Sylvie ma voisine d’enfance VI
(histoire vraie)
Le lundi, je retrouvais Sylvie directement chez elle prétextant auprès de mes parents qu’elle m’aidrait pour le concours de plaidoirie de Lyon III à peaufiner ma culture générale. Elle dit la même chose à ses parents occupant l’appartement du dessous qui s’étonnaient de me savoir chez elle en fin d’après midi.
J’arrivais vers 17h, vêtu d’un costume prince de Galles et d’une chemise banche, Sylvie m’ouvrit la porte habillée en working-girl, un tailleur strict gris, des escarpins noirs, et collant gris clair, très élégant, elle portait ses lunettes qui lui donnait un air d’assistante de direction, un peu coincée. J’adorais le contraste, tenue stricte, femme adultère avec un voisin de quelques années son cadet qu’elle connaissait depuis toujours…
-« Je viens de me changer pour toi » me dit elle, elle était vraiment adorable « j’ai changé que le dessus pas les dessous » dit elle en souriant
Elle me fit s’asseoir dans le canapé, vint à mes cotés, m’embrassa et me susurra à l’oreille, « j’ai très envie de toi. » Je veux que tu me prennes » Je lui avoua que j’en rêvais depuis longtemps.
« Je t’ai vu parfois me reluquer de la fenêtre de la chambre tes parents, ça m’énervait reconnut elle, « j’ai été bien idiote »
J’ôtais le haut de son tailleur, sa poitrine sublimée dans un soutif en fine dentelle grise s’offrait de nouveau à moi, elle déboutonna ma chemise, frétillante, elle fit tomber la jupe de son tailleur, se montrant à moi en bas gris et petite culotte assortie au soutif. elle garda ses escarpins déboutonna mon pantalon et sorti ma queue.
Je bandais déjà comme un âne, je la laissais faire me contentant de baisers de caresses douces sur ses épaules, seins et ses fesses. J’enlevais mon pantalon, mes chaussettes et mon boxer, j’étais nu dans son canapé, elle toujours en ensemble de dentelles grises et bas gris. Sylvie vint sur moi en frottant son entre-jambe tout en me branlant. Elle se caressait sur ma jambe, le gousset en coton de son fond de culotte était gris foncé, et elle baignait dans son désir. Sylvie écarta la dentelle de son entre-cuisse pris ma verge, la plaça bien et s’empala lourdement dans un cri puissant. J’étais en elle, elle était chaude et trempée toute ouverte, j’étais au large en elle, je pourrais la limer pendant des heures pensais-je à cet instant. Je l’embrassais dans le cou, prise sur ma queue, elle me chevauchait allègrement, voulant jouir vite de mon sexe en elle. Plic ploc plic ploc, faisait ma queue dans la chatte de Sylvie, j’appréciais ce bruit très doux, elle vint très vite, empalée sur moi, m’enfonça ses ongles rouges dans mon dos, me mordit l’épaule pour refréner un cri orgasmique qui aurait ameuté tout l’immeuble. Elle resta prise sur moi, un long moment, pour ne pas débander en elle, j’entretenais de faibles va et viens.
-« J’ai jouis comme jamais » m’avoua t’elle, « je ne sais pas ce qui m’excite le plus que je te connaisse depuis toujours ? Que je n’avais jamais pensé faire l’amour avec toi ? Ou ta façon de me faire l’amour ? Ou bien encore de tromper mon mari ? »
En quatre interrogations, elle avait tout dit sur les méandres et paradoxes du plaisir et de l’orgasme féminin. Moi qui me prenais pour un amant de catégorie supérieure, ayant lu les essais sur la sexualité de Freud et des ouvrages sur le plaisir féminin. Rassérénée, un peu disculpée, d’être dans des états qu’elle n’avait jamais connus, elle se leva. Je marquais le coup, débanda…
Exaspéré par sa mise en doute de mes capacités d’amant, Je me résolu de la remettre quelques peu à sa place, je poussais la table basse de son salon, laissant de la place sur la vaste peau de vache qui lui servait de tapis. A genou, je fis glisser son mini slip en dentelle grise à ses pieds, le gousset était trempé de cyprine et des pertes blanches, je l’enroulai comme un chouchou autour de mon poignet droit, la partie maculée bien en vue. Je l’a fis mettre à quatre pattes sur la peau de vache, son cul bien cambré, écarta ses fesses, et lécha son petit trou.
-Oui, oui fit t’elle
– « Tu passeras chez l’esthéticienne » lui dis je, j’aurais plus de plaisir à lécher ton cul épilé.
Elle ne répondit pas, je prenais beaucoup de plaisir à la lécher à cet endroit là, qui n’avait connu que ma langue et la première phalange de mon index. son cul était vierge. A cet instant, il me pris une folle envie de l’enculer. J’avais envie de lui la mettre, de la prendre par son cul et de la faire crier. La vue de l’arrière de sa croupe offerte, dont les poils noirs étaient trempés me firent changer d’avis.
Je m’introduis en elle d’un coup sec, sans ménagement, mon gland tapa au fond d’elle, elle se pencha pour mieux encaisser mon premier assaut. Je ressorti ma queue complément d’elle et recommença de plus belle. Mes couilles claquaient contre son cul; je lui tendis un coussin pour étouffer les gémissements consécutifs à mes coups de reins. Elle le mordit fortement. J’allais et venais en elle avec force et excitation, voir Sylvie en levrette croulant sous mes coups de reins me motivait d’avantage encore.
Elle encaissait bien Sylvie, ondulait de son cul pour se laisser pilonner, prendre, défoncer. J’avais la maîtrise, l’honorant de grands coups, m’agrippant à ses poignées d’amour pour mieux la transpercer. J’osais une fessée sur son cul rebondi, j’entendis un râle étouffé par le coussin. Elle avait l’air d’apprécier. Tout en la pilonnant, désormais, je la fessais avec modération son cul pâle devint rouge, j’alternais les fessées, fesse gauche, fesse droite, encore droite, peut être gauche… Parfois, en la pénétrant, je sentais le gousset de coton de sa culotte de dentelle, il était si odorant, si trempé si excitant, si bon. Ma queue dans la chatte de Sylvie, j’avais l’odeur de son sexe sous mes narines, c’était si bon, d’avoir les deux tout en la pilonnant.
Je la banboulais en rythme à haute fréquence, je crachais sur mon pouce et lui apposai sur sa rondelle serrée. Son sphincter eut l’air d’apprécier, il se desserra. Je lui massais l’anus de mon pouce couvert de salive, tout en honorant sa chatte d’assauts déterminés. Je ne pourrais dire si elle à joui et combien de fois, pour une fois je m’en foutais, lui mettre un coup de queue dont elle se souviendrai à jamais était ma seule motivation.
Mon pouce s’enfonçait petit à petit dans son tréfonds, elle entra dans une sorte de vibration. Je délaissais les fessées pour caresser son clito par devant. Son bouton érectile était sensible à mes caresses, il grossit, et je puis le faire rouler entre deux doigts à l’aveugle. La phalange du pouce passée, J’introduis mon pouce dans son cul complètement, en la limant doucement mais profondément. Doublement prise, Sylvie la tête dans le coussin, avait rendu les armes, offerte, prise, soumise…
Mes va et viens effrénés, dans la fente poilue de Sylvie, allaient prendre fin, j’allais jouir mais où ? Allais-je lui arroser son cul ? Lui gicler sur son visage ? Me finir dans sa bouche ? ou bien encore lui jouir sur ses seins ou son ventre rond ?
A SUIVRE
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