2 Août 2014
Céline était impatiente, le lendemain ils fêteraient leur 5 ans mariage; les années précédentes l’ événement n’ avait pas été réellement fêté, les enfants étaient petits, les parents… fatigués. Leur vie avait défilé un temps en mode automatique entre travailler, s’occuper des enfants, bricoler la maison et DORMIR. De la complicité et de l’ amour de leur relation naissante, l’ amour avait grossit jusqu’a masquer la complicité, mise de coté en état de veille; puis l’ amour toujours présent était malgré tout devenu moins passionnel, pour les mêmes raisons.
Le mois précédent, Céline avait bien fait comprendre à son mari qu’elle tenait à fêter leur anniversaire cette fois ci, celui-ci s’ était spontanément proposé d’ organiser la soirée; il avait précisé: « ne t’en mêle pas, ne pose pas de question, ce sera une surprise!».
Elle était heureuse, elle avait vu en sa réaction un désir égal au sien de raviver la flamme, la passion, de se retrouver, de consacrer du temps à nouveau à leur couple. Bien sûr, elle espérait que tous ces efforts les amèneraient à retrouver une vie sexuelle acceptable, voir sauvage comme autrefois, mais déjà, acceptable serait un bon début. En plus, elle était à nouveau enceinte de quelques mois et les hormones la démangeaient; son obsession de «faire l’amour» se transformait honteusement en «se faire défoncer» ou «baiser comme des bêtes».
Antoine était contant, on était vendredi, sa femme s’ était arrangée pour «Re-fourguer» les filles à leur grand-mère, aucun travaux de bricolage n’ avait été prévu pour ce weekend, ils allaient pouvoir se reposer et profiter un peu l’ un de l’ autre et éventuellement pourquoi pas, faire l’ amour. En effet, ces derniers temps les occasions étaient rares et quand il y en avait une, ils étaient l’ un comme l’ autre trop fatigués pour réellement se séduire et faire durer la montée de l’ excitation si bien qu’ on peut dire que les relations sexuelles qu’ils s’étaient malgré tout donnés les moyens d’avoir depuis la naissance des filles faisaient parties d’un programme d’ «entretient minimum de sexualité dans le couple nécessaire à la survie de celui-ci». Oui! ça n’a pas l’air très enviable dit comme ça mais c’ est en fait loin d’ être la pire situation dans laquelle ils auraient pu se retrouvés avec les enfants en bas âge.
Donc le programme du weekend vu par Antoine était séries, films, éventuellement un petit repas avec des amis et essayer de trouver un moment pour séduire/sauter sa femme.
3 août 2014
Il était 18:00 et Céline commençait sérieusement à se demander ce qu’ avait prévu son mari pour leurs 5 ans. Ils s’ étaient levés vers 10 heures, avaient profité du calme inhabituel de la maison en regardant un petit film romantique au lit, ensuite ils avaient mangés puis son mari était sorti une demi-heure pour aller tirer de l’ argent et n’ était revenu ni avec un cadeau ni avec un bouquet de fleurs pour autant, à moins qu’ il ait tout caché pour plus tard… Le «ne pose pas de question» avait été respecté mais commençait à devenir insoutenable. Un restau? Une méga-fête? Une bague? Un massage qui déboucherait sur autre chose? … En effet, elle avait beau penser à plein de chose, le sexe revenait en boucle dans son cerveau dirigé par les hormones. Et aussi, une petite part d’ appréhension commençait à l’ envahir: le doute… Y a t-il pensé??
Il était 18:00, Antoine savait qu’ il n’ y avait plus de café pour le lendemain, il se dit qu’ ils allaient faire 2/3 petites courses puis que sur le retour il proposerait à sa femme de profiter de l’ absence des filles pour se faire un petit Mcdo, Quick ou KFC tranquilles; ça lui ferait sans doute plaisir.
18:05 décollage, enfin!! Sous prétexte d’ aller «faire 2 courses»; plus de doutes, il y a bien pensé.
A peine partis, Antoine eut droit à des petites caresses sur la cuisse puis la main dans le pantalon, Céline le branlait pendant qu’il conduisait. Hummm, ça fait longtemps que je n’ ait pas eut le droit à un traitement pareil, se dit-il; c’ est bon. Ils étaient heureux, la tout les deux, à se regarder amoureusement et pleins de désirs comme autrefois; ça allait revenir, c’ est sûre! Il lui proposa de rester dans la voiture, il n’ en avait pas pour longtemps, et puis il était chaud, il avait hâte de la voir écarter les cuisses, excitée, se donner à lui à fond; il savait d’ expérience que pendant ses grossesses, il y avait toujours une période ou sa femme perdait la raison et devenait un a****l, une bête de sexe et c’ était peut-être maintenant… Il envisageait de lui demander quand même si elle voulait passer à McDo mais en essayant d’ influencer la décision sur le drive.
Céline pensa en restant docilement dans la voiture que son mari allait lui faire un cadeau, pendant tout le temps de son absence, elle partit à divaguer dans son esprit à comment elle allait le récompenser en lui taillant une super pipe, en lui offrant son cul, en lui demandant de la baiser comme une chienne et en lui re-sautant dessus quelques minutes après la première fois, sans lui laisser de répit, hummm, il aimera ça! Quand il rentra dans la voiture, elle sortit de son état comateux de rêve éveillé, elle avait un regard de petite salope en manque. Qu’ est-ce qu’il aimait la voir comme ça, il savait ce qui allait arriver.
– On passe chercher un McDo sur le retour, si ça te branche?
La, les choses se compliquèrent; effectivement Antoine avait oublié leurs 5 ans, pourtant Céline n’ avait pas été exigeante, elle lui avait laissé carte blanche, que ce soit au restaurant, avec des amis, juste un petit cadeau, quelque chose qui change un peu, tout cela lui convenait mais pas un samedi quelconque de plus au milieu des autres; en plus elle avait fait sa part, elle! elle avait organisée l’absence des gosses, merde! Pourquoi? Pour que Monsieur se la joue farniente, ne fasse pas d’ effort, ne la séduise pas, oublie leur mariage… Céline explosa et son mari compris rapidement qu’il devait trouver un plan B; même si ça n’ effacerait pas tout instantanément, il fallait apaiser les tensions.
Il tenta sa chance dans 3 restaurants; une pizzeria, un grill et un mexicain; tous complets putain!
Il pensa au routier pas loin de chez eux, certes le cadre était loin d’ être romantique mais ils faisaient de la bonne viande de bœuf et ça, il savait que sa femme en raffolait. La tension ne redescendait pas, Céline était muette et leurs espoirs respectifs de «baise sauvage» s’ éloignaient. Antoine se gara sur le parking, il était blindé de camions.
– Tu ne contes pas m’ emmener la dedans quand même? demanda-t-elle. La question était formulée clairement, ne laissant aucun doute sur l’avis qu’ elle se faisait de ce choix.
– Ils ont de la super viande de bœuf… hasarda-t-il.
– Il n’ y a aucun couple qui mange dans ce genre d’endroit, en fait, aucune femme non camionneuse ne rentre ici, alors un couple qui fête ses 5 ans de mariage…puis elle ajouta: Si tu me fais rentrer la dedans, tu vas le regretter!
– S’il te plaît! suppliât-il, je suis sûre qu’ en gouttant leur viande, tu changeras d’ avis. Je sais que je n’ ai pas assurer mais je me ratt****rais, en attendant, essayons de passer une bonne soirée quand même et j’ organiserai très bientôt quelque chose qui te plaira vraiment, d’accord?
– OK! répondit-elle d’une façon qui ne laissait pas envisager une réelle amélioration, mais au moins allait-elle peut-être essayer de se détendre un peu quand même. Après une pause elle ajouta: Mais tu feras tout ce que je te dirais ce soir!
– D’accord! répondit-il sans trop d’ alternative au vu de la situation; « mais quel con!» se disait-il à lui-même en boucle.
Céline lui tendit l’ appareil photo qu’ elle avait dans son sac.
– On va prendre des photos pour notre anniversaire, ou plutôt tu vas prendre des photos! Qui sait, on gardera peut-être un souvenir impérissable de cette soirée ! dit-elle d’un ton étrange, mais elle avait l’air de s’ être un peu radoucis.
Ils descendirent de voiture, Céline était magnifique, elle portait une mini-jupe et un décolleté bien choisi, elle était très très très sexy; lui était tout juste pas mal, mais on voyait bien qu’il ne s’était pas habillé dans le but de fêter quoi que ce soit, jean, baskets, T-shirt.
Ils passèrent à coté de cinq camionneurs qui fumaient devant l’ entrée.
– Waouh! Vous êtes très sexy mademoiselle!
– Oh! Merci, mais c’est madame, dit-elle d’un ton charmeur, peut-être feront nous plus connaissance tout à l’ heure… ajouta-t-elle.
Antoine fut surpris de l’ entendre répondre de cette façon, ils avancèrent d’ un mètre et il lui chuchota:
– C’est cool d’être gentille avec eux mais ils sont pas très fin les camionneurs, le second degré, c’ est pas tellement leur truc.
– Tu sais je ne me sens pas très fine non plus ce soir, et je t’ ai clairement mis en garde que t’ allais le regretter si tu m’ emmenais la dedans. Elle rentra dans le restaurant, le laissant quelques secondes perplexe à l’ entrée, ne sachant pas trop ou cela les menaient.
La salle était bondée, quelques tables avaient malgré tout l’air vide.
Une serveuse les installa et Céline demanda à parler au chef; son regard croisa celui de son mari, interrogateur.
– « ne pose pas de question, c’est une surprise!», tu te souviens la formule est de toi. Puis elle partit avec la serveuse à l’ encontre du chef.
Antoine se retrouva seul cinq minutes avant que sa femme ne vienne se rassoir.
– Je pense qu’on va pouvoir faire la fête ici finalement. lui dit-elle.
Une serveuse se pointa au milieu de la salle et demanda l’ attention de tout le monde; Antoine se demanda si cela avait un rapport avec eux.
– Y a t-il des mineurs dans la salle? demanda-t-elle.
Personne ne répondit et elle repartit en cuisine, deux minutes après, elle revenait installer une scène comme si un groupe de musique venait jouer.
– Tu aimerais qu’ on fasse de l’ exhibitionnisme? demanda Céline.
La question excita Antoine, c’ est vrai que plusieurs fois, il s’était déjà imaginé la baisant dans un sex-shop pendant que des clients les regardaient en se branlant; c’est la première image qui lui vint mais des scènes comme ça, il en avait rêver des centaines. Il ne répondait pas, pensif, alors elle se leva et le choppa par les couilles à travers le pantalon et lui susurra à l’ oreille:
– Viens me bouffer la chatte sur la scène. Et elle l’ emmena sans qu’il résiste. L’ invitation n’ était pas déclinable et il était près à faire ce qu’il faut pour que les choses s’ arrangent; si en plus il prenait son pied et réalisait l’ un de ces fantasmes, il n’ y avait absolument rien à redire.
Une fois sur scène, elle enleva son top et plongea la tête de son mari entre ses seins; pendant qu’ il commençait à la lécher, presque toute la salle plongea dans le silence, tout le monde s’ était retourné pour les regarder. Elle enleva sa jupe, n’ ayant pas de culotte, elle se retrouva nue.
– Allonge toi par terre!
Antoine s’ exécuta et Céline s’ assis sur son visage, sa chatte sur sa bouche, son cul sur son nez, de cette façon elle pourrait l’ étouffer un peu en s’ assaillant carrément. Elle faisait face aux spectateurs, elle fit un premier tours d’ horizon et vu que sa prestation était appréciée; elle était rouge de honte malgré tout, ça lui fit grimper l’ excitation d’ un coup, elle commençait à prendre son pied pendant que Antoine la bouffait et que tout le monde regardait atterrés, excités, certains commencèrent à sortir leur queues pour se branler. Elle les regarda se toucher avec son air de chienne en chaleur nymphomane pendant que son mari lui faisait un super cunni. Elle n’était pas à l’ aise pour parler en public ou à des inconnus en général mais aujourd’hui, c’ était elle la star et elle voulait que la soirée prenne la tournure qu’ elle avait décidée. Elle essaya de reprendre ses esprit et s’ éclaircie la voix.
– Bonjour à tous! Je suis désolée d’ interrompre le cours normal de votre repas; nous fêtons ce soir nos 5 ans de mariage avec mon mari ci-dessous et nous ne nous sommes jamais exhibés comme nous le faisons devant vous. Le brou-ha avait un peu recommencé, certains sifflaient pour encourager «la petite salope».
– Mon mari qui a oublié notre anniversaire m’a dit pour se faire pardonner que je pouvais faire ce que je voulais; Et bien je veux vos bites!!! Le brou-ha se multiplia par trois, les camionneurs devenaient dingues, déjà excités par cette femme à poil en train de se faire léchée devant eux, maintenant elle leur dit qu’ elle veut leur bite. A ces mots, Antoine essaya de s’ extirper mais sa femme l’ étouffa avec son cul et réussit à l’ immobiliser provisoirement et plaquant ses bras au sol avec ses genoux. Il la sentait ruisseler, elle était chaude, mouillée, excitée à mort.
– Vous êtes tous invités à vous faire sucer, à me baiser dans tous les trous et à me gicler dessus ou dedans comme vous le voulez, par contre je vais avoir besoin d’ un peu d’ aide pour aider mon mari à honorer ses engagements. Sur ces mots, une douzaine de gars montèrent sur scène; 3 s’ occupèrent de tenir Antoine plaqué au sol, les autres sortirent leurs queues déjà dure devant le nez de Céline qui en prit tout de suite 2 dans la bouche.
– Lèche bien ta femme! ordonna un black avec une bite énorme.
Céline branlait bien les queues qu’elle avait dans la bouche et les suçait avec passion, les 2 mecs n’ en pouvaient plus tellement elle était bonne. Elle les suçait maintenant à tour de rôle pour pouvoir les avaler plus profondément. Un mec derrière elle lui tenait la tête et deux autre s’ accroupirent pour lui peloter les seins. L’ excitation monta d’ un cran en elle et elle se mit à jouir une première fois; c’ était en plus son premier orgasme obtenu par cunnilingus, elle ne redescendait plus.
– Tu suces comme une pute! dis un des deux gars en balançant son sperme dans sa bouche. Elle en avala une partie, le reste coula sur ses nichons. Deux autres types lui giclèrent dessus en se branlant.
– Alors, ça te plaît mon chéri d’ avoir ta femme chaude comme la braise pour notre anniversaire? Tu crois que tu t’ en souviendra? Bien-sûr, il ne pouvait pas répondre, mais ça ne l’ empêchait pas de continuer à lécher.
– Pourriez-vous déshabiller mon mari, pour que l’on voit si il apprécie autant que vous tous? Son t-shirt fut arraché presque instantanément et son pantalon enlevé, il bandait comme un porc en envoyant des sons de protestations.
– Tu bandes bien, mon petit cochon, je vois que t’ apprécie!
Céline se leva pour se retourner.
– arrête ça je t’ en supplie, j’ ai compris! eut le temps de dire son mari.
Elle se rassit sur lui dans l’ autre sens, le cul sur sa bouche et la chatte sur son nez, il avait une vue imprenable en gros plan sur ses lèvres. Il se rendit compte rapidement qu’ il n’ y avait que la vue qui était imprenable. Un grand camionneur avec une queue épaisse rentra dedans comme dans du beurre grâce à la lubrification qu’il avait favorisé ainsi qu’à l’ orgasme qu’ elle avait déjà eut.
– lèche moi bien le cul maintenant et rentre ta langue au plus profond pour préparer mon petit trou en douceur, tu te rend compte de ce qu’il va prendre après? Deux autre gars lui tendirent leurs bites à sucer, deux autres se branlaient au-dessus d’ elle; elle, elle était en pleine extase avec cette queue qui la pilonnait maintenant sans retenue et son mari qui exécutait à merveille l’ ordre qui lui avait été donné.
Antoine était déboussolé, même ses pires fantasmes, ceux qu’en aucun cas il n’aurait voulu réaliser, n’ étaient pas si crades, débridés, humiliants. Une femme se faisant baiser dans tous les sens par des kilomètres de queues pendant des heures, était excitant au possible, mais SA femme…! Il ne savait pas comment sortir de ce cauchemar, d’ autant que sa femme avait tous les mecs de son coté, c’ était certain. En plus, son barreau laissait penser à tout le monde qu’il appréciait, «mais pourquoi est-ce que je bande comme ça?».
Il sortit de ses pensées quand il se rendit compte que l’enfoiré qui la sautait était en train de gicler en elle, sans capote, sans se retirer… Quand il retira sa queue, une goute tomba sur son front, cela amusa sa femme.
– Alors, t’ es une petite salope aussi toi! Qu’est-ce que ça te fais d’en prendre sur la tronche? T’en as pas assez pour te rendre compte peut-être? dit-elle à son mari. Elle se retourna, la langue de Antoine sortie de son cul et elle lui frotta sa chatte dégoulinante dessus.
Un petit malin en profita pour mettre sa queue dans sa rondelle humide et accueillante; cela surprit malgré tout Céline. Elle fut surprise par la rapidité de l’ intrusion certes mais surtout par le plaisir que lui procura cette bitte fourrée dans son cul bien lubrifié par son mari; du coup, elle garda cette position. Sa chatte dégoulinait dans la bouche de son mari qui n’ avait d’autre solution que d’avaler pour pouvoir respirer un peu. Il avait les yeux grand ouvert, il voyait cette bite énorme rentrer, buter au fond avec énergie, ressortir et revenir violement. Les couilles du mec passaient au raz de son nez. Céline se mis à sucer son mari, il sentit que sa bouche était lubrifiée au foutre, ça l’ excita, il n’ en pouvait plus, ne comprenant pas comment une telle scène pouvait l’ exciter autant; elle s’ arrêta avant qu’il jouisse et se remis à sucer à tour de rôle trois queues tendus vers elle sans même regarder le visage de leurs propriétaires. Le batard gicla dans son cul, elle se redressa ensuite pour que Antoine puisse le lui lécher, les trois devant elle giclèrent sur son visage et sur ses seins.
Avant la tournée suivante, elle fit attacher son mari à une chaise; elle se mis devant lui, frotta sa chatte sur sa queue en l’ embrassant amoureusement et humilieusement avec sa bouche pleine de sperme, elle lui plongea ensuite la tête dans ses seins.
-Lèche bien! tu sais que je n’ aime pas quand ça colle, tu ne voudrais pas que je me sente sale un jour de fête comme celui-ci?
Il ne répondit pas, il n’ était pas en état de dire quoi que ce soit, incompréhensiblement excité, il se contenta d’obéir à sa femme qui le regardait droit dans les yeux avec son petit air coquin-dépravé-amoureux.
-T’as aimé? regarde bien, ce n’est pas fini!
Sur l’ estrade, une quinzaine de gars se branlaient en attendant leur tour.
-Tu ne voudrais pas que je les déçoivent maintenant? Elle fit un tour de bites en les mettant dans sa bouche chacun leur tour.
Elle fit ensuite allonger un des types et vint s’ empaler dessus bien en face de son mari pour pouvoir savourer son regard à chaque action qu’elle entreprenait.
-Ho? mais il reste une place à prendre dans mon cul!
Dix seconde plus tard, elle se faisait prendre par les deux trous en même temps et en suçait une autre, tout en continuant de soutenir le regard de Antoine avec son air de chienne. Elle crachait de temps en temps la bite pour pouvoir crier et reprendre son souffle; elle jouit plusieurs fois d’ affilé et pendant longtemps, elle n’ avait jamais ressenti cela. Elle se demandait si c’ était le fait de prendre autant de coups de queue, de se sentir pute, ou que tout cela se passe devant son mari. Surtout qu’ en temps normal, elle ne se voyait pas baiser avec des inconnus, c’ est quelque chose qui ne l’ attirait pas plus que ça, mais la, c’ était différant, tout ces mecs étaient des personnages secondaires; elle considérait que c’ était une relation entre elle et son mari avec des queues en plus comme « accessoires ». Les vedettes, c’était elle et son mari! Ce qui la faisait jouir, c’ était de le rendre dingue!
Les cinq groupes de trois se succédèrent sans repos pour Céline qui se tapait orgasmes sur orgasmes sur orgasmes; au bout d’ une heure et demi environ, tous ces étalons c’ étaient déchargés dans ses orifices, la laissant exténuée, rassasiée et satisfaite comme jamais elle n’ aurait imaginée, a un degré qu’elle pensait ne jamais connaitre.
Elle resta cinq minutes à terre a se remettre de ses émotions, le sourire aux lèvres, le regard toujours plongé dans celui de son mari. Celui-ci bandait encore comme un cheval, la regardant dégouliner de partout, du foutre rependu sur tout son corps. Elle s’approcha ensuite de lui et l’ embrassa de sa bouche encore pleine sperme coulant sur tout son visage et ses seins. Elle frotta ensuite sa chatte puis son cul sur son visage, celui-ci la lécha docilement, la faisant jouir à nouveau.
Céline détacha son mari et s’ allongea par terre, les jambes écartées.
-Fais de moi ce que tu veux maintenant, je suis ta pute!
-Je vais te défoncer petite salope!!
Il lui sauta dessus, l’ embrassa à nouveau à pleine bouche, rentra sa queue dans sa petite chatte noyée dans le foutre et gicla instantanément.
Le patron leur offrit leurs consommations et dit à Céline qu’elle serait toujours la bienvenue et qu’elle n’ aurait jamais rien à payer; elle répondit qu’ils reviendraient le vendredi suivant si il acceptait de retransformer son resto en gang bang géant. Le patron accepta souriant, n’ espérant pas mieux.
La république du centre: 10 janvier 2015
« Un restaurant routier au bord de la faillite il y a 6 mois fait carton plein tous les vendredi.
Le restaurant routier de la RN 145 était en faillite il y a 6 mois à cause de la déviation nouvellement construite et plus praticable par les camions; mais désormais, le mots est passé, tous les routiers de passage font le détour le vendredi soir pour assister et participer, pour la plus part, au show désormais incontournable de « La putain mariée » rebaptisée ainsi par ses fans de plus en plus nombreux. Le patron nous a confié qu’il projetait d’ agrandir sa salle à manger d’ au moins le double. Le mari de cette « Putain mariée » n’a pas souhaité répondre à nos questions. Plusieurs camionneurs interrogés nous ont confiés rêver d’ avoir une femme comme elle; ça laisse rêveur! »
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