Pour le réveillon de Noël Christian souhaite nous utiliser Sofia et moi pour faire plaisir à ses amis. Pour ce faire, il a aménagé son garage en donjon BDSM avec chevalet, croix, pilori, fouet, corde godes et j’en passe. Il a invité toute la bande, Guillaume, Thierry, Ben, David, Seb, Mouloud, un black bien monté et mon mari. Le thème est évidement Noël Sexy. On arrive donc tous à cette soirée déguisés en lutins, père-Noël, elfe….
La soirée débute comme toutes soirées de fêtes. Nous buvons et dansons. Thierry invite souvent Sofia sur la piste. Elle est craquante dans sa mini-jupe rouge et son body décolleté ourlée de fourrure blanche laissant entrevoir son opulente nue. Lucie, De mon côté, je danse surtout avec le black. J’aime bien la nouveauté. Les autres sirotent au bar lorsqu’ils ne dansent pas. Christian m’emprunte un instant à Mouloud et me dit en riant :
« Vous êtes deux magnifiques lutines pour les Pére-Noël, Je vous ai réservé des cadeaux très particuliers ce soir. Tu as vu comme Sofia est déjà très chaude ? Thierry va bien s’amuser avec elle. »
« J’ai hâte Christian. Tu sais que Thierry m’a confié qu’il souhaitait défoncer Sofia ? Il a craqué pour elle.Il doit bander comme un âne en dansant avec elle. »
Lors d’une petite pose, Sofia et moi allons aux toilettes. Elle me raconte comment Thierry la kif.
« Il me serrait tellement que je sentais son gros sexe contre moi. »
« Ca ne m’étonne pas ma chérie, il m’a confié qu’il craquait pour toi et que ce soir il allait te défoncer.Mais Christian a prévu des réjouissances pour nous. J’ai hâte de voir ça, mais je suis un peu inquiéte quand je vois le matos qu’il y a dans le garage. »
Elle rigole en me répondant :
« On en a vu d’autre et ce soir c’est soir de fêtes ! »
« Oui justement, je crois que ça va être notre fête ! »
Nous retournons dans le garage en rigolant toutes les deux. C’est là que Christian nous lance :
« Allez les filles ! Faites-nous votre show ! »
Christian vient d’annoncer le début du programme. Alain met une musique d’ambiance, et nous nous commençons à danser ensemble de plus plus en plus lascivement. Sofia se colle à moi et me prenant par les cheveux, m’embrasse fougueusement. Je lui rend amoureusement son baisé en lui pelotant les fesses. Les hommes nous sifflent et frappent des mains en rythme. Sofia fait glisser ma petite jupe et fait sauter mon soutien gorge. Me voilà entrain de me trémousser juste avec mon string rouge. Je me blotti contre elle. Mes seins s’écrase sur sa poitrine. Je mouille déjà comme une folle et mon string ne peut contenir longtemps mon flot de cyprine. A mon tour, je déshabille ma partenaire sous les quolibets de nos spectateurs. Nous continuons à nous caresser enveloppé par cette musique sensuelle. J’adore les gros seins de Sofia. C’est un véritable régal de ls palper et d’agacer ses tétons qui durcissent sous mes doigts. Elle promène également ses mains sur mes seins. Ma respiration s’accélère. Mes tétons réagissent instantanément sous sa caresse. Elle glisse une main dans mon string trempé. Nos feulement de femelles en chaleur sont couvert par la musique. Mais nos contorsions révèlent le plaisir que nous prenons à nous exhiber devant nos hommes. A ce moment, Thierry approche. Il sort son membre gonflé de désir et prenant Sofia par les cheveux, il l’oblige à se mettre à quatre pattes et la prend en levrette. Je reste un instant à regarder sa grosse bite entrer et sortir de sa chatte. En souriant, il me dit :
« Fait-toi bouffer la chatte par ta copine. »
Je ne me fait pas prier. Que c’est torride. Mouloud me donne une claque sur les fesses et, son mamba noir à la main, il me fait comprendre que ma bouche ne doit pas rester inactive. En me faisant caresser les seins, je gobe son engin. Sa main posé sur ma tête, il me guide dans un mouvement de va-et-vient. Thierry accélère ses coups de reins. Sofia aux anges se cambre au mieux pour profiter de l’engin qui la défonce. Elle pousse des cris de plaisir étouffés par ma chatte. Un premier orgasme l’envahit laissant partir des petits jets de cyprine sur la verge de Thierry. En rigolant, il lance :
« La salope ! Elle prend son pied ! Elle m’arrose la bite ! »
Il sait pourtant que nous sommes toutes les deux des femmes fontaine. Continuant ses coups de reins, il éjacule dans le con de Sofia en poussant un râle bestial. Je suis prise à mon tour de convulsions. Mais je ne peux exprimer mon orgasme avec la verge de Mouloud plantée au fond de ma gorge. Ne pouvant plus se retenir, il décharge dans ma bouche. J’avale sans qu’il ait besoin de me le demander sous les applaudissements des autres. Nous restons tous les quatre abattu et silencieux un instant encore emmanchés les uns dans les autres. Puis, Mouloud sort de ma bouche. Je reprends difficilement ma respiration et Sofia et moi avons tout le loisir d’admirer son gros cylindre noir tombant sur sa paire de couilles de taureau.
Nous rejoignons les autres au bar et les conversations vont bon train sur le spectacle que nous venons de donner en avant première d’une soirée qui s’annonce chaude. Christian en Maître allait nous faire l’honneur d’un cadeau exceptionnel dont nous n’allions pas ressortir intacte et je pressentais que la remise en forme pour le jour de l’an allait être difficile. Même si Sofia et moi sommes aguerries à des pratiques parfois extrêmes, nous devons prendre sur nous et mettre nos craintes de côté. Comme toujours, J’ai peur de ne pas être à la hauteur de mes prétention. Je me demande si je vais réussir à tenir le rythme. Mais Sofia est là et nous devrions réussir à satisfaire les besoins démesurés de nos sept vicieux pervers. Ces pensées qui se bousculent dans mon esprit ainsi que l’alcool me font tourner la tête. Dans mes pensées, je sursaute lorsque des mains me palpent. Leurs mains parcourir ma peau, mes seins, mes orifices. Fidèle à mon dressage, je me laisse faire, les jambes écartées. Sofia me regarde en souriant. Elle aussi est investit par ses mains qui s’affairent à investir nos corps offerts. Puis les premiers ordres tombent. Alain nous dit :
« Branlez-vous mutuellement ! »
Nous commençons à nous doigter et je peux constater que ma copine est déjà très chaude. Mais cela ne dure pas longtemps et nous voilà très rapidement à genoux pour honorer leurs verge tendues de nos bouches gourmandes. Les queues s’enchaînent. Nous nous appliquons docilement avec plaisir. Malgré notre expérience en la matière, autant de bites à honorer, rend la tâche compliquée. Mais nous adorons les défis. Nous voilà partie dans les abîmes de la soumission. Christian nous demande de nous mettre à quatre pattes comme des chiennes et d’aboyer pendant qu’il nous sautent. A tour de rôle ils nous défoncent vigoureusement. Nous sommes leurs jouet sexuel. Ils nous manipulent comme des poupées. Ils nous prennent à leurs convenance, le cul, la chatte ou la bouche. Ils nous insultent. Je vois Alain qui filme la scène. Je pousse un cri de surprise quand Mouloud me sodomise aussitôt suivi par Ben qui s’enfile mon con. Sofia est aux prises avec Guillaume, David et Thierry. Christian vient me prendre la bouche. Je suis remplie de queues. Totalement soumise sous les yeux de mon mari des vagues de plaisir me submerge. C’est. Divin. Je suis partie dans ma bulle et ne m’occupe plus de Sofia qui doit aussi bien prendre son pied la connaissant. Que j’aime cette sensation de ne plus être qu’un objet de plaisir auquel on ne prête pas attention. Puis, les hommes nous abandonnent sans avoir joui. Nous sommes frustrées. Mais c’est pour nous conduire vers les engins de supplice. Christian nous dit :
« Maintenant que vous êtes bien chaudes, c’est vos cadeaux surprises de Noël les chiennes ! »
On met Sofia dans un carcan et moi sur une croix de Saint-André. Trois violents coups de
cravache cinglent le postérieur bien exposé de Sofia qui pousse un hurlement de douleur. En rigolant Thierry lui dit :
« Si c’est ainsi que tu nous remercie de ton cadeau !!! Aurais-tu oublié la politesse Salope ? »
Alain reprend :
« Je pense que 50 coups de martinet la remettrait à sa place ! »
Elle ne proteste pas car elle sait que ces vicieux pourraient lui faire subir de pires châtiments. Avant ça, Christian vient vers moi et fouille ma chatte baveuse sous mes soupirs de satisfaction, pendant que Ben vérifie l’accès à mon anus. Ils me laissent de côté pour s’occuper de Sofia qui serre les dents attendant sa sentence. Chacun leurs tours, les mecs prennent le martinet et lui d****nt les fesses et le dos plus au moins fort. Elle n’oublie pas de les remercier à chaque coup. Si elle omet de le faire ou se trompe de prénom, C’est moi qui reçois las coups sur les seins et le ventre. Évidemment ça arrive plusieurs fois et c’est celui dont Sofia c’est trompé qui me fait subir le fouet. Après avoir subi les rigueurs du martinet, nos corps nous chauffe et nous sommes zébrées de trace rougeâtres. On se tortille dans nos entravent et ça semble bien les amuser. Les hommes se gantent de latex et se mettent à nous fouiller durement nos intimités. Nous gémissons autant de douleur que de plaisir. Ils jaugent l’élasticité de nos conduits pour estimer les possibilités de pénétration maximal de nos intimités. Thierry dit à Christian :
« Tu avais raison en disant que nous n’aurions pas besoin de lubrifiant. Elle mouille toutes les deux comme de grosses truies ! »
Christian revient avec deux poires à lavement dont la canule me semble de taille disproportionné pour ma rosette. Il annonce aux autres :
« On va voir combien elle peuvent supporter ces femelles. La première qui gueule aura un gage. »
Thierry se charge de rentrer la canule dans le cul de Sofia qui pousse un feulement de plaisir. Pour moi, c’est Guillaume qui s’en charge. Avec la délicatesse qui n’est pas son apanage, il me l’enfonce d’un trait me faisant pousser un cri de douleur. Alain saisit mes expressions avec un appareil photo. Le liquide chaud et visqueux commence à nous remplir les entrailles. Au début c’est plutôt agréable. Mais rapidement la quantité de liquide devenant de plus en plus importante et nous gonflant comme des femmes enceintes, commence à devenir pénible.
Pour couronner le tout, les autres nous placent sur les tétons des pinces à linges. Maintenant, entre le lavement et les pinces à tétons, nous vivons un enfer. Je serre les dents pour ne pas crier et être celle qui subira le gage. Mais je sais pertinemment que je suis moins endurante que Sofia. Et bien entendu, Je me met à les supplier d’arrêter. Sofia en profite pour dire aussi qu’elle en a assez. Les mecs alors se font un plaisir d’enlever les canules de nos cul et c’est un vrai geyser qui s’en échappe dans un bruit ridicule de pet mouillé qui font éclaté de rire nos bonhommes. Ce soulagement malgré l’humiliation me fait gémir de plaisir. Je vais déjà
mieux, en dépit de nos tortionnaires qui observent la scène. Enfin nos intestins sont vident. On me détache et comme c’est moi qui ai demandé la première d’arrêter le supplice, mon gage est de laver avec ma langue les souillures de Sofia.
laver. Alors que je lui lèche le cul et la chatte, elle ne peut se retenir et me pisse abondamment sur le visage. J’ai un mouvement d’écœurement et je recule mais la brûlure d’un coup de cravache sur les fesses m’oblige à continuer de subir cette descente aux enfer. Une foi mon acte de nettoyage terminé, ils me rattachent sur la croix et Christian demande à Sofia :
« La salope t’a-t-elle bien nettoyé ? »
Sofia ne répond pas.
« Bien puisque vous voulez jouer à ce jeu là, Michèle recevra des coups de fouets tout le temps qu’il faudra aux autre pour éjaculer dans Sofia ! Je vais commencer et au dixième coup de fouet seulement, mes amis s’occuperont de Sofia. Et a tour de rôle nous changeront nos places ! C’est parti ! N’oublie pas de remercier à chaque foi Salope ! »
La lanière mord directement mon ventre et sa brûlure me fait pousser un cri strident sans oublier de remercier Christian. Au vingtième coup mon corps strié de boursouflures se tord dans tout les sens. Je suis impatiente que les mecs déchargent avec Sofia. C’est mon mari qui s’y colle. Il frappe plus doucement, mais vise mes seins. Le temps est interminable et enfin ils se mettent à jouir de Sofia. Je ne suis plus qu’une loque. Seb vient me consoler gentiment et m’enduit le corps d’une crème bienfaisante. La transition entre la brutalité du fouet et ses douces caresses me font jouir malgré moi. Tout à coup, j’entends Sofia qui se met à crier. Les six autres sont entrain de la couvrir de cire chaude sur le dos et de lui chauffer les seins pendant sous elle. Pour couronner le tout, Mouloud lui défonce le cul sauvagement. Dans un dernier assaut, il se vide dans son fondement et vient aussitôt vers moi pour que lui nettoie le nœud.
« Il est bon le cul ta pute de copine ! »
Pendant que je suce le black pour le nettoyer, Alain vient me voir pour me dire :
« Ne t’inquiéte pas ma chérie. Regarde Sofia. On va lui retire la cire de son dos à coup de fouet. Comme ça, vous serez à égalité ! »
Je me serais bien passé de cet honneur. Chaque coup sur Sofia, je le ressens comme si c’était moi qui le prenait. Elle crie sous les coups et se fait prendre par les mecs en même temps. Quand on parle de garage à bites ou de sac à foutre, on en est à ce moment le parfait exemple.
Je ne sais combien de temps nous subissons leurs actes odieux sur nous mais si jouissif. Mais pour terminer cette soirée de cadeaux de Noël, il nous détachent et nous demande de nous tenir à genoux devant eux en les remerciant de tout les jolis cadeaux qu’ils nous ont offert. Puis, comme un bouquet final, ils se mettent à nous pisser dessus. Ensuite, nous baisons les pieds de nos Maîtres qui satisfaits nous disent :
« Vous avez été parfaites. Vivement le jour de l’an ! »
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