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Marie – Ch 8

Marie – Ch 8



« Mais pour l’instant ça fait bien trente minutes que notre Marc n’a pas eu son orgasme.
Marie, la difficulté augmente ! Ah ah ah ! Je vous laisse 10 minutes pour à nouveau faire jouir ce pauvre Marc. Vous êtes libre, vous pouvez le sucer, le branler, ce que vous voulez !!! Ah non, pas tout, interdiction de le baiser, enfin si jamais vous arrivez à lui redonner une érection suffisante pour ça. Ah ah ah ! Je sais que vous en rêvez mais pas encore. »

Marc et Marie n’en reviennent pas. « Mais il va tuer ce pauvre Marc s’il continue comme ça. » pensent-ils à l’unisson.

« Bien, Marie, action ! »

Elle regarde Marc tout en s’approchant et y voit un regard de désespoir. Elle préfère baisser les yeux, se place à genoux à côté de la chaise et att**** ce qui ressemble à peine à un sexe. Du bout des doigts elle le masse, le décalotte doucement, il est collant des restes de sperme.

Presque surpris Marc accueille encore ses attouchements avec excitation et les caresses des mains de Marie sont divines. Mais sa bite ne semble pas beaucoup réagir. Dans cette position il ne voit pas grand-chose du corps de Marie et ferme les yeux pour se projeter le film de ce cunnilingus savoureux il y a cinq minutes, de ce petit cul lisse et ouvert, de cette chatte offerte et humide.

Marie ne sent pas beaucoup de réaction du sexe de Marc, elle se souvient alors de ce que lui avait dit Antoine au sujet de la sensibilité des testicules et de l’effet produit par les caresses sur cette zone. De sa main gauche elle encercle le sexe de Marc et elle descend doucement sa main droite vers les couilles de Marc. Surpris, celui-ci lui facilite le passage en écartant les cuisses autant qu’il peut. De toute sa main Marie masse doucement les testicules de Marc, elle masse d’un doigts cette zone étroite proche de l’anus et y aventure un doigts. Marc se contracte un peu mais laisse ce massage le replonger dans des pensées lubriques.

La réaction de Marc ne met pas longtemps à se montrer, sa bite se dresse et Marie la sent grossir et durcir dans sa main gauche.

« 5 minutes ! »

Elle accélère le va et vient de ce qui est à présent une vraie masturbation en règle. Elle sent par moment des mouvements de Marc comme s’il voulait échapper à cette main qui le branle, elle lève la tête et remarque quelques grimaces sur son visage. Elle décalotte encore une fois le gland, y dépose de la salive et entreprend une pipe, une vraie, comme celle sur Antoine au mariage. Elle serre cette bite entre sa langue et son palais, aspire, suce et branle en même temps.

Marc ne sait plus s’il arrivera à aller au bout, il est au bord, pas loin de l’éjaculation et en même temps il n’arrive pas à rester assez longtemps tendu jusqu’à l’orgasme. Il sent le plaisir pointer et ses muscles le lâchent au même moment, et se redétendent en attendant une nouvelle montée. Ces deux éjaculations précédentes l’ont vidé. Et même si un jour normal il n’aurait pas résisté deux minutes à ce traitement de Marie, il n’arrive pas à aller au bout à présent.
Marie continue du mieux qu’elle peut, même si elle commence à fatiguer. Et surtout la frustration de ne pouvoir vivre cette situation seule, en tête à tête avec Marc, commence à se faire oppressante. Elle a donné deux orgasmes à Marc, s’apprête à le faire jouir pour la troisième fois et elle n’a eu droit qu’à quelques caresses, la laissant sur sa faim.

Elle plonge doucement dans des rêves lubriques, elle avance sa bouche et gobe le sexe de Marc, elle aspire ce gland qu’elle imagine la pénétrer lentement, forçant l’entrée de son sexe humide et progresser inexorablement vers son intimité la plus profonde. Elle se souvient de cette sensation rare quand Antoine la pénétrait tout en douceur d’un pénis dur, qui faisait monter son plaisir tout en avançant jusqu’au contact ultime, ce moment intense où elle se sentait pénétrée de toute l’âme de son amant, cet instant où il pouvait lui arriver de masquer un orgasme puissant qui la faisait trembler ; Antoine aurait pu se retirer sans même en faire davantage, la suite n’était souvent que pour lui faire plaisir à son tour.

Et à présent, elle résiste difficilement au désir de poser sa main sur sa petite chatte brulante, s’y enfoncer doucement, caresser son petit bouton sensible et soulager ce feu qu’elle sent l’envahir. Encore une fois elle sent le bassin de Marc se soulever, elle accélère encore son mouvement, elle branle son gland coincé sur sa langue, elle aspire, et dans un dernier espoir entend un râle de Marc qui se change en cri, puis un second, et encore un autre… Elle ne sait même pas s’il a éjaculé, elle n’a rien senti sortir de son pénis, peut-être quelques gouttes qu’elle a avalées avec envie, mais les derniers cris de Marc se transforment en plaintes et le mouvement de recul qui embarque sa chaise lui font comprendre qu’il a dû jouir, encore une fois et que ce gland, qu’elle voudrait encore avaler, est devenu trop sensible pour aller plus loin. Elle relève la tête et ne reconnait pas le visage de Marc, couvert de sueur et grimaçant.

« Bien ! »

Le Directeur n’a pas voulu arrêter Marie dans son élan, quinze minutes sont passées mais il a préféré profiter de ce spectacle, et il sait déjà que Marie commence à sombrer dans des sensations qui la dépassent et il compte bien en profiter et surtout lui en faire découvrir davantage, plus qu’elle n’a jamais osé l’imaginer.

« Vous allez le tuer si vous continuez Marie. Vraiment je ne pensais pas que vous possédiez autant de talents. »

Marie est essoufflée, elle entend à peine la voix du Directeur. Elle a posé sa tête sur une jambe de Marc et, sans s’en rendre compte, elle tient encore son sexe déjà mou dans sa main gauche.

« Marc, vous avez perdu beaucoup de points aujourd’hui et Marie, vous en avez gagnés, il est peut-être temps de vous faire profiter de votre lot. »

Marie n’a pas la moindre idée de ce qui l’attend, mais elle veut que ça s’arrête, elle ne pense plus qu’à une chose, rentrer chez elle, prendre une douche et passer le reste de la soirée à se masturber, à se caresser, à tenter d’éteindre, en douceur ou violemment, ce feu qui commence à la brûler. Marc, le Directeur, sa dette, ce bureau étrange, tout s’éloigne peu à peu pour ne laisser place qu’à des images de sexes dressés, de caresses impudiques, de pénétrations, de plaisirs …

Et les effets de l’alcool commencent à se faire sentir, à éloigner peur, gêne et colère pour laisser passer petit à petit excitation, plaisir et même lubricité. Elle s’imagine Marc la prenant sur la table et encore ce sexe la pénétrant enfin.

Le Directeur s’approche de son bureau et appuie sur son téléphone :

« Oui Monsieur, que puis-je faire ? »
La voix de Coralie, si douce, la tire à peine de ses pensées, Marie se redresse doucement, se lève et reprend sa position inconfortable, ne sachant comment se tenir, complètement nue, un genoux devant l’autre et les bras croisés sur sa poitrine dont elle sent les tétons encore gonflés.

« Coralie, vous devez bientôt partir je suppose, mais si vous avez un peu de temps, j’ai un dernier dossier à vous soumettre. »

« Bien sûr, je n’ai rien de prévu avant le début de soirée. »

« Vous voulez bien venir dans mon bureau, je vous présenterai le dossier et vous me direz si vous pouvez le traiter rapidement ou si vous préférez le mettre de côté pour plus tard. »

« Tout de suite, Monsieur. »

A peine entrée, Coralie regarde Marie et lui sourit, encore ce sourire mystérieux que Marie ne sait pas interpréter.
« Monsieur ? »

« Coralie, je crois que Marie a réussi à épuiser Marc, et vous devez savoir qu’elle y a mis beaucoup d’énergie, je pense qu’elle a besoin de … »

« De félicitations ? »

« Oui, c’est tout à fait ça, de remerciements pour bons et loyaux services. Mais vraiment si vous avez le temps Coralie. »

« J’ai toujours le temps pour ce genre de dossier, vous le savez Monsieur. »

« Certes, mais je ne voudrais pas abuser de votre professionnalisme Coralie. »

Cette échange ridicule ne rassure pas Marie, non seulement elle comprend que ce n’est pas terminé, mais elle voit par ailleurs que Coralie n’est peut-être pas la victime qu’elle s’était imaginée.

Coralie tend une main vers Marie pour l’inviter à avancer, ce qu’elle fait en la regardant lui sourire. Coralie pose alors ses mains sur les épaules de Marie et la fait pivoter par une douce pression pour qu’elle se place face à Marc.
Le contact des mains de Coralie sur sa peau a surpris Marie. Elles sont douces, elle réalise qu’elle n’a jamais été touchée par une femme et à quel point ses mains sont veloutées. Coralie caresse les bras de Marie, tout en douceur, remonte vers son cou qu’elle embrasse, puis redescend sur son dos, ses fesses ; elle passe alors ses mains sur son ventre, très lentement et les fait remonter sur ses seins dont elle frôle les tétons de la paume. Le corps de Marie est parcouru de frissons, tous ses poils se dressent et elle sent ses tétons gonfler davantage sous les mains si légères de Coralie qui insistent sur cette zone.
Marc ose à peine lever la tête mais quand il se risque enfin à regarder le visage de Marie il voit son regard perdu sur le sol et se sent alors libre de profiter du spectacle qu’on lui offre.

Coralie arrête ses caresses et se recule. Quand Marie tourne la tête pour essayer de voir ce que fait la petite secrétaire, celle-ci lui fait comprendre par une caresse sur la joue de ne pas se retourner. Elle baisse à nouveau la tête après avoir balayé rapidement ce qu’il reste de Marc du regard.

Coralie se recule, et commence à défaire un à un les boutons de sa chemise, elle l’enlève et la laisse tomber à côté des pieds de Marie qui regarde surprise le vêtement. Puis Coralie enlève ses petits tennis et ses socquettes rapidement et tire doucement sur sa jupe pour l’enlever et la poser sur la chemise. Marc a du mal à croire ce qu’il voit, même si le corps de Coralie est masqué par celui de Marie il comprend ce qu’elle fait et a aperçu dans quelques mouvements les fines jambes de la secrétaire, sa culotte de dentelle rose pâle et un petit sein passer rapidement.

Coralie termine son effeuillage et envoie son string rejoindre le reste de ses vêtements. Marie le voit tomber et une fois de plus elle commence à tourner la tête quand elle sent le corps de Coralie dans son dos. Celle-ci reprend les caresses sur les seins, et s’approche de Marie jusqu’à ce que tout son corps la frôle.
Elle sent les pieds de Coralie se faufiler entre les siens et elle écarte naturellement un peu les jambes pour les laisser passer. Coralie est collée à Marie, des pieds au cou, le corps de la petite secrétaire s’est plaqué à celui de sa jeune collègue et elle poursuit ses caresses, embrasse son cou, promène ses mains sur le ventre et descend vers le sexe dont elle frôle la fine bande de poils avant de sentir un mouvement de recul de Marie.

« Détends-toi Maire » La voix est d’une douceur infinie et Marie se laisse à nouveau faire quand Coralie descend jusqu’à ses grandes lèvres qu’elle masse de ses deux mains. La petite secrétaire glisse un doigt à l’entrée de l’intimité humide et le remonte jusqu’au visage de Marie qui sent alors l’odeur de son sexe quand Coralie lui caresse la bouche, cette odeur qu’elle connait, cette odeur qui lui rappelle ses soirées de plaisirs solitaires.

« Je sais que tu en meurs d’envie. »

Marc est à nouveau dans un état d’excitation incroyable, le spectacle dépasse tout ce qu’il a pu vivre, voir et imaginer dans sa pauvre vie sexuelle. Même si son sexe ne réagit pas il entre dans un état second ou réalité et fantasmes se mélangent.

Marie commence à lâcher prise. Finalement, en dehors de la honte et de la gêne, elle n’a pas vraiment souffert de la situation. Et la présence de Coralie, en apparence si douce et gentille la rassure encore un peu. Et cette chaleur dans son ventre ne cesse d’augmenter, elle arrive même à se demander s’il est possible dans ces circonstances qu’elle arrive à ressentir du plaisir, un vrai plaisir, un orgasme.

Toujours dans une infinie douceur Coralie s’éloigne du corps de Marie, elle lui prend une main, vient se placer à côté et l’embrasse sur la bouche au moment où Marie tourne la tête pour la regarder. Marie a à peine eu un instant d’hésitation mais la bouche de Coralie est tellement douce. Elle a du mal à croire que la bouche d’une femme puisse être aussi douce, elle sent son visage et se retrouve bêtement surprise de l’absence de barbe. C’est la première fois qu’elle embrasse une femme, de cette manière, et elle répond presque naturellement à la langue de la petite secrétaire qui l’invite à se mêler à la sienne. Elle a un goût de bonbon, sucré et suave, et toujours cette infinie douceur, et cette main qui a repris ses caresses sur un téton dressé de Marie.

Marc ne croit pas ce qu’il voit. Comment Marie peut-elle faire ça ? Il a l’impression qu’elle y prend du plaisir et en même temps la scène est d’un érotisme si intense. Pour la première fois il découvre le corps de Coralie et il n’en a jamais vu d’aussi bien fait, peut-être dans des films sur internet, peut-être à la plage en maillot de bain, mais jamais en vrai, d’aussi prêt et nu. Ses seins sont d’une rondeur quasi parfaite, ils sont petits mais les tétons, moins larges que ceux de Marie, assez haut placés donnent l’impression qu’ils se redressent vers le ciel ; comme si la jeunesse de ce corps pouvait défier les lois de la gravité. Le ventre est plat et son regard qui descend du discret nombril s’attarde sur ce sexe blanc et charnu, totalement épilé et dont il aperçoit deux petites lèvres plus foncées ressortir. Il ne voit pas le cul de la petite secrétaire mais uniquement son profil qui lui fait penser qu’elle doit faire du sport. Sa femme avait le même dans sa jeunesse mais pas aussi fin, et ses jambes, fines et galbées.
Le corps de Coralie est bronzé, mais la trace de bronzage en bas, absente au niveau des seins, dessine un bas de maillot des plus sexy qui ne fait qu’augmenter l’excitation de Marc, comme si elle était encore plus nue. Il sent des pulsations montées sans contrôle dans son sexe et donnerait beaucoup pour pouvoir se mêler sauvagement à cette scène.

Coralie s’éloigne à nouveau de Marie, et lui chuchote à l’oreille « Allonge-toi » en lui désignant le sol et tout en l’accompagnant à se baisser. Puis, elle lui retient la tête, son autre main sur la poitrine pour l’inviter à s’allonger, les pieds vers Marc. Marie aperçoit alors le Directeur, mais de sa position elle ne voit que son ventre qui masque sa tête et cela la fait presque sourire. Elle remarque aussi la bosse impressionnante au niveau de son entre-jambe qui dessine comme une banane qui descend d’un côté. Pendant quelques secondes son regard a du mal à quitter cette endroit et la vision d’un sexe énorme lui saute à l’esprit. Le Directeur se déplace, se dirige vers Marc et disparait derrière le corps de Coralie à genoux à côté d’elle.

La petite secrétaire commence à caresser tout le corps de Marie de ses douces mains, elle en passe une sur sa figure pour lui faire comprendre de fermer les yeux, et continue ses mouvements assez rapide mais alternant douce caresses sur les tétons et pression plus forte sur le ventre ou l’intérieur des cuisses.
Elle sent Coralie lui att****r une jambe et la replier. Elle fait de même avec la seconde, place les pieds de Marie légèrement écartés et pousse sur ses genoux pour ouvrir doucement le compas de ses cuisses. Marie sent son sexe s’ouvrir ; et encore ce souffle frais sur sa vulve qui lui indique à quel point elle est mouillée. Elle se surprend à effacer assez facilement la présence de Marc et du Directeur dont elle imagine la vue qu’elle leur offre sur son sexe béant et peut-être même son petit œillet encore humide des caresses de Marc.
Les attouchements de Coralie deviennent plus intenses, surtout à l’intérieur de ses cuisses, et sur ses seins qu’elle malaxe légèrement, dont elle pince les tétons dressés.

« Marie, tes tétons sont incroyables, ils me font bander tu n’imagines pas. » lui dit Coralie tout en en prenant un dans sa bouche, le suçant et l’embrassant.
L’expression surprend Marie, elle la trouve vulgaire, mais l’effet de ces caresses est incroyable. Elle replonge rapidement dans un état de désir intense, et son corps se met à onduler pour tantôt accompagner, tantôt réclamer les caresses de la petite secrétaire. Et sa langue s’y est mise aussi, alternant entre les seins, glissant sur son ventre. D’un coup Marie sent la tête de Coralie plonger entre ses cuisses et sa langue fouiller l’entrée de son sexe. Puis elle se redresse et de sa main entière masse sa vulve, la tapote dans un bruit de clapotis, et elle descend un doigt vers son petit anus, et quand Marie a un mouvement de recul brusque :
« Tu n’as jamais essayé la petite porte. Tu verras ça peut donner des sensations incroyables. »

Et voyant Marie la tête relevée et son regard inquiet elle ajoute : « Mais nous avons bien le temps, aujourd’hui je crois que je vais enfin te libérer comme tu en as envie. »

Et tout en disant cela elle enfonce deux doigts dans la chatte de Marie qui, l’effet de surprise passé, ressent comme une décharge de plaisir l’envahir, elle se cambre dans un étirement incontrôlable et invite Coralie à s’enfoncer plus profond, elle est au bord, elle ne va pas tarder à jouir, sans vraiment s’en rendre compte elle a posé ses mains sur ses seins et se caresse les tétons lentement entre le pouce et l’index. Mais Coralie se retire déjà et tout le corps de Marie se détend à nouveau et retombe, entre frustration et attente. La petite secrétaire enjambe alors le corps de Marie et vient placer son sexe juste au-dessus de sa tête.
C’est la première fois qu’elle voit un sexe de femme en vrai d’aussi près, c’est la première fois d’ailleurs qu’elle en voit un comme ça, ouvert, autre que le sien. Elle sent l’odeur, qu’elle trouve bien plus agréable que celle du sexe de Marc tout à l’heure. Une odeur étrange, qu’elle reconnait vaguement mais dont elle ne perçoit que les effluves enivrantes de plaisir. Elle ne peut détacher son regard de ce sexe, de ces deux petites lèvres qui pendent et s’ouvrent sur le rose humide de l’intimité de sa partenaire.

Elle n’a pas vraiment le temps de réfléchir davantage, Coralie a déjà replacé sa tête entre les cuisses de Marie, et pendant que deux doigts plongent à nouveau au plus profond de sa chatte, sa langue experte s’agite sur son clitoris. Et les doigts ressortent, puis s’enfoncent à nouveau et à chaque fois qu’ils la pénètrent, la vague de plaisir grandit, Marie le sait à présent, elle va jouir, elle va exploser, et la sensation augmente et les doigts entrent et sortent dans un bruit de succion, la langue s’agite, Marie halète, elle gémit, et d’un coup, comme un arc électrique, un orgasme la fusille, elle se cambre, Coralie enfonce ses deux doigts le plus profond qu’elle peut, masse l’intérieur de ce vagin brulant aussi loin qu’elle peut, et agite sa langue sur ce bouton de chair qui ressort.
Et Marie crie, comme jamais elle ne l’a fait, peut-être une fois avec Antoine, et, sans contrôle, le plaisir ne retombe pas, il monte encore, Marie est en train de vivre, sous les doigts de cette jeune femme, le plus extraordinaire de ses orgasmes. Les frissons parcourent tout son corps, et surprise, elle sent l’orgasme envahir ses seins. Elle ne sait combien de temps a duré cet état, mais les décharges électriques sur son bouton devenu hyper sensible la font sursauter à chaque fois que Coralie la caresse du bout de sa langue, même si la pression qu’elle y met est plus légère qu’une plume à présent.

Coralie retire sa langue, mais elle continue les va et vient de ses doigts, très lentement dans ce sexe qui dégouline de plaisir, comme pour accompagner en douceur la descente de Marie. Encore deux ou trois mouvements et elle se retire à regret. Elle aimerait continuer ses caresses, elle sait qu’elle est capable de faire jouir Marie à nouveau, elle voudrait glisser ses doigts dans cette anus dont elle a vu les contractions pendant l’orgasme, mais elle sait qu’il faut attendre un peu. Elle se relève et laisse une Marie presqu’endormie se tourner sur le côté.

« Bien ! » Seule Coralie n’a pas été surprise par la voix du Directeur. Marc a sursauté, encore subjugué par le spectacle auquel il vient d’assister et pour Marie, c’est comme si toute l’irréalité de sa situation lui était remontée d’un coup à la tête.

« Bien ! Bien ! Relevez vous Marie. Je pense que nous en avons bientôt terminé pour aujourd’hui. »

En se relevant, Marie passe discrètement une main sur son sexe, et plus précisément sur son clitoris. Elle ne sait pas vraiment pourquoi elle ne peut s’en empêcher de faire ce mouvement, peut-être veut-elle savoir s’il est toujours aussi sensible qu’il y a cinq minutes, peut-être cherche-t-elle la dernière goutte du plaisir, qu’elle ne pourra de toute façon pas se donner.

« Autre chose Monsieur. » Coralie garde autant de prestance et de naturel nue qu’habillée. Marie n’en revient pas.

« Merci Coralie, si vous devez y aller vous pouvez. Je ne vais pas tarder à renvoyer ces deux personnes. »

« Si vous me permettez Monsieur, j’ai encore le temps. Et Marie est vraiment une femme magnifique. Quand elle est rentrée dans le bureau je n’ai pas imaginé qu’elle pourrait en arriver là dès le premier jour. Mais à présent c’est moi qui commence à avoir besoin de me soulager de toute cette excitation. »

« Je vous en prie Coralie, c’est bien normal, je pense que Marie vous doit bien ça. »

« Oh, si vous permettez j’ai autre chose en tête Monsieur. »

« Mais vous savez que je ne peux rien vous refuser. »

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