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Première expérience, première

Première expérience, première



Jocelyne ne s’est pas retournée et elle est rentrée chez elle et elle s’est réfugiée dans sa chambre. Elle sentait encore le pénis dans son vagin et dans son anus et aussi dans sa bouche et les mains sur ses seins et les doigts sur sa vulve. Elle a fermé les yeux et elle s’est dite à haute voix que ça la dégoûtait. Les garçons me dégoûtent, a-t-elle pensé ! Du coup, elle a pris une douche tout en se savonnant pendant un bon moment pour tenter d’oublier le premier rapport qu’elle ait jamais eue puis elle est redescendue dans la cuisine pour y trouver le mot de ses parents, appuyé sur le vase au milieu de la table : « Désolés de te prévenir comme ça, mais nous avons eu l’occasion de voir une pièce au théâtre ! Nous serons de retour sur les deux heures du matin ! Il y a ce qu’il faut dans le frigidaire ! Maman.

Ce n’était pas la première fois que sa mère lui laissait ce genre de petit mot parce que ses parents étaient à l’affut de tout pour sortir. Jocelyne a ouvert le frigo. Sa mère avait raison car il y avait de quoi bouffer. Jocelyne n’aimais pas quand elle parlait vulgairement mais après tout elle venait de comprendre que sa mère se faisait enculer par son père. Elle s’est assise sur une des chaises. Elle était anéantie quand en levant les yeux, elle a vu le vieux téléphone, un vieux truc qui marchait encore avec un disque et des numéros et que son père avait été heureux d’arriver à faire fonctionner. Cent dix huit sept cent douze, s’est remémoré Jocelyne, le numéro que serinait à tout bout de champ ces deux imbéciles dans la pub.

– Allo ! Je voudrais le numéro de Lola V…

– Lola V… a fait une voix dans l’écouteur ? Pour quelle ville ?

Les imbéciles, ils devraient savoir, a pensé Jocelyne, mais elle a donné le nom de sa ville et la voix lui a répondu qu’il n’y avait pas de Lola V…

– Pierre et Jeanne V…, a fait la voix, vous pensez que c’est ça ?

Pierre et Jeanne, a pensé Jocelyne…

– Ah, a repris la voix, triomphante, j’ai Jacques, Virginie et Lola V… ! Ça vous va ?

La voix a fait le transfert et au bout de trois sonneries, la voix de Lola est arrivée dans l’écouteur.

– C’est qui, demandait-elle ?

– C’est moi, a répondu Jocelyne ?

– Jocelyne, c’est toi, a fait Lola ? J’y crois pas ! T’es où !

– Chez moi, a répondu Jocelyne ! Mes parents sont sortis ! Et toi tu fais quoi ?

– Moi, lui a répondu Lola, je me masturbes pour me punir d’avoir été si directe avec toi !

– Tu es seule, lui a encore demandé Jocelyne ? Tu es dans ta chambre ? Tu parles comme ça devant tes parents ?

– Non, je ne suis pas seule et non, je ne suis pas devant mes parents ! C’est ma mère qui m’a crié de répondre ! Devine ce qu’ils font !

– Ce qu’ils font, tes parents, s’est étonnée Jocelyne ? Je ne sais pas !

– Eh bien, ils font un petit câlin, juste avant de dîner !

– C’est vrai, a protesté Jocelyne ?

– Oui, c’est vrai, a ajouté Lola ! Ils ne font pas ça devant moi mais ils aiment bien se donner un petit coup comme ça ! D’ailleurs ma mère ne porte jamais de petite culotte et encore moins de soutif ! Bon, qu’est-ce que tu voulais ?

– Tu peux venir, a gémi Jocelyne, je suis toute seule ! Tu n’as qu’à dire à tes parents que j’ai oublié de te passer la liste des livres… Invente quelque chose !

– Bon, j’arrive à répondu Lola soudain excitée ! Donne-moi ton adresse !

Quand Lola a raccroché, Jocelyne a raccroché le téléphone à sa place et puis elle s’est adossée au mur. Je fais une bêtise, a-t-elle commencé à penser ! Je vais lui raconter ce que m’a fait Kévin… Bon sang, la garce, pendant que je me lamentais, Lola se masturbait !

Dix minutes après, la sonnette de l’entrée a retenti et Jocelyne s’est précipité à la porte et au travers du verre cathédrale, elle a distingué la silhouette de son amie Lola et elle lui a ouvert la porte.

– Qu’est-ce qu’on fait, lui a demandé Lola ? J’ai jusqu’à minuit sinon mes parents vont se fâcher après moi 8

– Embrasse-moi, lui a répondu Jocelyne !

Lola ne s’est pas faite prier et les deux filles sont restées un long moment collées l’une à l’autre, tenant la tête de l’amie entre les mains et plaquant des baisers sur le nez, sur la joue, sur le front, partout sur le visage l’autre mais ce genre de hors d’œuvre trouve vite sa faim. Jocelyne a emmenée son amie dans sa chambre et elle s’est déshabillée devant Lola.

– Tu as vraiment des beaux-seins, lui a dit son amie ! Ta mère a vraiment les mêmes, a-t-elle ajouté ?

– Oui, lui a répondu Jocelyne et même ma grand-mère mais je te l’ai déjà dit dans le gymnase et maintenant, ne m’en parle plus !

Lola s’est déshabillée à son tour et c’était le même corps que dans les douches mais pour Jocelyne, Kévin avait déclenché quelque chose. Elle a tendu la main vers les seins de son amie et elle a touché ses mamelons.

– Tu avais raison, a-t-elle dit à Lola, je suis lesbienne !

– Et on va vivre ensemble et on se mariera quand ça sera possible. Faudra qu’on tire au sort pour se faire inséminer si on veut avoir des enfants…

– Pourquoi tirer au sort, a répondu Jocelyne ? On pourrait être enceintes ensemble toutes les deux ? Tu nous vois avec notre gros ventre ?

– Tu veux faire ça avec une seringue ou avec une bite, l’a interrompue Lola ? Enfin, pour moi c’est un peu trop tôt. Je voudrais juste… Enfin, c’est parce que j’ai envie de toi…

Elle a poussé Jocelyne sur le lit et elle s’est mise à cheval sur elle puis elle l’a embrassée sur la bouche puis Lola s’est agenouillée entre les jambes de son amie et elle lui a caressé la vulve.

– Tu mouilles, lui a dit Lola !

– Et alors, a fait Jocelyne ?

Elle avait oublié tout ce que lui avait fait Kévin et elle avait même oublié Kévin et sa belle voiture. Tout ce qu’elle voulait c’était que Lola la rende folle et l’épuise. Au réveil il était déjà huit heures du soir. Lola la masturbait et elle baissait la tête par moment pour prendre un mamelon entre ses dents et le machouiller ou pour pose un baiser sur sa bouche.

– N’arrête pas, ça vient ! N’arrête pas, s’est mise à hurler Jocelyne !

C’était horrible d’être obligée d’attendre. Jocelyne a aventuré une main jusque son clitoris mais Lola l’a repoussée en lui demandant de la laisser faire et c’est arrivé tout à coup. Son corps s’est bandé comme un arc.

– Prends-moi ! Prends-moi, s’est-elle mise à hurler alors qu’un orgasme s’emparait d’elle.

– Tu vois que tu aimes les filles, lui a ensuite dit Lola ! Si mes parents découvraient que je suis une gouine !

– Mes parents aussi, a ajouté Jocelyne ! Tu en es vraiment une ?

– Je ne sais pas, a hasardé Lola…

– Tu n’as jamais eu de mec, a insisté son amie ?

– Si, l’année dernière, lui a répondu Lola, mais il ne s’était pas passé deux semaines qu’il me trompait avec ma meilleure amie !

– Et tu es allée jusqu’où avec lui, a insisté Jocelyne ?

– Avec lui, a fait Lola ? Je lui suçais la bite et j’avalais même son foutre !

– Et tu n’as pas eu peur d’être enceinte, lui a rétorqué Jocelyne ?

Elle a senti tout de suite qu’elle venait de dire une bêtise, mais elle n’a pas eu le temps de rectifier. D’ailleurs, Lola ajoutait que son ex ne s’intéressait même pas à ses seins et encore moins à ses fesses…

– Je veux dire ma chatte, a rectifié Lola ! Tout ce qu’il voulait c’était que je le suce !

Jocelyne en avait marre d’être sur le dos et elle s’est mise à quatre pattes sur le lit. Elle aimait bien se mettre dans cette position parce que ses seins pouvaient pendre librement et c’était excitant. Lola s’est mise à quatre pattes à son tour.

– Qu’est-ce qu’on fait, lui a demandé son amie alors qu’elles étaient épaule contre épaule et hanche contre hanche ?

– J’ai envie de dire des cochonneries, lui a répondu Jocelyne ! Tu n’es qu’une grosse pute et j’ai envie de te lécher la chatte !

– Je ne suis pas une pute, a protesté Lola, mais Jocelyne lui a répliqué qu’à partir de ce soir elles seraient la pute l’une de l’autre et elle s’est collée au derrière de son amie et elle a entrepris de lui… lécher la chatte. Lola a fini par croiser les bras et à enfouir sa tête dedans et son amie a pensé que de faire glisser ses seins sur les fesses de Lola pour pouvoir lui caresser aussi ses petits seins lui ferait plaisir mais alors que Jocelyne recommençait à donner des coups de langue, Lola s’est tendue :

– Baise ! Baise ta pute, a-t-elle hurlé !

Jocelyne avait le visage humidifié par le plaisir qu’elle venait de procurer à son amie mais Lola s’est échappée du lit en criant qu’elle avait besoin de pisser et elle s’est précipitée dans la salle de bains où l’a rejointe son amie. Lola s’était assise sur le bidet et la v******e de son jet lui éclaboussait les cuisses.

– Désolé, a-t-elle fait, mais j’ai pas trouvé la cuvette…

– Idiote, a rugi Jocelyne, amusée ! C’est là-bas, à l’autre bout du couloir !

Elle s’est penchée et la pisse ne semblait pas vouloir s’arrêter.

– J’aime bien pisser, a dit Lola en tendant la bouche en quête d’un baiser ! Si je bois deux litres d’eau, je pisse pendant une minute !

– C’est vrai, lui a demandé Jocelyne ?

– Viens, on retourne sur le lit, lui a répondu Lola ! Je vais te faire boire ma pisse !

Jocelyne a protesté que ça allait mouiller son lit et qu’elle ne voulait pas coucher dans un drap humide et du coup Lola lui a proposé de s’agenouiller et Lola a pressé ses doigts sur sa fente avant de se lever du bider et de se mettre à cheval sur le visage de son amie. Maintenant, elle était prête et la bouche de Jocelyne en place. Maintenant il ne lui restait plus qu’à lui tenir la tête et à finir de se vider la vessie. Quand elle a senti les premières gouttes de pisse, Jocelyne a bien essayé de s’esquiver mais elle n’a pas pu car les mains de Lola la verrouillait et elle a dû avaler tout ce qui restait dans la vessie de son amie qui n’a pas tardé à vomir.

Lola l’a aidée à se relever et elle l’a serrée dans ses bras tandis que les dernières gouttes de pisse s’écrasaient sur le carrelage.

– Maintenant, a dit Lola à son amie, on va faire disparaître tous ces vilaine poils !

– Mais qu’est-ce que vont dire les autres filles quand elle vont voir ça, a protesté Jocelyne ? Elles vont croire qu’on est ensemble !

– Laisse-les dire, lui a répondu Lola ! Où est-ce que ton père range son rasoir ?

– Il utilise un rasoir électrique, lui a répondu Jocelyne !

– Et ta mère ?

– Ma mère, a fait Jocelyne, elle garde tous ses poils, même quand ils dépassent de son mailiot de bain…

– J’espère qu’il fait tondeuse, a insisté Lola.

Jocelyne a sorti le rasoir de l’armoire de toilette et c’était bien un rasoir avec une tondeuse. Il n’y avait plus qu’à y aller et Lola s’est occupée de son amie qui voyait son ventre apparaître et sa vulve privée de poils puis elle s’est attaquée de Lola et bientôt il y a eu un tas de poils mêlé à la pisse sur le carrelage si bien que les deux filles ont dû les ramasser mais le résultat n’était pas à la hauteur de leurs espérances et Lola semblait chercher quelque chose dans l’armoire.

– Tu cherches quoi, lui a demandé son amie ?

– Je ne sais pas, a fait Lola, de la crème Veet ?

– Je crois que j’ai ça, lui a répondu Jocelyne !
Elle a fouillé au fond de l’armoire. Il y avait un vieux tube de crème dépilatoire à moitié vide et quand Jocelyne s’est appuyée les fesses sur le bord du lavabos, son amie lui a mis de la crème sur tout le ventre et tout autour de la vulve, là où c’était utile.

– Faut attendre combien de temps, lui a demandé Jocelyne ?

Lola a regardé sur le tube et elle lui a répondu qu’il ne fallait pas dépasser dix minutes parce que ça risquait de brûler et elles ont échangé leur rôle et Jocelyne a enduit le ventre et la vulve de Lola.

– Tu sais qu’on peut enfoncer une main jusqu’au fond du vagin, lui a demandé cette dernière ?

– Tu es folle, a répondu Jocelyne ! C’est trop étroit !

– Mais, non ! Tu sais bien qu’on peut y faire passer un bébé !

– Mais c’est de l’autre sens, a protesté Jocelyne !

– Tu paris, lui a répondu Lola en montrant sa main où elle avait serré les doigts pour la rendre plus fine, et si tu ne veux pas, tu pourras me le faire !

– Ça pique, a fait Jocelyne !

Lola a pris la raclette et elle a entrepris d’enlever la crème avec ce qui restait de poils sur le ventre et l’entrecuisse de son amie puis ça a été à son tour et les deux filles se sont réfugiées sous la douche et c’est en en sortant qu’elles ont entendu les douze coups de minuit sonner au clocher de l’église.

– Oh, mon dieu, a fait Lola, il faut que je rentre !

– Attends, lui a fait Jocelyne, il faut mettre quelque chose sinon ça va continuer à brûler.

Elles ont emprunté une crème dont se servait la mère de Jocelyne sans trop savoir à quoi elle servait et elles s’en sont enduite le bas du ventre et aussi l’entrecuisse.

– Oh, mon dieu, a fait Jocelyne, j’adore me masturber !

Les mains des deux filles ont changé de rôle et elles se sont masturbées l’une l’autre en même temps qu’elles s’étalaient la crème. Elles étaient face à face, et les yeux dans les yeux.

– Tu ne me quitteras jamais, a demandé Lola à son amie ? En tout cas, pas tout de suite ?

Jocelyne a juré et les deux filles se sont promises qu’elles se feraient l’amour autant qu’il leur serait possible, puis qu’elles refuseraient les avances des garçons, puis que… Il était temps que Lola rentre chez elle et puis Jocelyne devait faire le ménage dans la salle de bains, refaire son lit aussi pour efface toutes traces. Elle a aidé son amie à se rhabiller puis elle l’a accompagnée à la porte, encore nue. La température avait baissé et il faisait frais mais Jocelyne ne voulait pas rentrer et quand Lola lui a dit que si elle restait elle aurait une fluxion de poitrine, une sacrée !

– Tu sais ce que je voudrais te faire, lui a dit Lola dans l’espoir de la faire rentrer à l’intérieur de la maison ? Je voudrais te suspendre par les seins !

– T’es malade ! T’es folle, lui a répondu Jocelyne et Lola lui a mis une gifle sur le sein gauche et le bruit a claqué dans la nuit et du coup, Jocelyne est rentrée dans la maison.

Elle pensait sincèrement que son amie était folle mais il n’y avait plus de temps à perdre. Nettoyer le carrelage de la salle de bains, refaire son lit, vérifier qu’il ne reste aucune trace de Lola… Quand elle a fini par rentrer dans sa chambre pour se coucher, le regard de Jocelyne est tombé sur le cordon des doubles-rideaux. Tiens donc, a-t-elle pensé en s’approchant ! Elle a pris le cordon et elle l’a enroulé autour de son sein gauche puis autour de son sein droit et Jocelyne a plié les genoux jusqu’à ça lui fasse mal mais le cordon n’était pas assez serré.

– Même pas mal, a-t-elle dit à haute voix en s’enfonçant sous le drap.

Elle a fermé les yeux puis la séance avec Kévin lui est revenue au premier plan en mémoire puis elle a pensé à Lola : Elle m’a enfoncé plusieurs doigts dans le vagin… Est-ce que ça serait plus agréable que la bite de Kévin si elle m’enfonçait sa main…

Mais ce soir-là, elle n’a pas eu la réponse tellement elle était fatiguée. J’ai baisé avec Kévin ! J’ai baisé avec Lola, s’est-elle rappelée en descendant l’escalier le lendemain matin.

– Tu as déchiré ta nuisette, lui a dit sa mère en lui versant son café ! Tu pourrais quand même mettre ton peignoir !

Jocelyne a baissé les yeux et effectivement, son mamelon gauche s’échappait par l’ouverture du fragile tissu de sa chemise de nuit.

– On est enrre filles, a objecté Jocelyne ! Papa est déjà parti au travail ! Avant, on faisait notre toilette ensemble…

– Oui, mais maintenant, tu es une grande fille, lui a rappelé sa mère ! Tiens, d’ailleurs, tu n’as pas entendu hurler ton père ce matin ?

– Non, j’avais trop sommeil, a répondu Jocelyne !

– Ce ne serait pas toi qui t’es servi de son rasoir, a continué sa mère ? La tondeuse était restée sortie…

Jocelyne n’a pu s’empêcher de rougir et quand sa mère lui a demandé ce qu’elle avait fait avec le rasoir, elle s’est levée de sa chaise et elle a relevé sa chemise de nuit devant sa mère.

– Comment tu trouves, lui a-t-elle demandé en premier pour garder le contrôle ?

– Oh, mon dieu, lui a répondu sa mère, tu es toute irritée ! Tu as mis quelque chose dessus ?

Jocelyne s’est empêtrée dans ses explications et c’était si embrouillée que sa mère lui a recommandé de ne pas trop se masturber.

– Mais je ne me masturbe pas, a hurlé Jocelyne !

Sa mère l’a regardée, l’air amusé puis elle a ajouté qu’elle avait eu son âge avant elle et qu’elle avait si peur des garçons et qu’elle avait besoin de… si bien qu’elle n’arrêtait pas de se masturber.

Ce fut pour Jocelyne un lâche soulagement. C’était bien que sa mère soit au courant et qu’elle lui trouve une excuse. Elle qui avait toujours eu si peur que sa mère ne surgisse dans la chambre.

– Tu sais, ça m’arrive encore, a ajouté sa mère et ton père n’est pas toujours en état de me… Enfin, j’ai toujours un gros besoin de sexe !

– Tu sais, a bafouillé Jocelyne, je vous ai vu l’autre fois… Papa était enfoncé dans ton derrière !

– Ah, tu sais, a fait sa mère… On n’est pas comme les hommes ! Eux, ils ont leur… bite et nous on a trois ouvertures qui leur plaît ! C’est pour ça qu’il m’encule…

– Je t’aime et pas seulement parce que tu es ma mère, lui a répondu Jocelyne ! C’est bien plus que ça !

Sa mère lui a dit qu’il était temps de partir au lycée.

– Je te dirais, a-t-elle ajouté… Je te dirais plus tard !

La mère de Jocelyne a refermé la porte et sa fille a disparu au bout de la rue. Mon dieu, a-t-elle pensé, qu’elle vas dire quand elle saura tout ce que ses parents font ! Ce soir-à, elle était si excitée quand elle s’est enfermée dans la salle de bains qu’elle en a oublié de tourner le verrou si bien que quand Jocelyne a poussé la porte, elle a surpris sa mère qui se masturbait debout devant le miroir. Jocelyne s’est approchée de sa mère et elle a posé la main sur ses fesses mais sa mère l’a repoussée en lui disant que ça ferait un drame si son père les voyait.

– Il faut que je t’avoue qu’on va pas toujours au théâtre, a continué sa mère en s’asseyant sur le bord du lit de sa fille ! Ton père et moi nous pratiquons l’échangisme depuis quelques années…

– C’est quoi, a demandé Jocelyne ?

– Eh bien, a précisé sa mère, nous rencontrons d’autres couples et je couche avec l’autre mari et ton père avec l’autre femme et ce n’est pas tout car il m’arrive de coucher avec l’autre femme…

– Et papa, a fait Jocelyne ?

– Papa ? Ah, oui, non, il n’a jamais voulu coucher avec un homme ! C’est beau, pourtant, deux hommes qui font l’amour ensemble !

– Et deux femmes ?

– Ah, deux femmes, c’est encore plus beau, a précisé la mère de Jocelyne ! J’avais peur de ça mais pourtant je n’en suis pas devenue une lesbienne, tu comprends ?

Jocelyne a répondu à sa mère qu’elle comprenait mais au fond d’elle-même ce qu’elle aurait voulu répondre c’est qu’elle couchait elle aussi avec une fille et que ça lui plaisait. Inutile de parler de ce crétin de Kévin.

– Tu veux que je te prête un godemiché, a ajouté sa mère ? Tu verras, c’est aussi agréable que les doigts !

Jocelyne a suivi sa mère dans l’autre chambre et quand sa mère a ouvert le tiroir de la commode, ses yeux se sont embués. Ces objets-là, on les imagine mais tant qu’on ne les a pas dans les mains, on ne sait pas véritablement ce que c’est.

– C’est quoi, ça, a demandé Jocelyne à sa mère en prenant un plug anal ?

– C’est très agréable dans le derrière, lui a répondu sa mère ! Tu veux essayer ? Attends, je t’en cherche un plus petit !

La mère de Jocelyne a fouillé dans le tiroir et elle en a sorti un plus petit plug et elle a fait pencher sa fille sur le lit et elle lui a écarté sa petite culotte avant d’enfoncer le plug dans l’anus puis elle a demandé à Jocelyne de marcher et à peine avait-elle fait trois pas que le bruit de la porte d’entrée a rappelé les deux femmes à la réalité. La mère a poussé le tiroir et Jocelyne s’est enfuie dans sa chambre et elle s’est aperçue que c’était agréable de marcher avec ce plug planté dans l’anus si bien qu’elle l’a gardé toute la soirée et toute la nuit et qu’elle l’a remis le lendemain matin après avoir fait sa toilette.

– Merde, c’est gym, a-t-elle pensé en arrivant au lycée. Elle avait pris son sac de sport machinalement et une fois arrivée au gymnase, elle s’est mise dans un coin pour se mettre en tenue et une fois sur le stade, il lui a bien fallu suivre le groupe qui faisait trois tours de piste et avec son gode dans l’anus…

– Qu’est-ce que vous avez, lui a demandé le prof de gym à l’arrivée ?

– Elle a un balai dans le cul, a murmuré un des garçons !

– J’ai mes…, a hasardé Jocelyne…

– Elle a ses ours, a murmuré un autre garçon !

– Toi, deux tours de plus, a fait le prof en pointant le doigt vers le connaisseur ! Jocelyne, tu peux aller au vestiaire, mais attends la fin du cours et attends-nous ! Je ne veux pas avoir d’ennuis avec vous !

En marchand vers les vestiaires, Jocelyne a fermé les yeux. Le plug tirait sur son périnée et son périnée tirait sur ses petites lèvres et ses petites lèvres tiraient sur son clitoris. Elle s’est assise sur un des bancs. Il m’en est arrivé en trois jours, s’est mise à penser qu’elle était devenue une femme puis elle s’est mise à imaginer qu’elle pourrait s’allonger avec sa mère dans le lit…

– Je couche avec d’autres hommes, mais ça ne fait pas de moi une putain, lui a dit sa mère alors…

Le téléphone s’est mise à sonner et Jocelyne a décroché.

– C’est qui, lui a demandé sa mère ?

– C’est Lola, une copine, lui a répondu sa fille !

– Et qu’est-ce qu’elle veut, a continué sa mère ?

– Elle veut juste savoir si elle peut venir chez nous, a fait Jocelyne !

– Quand ? Tu peux l’inviter à dîner ! Et là c’est sérieux, ton père rentrera tard et c’est vraiment pour son boulot ! Il faut bien qu’il gagne de l’argent pour qu’on puisse vivre !

Jocelyne à invité son amie qui est arrivé un quart d’heure plus tard. Les trois femmes ont dîné et les deux filles ont même aidé à faire la vaisselle puis Jocelyne a demandé si elles pouvaient monter dans sa chambre mais alors que Lola montait l’escalier, la mère de Jocelyne a attrapé le bras de sa fille et elle a dit à son amie qu’elle la rejoindrait bientôt et Lola a continué de monter l’escalier.

– Sois sincère avec moi, a commencé la mère de Jocelyne, tu couches avec elle ?

Jocelyne a pensé qu’il était inutile de nier et elle a répondu à sa mère qu’elles l’avaient fait pour la première fois l’avant-veille, juste le soir où sa mère et son père étaient censé être au théâtre. Peut-être était-ce la jalousie qui a poussé la mère a envoyer une gifle à sa fille, mais la main s’est arrêtée avant que ce ne soit irréversible et elle a fini par dire à Jocelyne que ça valait mieux qu’avec un garçon puis elle l’a laissée rejoindre son amie.

Elle fermait les yeux mais elle ne voyait que Lola, Lola qui en cet instant chevauchait peut-être sa fille. Lola, Jocelyne. Elle avait si souvent eue envie d’embrasser sa fille sur la bouche et lui proposer de faire l’amour. Lola, je lui ferais mettre mon gode ceinture afin qu’elle me baise ! Lola; Jocelyne. La mère n’y tenait plus et elle a grimpé l’escalier en silence. La porte de la chambre était restée entrouverte et sur le lit, Lola était à quatre pattes et Jocelyne avait la tête coincée entre les cuisses de son amie et du coup, la mère a arraché ses vêtements et elle s’est précipitée derrière les fesses de sa fille pour la dévorer puis, une fois rassasiées, les trois femmes se sont mises en rond sur le lit pour quelques petites leçons et quand la mère a parlé de fisting, les deux filles ont, à tour de rôle, enfoncé leur main dans le vagin maternel avant de les enfoncer toutes les deux en même temps et quand la mère a fait s’adosser les deux filles contre le dossier du lit, elles savaient ce qui allait arriver et la mère a enfoncé ses mains dans le vagin des deux jouvencelles.

La boucle était bouclée ou presque.

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