’une seule poussée jusqu’à sa gorge. Pour la troisième fois ce soir, je prends sa bouche comme s’il s’agissait de sa chatte et pour la troisième fois Sophie se laisse faire en gémissant. Je ne reste pas longtemps cependant, car j’ai encore envie de sa chatte.
Je fais le tour de la table pour venir me placer derrière elle. Ma pénétration est accompagnée par un long cri de Sophie. J’abats mes deux mains sur ses fesses que je claque de toutes mes forces.
— AIE !
Je gifle son cul une dizaine de fois, provoquant toujours un cri où se mêlent douleur et plaisir. Ses fesses sont devenues rouges. Je passe maintenant mes mains autour de ses hanches et je me mets à la chevaucher comme un dératé. Sophie hurle et gémit de façon continue.
Après tant de temps à baiser de façon si intense, il ne faut pas longtemps avant que je sente ma jouissance venir. Je fais mon possible pour me retenir, car je sens que Sophie n’est pas loin de venir elle aussi. Sa chatte se contracte brusquement autour de ma bite et je sens sa mouille exploser.
— OUIIII ! PATRICK !
Je ne me retiens plus et explose à mon tour.
— ARGH ! SOPHIE ! Putain, je te remplie !
J’envoie cinq grosses giclées de sperme au fond de la chatte de Sophie.
Exténué, je bascule en arrière et libère la chatte de ma femme. Je me redresse légèrement pour voir sortir un mélange de mouille et de sperme. Sophie reste allongée sur la table basse, elle est encore sous le coup de son orgasme. En voyant tout ce jus couler, je me dis que c’est dommage de gâcher. Je me relève et plonge mes doigts dans la chatte de Sophie.
— AH !
Sa chatte est très sensible et elle frémit sous mes coups de doigts à l’intérieur pour faire sortir le mélange de nos fluides que je récupère dans mon autre main. Quand j’estime que j’ai récupéré tout ce que je pouvais, je viens devant Sophie et présente ma main sous ses yeux. Toujours dans un état second, je sens la langue de ma femme me lécher la main, elle aspire tout ce qu’elle contient. Une dernière envie me prend et je lui présente ma queue qui débande pour qu’elle la nettoie. Elle s’avance légèrement et m’aspire dans sa bouche. Elle y met beaucoup d’envie et quand elle me libère enfin, mon pénis n’est plus recouvert que par sa bave. Fier d’elle, je la prends dans mes bras et la fais glisser hors de la table. Je l’amène jusqu’au sol avec moi et nous nous couchons l’un contre l’autre sur le carrelage du salon pour reprendre notre souffle.
…
(suite ?)
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