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Quand Margot devient chienne 5

Quand Margot devient chienne 5



L’atelier.

Le soleil était déjà haut dans le ciel. Je me prélassais, allongé dans l’herbe haute qui chatouillait mes pieds nus. Tout à coup, une vache se mit à me lécher le visage. Sa langue me passait sur les joues, dans les oreilles, sur les yeux. Je n’arrivais pas à me relever. Je faisais un effort quand elle me marcha sur l’entre-jambe ! Et ne voilà-t-il pas qu’elle m’appelait !????
– Chéri ! Chéri ! Réveilles-toi !
Ma femme me couvrait de bisous et avait commencé à branler doucement mon érection matinale. Ouf, j’aime mieux ça. Mais nom d’une pipe comment ais-je pu faire un pareil rêve ?! En tous cas je ne décourageais pas ma douce épouse et bien que pas tout à fait au top de ma forme, je profitais de sa position pour lui enfoncer deux doigts dans l’abricot. Abricot qui soit dit en passant était bien mûr puisqu’il coulait déjà.
Tout à mes caresses et à celles que me prodiguait Margot, je me mis néanmoins à reprendre mes esprits et à réfléchir. Ce n’est pas que cela ne nous était jamais arrivé, mais l’amour de bon matin n’est pas une de nos pratiques les plus régulières. Certes nous étions dimanche matin et sans contrainte, mais compte tenu des derniers événements, l’idée que ma petite femme avait quelque chose à me demander ou à se faire pardonner ou peut-être tout simplement qu’elle ne m’avait pas tout dit hier soir commençait à faire son chemin dans les méandres de mes neurones embrumés.
Je lâchais prise quand même lorsqu’elle engloutit entièrement mon sexe au fond de sa gorge. Elle faillit s’étouffer et recracha l’objet de sa convoitise afin de reprendre son souffle. Elle alterna ensuite entre les gorges profondes et la branlette avec juste mon gland dans la bouche. Elle me pétrissait les bourses et s’égarait parfois d’un doigt sur ma rosette ce qui avait le don de faire grossir ma bite d’avantage. A ce rythme là, la chose fut entendue rapidement et je me déversais d’abondance sur sa langue tendue.
Nous avons prie notre petit déjeuner sur la terrasse ensoleillée sans qu’elle n’aborde le sujet qui, j’en étais sur, occupait ses pensées immédiates. Je ne faisais rien pour l’aider. J’ai même parlé de mon boulot et demandé ce qu’elle voulait faire de notre après-midi. Ensuite direction salle de bain où une bonne douche nous remis d’aplomb tous les deux.
Nous avions décidé d’aller faire un tour au marché. C’est donc équipé d’un panier en osier chacun que nous quittions la maison. Nous pensions trouver une idée pour le déjeuner, après quoi nous irions faire un tour dans le grand parc qui jouxte notre petite bourgade. Une petite balade en barque sur le lac, aller et retour en bicyclette et soirée tranquille à la maison.
Ce n’est finalement que le soir qu’elle se décida à me parler.
– Tu sais chéri, j’ai réfléchi à la proposition de Bertrand.
Tiens, elle l’appelle déjà Bertrand. D’accord c’est son prénom mais jusqu’alors c’était « BHV », même pour elle. Curieux. Mais bon, attendons la suite.
– Oui mon amour, et alors, le fruit de cette intense réflexion ?
– Laurent ! Ne te moque pas de moi s’il te plaît. Tout ça est tellement nouveau et inattendu pour moi. Tu ne fais vraiment rien pour m’aider. On dirait que tu le fais exprès.
– Moi ?! Alors là, non, pas du tout.
– Oui c’est ça, quelle mauvaise foi ! Mais bon, passons. Je disais donc que j’ai bien réfléchi et je vais accepter sa proposition.
– OK.
– Comment ça OK ?! C’est tout ce que tu trouves à dire ? Je viens en gros de te dire que je vais aller rejoindre Bertrand, seule, dans son atelier, me foutre à poil devant lui et toi tu me dis OK !!!
– Calme-toi mon amour. Tu ne m’as pas vraiment laissé le temps de développer non plus. Je dis simplement OK parce que hier je t’ai dis que ta décision serait la mienne. Tu dis avoir réfléchi et j’en suis convaincu. Tu décides d’accepter la proposition de « BHV ». Je prends donc acte de ta décision et OK, ça veut dire que je suis avec toi et que je te soutiens. Voilà !
– Bon, d’accord, ça va alors. Cela ne te dérange donc en aucune manière ? Tu ne vois rien à m’opposer ? Tu n’as aucune mise en garde à me faire ?
– Bébé, arrêtes ! Tu es une grande fille. Tu n’as pas peur de ton corps. Je te fais confiance, point !

– Quelle joie de vous accueillir ma chère Margot. Vous êtes radieuse comme toujours. Vous savez que je ne vis plus depuis votre coup de téléphone où vous me « donniez » votre « acceptation » (il choisissait ses mots visiblement). Depuis j’ai pensé à beaucoup de chose vous concernant. Vous verrez, j’ai plein de « projets pour vous » (on en remet une couche). Mais je parle, je parle, avancez-vous, venez que je vous fasse visiter mon « antre » (et rebelote).

La visite fut relativement rapide et elle s’acheva dans l’atelier de l’artiste. L’atelier se trouvait tout en haut de la tour. Plus exactement au dernier étage. Le haut étant une terrasse. Il lui fit faire le tour, la pièce était vaste. C’était un vrai bord…. Pardon, un vrai capharnaüm. Des toiles achevées, d’autres non. Des sculptures sur leur socle. Certaines, la aussi en voix d’achèvement. Sur tous les murs, là où il n’y avait pas de fenêtre ou de porte, des photos, d’autres toiles mais encadrées couvraient les surfaces.
Dans un angle, une petite salle d’eau que protégeaient des parois en verre opaque. Un peu à côté, un paravent devait permettre de se déshabiller pensa-t-elle.
Et pour finir, des canapés, des fauteuils, certains comme celui du film Emmanuelle, une estrade, des projecteurs sur pied, une grande table jonchée de pinceaux, de tubes de couleur, de papiers, de photos, d’appareils de prises de vue divers et variés et disséminé ça et là, plusieurs chevalets de tailles différentes.
– Voici mon antre chère Margot, qu’en pensez-vous ?
– Et bien, c’est impressionnant. Tout ceci est nouveau pour moi, j’avoue que je me sens toute petite dans cette grande pièce.
– Ne vous inquiétez pas petite Margot, je serai votre « guide ». Voulez-vous que nous commencions dès maintenant ou souhaitez-vous réfléchir encore ?
– Non, non, pas de problème, je suis décidée. On peut commencer. Dois-je me déshabiller ?
– Ce n’est pas nécessaire. Du moins pas encore. Pas cette fois-ci. Nous allons déjà commencer par vous faire prendre la pose. Je veux voir si je ne me suis pas trompé. Saurez-vous tenir la pose autant que je le souhaiterais. Car je vous veux « obéissante » ! La peinture comme la photo et d’autres choses demande de la patience, de la docilité. Avez-vous ces qualités Margot ?
– Euh… Je ne sais pas, je crois, oui. Je vous écouterai n’ayez crainte, c’est vous le maître. Je ferai tout mon possible pour tenir la pose.
La pauvre, elle ne pensait pas si bien dire. Aussi « BHV » ne la découragea pas et lui demanda de bien vouloir grimper sur l’estrade. Il l’accompagna et lui fit prendre la pose qu’il souhaitait. Pour qu’elle soit tout à fait dans la position requise, il lui positionna bras et jambes lui même. Ces gestes étaient emprunts de douceur. Mine de rien il lui prenait la taille, tenait ses fesses pour la faire tourner, lui relevait le menton, etc… Bref comme l’artiste qui prépare son sujet.
– Voilà, ne bougez plus. Regardez bien droit devant vous. Il doit bien y avoir une photo ou un tableau dans votre ligne de mire, alors concentrez-vous dessus cela vous aidera. Vous me direz quand cette position deviendra difficile.
« BHV » attrapa un chevalet, y posa une toile vierge et commença son œuvre. Margot ne bougeait pas. Elle était très concentrée. Pourtant il lui semblait bien qu’au bout d’un demi heure, elle se raidissait un peu. Mais bon, elle ne se plaignait pas alors il poursuivit.
C’est vingt minutes plus tard qu’elle donna des signes de fatigue.
– Bravo Margot ! Vous avez tenu cinquante minutes sans bouger. Pour une première c’est excellent. Qu’avez-vous ressenti ?
– Honnêtement, ce n’était pas si facile. Je vous ai obéi, j’ai fixé un point sur une des toiles et j’ai essayé de penser à quelque chose d’agréable. Je dois avouer que sur la fin j’avais du mal à penser à quoi que ce soit. Je pense que demain je vais avoir des courbatures.
– Oui, c’est possible mais vous verrez, certaines positions sont bien plus agréables (un peu d’ambigüité ne peut pas nuire). Si vous en êtes d’accord j’aimerai que vous preniez une autre pose et nous en aurons fini pour aujourd’hui.
– Oui, bien sur si vous voulez. Que souhaitez-vous que je fasse ?
– Vous allez vous assoir dans ce fauteuil. Vous posez une jambe sur l’accoudoir. La jambe droite s’il vous plaît. Vous déboutonnez votre chemisier afin que je vois la naissance de vos seins. Voilà, oui comme ça. Votre bras gauche pend à côté du fauteuil et votre main droite est posée sur votre genou droit. Oui, très bien. Maintenant regardez sur la droite et ne bougez plus.
Ainsi positionnée, la robe de Margot était bien remontée. Ses cuisses étaient largement découvertes, surtout la droite et on apercevait un bout de string blanc. « BHV » reprit son chevalet avec la même toile où, Margot aurait été surprise de n’y rien voir du tout si elle y avait eu accès. L’artiste continua son manège encore un bon moment. Se déplaça afin de bouger un bras, une jambe, d’enlever un bouton supplémentaire au chemisier et d’en écarter les pans et même de replacer ses seins pour en accroître le galbe disait-il. Il mit enfin un grand linge sur sa toile et annonça que la séance était finie.
– Voilà pour aujourd’hui. Je suis content de vous. Vous avez tenu bon. Pour une première séance de pose c’est très bien. Vous êtes docile, je pense qu’on pourra faire de belle chose ensemble. Comment vous sentez-vous ?
– Bien. Je vais bien. La dernière pose était plus commode. Je crois que j’aime bien ça finalement. Il me tarde de revenir vous voir.
– Formidable ! Demain je ne peux pas mais revenez après-demain d’accord ?
– C’est entendu je serai là.
A suivre…

L’atelier.

Le soleil était déjà haut dans le ciel. Je me prélassais, allongé dans l’herbe haute qui chatouillait mes pieds nus. Tout à coup, une vache se mit à me lécher le visage. Sa langue me passait sur les joues, dans les oreilles, sur les yeux. Je n’arrivais pas à me relever. Je faisais un effort quand elle me marcha sur l’entre-jambe ! Et ne voilà-t-il pas qu’elle m’appelait !????
– Chéri ! Chéri ! Réveilles-toi !
Ma femme me couvrait de bisous et avait commencé à branler doucement mon érection matinale. Ouf, j’aime mieux ça. Mais nom d’une pipe comment ais-je pu faire un pareil rêve ?! En tous cas je ne décourageais pas ma douce épouse et bien que pas tout à fait au top de ma forme, je profitais de sa position pour lui enfoncer deux doigts dans l’abricot. Abricot qui soit dit en passant était bien mûr puisqu’il coulait déjà.
Tout à mes caresses et à celles que me prodiguait Margot, je me mis néanmoins à reprendre mes esprits et à réfléchir. Ce n’est pas que cela ne nous était jamais arrivé, mais l’amour de bon matin n’est pas une de nos pratiques les plus régulières. Certes nous étions dimanche matin et sans contrainte, mais compte tenu des derniers événements, l’idée que ma petite femme avait quelque chose à me demander ou à se faire pardonner ou peut-être tout simplement qu’elle ne m’avait pas tout dit hier soir commençait à faire son chemin dans les méandres de mes neurones embrumés.
Je lâchais prise quand même lorsqu’elle engloutit entièrement mon sexe au fond de sa gorge. Elle faillit s’étouffer et recracha l’objet de sa convoitise afin de reprendre son souffle. Elle alterna ensuite entre les gorges profondes et la branlette avec juste mon gland dans la bouche. Elle me pétrissait les bourses et s’égarait parfois d’un doigt sur ma rosette ce qui avait le don de faire grossir ma bite d’avantage. A ce rythme là, la chose fut entendue rapidement et je me déversais d’abondance sur sa langue tendue.
Nous avons prie notre petit déjeuner sur la terrasse ensoleillée sans qu’elle n’aborde le sujet qui, j’en étais sur, occupait ses pensées immédiates. Je ne faisais rien pour l’aider. J’ai même parlé de mon boulot et demandé ce qu’elle voulait faire de notre après-midi. Ensuite direction salle de bain où une bonne douche nous remis d’aplomb tous les deux.
Nous avions décidé d’aller faire un tour au marché. C’est donc équipé d’un panier en osier chacun que nous quittions la maison. Nous pensions trouver une idée pour le déjeuner, après quoi nous irions faire un tour dans le grand parc qui jouxte notre petite bourgade. Une petite balade en barque sur le lac, aller et retour en bicyclette et soirée tranquille à la maison.
Ce n’est finalement que le soir qu’elle se décida à me parler.
– Tu sais chéri, j’ai réfléchi à la proposition de Bertrand.
Tiens, elle l’appelle déjà Bertrand. D’accord c’est son prénom mais jusqu’alors c’était « BHV », même pour elle. Curieux. Mais bon, attendons la suite.
– Oui mon amour, et alors, le fruit de cette intense réflexion ?
– Laurent ! Ne te moque pas de moi s’il te plaît. Tout ça est tellement nouveau et inattendu pour moi. Tu ne fais vraiment rien pour m’aider. On dirait que tu le fais exprès.
– Moi ?! Alors là, non, pas du tout.
– Oui c’est ça, quelle mauvaise foi ! Mais bon, passons. Je disais donc que j’ai bien réfléchi et je vais accepter sa proposition.
– OK.
– Comment ça OK ?! C’est tout ce que tu trouves à dire ? Je viens en gros de te dire que je vais aller rejoindre Bertrand, seule, dans son atelier, me foutre à poil devant lui et toi tu me dis OK !!!
– Calme-toi mon amour. Tu ne m’as pas vraiment laissé le temps de développer non plus. Je dis simplement OK parce que hier je t’ai dis que ta décision serait la mienne. Tu dis avoir réfléchi et j’en suis convaincu. Tu décides d’accepter la proposition de « BHV ». Je prends donc acte de ta décision et OK, ça veut dire que je suis avec toi et que je te soutiens. Voilà !
– Bon, d’accord, ça va alors. Cela ne te dérange donc en aucune manière ? Tu ne vois rien à m’opposer ? Tu n’as aucune mise en garde à me faire ?
– Bébé, arrêtes ! Tu es une grande fille. Tu n’as pas peur de ton corps. Je te fais confiance, point !

– Quelle joie de vous accueillir ma chère Margot. Vous êtes radieuse comme toujours. Vous savez que je ne vis plus depuis votre coup de téléphone où vous me « donniez » votre « acceptation » (il choisissait ses mots visiblement). Depuis j’ai pensé à beaucoup de chose vous concernant. Vous verrez, j’ai plein de « projets pour vous » (on en remet une couche). Mais je parle, je parle, avancez-vous, venez que je vous fasse visiter mon « antre » (et rebelote).

La visite fut relativement rapide et elle s’acheva dans l’atelier de l’artiste. L’atelier se trouvait tout en haut de la tour. Plus exactement au dernier étage. Le haut étant une terrasse. Il lui fit faire le tour, la pièce était vaste. C’était un vrai bord…. Pardon, un vrai capharnaüm. Des toiles achevées, d’autres non. Des sculptures sur leur socle. Certaines, la aussi en voix d’achèvement. Sur tous les murs, là où il n’y avait pas de fenêtre ou de porte, des photos, d’autres toiles mais encadrées couvraient les surfaces.
Dans un angle, une petite salle d’eau que protégeaient des parois en verre opaque. Un peu à côté, un paravent devait permettre de se déshabiller pensa-t-elle.
Et pour finir, des canapés, des fauteuils, certains comme celui du film Emmanuelle, une estrade, des projecteurs sur pied, une grande table jonchée de pinceaux, de tubes de couleur, de papiers, de photos, d’appareils de prises de vue divers et variés et disséminé ça et là, plusieurs chevalets de tailles différentes.
– Voici mon antre chère Margot, qu’en pensez-vous ?
– Et bien, c’est impressionnant. Tout ceci est nouveau pour moi, j’avoue que je me sens toute petite dans cette grande pièce.
– Ne vous inquiétez pas petite Margot, je serai votre « guide ». Voulez-vous que nous commencions dès maintenant ou souhaitez-vous réfléchir encore ?
– Non, non, pas de problème, je suis décidée. On peut commencer. Dois-je me déshabiller ?
– Ce n’est pas nécessaire. Du moins pas encore. Pas cette fois-ci. Nous allons déjà commencer par vous faire prendre la pose. Je veux voir si je ne me suis pas trompé. Saurez-vous tenir la pose autant que je le souhaiterais. Car je vous veux « obéissante » ! La peinture comme la photo et d’autres choses demande de la patience, de la docilité. Avez-vous ces qualités Margot ?
– Euh… Je ne sais pas, je crois, oui. Je vous écouterai n’ayez crainte, c’est vous le maître. Je ferai tout mon possible pour tenir la pose.
La pauvre, elle ne pensait pas si bien dire. Aussi « BHV » ne la découragea pas et lui demanda de bien vouloir grimper sur l’estrade. Il l’accompagna et lui fit prendre la pose qu’il souhaitait. Pour qu’elle soit tout à fait dans la position requise, il lui positionna bras et jambes lui même. Ces gestes étaient emprunts de douceur. Mine de rien il lui prenait la taille, tenait ses fesses pour la faire tourner, lui relevait le menton, etc… Bref comme l’artiste qui prépare son sujet.
– Voilà, ne bougez plus. Regardez bien droit devant vous. Il doit bien y avoir une photo ou un tableau dans votre ligne de mire, alors concentrez-vous dessus cela vous aidera. Vous me direz quand cette position deviendra difficile.
« BHV » attrapa un chevalet, y posa une toile vierge et commença son œuvre. Margot ne bougeait pas. Elle était très concentrée. Pourtant il lui semblait bien qu’au bout d’un demi heure, elle se raidissait un peu. Mais bon, elle ne se plaignait pas alors il poursuivit.
C’est vingt minutes plus tard qu’elle donna des signes de fatigue.
– Bravo Margot ! Vous avez tenu cinquante minutes sans bouger. Pour une première c’est excellent. Qu’avez-vous ressenti ?
– Honnêtement, ce n’était pas si facile. Je vous ai obéi, j’ai fixé un point sur une des toiles et j’ai essayé de penser à quelque chose d’agréable. Je dois avouer que sur la fin j’avais du mal à penser à quoi que ce soit. Je pense que demain je vais avoir des courbatures.
– Oui, c’est possible mais vous verrez, certaines positions sont bien plus agréables (un peu d’ambigüité ne peut pas nuire). Si vous en êtes d’accord j’aimerai que vous preniez une autre pose et nous en aurons fini pour aujourd’hui.
– Oui, bien sur si vous voulez. Que souhaitez-vous que je fasse ?
– Vous allez vous assoir dans ce fauteuil. Vous posez une jambe sur l’accoudoir. La jambe droite s’il vous plaît. Vous déboutonnez votre chemisier afin que je vois la naissance de vos seins. Voilà, oui comme ça. Votre bras gauche pend à côté du fauteuil et votre main droite est posée sur votre genou droit. Oui, très bien. Maintenant regardez sur la droite et ne bougez plus.
Ainsi positionnée, la robe de Margot était bien remontée. Ses cuisses étaient largement découvertes, surtout la droite et on apercevait un bout de string blanc. « BHV » reprit son chevalet avec la même toile où, Margot aurait été surprise de n’y rien voir du tout si elle y avait eu accès. L’artiste continua son manège encore un bon moment. Se déplaça afin de bouger un bras, une jambe, d’enlever un bouton supplémentaire au chemisier et d’en écarter les pans et même de replacer ses seins pour en accroître le galbe disait-il. Il mit enfin un grand linge sur sa toile et annonça que la séance était finie.
– Voilà pour aujourd’hui. Je suis content de vous. Vous avez tenu bon. Pour une première séance de pose c’est très bien. Vous êtes docile, je pense qu’on pourra faire de belle chose ensemble. Comment vous sentez-vous ?
– Bien. Je vais bien. La dernière pose était plus commode. Je crois que j’aime bien ça finalement. Il me tarde de revenir vous voir.
– Formidable ! Demain je ne peux pas mais revenez après-demain d’accord ?
– C’est entendu je serai là.
A suivre…

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