L’anniversaire de mon cousin Rémy se passe à l’extérieur. L’apéritif est servi sur la terrasse. Chacun peut s’empiffrer de petits fours et autres amuse-gueules. Côté boisson, il y a ce qu’il faut, champagne, Ricard, whisky, jus de fruits et une tireuse à bières. Après ma seconde bière, le besoin d’uriner se fait sentir. Je quitte mon frère et mon père avec qui je discute et m’empresse d’aller aux toilettes. Manque de chance, elles sont occupées. Je monte à l’étage car je sais qu’il y a un autre chiotte, j’appuie sur la poignée, c’est fermé également.
– C’est occupé.
Je reconnais la voix de Justine.
– Tu as bientôt fini Justine?
– Ah, c’est toi Chris?
– Oui.
– J’en ai pas pour longtemps.
Je patiente silencieusement et entends le débit de son pipi dans la cuvette.
– Et ben, c’est une grosse envie, dis-je en plaisantant.
– Oui bah j’y peux rien, depuis que je suis enceinte, je pisse au moins 10 fois par jour.
– Tu pouvais m’épargner ce détail.
– Ouais je sais.
Je l’entends sourire et elle poursuit:
– Tu es tout seul?
– Oui pourquoi?
Le verrou se déclenche, la poignée se baisse, la porte s’ouvre lentement. Justine est juste derrière, assise sur le trône, la robe relevée au dessus de son gros bidon, la culotte sur les chevilles. Je suis perplexe.
– Mais qu’est ce que tu fais?
Elle tire sur mon tee-shirt pour m’attirer avec elle dans les toilettes.
– Viens, dépêche-toi, ferme la porte.
Aussitôt la porte close, elle saisit ma ceinture à deux mains pour la défaire.
– J’ai envie de te sucer, aide-moi
Tout en déboutonnant mon jean, je lui explique que ça ne me dérange pas qu’elle me suce, mais qu’il faut absolument que je pisse avant si elle ne veut pas que je vide ma vessie dans sa bouche.
Elle écarte alors les jambes et me laisse un petit trou dans la lunette des WC.
– Tu n’as qu’à pisser là et après je m’occupe de ta bite.
– Tu es sûre, tu n’as pas peur que je t’arrose en visant mal?
– Mais non t’inquiète, ça va le faire.
Je baisse mon pantalon et mon boxer et je libère mon liquide doré dans le petit espace qui lui ait réservé. Je ne suis pas franchement à l’aise de faire ça devant elle, mais cette situation cocasse m’émoustille de plus en plus.
– Fais attention, j’ai reçu des gouttes sur ma cuisses, ricane-t-elle.
– Hey oh, je fais au mieux, c’est toi qui a voulu que je pisse là.
– Je sais, c’est pas grave, ça ne me gêne pas, je vais essuyer après de toute façon.
– Bon bah si ça ne te gêne pas, tiens.
Je dirige mon jet sur son pubis et sa minette. Elle ne s’attend pas à cette maladresse volontaire et pousse un petit cri de surprise. Cela ne la rebute pas, elle me laisse même terminer.
– Hum, c’est tout chaud, ça m’excite trop.
Je n’ai même pas le temps d’égoutter mon sexe, que la future maman se penche, enroule ses doigts aux ongles vernis de rouge autour de ma demie-molle et la gobe entièrement. Elle me pompe avec gourmandise et je ne mets pas longtemps à devenir aussi raide que la justice. Son autre main s’empare de mes testicules et les malaxe avec brio, pendant que sa tête dodeline toujours aussi vite. Je n’en reviens pas que cette cochonne me taille une pipe aussi bonne, alors que toute sa belle-famille est présente pour l’anniversaire de Rémy. Je gémis lorsqu’elle me lèche le gland avant de l’aspirer comme une vorace. Puis elle reprend ses va-et-vient jusqu’à la garde en me regardant dans les yeux. Mes mains sont plaquées sur les murs de chaque côté des toilettes, je ne tiens plus, Justine se rend bien compte que je suis sur le point d’exploser, mais elle continue son oeuvre et quelques secondes plus tard, ma semence se répand dans sa bouche. Et alors que je me vide généreusement en grogant, je lis dans ses yeux le plaisir qu’elle a en avalant tout sans en laisser une goutte.
On se habille en vitesse et nous sortons des toilettes. Je descends rejoindre l’assemblée pendant que Justine passe dans la salle de bain pour se refaire une beauté. Elle apparaît quelques minutes plus tard, personne n’a remarqué notre absence.
La suite des événements se déroule dans le jardin. Le repas va être servi sous la grande tonnelle blanche. Les tables sont disposées en U et sont bien décorées. Je m’installe en face de mon frère et quelques instants plus tard, Justine s’assoit à ma gauche avec 2 de ses copines. A priori, elle n’a aucun remord de tromper son mari.
Les pichets de rosé et de vin rouge sont amenés sur les tables et chacun se lève pour aller se servir. Au menu, de la paëlla que Véronique, notre hôtesse de maison, a commandé chez le traiteur. Pendant que l’on savoure cette recette d’origine espagnole, Justine colle sa cuisse contre la mienne et se met à me faire du pied. Je lui raconte que j’ai mangé la meilleure paëlla de ma vie dans un petit village espagnol à une demi-heure de Barcelone. Elle me précise qu’elle aussi aime bien l’Espagne, mais ne raffole pas de leur nourriture.
– Pourtant ils ont quelques bonnes spécialités, les tapas, le chorizo, les tortillas, etc.
– Sans oublier la branlette, balance mon frère pour déconner.
Tout le monde se marre autour de la table et Justine en profite pour me chuchoter à l’oreille:
– Si tu aimes ça, je t’en ferais une.
Je continue de rigoler sans lui répondre pour éviter tout soupçon de connivence, mais elle me chauffe de plus en plus. Surtout qu’elle ne s’arrête pas là. Lorsque ses amies quitte la table pour aller se servir le fromage, sa main se pose sur ma cuisse et remonte lentement sur mon entrejambe. La coquine vérifie que personne ne nous observe et tate mes bourses, puis caresse mon phallus à travers mon jean qui s’érige de plus en plus.
Au retour de ses copines, elle enlève sa main et se lève pour retourner aux toilettes. Quelques minutes plus tard, elle fait son retour près de moi avec un grand sourire. Je me demande ce qui la rend si joviale.
Au moment du dessert, toutes les attentions sont dirigées vers mon cousin qui souffle ses bougies sur le gâteau et qui, par la suite, déballe tous ses cadeaux. C’est à cet instant que Justine me prend la main et la glisse sous sa robe, entre ses cuisses. J’hallucine en découvrant qu’elle n’a plus de culotte. Je ne sais pas si c’est la température ambiante ou si c’est moi qui lui fait de l’effet, mais elle est très chaude et son minou est bien ouvert et très humide. Sa main se pose sur la mienne et m’incite à caresser ses trésors. Heureusement que la nappe est longue car Justine écarte un peu plus les cuisses et me fait comprendre qu’elle veut que je la doigte. Quand je pense que ce matin, après lui avoir fait l’amour, elle m’a demandé de garder le secret, maintenant c’est elle qui nous expose au danger de nous faire surprendre. Mais tant pis, cela m’excite aussi. Je cajole son bouton d’amour tout gonflé, puis ses lèvres avant que mon majeur se fasse avaler d’un coup. Je la masturbe gentiment en faisant mine de m’intéresser aux présents que mon cousin découvre. La main de Justine reprend place sur ma braguette. Elle réussit habilement à la descendre et se faufile dans l’ouverture. De ma main libre, je défais le bouton du haut pour lui faciliter l’accès. Ravie de me voir obtempérer à ses manigances libidineuses, celle-ci n’hésite pas une seconde à faxer sa main sous l’élastique de mon boxer pour sortir la bête de sa tanière, enfin une partie seulement. Elle me branlote doucement, puis caresse mon gland avec son pouce par de petits mouvements circulaires, pendant que je continue de jouer dans son intimité poisseuse.
– J’ai trop envie, me murmure-t-elle.
Soudain, je croise le regard de mon frère qui me connait bien. Il est sidéré et sans un mot son visage exprime sa pensée. »Tu es vraiment en train de faire ce que je pense ». Je lui réponds silencieusement en lui souriant et en haussant les épaules, l’air de dire, j’y peux rien, c’est elle qui me cherche. Il me sourit à nouveau d’une certaine façon que je traduirais par » tu es vraiment incorrigible ».
La remise des cadeaux terminée, Rémy démarre une tournée de bisous pour remercier tout le monde. Justine et moi cessons toute activité manuelle et je me grouille de tout ranger correctement. J’essuie mon doigt mouillé dans ma serviette et tape la bise à mon cousin.
Après le repas, certains s’en vont, les plus anciens restent à table pour bavarder en buvant du café. Les copines de Véronique l’aident à débarrasser et à faire la vaisselle. Justine se permet de s’allonger un peu dans le canapé du salon car elle a un petit coup de barre. Avec mon frère, mon cousin et ses amis, nous nous lançons dans une partie de pétanque dans l’allée du garage. Au bout d’un moment, Justine nous rejoint et nous regarde jouer. Mon équipe gagne la première manche et Rémy réclame immédiatement de faire la revanche. Justine me quemande avant que nous commencions la seconde partie.
– Chris, tu veux bien venir m’ouvrir ta voiture, j’ai un truc à prendre dans mon sac.
Évidemment, je comprends tout de suite que c’est une excuse pour qu’on se retrouve seuls tous les deux, sinon elle m’aurait simplement demander les clés. Je donne mes boules de pétanque à Nicolas, un ami de mon cousin et lui dit de prendre ma place en attendant.
Je suis Justine, intrigué par ce qu’elle peut bien avoir en tête. Elle m’entraîne vraiment jusque ma voiture, qui se trouve dans le champ à côté. Une haie de sapins nous dissimule de la maison de Rémy et Véronique. Le sac à main est posé sur la banquette arrière. J’appuie sur ma clé pour déverrouiller les portes. Elle ouvre, s’agenouille sur le rebord du siège et fouille dans son sac.
– Qu’est ce que tu cherches exactement?
– Rien de spécial, juste ça.
Elle en sort un petit brumisateur d’une marque très célèbre.
– Mais ce n’est pas pour ça que je t’ai demandé de m’accompagner.
Elle referme son sac, se cambre un peu plus et tire sur sa robe pour me dévoiler toute sa croupe sans culotte. Je bande sur le champ devant la vision de ses fesses et de ses plis trempés. J’hésite un instant de me défroquer par peur que quelqu’un puisse nous voir.
– Tu ne veux pas attendre que je te ramène chez toi pour ça?
– Non, je ne tiens plus, j’ai envie maintenant.
Elle glisse une main sous son ventre jusqu’à sa foufoune et écarte ses lèvres à deux doigts
– Viens, prend-moi.
Je me retrouve une nouvelle fois avec le caleçon et le pantalon sur les chevilles et j’engage le coït en la pénétrant en profondeur. Elle soupire de soulagement dès le premier coup de rein. Debout et caché par la portière ouverte, j’agrippe ses fesses à deux mains et je la besogne avec ferveur. Sa chatte est brûlante et Justine gémit de plus belle.
– Ha, ha, haaannn.
J’augmente la cadence, il faut que je fasse ça vite et bien si on ne veut pas que notre absence paraisse louche. Pour m’exciter un peu plus, j’écarte ses fesses pour mater son petit trou que je caresse avec mon pouce par la suite.
-Tu peux me prendre par là si tu veux, me dit-elle consentante.
C’est avec joie que je me retire de sa minette, crache sur sa rondelle et j’introduis mon pieux en douceur dans son conduit plus étroit qu’il n’y paraît. Je la sodomise sans v******e, à vitesse régulière, tel un métronome. Je grogne, toujours aux aguets d’une visite malencontreuse, alors que Justine laisse libre cours à son plaisir en miaulant sa jouissance et 2-3 minutes après avoir fait mon entrée dans son tunnel, j’éjacule en saccades au fond de ses entrailles.
Nous retournons ensuite chez mon cousin et mise à part mon frangin qui n’est pas dupe, personne n’a su pourquoi nous avons mis autant de temps, juste pour récupérer un brumisateur.
Vers 17h30, je refuse la bière que Rémy veut m’offrir après la partie de pétanque et lui annonce mon départ avec Justine. Nous avons une heure de route et il est temps de rentrer. On dit au revoir aux personnes encore présentes et nous partons.
Le trajet du retour se fait sagement. Aucun bisou ni attouchement. Les ardeurs de Justine semble être calmées. Elle pianote sur son portable un bon moment, elle communique sûrement avec son mari.
– Je pense que Rémy a passé une bonne journée, dis-je pour l’interrompre dans ses textos.
– Oui j’espère. En tout cas, moi j’ai adoré cette journée, surtout qu’on s’est bien amusé tous les deux.
– C’est vrai, mais tu es folle quand-même, on aurait pu se faire griller plusieurs fois.
– C’est clair, mais avoue que c’était bien excitant.
– Oui, surtout dans les toilettes.
– Hum oui, rien que d’y penser, ça me donne encore envie de faire des bêtises. En plus Thomas ne sera pas là avant 20h30 minimum.
– Ca nous laisse deux bonnes heures pour en profiter, on va pouvoir prendre notre temps cette fois.
– Oui, vivement qu’on arrive.
J’appuie un peu plus sur le champignon en me disant que la journée va se terminer comme elle a commencé.
A suivre
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