LU SUR LE NET
J’ai exercé cet été un emploi saisonnier à La Poste. Voici l’histoire qui m’est arrivée, il y a de ça quelques semaines…
Mon rôle à La Poste est de distribuer de la publicité sur deux tournées (c’est à dire deux quartiers), ce qui me prend deux journées et demie dans la semaine.
Ce travail n’a rien de bien passionnant. C’est très répétitif et assez fatigant.
C’était un mardi après-midi du mois de juillet. Il faisait chaud et beau (ce qui est rare par chez nous). J’avais commencé ma distribution, et, comme à l’habitude, cela me paraissait bien monotone. Ma seule occupation étant de mater les jolies filles que je croisais, et surtout leurs jolis petits derrières.
Il faut aussi que vous sachiez qu’à l’époque j’étais vraiment en mal de sensations fortes, de plaisir. Et je me demandais vraiment bien comment parvenir à satisfaire mes envies, étant trop timide pour draguer. Je n’aurais jamais cru qu’il puisse m’arriver ce qu’il m’est arrivé…
J’étais bien avancé dans ma tournée. J’arrivais dans un endroit que j’aimais bien, un peu à l’extérieur de la ville. En fait il y avait une grande descente. avec une maison tout au bout. Je décidai de laisser ma voiture et de la rejoindre à pied. Je m’approche de la boite aux lettres pour y mettre les prospectus quant tout à coup une voix m’interpelle et me fait sursauter.
– bonjour jeune homme ! Excusez-moi de vous avoir effrayé, je croyais que vous m’aviez vu.
Ouah… une vraie beauté… en fait elle venait juste de sortir de sa voiture qui se trouvait juste devant son garage, et moi, tête en l’air comme je suis, je ne l’avais même pas vu ! Elle m’a vraiment fait sursauter en tout cas, je ne m’y attendais pas. Ni à elle, ni à ce qu’elle soit aussi jolie. Brune, cheveux mi-longs, la peau très matte, yeux verts, environ la trentaine. Elle portait un tailleur noir qui mettait magnifiquement en valeur ses longues et jolies jambes. Et elle était chaussée de talons aiguilles, ce que j’adore par-dessus tout. Elle avait un corps de rêve, une taille très fine et une poitrine forte alléchante.
J’étais comme paralysé devant elle. Je lui ai tout de même tendu les prospectus et elle me remercia avec un très grand sourire.
Je continuai ma tournée heureux de cette rencontre et le soir je ne pus m’empêcher de fantasmer sur elle. Je n’avais qu’une chose en tête : la revoir.
Je dû attendre une semaine. Comme la semaine passée, je rejoignais la maison à pied. Je l’aperçus au loin, près de sa voiture à nouveau. Elle me reconnut lorsque j’approchai.
– Bonjour monsieur de la pub !
– Bonjour madame, tenez… lui dis-je en lui tendant les imprimés, et avec un petit sourire en prime.
– Merci ! La tournée se passe bien ?
– Oui, merci, tout va bien pour le moment.
– Ca fait longtemps que vous faîtes ce travail ?
– Non, tout juste un mois, et ce n’est qu’un emploi saisonnier. Je reprends les études à la rentrée.
– Ah d’accord. Et vous avez quel âge ?
– 22 ans (et toutes mes dents)
Nous avons continué à discuter, pendant un quart d’heure environ. J’ai appris qu’elle travaillait dans une banque, qu’elle était mariée (aïe), qu’elle et son mari venaient d’emménager par ici et que par conséquence elle ne connaissait pas grand monde.
– En tout cas, j’espère que les gens d’ici sont aussi gentils que vous, me dit-elle. La semaine prochaine je vous offre un verre, d’accord ?
– D’accord, lui répondis-je en rougissant.
Tout cela était pour moi inespéré. J’étais aux anges. La semaine me parut interminable. Je rêvais d’elle, je n’avais plus qu’elle en tête.
Le mardi suivant arriva. Je décidai de commencer ma tournée plus tôt et d’en changer l’itinéraire, pour pouvoir terminer par la maison de cette splendide femme (il faut dire qu’à La Poste on est plutôt libre de faire ce que l’on veut !)Cette fois, elle était dans son jardin, au téléphone. Elle me fit un grand sourire en me voyant, me fit signe de la rejoindre et de m’asseoir. Elle portait une jupe noire fendue qui arrivait juste au-dessus du genou, et un débardeur blanc qui mettait très bien en valeur sa jolie poitrine (un bon 95 c je pense). Bref, elle m’excitait au plus haut point. Elle devait être au téléphone avec son patron, ou du moins avec quelqu’un de la banque, car elle parlait argent. Je profitais de ce moment pour regarder la maison et le jardin. C’était une très belle maison contemporaine, avec de grandes baies vitrées. Le jardin lui aussi était très grand, avec beaucoup de verdure qui cachait tout le tour de la maison. Ils devaient vraiment être tranquille ici…
Sa conversation téléphonique se termina.
– Excusez-moi j’étais avec mon patron (gagné !), il avait besoin de renseignements. Il faut toujours qu’il me dérange pendant mes congés ! Bref, oublions tout ça. Je vous avez promis un verre je crois ?
– Oui
– Que désirez-vous ? Je fais de délicieux jus d’orange pressés !
– Ca m’ira très bien !
– D’accord, je reviens dans cinq minutes.
Elle rentra dans la maison, me laissant seul dans le jardin. Je pus admirer son joli postérieur. Un vrai régal. Je l’imaginais avec un joli string. Hmmmm… Mon excitation se transforma vite en belle érection. Ce jour là je portais un short et un tee shift, ainsi qu’un boxer blanc très moulant… dans lequel mon sexe se sentait déjà très à l’étroit à ce moment là.
Elle revint dix minutes plus tard, deux verres à la main.
– Tenez, vous m’en direz des nouvelles, me dit-elle en me tendant le verre.
– Merci beaucoup, ça va me rafraîchir un peu. Dîtes-moi, je ne vois jamais votre mari, que fait-il dans la vie ?
– Mon mari est VRP. Il est souvent en déplacement. On se voit très peu, à l’exception du week-end.
– Vous avez donc cette grande maison pour vous toute seule ?
– Oui. D’ailleurs elle me parait bien vide. Seule ma chatte me tient compagnie.
– Ah vous avez une chatte ?
– Oui, de race persan. Elle est blanche.
– Elle vous tient compagnie mais ne doit pas être très causante ! !
– Non, et on ne peut pas faire avec une chatte ce que l’on peut faire avec un homme !
– Oui, je vois de quoi vous voulez parler.
– Et vous, avez vous une petite amie ? A vote âge vous devez bien vous amuser ! !
– Pourquoi dites-vous « à votre âge » ? Il n’y a pas d’âge pour s’amuser ! Et puis vous êtes encore jeune ! Je n’ai pas de petite amie actuellement, et la dernière remonte à un petit bout de temps déjà !
– C’est à dire ?
– Trois mois.
– Et depuis trois mois, rien du tout ?
– Non
– Et sexuellement ?
La brutalité de la question me laissa sans voix.
– Euh… (Lui dis-je en rougissant)
– Allez n’ayez pas honte, dites-moi tout.
– Et bien, rien de sexuel depuis trois mois.
– Et ça ne vous manque pas ?
– Si bien sûr.
– Ca fait deux semaines que je n’ai pas fait l’amour et ça me manque, trois mois ça doit être insupportable !
– Je m’arrange
– Oui, la masturbation je suppose. Je peux être indiscrète ? Depuis la première fois que vous m’avez vu, avez vous fantasmé sur moi ?
– Non ! ! Ne croyez pas ça ! ! !
– Je veux la vérité
– Et bien…
– Oui, allez-y… de toute façon je connais la réponse. Et je suis sûr que le fait de parler de sexe avec moi vous excite très fort…
– C’est possible…
D’un coup d’un seul, elle ôte son débardeur, me dévoilant sa superbe poitrine. Je suis bouche bée.
– Approche-toi, avec ton verre, me dit-elle.
Son ton change, elle devient beaucoup plus salope et autoritaire.
– Renverse ton verre sur ma poitrine.
Je tremble de partout, tout va si vite ! Après un petit moment d’hésitation, je m’approche d’elle, penche le verre et arrose les deux seins.
– Lèche-moi maintenant.
Je suis encore plus hésitant. Elle att**** mes deux joues avec ses mains puis me presse contre sa poitrine. Cette fois ma bouche s’active sur ses deux mamelons. Je lèche ce délicieux jus. Elle ferme les yeux et bascule la tête en arrière, tout en me caressant les cheveux. Elle a l’air d’apprécier.
Je sors ma langue pour profiter de ses têtons qui se dressent comme ma queue à ce moment là.
Je nettoie sa poitrine entièrement. Une fois le travail terminé, elle se redresse et m’embrasse tendrement. Nos langues s’entrelacent. hmmm comme sa bouche est douce…
– Je n’ai jamais fait l’amour avec quelqu’un de plus jeune que moi, me dit-elle. Il parait que les jeunes ont beaucoup à donner. Ca doit être ton cas… On va voir de quoi tu es capable.
Elle ôta alors mon tee shift et commença à me caresser le torse. La douceur de ses mains me fit frissonner.
– Hmmm pas mal… dit-elle en souriant…
Elle m’allongea sur l’herbe et se colla contre moi. Elle embrassa mon cou puis descendit avec sa bouche. Elle embrassa, mordilla mes têtons. Sa langue investissa mon nombril. Puis ses mains baissèrent mon short et l’enlevèrent. J’étais totalement à sa merci, en boxer. Elle me demanda de me mettre sur le ventre. Avec le bout de sa langue, elle descendit du haut de ma nuque jusqu’aux creux de mes reins en passant par le long de la colonne vertébrale. Vraiment délicieux, je vous le conseille ! Ensuite ses mains massèrent mes fesses.
– Tu as des fesses superbes… me dit-elle en baissant mon boxer de façon à les voir le mieux possible.
Sa bouche se posa dessus… On aurait cru qu’elle voulut les croquer. Elle poussait de petits gémissements. Elle remonta mon boxer et me retourna pour se retrouver face à moi.
– Maintenant passons à ce qui m’intéresse vraiment.
Elle commença à caresser mon sexe à travers mon boxer.
– Ca m’a l’air acceptable, me dit-elle
Elle baissa puis enleva mon boxer. Je bandais comme un fou.
– Hmmmm oui tu as une très jolie queue… elle est bien grosse, comme je les aime.
Sa main gauche se posa sur mon sexe dressé et s’activa doucement au début. Puis sa bouche la remplaça. Non, ce fut d’abord sa langue. Elle décalotta mon sexe entièrement, et avec le bout de sa langue remontait et descendait le long de mon baton. Elle n’alla pas plus loin, elle voyait bien que j’allais tout lui donner. Elle se releva et alla se rassoir sur sa chaise.
Elle remonta sa jupe tout en me regardant d’un regard on ne peut plus évocateur et sensuel.
Je vis ce que je voulais voir. Un string noir très très fin, en dentelle.
– Je vais m’occuper de vous, lui dis-je.
Je m’approchai d’elle et écarta bien ses deux cuisses après les avoir doucement caressées. Je passai une main sur son string. Il était trempé. Je l’écartais un peu pour apercevoir ce qui m’intéressait le plus. Sa chatte était toute épilée. Je faisais glisser un doigt sur ses deux petites lèvres puis sur son clitoris… je l’étendais et le malaxais… elle devait être clitoridienne car ses gémissements se faisaient de plus en plus puissants. Je gardais donc une main pour ce petit bout de plaisir, et l’index de mon autre main se faufila à l’intérieur de son sexe trempé. D’abord doucement, puis plus vite…
– Hmmmmmmm ouiiii c’est très boon ! ! ! Tu es très doué ! ! ! Continue mets en un deuxième ! !
Un deuxième doigt rejoignais alors le premier, puis un troisième. Tous ses muscles se contractèrent. Ses gémissements se transformèrent en cris. Elle se perdit dans un premier orgasme, son sexe était complètement trempé et inondait ma main, que je m’empressa de lècher consciencieusement.
Dans mon boxer, mon sexe n’en pouvait plus. Je le baissai pour me soulager.
– Je crois que tu es à point, me dit alors ma belle partenaire.
Avec sa main gauche, elle masturba doucement ma queue. Puis elle posa ses deux mains sur mon torse pour me faire m’allonger sur l’herbe. Elle enleva sa jupe et son string puis monta sur moi. Elle guida mon sexe vers sa chatte et s’empala dessus. Je sentis alors toute l’humidité de son sexe. Ses va et vient étaient un vrai régal. Mon sexe glissait parfaitement le long de ses deux petites lèvres. Ses mains posées sur mon torse, c’est elle qui donnait le rythme. Je n’avais rien d’autre à faire que m’occuper de ses deux superbes seins. Je m’amusais avec mes deux pouces à appuyer sur ses deux têtons qui étaient fièrement dressés. Puis ce sont mes mains toutes entières qui prirent possession de ces deux beaux melons. Quant à ma tigresse, elle continuait son va et vient sur mon sexe. Elle commença à augmenter la cadence. Je sentis son vagin se resserrer autour de ma queue.
– Oooh ouiiiii ! ! ! Fais-moi jouir, vas-y ! ! !
Je sentais qu’elle venait et moi aussi je n’étais pas loin de l’explosion. Tout en caressant son clitoris, elle se mit à jouir violemment. Elle semblait vraiment à bout de souffle, vidée. Elle se retira de mon sexe mais continua à le caresser avec la main. Sentant l’éjaculation arriver, elle approcha ses seins et reçu de longs jets blancs sur la poitrine. J’avais rarement joui de la sorte. Elle étala le sperme sur ses seins et lècha le bout de ses doigts. Ensuite elle s’allonga, érintée, juste à côté de moi.
– Merci, c’était très bon, me dit-elle.
– Tout le plaisir était pour moi, lui répondis-je.
J’étais très heureux de ce qui venait de se passer, je n’en revenais vraiment pas. Je me sentis pousser des ailes, je ne voulais pas en rester là. J’avais une idée en tête. Je me lança. Avec mon bras, je tourna cette beauté sur le côté, afin de me retrouver face à ses jolies fesses. Je remarqua alors un magnifique tatouage juste au-dessus de ses fesses. Miam. Elle ne comprenait pas ma manoeuvre.
– Que fais-tu ? me dit-elle
Je ne répondis pas. J’approcha juste mon index gauche de la raie de ses fesses et je commença à lui caresser son petit anus.
– Ah non ! ! Pas ça ! ! me dit-elle sur un ton sec. On ne touche pas à mon anus, j’ai des principes quand même ! !
– Tu n’as jamais été sodomisé ?
– Non et je n’en ai pas envie !
– Je n’ai jamais fait de sodomie mais quand je vois tes fesses, j’en meurs d’envie !
– Et bien tu peux toujours fantasmer !
– S’il te plait… Si on le fait tout en douceur tu n’auras pas mal c’est sûr !
– Ce n’est pas ce que m’ont dit des copines qui ont essayé ! Après elles ont marché en canard pendant une semaine !
– On essaye et dès que tu as mal on arrête.
–
Elle ne répondit pas. Je sentais que j’avais ma chance.
– Je te promets d’être très doux.
– Tu as intérêt ! me répondit-elle.
J’étais aux anges. Ca allait être ma première sodomie. J’avais un peu peur quand même, surtout peur de lui faire mal. Pour aller plus vite, ses mains de fée caressèrent mon sexe qui se tendit de manière honnorable. Pendant qu’elle se mettait à quatre pattes, je finissais d’obtenir une très belle érection. Je me mis alors sur les genoux et m’approcha de son anus. J’humidifiai l’un de mes doigts et caressa son petit trou.
– Hmmmmmm ça c’est bon, c’est un bon début, me dit-elle.
– Je suis ravi que l’on puisse s’initier à quelque chose tous les deux, lui dis-je.
– Hmmmmmm moi aussi… … fais moi aimer la sodomie !
Son anus était maintenant bien humide. Mais il me semblait vraiment petit. J’approcha mon sexe. Mon ceur battait fort. Je posai mon gland sur son anus et commença à le faire pénétrer.
– Aïïe ! ! ! !
– J’arrête ?
– Non ! Mais vas-y très doucement !
Je continuai à m’enfoncer, j’étais environ à la moitié. Je sentais qu’elle avait mal.
– Vas-y, continue ! Enfonce-toi ! !
Je m’enfonçai entièrement.
– Ca va tu n’as pas mal ?
– Un peu mais je veux que tu me défonces ! ! Allez, défonce-moi ! ! !
Je me mis alors à effectuer un léger va et vient. Ses cris de douleurs laissèrent leur place à de petits gémissements. Voyant qu’elle commençait à apprécier, j’augmentai le rythme.
– Ooooohhh vas-y déchire moi ! ! ! ! ! ! C’est boon ! ! ! ! ! !
Je posai mes deux mains sur ses fesses pour prendre appui. Je m’enfonçais au plus profond d’elle, sans relâche. J’adorais ça. Et le fait de savoir que j’étais le premier à la sodomiser m’excitait encore plus. J’étais son initiateur. Par moment, au plus profond d’elle, je m’arrêtai. Elle en redemandait. Alors je repartais, d’abord lentement, puis plus vite.
Epuisé, je me retirai.
– Hmmmmm tu es très bon initiateur je crois. Tu m’as converti. Laisse-moi te remercier et goûter à ton jus.
Ses mains vinrent se poser sur mes testicules puis remontèrent. Sa bouche se posa sur mon gland et elle engloutit mon sexe entièrement. Elle me pompait comme jamais on ne me l’avait fait. J’étais au bord du plaisir. Elle posa mon gland sur sa lèvre d’en bas et ouvrit grand la bouche. J’éjaculai dans sa bouche. Elle n’en perdit pas une goutte et termina en engloutissant une dernière fois mon sexe.
Je la remerciai en l’embrassant tendrement.
– Maintenant je crois que nous sommes quittes. Merci jeune homme. Je pense que tu vas être en retard à La Poste…
Merde ! La Poste ! ! Complètement oubliée ! Je l’embrassai une dernière fois, la remercia de tout mon cœur pour ce moment incroyable de plaisir et partis en courant espérant rentrer avant la fermeture. Arrivé devant La Poste, elle était déjà fermée. J’eus donc droit à quelques remontrances le lendemain. J’expliquai que, en avance sur ma tournée, je m’étais permis de m’arrêter chez un ami et que je n’avais pas vu le temps passé…
Je ne revis jamais cette femme. Mais je ne l’oublierai jamais. Ni ce merveilleux après-midi.
Ajouter un commentaire