Ma première fois remonte à pas mal d’années maintenant.
J’avais 16 ans et demi et j’en ai aujourd’hui 40.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, il faut que j’explique un peu le déroulement de ma vie à cette époque.
Mon père a quitté ma mère lorsque j’avais 14 ans. Ma mère a été dévasté par ça.
Elle l’a vraiment très mal vécu, et, a bien failli commettre l’irréparable.
Pour cette raison, mon père a eu ma garde, il était financièrement bien plus à l’aise et a accepté de payer une pension conséquente le temps que ma mère se remette (elle n’a pas pu travailler pendant presque 2 ans).
Lors de ma 15ème années, il a décidé avec sa nouvelle femme (plus jeune off course!) de partir s’installer dans le sud ouest, entre l’espagne et bordeaux, il travaillait essentiellement entre l’espagne et l’angleterre, et était à moins 1h de l’un en voiture, et moins de 2 de l’autre en avion, ça lui convenait et il ne supportait plus la vie parisienne (et ma belle mère voulait surtout l’éloigner de trop de tentation!).
Ma belle mère était landaise, nous sommes partis nous installer dans son village natale, sa famille y ayant beaucoup de terrain.
Ils ont fait construire une grande maison sur un terrain voisin de celui de la soeur (28ans)de ma belle mère (33ans), plus jeune de quelques années et institutrice dans le village.
Les deux soeurs étaient vraiment très liées, et avaient visiblement souffert de ne plus autant se voir pendant des années.
Tant et si bien qu’une fois que nous étions installés, Claire, la soeur de ma belle-mère (Caroline), passait beaucoup de temps chez nous.
J’ai compris à force de la voir chez nous, que claire était célibataire, a dernière relation ayant fini peu de temps avant notre arrivée, et, elle n’etait pas visiblement prête à se relancer dans quelques choses, ayant beaucoup de mal à oublier son ex.
Une année a filé ainsi. J’étais en 1ere. J’ai appris à connaitre un peu plus Claire, qui se comportait avec moi, un peu comme une grande soeur, vraiment gentille, essayant de me distraire (j’avais le mal du pays, passer de la vie parisienne à la vie dans les landes, ça fait un choc!)
Ma belle mère, elle, passait son temps à se plaindre de l’absence de mon père, et à force de le tanner de ne pas prendre de vacances, il a accepté de prendre 15 jours pour les vacances de février, et de partir elle et lui 15 jours à saint domingue… en me laissant ici, au froid!
J’étais bien dégouté, mais bon, pas le choix.
Leur avion partait d’espagne et Claire devait les emmener à l’aéroport. J’étais également du voyage, Claire ayant insisté pour que je viennes.
Nous voilà donc parti à l’aéroport, on sort les bagages (je remarque sac plus petit dans le coffre qui ne fait pas parti des bagages), Caroline, redit ce qu’elle a dit deja 200 fois à Claire à mon sujet (elle se comportait des fois comme si elle était ma mère, ça m’agaçait un peu, mais elle était vraiment cool avec moi, je ne pouvais la détesté, pas comme mon père!).
Ils finissent par partir et nous voilà sur le retour avec Claire.
Nous reprenons l’autoroute, radio à fond, Claire passant son temps à plaisanter et a me rendre le sourire.
Puis, tout à coup, elle met le clignotant et sort de l’autoroute.
Je lui demande pourquoi elle fait ça, elle me dit « t’inquiète, je te réserve une surprise, y a pas de raison qu’ils soient les seuls à profiter d’une eau chaude ».
Ne comprenant pas ou elle veut en venir, je regarde la route et attends de découvrir notre déstination.
Nous finissons par arriver dans un complexe hotelier, en bord de mer.
« Voilà, c’est là » me dit elle, « Il y a une thalasso, avec piscine couverte et chauffée, hammam, sauna etc, tu vera, tu va adoré, j’adore y venir ».
Agréablement surpris, et ne connaissant pas du tout ce genre de « piscine », je savais pas trop à quoi m’attendre.
Elle prends le sac dans le coffre et nous rentrons.
Elle se dirige vers ce qui ressemble à une caisse, et prends 2 billets.
Elle revient avec le sourire, me tend le mien, et me dit « on en a pour 3h de relaxation, tu va voir, c’est extra »
On passe un portillon, et nous voilà dans ce qui ressemble à des vestiaires.
Elle ouvre une porte, pose le sac et moi, comme un couillon, ne sachant que faire, je reste là, au milieu de l’allée, n’ayant pas de maillot ni serviette, je lui dit « euh, j’ai rien moi, je fais comment? »
T’es nouille me dit elle, j’ai tous prévu, tes affaires sont dans le sac, rentre qu’on se change.
Et là, je pense que je suis devenu rouge comme une pivoine!
Je suis timidement rentré et j’ai fermé la porte.
Elle a ouvert le sac, m’a tendu mon maillot (à l’ancienne hein, genre truc moulant la) et ma serviette, à pris ses affaires, et a commencé à se déshabiller devant moi.
Pour eviter de trop y penser, je me suis vite changer, mais bon, 16 ans et demi, une femme magnifique nue devant moi à quelques centimetres, ça aurait ete impossible que je cache cette bosse qui c’était formé dans mon slip de bain.
J’osais pas me tourner, mais je ne pouvais m’empecher de me rincer l’oeil au passage, découvrant sa peau nue, ses seins superbes (90c apprendrais je plus tard) et sa fente toute lisse, sans un poil.
Elle enfila son maillot et une fois prete, me dit « allez, go »
Ne me voyant pas bouger, de 3/4 dos, essayant tant bien que mal de cacher mon erection, elle s’avança vers moi, pris mon bras et, découvrant l’effet qu’elle avait provoqué fit « HO! » de surprise.
Elle resta là, quelques secondes, a me regarder, allant de mes yeux à mon sexe, puis me dit :
C’est moi qui provoque ça?
Ben oui, désolé
Ne le soit pas, c’est euh, flatteur en fait!
Ah bon? (J’étais tjrs très très géné)
Oui. Rassure toi, je suis pas vexée, au contraire. Mais… désolé, si je suis trop indiscrète, tu es puceau?
(J’etais encore plus rouge là, si c’etait encore possible)
Ben oui..
Elle me sourit, tendrement, sans moquerie, puis me prenant par un bras, me fit pivoter pour que je sois face à elle.
Ce que je vais faire doit rester entre nous compris?
Euh…. oui, ne sachant pas ce qu’elle allait faire.
Elle s’approchat alors tout contre moi, passa sa mère derrière ma tête, et m’embrassa.
Tout en embrassant ainsi (je mis quelques seconde à réagir et à lui rendre son baisé), elle posa sa main sur mon ventre, la glissa dans mon slip de bain, sorti mon sexe et commença à me masturber.
J’étais au paradis, cette femme superbe, était en train de me rouler la meilleur pelle de ma vie et de me branler!
Assis toi me dit elle.
Une fois assis, elle s’agenouille devant moi, fait descendre mon slip de bain, défait à son tour son maillot de bain se place entre mes jambes (ce délice de sentir ses seins effleurer mes cuisses!) et pris mon sexe en bouche.
Elle me suça avidement, a chacun de ses mouvements, je sentais ses seins balloter contre mes jambes. Je vis sa main libre descendre entre ses propres cuisses et elle commença à se carresser tout en me suçant avidement.
Bien évidement, pas habituer à se genre de plaisir et d’excitation, je jouie très vite dans sa bouche.
Elle se retira, se lechant les lèvres, et d’un sourire me dit « hum tu as très bon gout! »
A ton tour maintenant me dit elle.
Ne sachant pas très bien ce qu’elle attendait de moi, je la laissais me guider.
Elle s’assis à son tour, écarta bien les jambes, et me dis, « viens me lecher, j’en meurt d’envie »
Totalement ignorant (Il n’y avait pas internet à cette époque hein, fallait se contenter de film de cul en vhs à la sauvette), je m’y pris comme un pied pour commencer.
Non, pas comme ça, de haut en bas, de l’entrée jusqu’au haut de ma fente me dit elle, ou là, ici, c’est mon clitoris, insiste bien là!
Et je commençais, y prenant beaucoup de plaisir. J’improvisais un doigt en elle, tout en la léchant, elle gémit, me disant « hum, tu apprends vite dis donc, continu comme ça, j’ai pas laissé un homme me toucher depuis plus d’un an (son ex!), c’est trop bon »
Très vite aussi, elle jouie à son tour, me repoussant le visage brusquement, pour le prendre à deux main de suite et m’embrasser follement.
J’étais à nouveau en érection. Elle le vit, et me dit « rassi toi, je vais m’occuper de toi »
Sans me faire prier, je pose mes fesses sur le bord du banc du vestiaire.
Elle se lève, me regardant, puis écarta ses cuisses, prenant mon sexe en main, et le guida jusqu’à l’entrée de son abricot tout humide.
Elle s’enfonça sur moi, et imprima d’abord un rythme lent, m’enlaçant dans ses bras, la tête enfoui dans ses seins. Puis, petit à petit, elle accéléra le rythme, allant et venant sur toute la longueur de ma queue dressée pour elle, à chaque aller retour, elle gémissait, et moi je sentais qu’a chaque moment, j’allais la remplir de sperme.
Ce fût rapide, mais elle n’en dit pas mot, y prenant plaisir visiblement.
Nous restames ainsi quelques instant, elle, plein de sperme lui coulant de sa fente, et moi halletant, le sourire béat.
Elle fini par se lever, non sans m’embrasser à nouveau, attrapa sa serviette pour s’essuyer, remis son maillot et me dit « c’est notre secret! si tu le garde bien, il est fort probable que ce ne soit que la première fois d’une longue série. je te ****lle que je t’ai 15 jours sous ma garde, on va bien en profiter ».
Elle remis son maillot et sorti.
Je la rejoingnis très vite, pour profiter de la thalasso.
40 min avant la fin de l’horaire, elle me dit « retournons aux vestiaires, il est temps de partir, mais avant, il faut qu’on en profite encore un peu avant d’être rentrer »
Elle me fit asseoir à nouveau, nus tout les deux sur le banc, me presentat son dos, et s’enfonça sur moi à nouveau, guidant ma main jusqu’à son clitoris, pour que je la caresse pendant qu’elle allait et venait sur moi.
Cette fois ci dura un peu plus longtemps, suffisament pour la faire jouir avant que je décharge en elle.
On s’embrassa longuement, puis il fallu se rhabiller pour partir.
Le trajet jusqu’à la maison fut rapide (une trentaine de minutes, elle etait tout le temps en excès de vitesse!).
(la suite au prochain épisode)
Très excitant, joli dépucelage