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Ma femme Sophie se libère (suite 5)

Ma femme Sophie se libère (suite 5)



Ma femme Sophie se libère (partie 6)

Cela fait dix minutes que nous sommes sur la route et cela fait autant de temps que j’ai les oreilles qui sifflent. Sophie n’arrête pas de me faire la morale, de me traiter de pervers, de fou dépravé. J’aurais dû lui dire la vérité, ne pas jouer à ce jeu malsain avec elle.
Je subis en silence sa colère en me disant qu’elle a besoin de ça pour se soulager. Quand elle se calme enfin, j’essaie de tempérer ses ardeurs.
— Mais tu as aimé ça, avoues ?
— Non, je n’ai pas aimé !
— Tu n’as pas eu d’orgasme à l’idée que l’on te voyait te faire prendre comme ça ?
— Non !
La voir me répondre ainsi, me mentir alors que je sais pertinemment ce que j’ai entendu, ce que j’ai senti autour de mon pénis a le don de m’énerver. J’ai une furieuse envie de la remettre à sa place. J’aperçois alors un coin pour me garer en bord de route. Je n’hésite pas un instant et je m’y arrête.
— Qu’est-ce que tu fais ?
Je descends de la voiture sans lui répondre, en fais le tour et ouvre sa portière. Elle me regarde avec de grands yeux.
— Sors de là, salope.
Sophie écarquille un peu plus les yeux et ne bouge pas. Je penche vers elle, la détache et la traîne jusqu’à l’avant de notre véhicule. Je la bascule en avant sur le capot et j’écrase ses seins sur la carrosserie chaude.
— Alors tu n’aimes pas être vue ? C’est pour ça que tu te balades habillé comme ça ?
Je soulève sa jupe tachée de sa mouille du cinéma et dévoile ses fesses nues sur lesquelles j’écrase ma main à deux reprises.
— AIE ! Arrête, tu me fais mal.
— Je ne t’aurais pas giflé si tu avais eu une culotte. Je ne t’aurais pas fait mal si je ne savais pas que ça t’excite de t’exhiber, que tu as pris ton pied à l’idée qu’on nous regardait pendant que je limais le fond de ta gorge. Et je vais te le rappeler. Je vais te prendre là, au bord de la route.
Sophie tourne la tête vers moi et me regarde avec des yeux affolés. Non, je ne vais pas oser. Je ne lui laisse pas le temps de réagir. J’ouvre mon pantalon qui tombe sur mes chevilles, j’abaisse mon boxer et laisse jaillir ma queue bandée. Je pose une main dans son dos pour la maintenir immobile et de mon autre main je guide mon pénis vers l’entrée de chatte où je m’enfonce d’un coup sec jusqu’à la garde.
— AAAHHHH !
Sophie hurle de douleur. Sa chatte est très serrée et plus très humide. Si je ne l’avais pas prise aussi fort, jamais je n’aurais pu autant m’enfoncer en elle. Néanmoins, je continue à la prendre en lui envoyant de grands coups de reins et poussant des grognements de bûcherons. Je me saisis de sa queue-de-cheval et je tire dessus pour la forcer à se cambrer vers moi.
— T’aimes ça, salope ?
— NON !
— Dis-le !
— NON !
J’abats ma main droite sur ses fesses de toutes mes forces.
— Alors pourquoi je sens ta chatte se mettre à dégouliner autour de ma queue ? Tu prends ton pied, salope. Tu aimes te faire tringler sur le bord de la route.
Un coup de reins bien plus fort que les autres extirpe enfin la vérité de la bouche de ma femme.
— OUIIIII !
Sophie est emportée par un orgasme puissant. Elle arrête enfin de me mentir, de se mentir à elle-même.
— Putain ! Oui ! Vas-y ! Continue, mets-la-moi bien profond !
Je passe une main sous la cuisse gauche de ma femme et je tire dessus pour la faire se retourner sur le capot pour qu’elle se retrouve sur le dos. Pendant toute la rotation, j’ai bien veillé à garder tout le temps ma queue plantée en elle. Je la fais enrouler ses jambes autour de ma taille. Je la dévore d’un regard a****l et elle me répond en me jetant un regard de chienne. Je pose mes mains sur sa poitrine et je tire sur le haut de sa robe de toutes mes forces, déchirant les deux fines ficelles qui la retenaient sur ses épaules. Ses seins bondissent et je m’en empare. Je les pétris, je joue avec ses tétons, je les fais rouler sous mes doigts. Quand je les estime assez bandés, je m’en saisis et je tire dessus.
— AAHHHH !
Sophie n’arrête pas de crier, elle prend un pied terrible à se faire malmener ainsi. C’est le moment pour ma queue de se remettre en action. Tout en gardant ses tétons fermement serrés entre mes doigts, je commence de lents et puissants va-et-vient en sortant presque entièrement ma queue d’elle pour ne laisser que la pointe de mon gland à l’intérieur avant de replonger tout entier.
Ma femme est tout entière offerte à ce que je lui fais. Elle a refermé ses yeux et sa bouche grande ouverte laisse échapper en continu des gémissements.
Dans cette situation, elle ne peut pas voir la lueur de phares au loin. Une voiture va passer à côté de nous, nous allons être découverts et ça m’excite comme un fou. J’accélère le rythme, la voiture est presque sur nous. J’essaie d’estimer quand elle passera à notre hauteur puis j’abats subitement ma main sur le sein de Sophie qui pousse un hurlement sous la v******e du coup. Elle réagit comme je l’espérais et ouvre les yeux et découvre avec stupeur la voiture au moment où elle passe à notre hauteur. Je sens sa chatte se resserrer autour de ma bite et je garde le rythme de mes pénétrations.
— Putain, tu jouis d’avoir été surpris. Je crois qu’il t’a entendu hurler. Oui, il ralentit, le salaud, il doit te mater dans son rétroviseur en train de te faire démonter. Merde, il repart. Tu n’as pas joui assez fort, salope. S’il avait entendu ta voix de chienne, il aurait fait marche arrière et serait descendu nous rejoindre.
Elle qui m’insultait il y a quelques minutes encore pour l’avoir exposée ainsi dans le parc est emportée par un terrible orgasme.
— OUUIIIII ! AAAAAHHH ! OUIIIII !
Sa jouissance passée, je continue de la baiser comme un dément pendant de longues minutes. Mon endurance est bientôt récompensée, la lumière de nouveaux phares apparaisse au loin. Je décide cette fois-ci de faire profiter à Sophie du spectacle et de nous exposer davantage. Je la fais descendre du capot et se retourner pour qu’elle me tende ses fesses. Je la fais se cambrer et me saisis de sa queue-de-cheval. Je la pénètre comme un soudard et je me mets à la limer de toutes mes forces. Il ne me reste pas longtemps pour la faire jouir. Je veux que les passagers de cette voiture l’entendent parfaitement.
Malheureusement pour moi, je reste sur ma faim. J’avais oublié qu’il y avait un virage à moins d’une dizaine de mètres de là où la voiture décide de tourner.
— PUTAIN ! PUTAIN !
Je décharge ma frustration sur Sophie. Je me lance dans un dernier assaut sauvage en n’arrêtant pas de lui hurler à l’oreille en l’insultant. Je la traite de salope, de chienne, de pute, de vide couille et j’en passe. Sophie est emportée dans mon délire pervers et dit oui à tout ce que je lui dis. Je finis par atteindre ma limite et je me fige au fond de sa chatte en beuglant comme un porc pendant que je me déverse en elle. Elle m’accompagne dans ma jouissance et hurle comme une démente. Si j’avais pu la faire hurler ainsi quand la voiture nous a dépassés, c’est certain que son conducteur aurait fait demi-tour.
Je finis par sortir de Sophie et relâche ma prise. Elle s’effondre haletante sur le capot. Elle est sonnée, comme dans un état second. Je profite un petit moment de ce spectacle tout en me rhabillant puis je la porte dans mes bras et l’installe dans la voiture. Elle se laisse faire comme un pantin.

Sophie reste comme groggy tout le long de la route. Elle me semble retrouver ses esprits qu’au moment où j’ouvre la portière pour la faire sortir de la voiture.
— Tu vas mieux ? Tu as un peu récupéré ?
Elle me répond mollement.
— Un peu. Je n’en reviens toujours pas ce que tu m’as fait, du plaisir que tu m’as donné.
— Et je vais encore t’en donner, ne t’inquiète pas.
Sophie me sourit béatement et me laisse la guider. Elle ne comprend pas pourquoi je m’éloigne ainsi de la porte d’entrée pour faire le tour de la maison.
— Rappelle-toi ce que je t’ai dit dans le parc. Je te posséderai dans notre jardin cette nuit. Et le moment est arrivé.
Arrivé dans le coin d’herbe où je l’avais prise la semaine passée, je la fais s’allonger entièrement. Elle m’a déjà beaucoup donné et j’ai beaucoup pris. Il est temps pour moi de la récompenser comme elle le mérite. Pendant qu’elle attend passivement que je m’occupe d’elle, je me déshabille entièrement. Une fois nu, je me penche sur elle et je l’embrasse. Sophie répond à mon baiser et nos lèvres restent collées de longues secondes. Puis, mes lèvres se mettent à explorer tout son corps. Je n’oublie pas un seul recoin de sa peau, pas même ses pieds. Elle me sourit quand je me saisis un à un de ses orteils pour les lécher et les aspirer dans ma bouche.
Après ce jeu de langue et de bouche, c’est au tour de mes mains d’entrer en action, j’alterne entre caresses du bout des doigts avec des massages plus poussés et fermes. Sophie gémit légèrement, elle apprécie que je me montre doux. Sa respiration s’accélère légèrement quand elle sent ma main se poser sur sa vulve. Je glisse dessus, donne de très légères claques qui lui font pousser un petit cri. J’écarte ses lèvres pour dégager l’entrée de son vagin, je fais ressortir son clito. Je m’amuse ainsi pendant plus d’une minute jusqu’à ce que je plonge un doigt en elle pour mesurer son niveau d’excitation. Mon majeur se retrouve enfermé dans sa grotte trempée et bouillante. Je me mets alors à la doigter délicatement avec mon doigt avant de rajouter un second. Sophie coule de plus en plus.
— S’il te plaît, prends-moi, fais-moi l’amour ? dit-elle d’une voix lascive.
— Non, pas encore, je veux t’entendre jouir avant. Le vieux Vincent veut t’entendre jouir lui aussi.
Comme je l’espérais, je sens la chatte de ma femme se resserrer autour de mes doigts quand elle sent le désir pervers d’être vu par notre vieux voisin l’envahir. Je sors enfin mes doigts et les remplace par ma langue. Je me lance dans un cunnilingus attentionné qui fait frémir Sophie. Ma langue est comme une petite bite qui explore son intimité désormais inondée. Je bois ce jus avec délice et j’accélère mes succions quand je perçois la respiration de ma femme qui s’accélère. Elle va bientôt jouir. Il me faut attendre à peine une dizaine de secondes avant que je sente son flot de jus se déverser dans ma bouche grande ouverte.
— OUI, OUI, OUI, OUIIIIIIII !
Sophie hurle de toutes ses forces et je me demande qui dans notre voisinage n’a pas pu l’entendre. Je la laisse profiter de son orgasme puis j’écarte ses cuisses et présente ma verge à l’entrée de son vagin. Je me penche sur elle pour me retrouver mon visage à quelques centimètres du sien. Nos souffles se mêlent, nous nous dévorons des yeux et soutenons notre regard au moment où je la pénètre. J’avance en elle avec une extrême douceur. Nous faisons ainsi l’amour, les yeux fixés dans ceux de l’autre pour y lire sa réaction. Je vais toujours aussi tendrement et lentement. Tout comme moi, elle aime aussi ce genre de pénétration et elle n’arrête pas de soupirer.
Nous arrivons à l’orgasme au même moment et nos voix se mêlent dans une même jouissance.
— OUUIIIII !
Terrassé par mon orgasme, je m’effondre sur elle. Nous sommes haletants. Je voudrais me relever, mais Sophie me retient. Elle veut me sentir encore en elle, elle veut me sentir débander dans sa chatte. Son corps finit par expulser mon pénis flasque. Nous échangeons un dernier baiser et je quitte ses cuisses. Elle reste couchée dans l’herbe et me laisse rentrée dans la maison pour ouvrir la baie vitrée. Elle est toujours inerte lorsque je la rejoins. Je me décide à mettre un terme à cette soirée et je la porte dans notre chambre. Nous nous couchons dans les bras l’un de l’autre et nous nous endormons vite.

Dimanche matin, je me réveille au moment où Sophie s’empale sur mon érection matinale. Je lui souris alors qu’elle commence à me chevaucher. Je la laisse maître de la pénétration. Pas un instant je n’interviens. Je me contente de profiter de ce qu’elle me fait avant de finalement me rependre en elle plusieurs minutes plus tard dans un orgasme partagé.
Je l’ai prise encore à deux reprises avant de partir chercher notre fils en milieu d’après-midi. Les deux fois, nous avons fait l’amour tendrement. Les seuls moments où je me suis montré plus brusque, c’est au moment de me finir. J’avais besoin de la pilonner pour parvenir à faire cracher un peu de sperme à mes couilles.

J’arrive chez mes beaux-parents et je suis accueilli par Marie, ma belle-mère, qui s’étonne de me voir seul. Je lui mens, je lui dis que Carine, la meilleure amie de Sophie, l’a appelée parce qu’elle avait besoin de son aide.
— Toujours comme deux sœurs, ces deux-là, déclare Marie.
La vérité c’est que Sophie n’a pas trouvé la force de quitter notre lit.
Marie m’invite à prendre un café et je l’accepte volontiers tant je suis sur les rotules. Moi aussi j’aurais bien voulu rester chez nous à dormir.

Je ne suis pas frais le lundi matin pour aller travailler. Sophie ne me gratifie pas de son nouveau réveil matinal, elle n’en avait pas l’envie et moi non plus. Je suis certes peut-être vidé, mais je suis aussi heureux par le week-end que nous venons de passer, ça m’aide à supporter le surcroît de travail dans mon agence due aux vacances de l’un de mes vendeurs.
C’est une semaine chargée où je dois même organiser des visites le samedi, le week-end sera calme, et j’ai envie de dire tant mieux.
Il doit être dix-huit heures quand je retourne à ma voiture et que je vois un bout de papier sur mon pare-brise. Je jure comme un charretier. Je paye suffisamment cher mon abonnement de stationnement pour ne pas me faire verbaliser par un flic tatillon qui a dû chercher de quoi me coller une prune. Je finis par me calmer au moment de rejoindre mon véhicule. Je comprends enfin que ce n’est pas une contravention sous mon essuie-glace, mais une enveloppe. Intrigué, je la prends et l’ouvre, celle-ci contient un mot et une carte de visite.

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