Elizabeth n’hésita pas. En une seconde elle dégrafa sa jupe et envoya valser son chemisier. N’ayant ni culotte, ni soutien-gorge, elle était nue et se précipita sur Denise qui s’était allongée près de Vincent. Se couchant sur le corps de son amie elle se mit à faire courir sa langue sur les seins ronds et pleins pour recueillir les traces gluantes qui maculaient la chair tendre et chaude.
De son côté Vincent, le premier moment de panique passé, avait cru deviner aux propos de sa blonde amante que les deux femmes étaient complices. Il se remémora rapidement la scène de séduction très poussée que Denise avait entrepris à son égard pour se conforter dans l’idée que tout était calculé d’avance. Loin de le choquer, cette constatation vint renforcer dans son esprit l’image de magnifique salope (au sens sexuel du terme ) qu’il avait de sa mère. Il en conclut par extension que ce devait être le cas pour toutes les femmes de cet âge, puisque son amie Denise semblait bâtie sur le même modèle. Sans hésitation, il décida d’essayer d’en profiter au maximum. Et ceci dès à présent. Très intéressé par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux, il s’installa sur le côté pour mieux voir les deux corps emmêlés. Le contraste était étonnant. Elizabeth dont les cheveux et la toison secrète étaient noires comme le jais avait un corps doré, bronzé à souhait. Bien que sa poitrine et ses fesses soient bien pleines, l’ensemble de son corps donnait une impression de sveltesse très harmonieuse. Denise elle, était blonde de chevelure et de poils, et son corps était d’une blancheur de lait. Sa poitrine et ses fesses étaient plus volumineuses et plus rondes que celles de son amie, et son ventre légèrement arrondi semblait accueillant et chaud.
Sous les caresses d’Elizabeth, son amie n’avait pas tardé à sentir renaître un désir qui semblait ne jamais devoir être assouvi complètement. Elle cambra la poitrine sous les coups de langue qui, après avoir asséché le sperme du gamin, s’attardaient maintenant sur les mamelons. De plus, Elizabeth commençait à se servir de ses mains. Ses doigts descendirent en pianotant sur le ventre doux. Elle atteignit le pubis, fourragea quelques instants dans la toison courte et encore humide de la salive de Vincent, puis brusquement elle pinça le clitoris gorgé de sang dont l’extrémité frémissait déjà d’impatience. Denise reçut comme une décharge électrique, ses cuisses s’ouvrirent largement offrant à la convoitise de son amie, sa chatte brûlante.
– Oh Babette, branle-moi ma chérie, branle mon clito, après tu me mettras ta langue, tu me suceras. Huuum! Je suis déjà prête à jouir… Huuuum! Pour quelqu’un qui prétend ne pas priser particulièrement l’amour entre femmes, tu es douée. Oui vas-y, branle ! branle, c’est bon…
Vincent très attentif voyait le doigt de sa mère entrer pour se mouiller dans la crevasse secrète avant de revenir masser en cadence le bourgeon de chair du clitoris qui, gorgé de sang, se dressait fièrement sous la caresse. Il nota avec intérêt qu’Elizabeth changeait parfois de tactique. Deux de ses doigts s’introduisaient entre les lèvres et pénétraient dans le vagin pour agir comme une verge en entrant et sortant régulièrement, tandis que de la paume caressait le clitoris, car elle savait fort bien que son amie était aussi vaginale que clitoridienne. Cette séance de masturbation dura quelques minutes, puis Denise réclama la langue de son amie. Elizabeth se plaça alors sur elle, en position de 69, présentant du même coup son sexe bien excité à la langue agile de sa partenaire. Elle-même enfouit sa tête entre les cuisses ouvertes et sans attendre plaqua ses lèvres pulpeuses contre celles du vagin déjà ouvertes. Sa langue dardée pénétra dans l’ouverture et se mit à fouiller avec agilité, recueillant avec délice les premières gouttes de foutre que son action faisait naître. Comme Elizabeth avait la langue assez longue Denise eut l’impression d’être pénétrée par une bite, petite certes mais très agile. De son côté elle avait d’abord happé le clitoris entre ses lèvres et le suçait avec application favorisant l’afflux de sang qui venait gonfler les chairs tendres.
Vincent, en bon élève, appréciait le gougnotage des deux femmes, notant au passage leurs gestes et leurs attitudes. Son désir, stimulé par cette vision érotique renaissait à vue d’œil, et sa verge bandait à nouveau, bien dressée contre son ventre. Les exhortations de Denise, qui semblait aimer commenter crûment les événements, avaient cessé car il lui était difficile de parler et de sucer ou de lécher en même temps, mais son visage trahissait une grande excitation. Lui-même commençait à être submergé de désir, et l’envie de se mêler aux ébats des deux femmes se faisait de plus en plus forte.
Mû par un instinct de perversion et confiant dans les qualités de salope que lui avait montrées la blonde amie de sa mère, il se pencha à son oreille pour lui faire part de son attention : – Madame, pendant que Maman vous suce, j’ai envie de la prendre en levrette comme vous dites. J’ai terriblement envie de b… de lui mettre ma b… Enfin… De lui rendre hommage. Pourriez-vous s’il vous plaît lui remonter les fesses pour me faciliter les choses ?
Denise acquiesça d’un signe de tête. Vincent vint se mettre à genoux au-dessus du visage de Denise. Lorsqu’il fut prêt elle cessa de fouiller la chatte et sollicita son amie pour qu’elle remonte les fesses et se mette sur les genoux. Dès que sa mère fut en position, Vincent introduisit sa bite et la pénétra d’un coup de reins brutal. Sous le coup Elizabeth se tendit comme un arc et abandonna un instant la motte blonde.
– Ah ! Le petit salaud, il me l’a mise d’un coup! Il me remplit bien la chatte! Oui, vas-y mon fils, pine-moi fort ! …
Puis s’adressant à Denise:
– Tu te rends compte de la chance que tu as ma gouine ? Voir mon fils en train de me labourer la chatte… Tu dois avoir une vue imprenable sur ses couilles bien gonflées et prêtes à me décharger de bonnes giclées de jute dans le ventre? Tu dois voir son mandrin qui coulisse bien dans mon con?
– Oui je vois tout ça, et vous êtes de beaux salauds tous les deux. Ca me plaît! … Mais continue à me sucer le clito, et tiens-toi prête à boire mon foutre car je sens que je vais jouir. Oui, vas-y, ouiiiii, aaah! C’est bon, j’ai le feu à la chatte. Je vois bien la bite de Vincent qui te baise. Qu’est-ce qu’il te met le petit salaud ! Vas-y Vincent, c’est une salope ta mère, bourre-la bien, elle aime ça… Aaaah! Ça y est, je jouis… je jouiiiiiiis… Ah! Les salauds, me donner un tel spectacle, c’est cochon… Je jute, je jouis… Je n’en peux plus !
En effet Denise, vaincue par les coups de langue de son amie et la vue du baisage intense juste au-dessus d’elle, venait de rendre les armes. De sa chatte une abondante liqueur vaginale s’écoulait qu’Elizabeth recueillait précieusement avec la langue pour s’en délecter. Denise comme à son habitude mouillait abondamment et sa jouissance dura longtemps. Elle commençait à s’estomper lorsqu’Elizabeth, dont le vagin recevait toujours les coups de bite de son fils, sentit venir l’orgasme. Il fut brutal et violent, le foutre coula, abondant épais et chaud. Il gicla hors de la cavité vaginale sous les coups de piston du gamin, arrosa ses couilles, coula sur la bourse bien gonflée, puis quelques gouttes commencèrent à tomber sur le visage de Denise. Presque immédiatement Vincent, dont la verge était stimulée par les mouvements de contraction du vagin en pleine éjaculation, sentit venir la décharge. Brutalement sa verge se mit à tressauter, la petite bouche du gland s’ouvrit pour cracher la première giclée de jute, frappant la matrice avec force. Vincent presque tétanisé par la jouissance, continua néanmoins à limer le vagin brûlant, augmentant le plaisir de sa mère, et faisant gicler plus fort les gouttes des jutes mêlées qui tombaient presque goutte à goutte maintenant sur le visage et dans la bouche de Denise.
Elizabeth au comble du bonheur, criait des mots les plus crus pour s’exciter d’avantage: – Je jouiiis! …je jouiiis! …Aaaah! Mon con jute sans arrêt… Le salaud, il me pistonne… Tiens, tiens ma chatte te branle la queue… Je sens la jute qui gicle, j’en ai plein les fesses… Aaaah! Cette bite qui gicle aussi… Aaah! La bonne giclée, c’est boooon! Je dois en avoir partout… Bien graissée… Tu la graisses bien ta mère petit cochon! … Denise ma salope, tu jouis?
Denise en effet, stimulée par les mots obscènes de son amie, par les grognements rauques de Vincent et par les sécrétions qui lui barbouillaient le visage, s’était masturbée rapidement pour compenser l’inaction d’Elizabeth trop occupée à profiter de sa jouissance et de l’éjaculation de son fils. En quelques coups de poignet elle eut un nouvel orgasme qui la fit se tendre comme un arc et qui, épuisant ses dernières forces, la laissa sans réaction. D’ailleurs ses compagnons étaient aussi à bout de résistance et le trio s’affala sur le lit, encore emmêlé. Ils restèrent quelques minutes immobiles, brûlants, gluants de sécrétions et le cœur battant encore au rythme de leurs orgasmes.
Plus tard, après avoir récupéré et s’être re-pomponnées, Denise et Elizabeth, revenues au salon prenaient le thé dans une tenue décente. Enfin en apparence, car elles étaient toujours sans culotte.
– Tu sais ma chérie, disait Denise, c’était vraiment merveilleux. Je n’avais pas baisé depuis de longs mois, et ton Vincent a été sublime. Quel as! Tu vois, quand j’ai joui, la réalité a été encore supérieure à mes souvenirs. Pourtant Dieu sait que j’ai fantasmé sur le sujet… Quant à toi tu es absolument excellente dans le rôle de brouteuse de minou. J’ai peine à croire que c’est un rôle de composition. J’ai surtout pratiqué ce genre de sport au pensionnat, mais tu es parmi les plus douées que j’ai essayé. Je suis prête à recommencer quand vous le voudrez
– Oui, pour moi aussi c’était merveilleux et j’ai vraiment beaucoup joui. Mais je ne pense pas que nous puissions continuer tranquillement à faire nos petites parties à trois à intervalles réguliers. Et puis, je ne le souhaite pas. Il va nous falloir faire preuve d’imagination.
– Ah bon pourquoi ? Ce n’est pas bien ce que nous avons fait?
– Ca dépend ce que tu appelles bien ! .. Mais ce n’est pas la question. Le problème c’est de ne pas tomber dans la routine, et cela peut venir vite. Pour Vincent d’abord! Il est jeune, très jeune! Or il faut arriver à ce qu’il baise avec nous sans passion amoureuse, ce n’est déjà pas simple. Mais de plus, il faut aussi qu’il ne se lasse pas, sinon il trouvera facilement une fille de son âge qui lui résoudra tous ses problèmes à la fois… Et puis c’est important pour nous aussi. En ce qui me concerne, je t’avoue que j’ai envie de nouveautés en matière de partenaires comme en matière de sexe.
– Dis comme ça le programme paraît alléchant, mais tu penses à quoi ?
– J’ai pas mal d’idées, tu verras. Pourquoi ne pas continuer à initier des jeunes par exemple? Il semble que nous soyons douées non?
– Oh oui ! Moi je suis d’accord, c’est sympa! En plus il a une de ces vitalités… Ton Vincent c’est vraiment quelqu’un. Bien monté, délicat et très endurant pour un jeune.
– C’est vrai qu’il est doué. Mais il a encore un problème, il est timide comme une jeune fille. Il te baise, mais il t’appelle « Madame ». Et je suis sûre que, même s’il en crève d’envie, il ne fera jamais le premier pas. Or moi j’aimerais bien qu’il me prenne à la hussarde, qu’il me force un peu tu vois? Style viril. Macho quoi! J’aimerais qu’il se conduise en mec qui veut à tout prix jouir de moi sans trop s’occuper si je suis consentante ou pas… Mais je suis sûre qu’il est trop timide et trop bien éduqué pour nous violer. Même si c’est un viol consenti
– Tu crois ? Même si on l’excite bien? Tu sais, quand je lui ai montré mes fesses, il est venu me mettre la main au cul.
– Oui, mais à la moindre parole, au moindre geste de ta part pour le repousser, il aurait immédiatement abandonné le terrain. Tiens! Je te propose un jeu, dans les jours qui viennent, on l’aguiche à mort, et on refuse toute privauté. Qu’en penses-tu?
– Oui, ça peut être amusant. Mais s’il se comporte comme tu le penses, nous ne sommes pas près de baiser…
– Deux ou trois jours c’est tout ! Pour son éducation…
– Si tu veux, mais moi je ne le sens pas bien ton truc… On va perdre deux ou trois jours, c’est tout ! … Enfin si tu y tiens.
Dans les jours qui suivirent, Vincent n’eut plus l’occasion ni de baiser sa mère, ni de se livrer à des ébats sexuels en compagnie de sa blonde amie. Malheureusement pour sa tranquillité, s’il ne pouvait plus assouvir ses désirs avec ces deux belles salopes, elles ne se privaient pas de maintenir son excitation au maximum. Chaque fois qu’elles le pouvaient, elles dévoilaient, comme par inadvertance, leur joli cul toujours sans culotte ou une admirable paire de seins au sillon profond et aux pointes bien dardées. Toujours par inadvertance, elles caressaient en passant sa verge à travers son jean, surtout lorsque celle-ci était déjà bien bandée, excitée par ce que le gamin venait de mater. Vincent, toujours aussi timide malgré son intimité avec les deux femmes, tentait bien de les prendre dans ses bras pour obtenir plus, mais elles se dérobaient ou le repoussaient carrément. Le pauvre garçon ne savait plus que penser, mais il n’osait toujours pas les forcer. Frustré, il avait repris ses observations par le trou dans le mur de la salle de bains. Elizabeth qui se doutait de ce qu’il faisait, ne se privait pas de se masturber le minou avec application, de se lécher les doigts mouillés de foutre, et même de se servir du manche de la brosse à cheveux comme d’un godemiché. De savoir son fils en train de la mater derrière le mur l’excitait au plus haut point, et elle jouissait vraiment sur ses doigts ou sur le manche en bois de la brosse. Si Vincent avait été un peu plus assuré, il aurait forcé la porte de la salle de bains au plus fort de l’excitation de sa mère qui aurait alors cessé son petit jeu cruel et cédé avec délices aux assauts de son grand fils. Au lieu de cela Vincent restait dans sa chambre n’ayant d’autre ressource que de se masturber à grands coups de poignet. Il eut également l’occasion de voir ses sœurs nues. Plus sages qu’Elizabeth, Agnès et Isabelle ne se masturbaient pas, mais leurs corps jeunes et pleins, leurs seins fièrement dressés, leurs petites fesses bien découplées ajoutaient à ses envies et à sa frustration.
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