Chapitre 2 : Laurine à des besoins à assouvir.
Le dîner se passe bien, avec néanmoins quelques petits sourire en coin quand l’un de nous se doute à quoi l’autre pense quand, tout d’un coup, on ne se dit plus rien. Puis de but en blanc, Laurine me pose une question.
– Papy, tu as une petite amie en ce moment ?
– Laurine ! Tu es bien curieuse…
– Aller, papy, dis-moi. Tu as une femme pour faire l’amour, te donner du plaisir en te faisant une fellation, ou comme tout à l’heure pour se masturber devant toi ?
Elle est bien curieuse pour une toute jeune fille. Je secoue la tête en faisant non.
– C’est bien triste papy,
dit-elle en se levant et en s’approchant de moi pour mettre sa main sur ma cuisse.
– Pourtant tu es gentil, encore bel homme, et d’après ce que j’ai vu, tu as un beau sexe.
Ses paroles un peu vicieuses dans sa bouche ont un effet immédiat et le tissu de mon short se déforme sous la poussée de mon sexe qui se redresse.
Ma petite fille n’est pas si naïve que ça et semble beaucoup s’intéresser au sexe.
Elle soulève sa main pour contempler mon évidente érection.
– Tu sais, Papy, ont apprends beaucoup de chose au lycée. Surtout en internat et la nuit.
– Vraiment, Laurine… Qu’as-tu appris d’intéressant…
– Laurine regarde la porte-fenêtre ouverte derrière moi puis répond.
– Pas mal de chose sur le sexe mais… c’était souvent théorique, entre filles, et avec peu d’expérimentation.
Elle fait une pause et regardant la bosse dans mon short, elle ajoute en posant sa main sur ma bite.
– Tu veux savoir ce que j’ai appris ?
– Ça me ferait sûrement plaisir, ma puce. Je suis curieux de savoir comment les cours du soir ont évolués depuis ma jeunesse.
– Laisse-moi te montrer, papy.
Et elle tire mon short à mes pieds pour saisir ma bite toute raide.
– Bon… j’ai appris à faire…ça.
Elle commence à caresser doucement ma bite, puis se penche pour donner un long coup de langue sur mon gland et autour.
C’est le bonheur ! Je gémis sans retenu quand sa bouche chaude englobe de ses lèvres mon gland comme pour l’aspirer.
Puis elle retire sa bouche et se lève.
– Mais…Laurine…
– Attends papy, je ferme la porte-fenêtre pour être plus tranquille. J’ai une réputation à protéger et ton voisin me semble un trop curieux. En tout cas il ne se gêne pas pour me mâter quand je bronze près de la piscine. Bon… j’en étais ou déjà…
– Tu me faisais une démonstration de ton savoir acquit en cours du soir.
Laurine s’agenouille devant moi et caresse ma queue en attente et plus que rigide. Elle l’embrasse partout, de bas en haut en la léchant de sa petite langue sans oublier un cm de peau. Puis elle remplace sa langue par sa deuxième main et branle ma queue en s’attardant particulièrement sur le bout.
Après ce préliminaire, elle ouvre sa bouche pour avaler mon gland et le sucer comme une de ses friandises préférées tout en massant la base de ma bite. Je ne sais pas si je vais tenir longtemps car elle sait y faire ma petite-fille. Elle devait être très assidue à ce genre de cours.
– OOoooh, Laurine…mon Dieu ! Tu es douée…
Laurine branle plus vite ma bite et serre entre ses lèvres mon gland. Je sens mon orgasme qui bouillonne dans mes couilles et ma bite ne va tarder à entrer en éruption.
– Laurine ! Je vais jouir ! Retire-toi !
Mais ma petite fille ne m’entends pas ou ne m’écoute pas, car elle tient bien ma bite et continue de la sucer quand je crache mon sperme. Elle a un hoquet quand le premier jet frappe sa gorge et tente d’avaler mon foutre i****tueux. Elle a du mal à respirer et du sperme s’échappe dans le coin de sa petite bouche. Elle n’arrête pas pour autant de sucer ma queue qui finit de se vider dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle se ramollisse et que je repousse sa tête.
Elle me regarde les yeux brillant de perversité, lèche ses lèvres de sa langue avant de me dire
-Papy…elle est bonne ta bite et plus grosse que celle de mes copains.
Moi je suis sur le coup de ma jouissance et je ne peux répondre pour l’instant. Je regarde cette petite fille qui n’était qu’une adolescente il a peu et qui a gardé son visage enfantin, et devant tant de beauté, je me baisse pour l’embrasser et nos langues se sont mêlées pour que je goûte à mon propre sperme.
Elle embrasse bien et du coup ma bite se redresse de nouveau.
-Papy, t’es une bête de sexe…
Plaisante-t-elle en me donnant une tape sur ma queue dressée et en rigolant.
-Laurine, tu es incroyable ! Tu suces comme une reine. C’était fantastique.
– Merci, papy. Mais c’était vachement bon pour moi aussi. J’adore sucer une bite, l’avoir dans ma bouche et à ma merci.
-Tu es une sacrée coquine, Laurine. Je ne me serais jamais douté que tu aimes le sexe à ce point-là. Surtout à ton âge !
– Alors…tu me donne quoi comme note pour ma prestation.
– 18 sur 20 ma puce.
– c’est tout !
– Oui, car j’ai envie que tu te perfectionnes et que tu deviennes la meilleure.
Elle rit et caresse ma bite songeuse.
-J’ai encore besoin de me perfectionner sur quelques travaux physiques. Mais avant j’aimerais que tu me suce ma chatte.
– A tes ordres ma puce ! Viens dans ma chambre.
Elle n’y va pas, elle court ! Et quand j’arrive, elle est déjà à poil sur mon lit, les cuisses écartée. Une vraie salope ! Elle n’arrête pas de me surprendre.
Que c’est beau une chatte de jeune fille, surtout celle de Laurine. Une fleur dont les pétales ne sont pas ouverts, une rose qui ne demande qu’à être cueillie. Rien que pour moi, son gentil Papy, comme elle a l’habitude de dire.
Je plonge entre ses cuisses et le lèche délicatement ses grandes lèvres en les écartant de mes doigts pour insérer ensuite le bout de ma langue et repousser doucement ses petites lèvres humides. Laurine caresse mes cheveux et soupire quand je frôle le capuchon de son clitoris. Avec des petits coups de langue je facilite l’éclosion de son bourgeon d’amour et je suis étonné de voir sa grosseur et surtout sa longueur inhabituelle chez une jeune fille.
Quand je le prends entre mes lèvres, je l’entends gémir fortement et elle presse étroitement ma bouche contre sa chatte. Je manque un peu d’air mais sa chatte est si savoureuse que je la laisse faire et je lape maintenant le jus qui commence à couler sur le bas de sa fente de chatte.
Je prends son cul à pleine mains et je la dévore comme un affamé, la faisant couiner de plaisir. Quand j’ai ma langue au plus profond de sa chatte, mon nez titille son clito extraordinairement dur et elle pousse carrément de petits cris.
– Oui, oui, oui, AAaahhh, papy ! Continue !
Je déploie toute mes compétences et je sens son corps trembler sous mes mains. Un vrai régal cette petite, elle a un goût sublime et je vais sans aucun doute devenir accro a sa petite chatte. La chatte de ma petite fille ! Inimaginable il y a 5 jours !
Sa chatte se contracte sous mes doigts que je viens d’introduire délicatement, et elle jouit longuement, m’écrasant entre ses cuisses à tel point que je suis obligé de la pousser pour ne pas étouffer.
Elle relève ma tête et me regarde amoureusement, la respiration lourde, mais infiniment belle après son orgasme.
– Papy, je t’aime. Tu es merveilleux. Tu as toujours su m’écouter et me faire plaisir. Mais maintenant…baise-moi !
– Mais…
– Baise-moi, réplique-t-elle immédiatement, catégorique.
Et je ne suis qu’un pauvre homme, un papy trop bon et trop faible. Alors j’obéis.
Phantome
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