Voici en quelques mots la teneur des relations que j’entretiens avec ma nièce.
Tout a commencé lorsque sa salope de tante a décidé de me quitter, nous vivions dans une relative harmonie, j’étais très amoureux et surtout complètement accroc de son corps.
Elle me cocufiais vaillamment mais avec mon consentement et même, je dois avouer que j’en tirais une certaine fierté. Savoir que ma femme se faisait baiser dès qu’elle en avait l’occasion m’excitait assez curieusement.
Nous avons conservé cet équilibre pendant de nombreuses années jusqu’au jour où Gisèle décida de m’abandonner.
Est-elle tombée amoureuse ?
Je ne le saurais jamais, mais toujours est-il qu’elle disparût du jour au lendemain sans plus jamais me donner signe de vie.
Au début, je ne parvenais pas à tourner la page, son image hantait mon esprit, les souvenirs remontaient sans cesse, je rêvais d’elle toutes les nuits, je revivais nos ébats et me réveillais la queue dure à faire mal !
Certains matins, mes draps étaient souillés de sperme tellement le souvenir avait été fort pendant la nuit…
Un beau jour printanier, alors que fidèle à mon habitude, je me morfondais en parcourant mes albums de photos, j’entendis la sonnette carillonner. Qui cela pouvait-il bien être ?
Depuis le départ de ma salope d’épouse, je ne recevais aucune visite, juste le facteur de temps à autre mais c’est tout…
J’ouvris la porte et me retrouvais en face d’une belle femme, la quarantaine épanouie, de belle formes et un visage avenant. Elle se présenta :
– Bonjour Tonton ! tu me reconnais, c’est Leslie, ta nièce !
Stupeur ! Je n’avais pas revu Leslie depuis plusieurs années, à l’époque, elle venait de sortir de l’adolescence et ne présentait pas beaucoup d’intérêt. Et là, j’avais devant moi une quadragénaire superbe, sexy mais très classe. J’étais surpris et troublé, elle dût le remarquer car devant mon embarras, c’est elle qui réagit en me lançant d’un ton enjoué :
– Eh bien Tonton, tu ne m’invites pas à entrer ?
Je m’effaçais donc pour la laisser pénétrer mon domaine de vieux célibataire en profitant au passage pour admirer son coté pile avec délectation. Quelle silhouette !
Ou plutôt j’ai pensé en moi-même, quel cul !!!
Je me suis très vite repris, c’était ma nièce quand même, la famille c’est sacrée…
Elle ondulait en marchant d’une manière plutôt provocante, ses hanches se balançaient comme une invitation à l’amour, je garde en moi ce premier souvenir et me rappelle qu’à cet instant, mes scrupules ont disparus.
J’avais devant moi une femelle sexy et désirable et j’étais devenu un vieux mâle qui voyait se réveiller sa libido endormie depuis le départ de sa femme.
Elle était habillée tout en blanc, coiffée d’une capeline assortie : vraiment délicieuse !
Leslie pénétra dans le salon et je lui indiquais le canapé afin qu’elle se sente à l’aise.
« Tu veux boire quelque chose ? » lui demandais-je un peu intimidé.
Elle me répondit qu’un café lui ferait plaisir.
Je m’éclipsais donc vers la cuisine afin de nous préparer un expresso à chacun accompagnés de quelques friandises.
De retour dans le salon, j’eus le plaisir de constater qu’elle avait ôté son manteau et se trouvais maintenant vêtue d’un petit tailleur noir à bordures blanches du plus bel effet mettant en valeur des formes attirantes. La jupe était très courte et le haut très décolleté laissant apparaître la naissance d’une poitrine généreuse.
Nous échangeâmes quelques banalités en sirotant notre café et pendant ce temps je ne pouvais détacher les yeux de cette belle femme qui surgissait dans ma vie sans prévenir.
J’étais subjugué, sa jupe était remontée sur ses cuisses lorsqu’elle s’était assise et je pouvais apercevoir à la lisière de ses bas la chaire blanche ainsi découverte. Je sentais mon sexe durcir et me demandais si elle se rendait compte de l’effet qu’elle me faisait.
Elle me raconta sa vie et me posa des questions sur la mienne. Je m’épanchais sur mon malheur récent et lui relatais comment sa tante Gisèle m’avait abandonné. Bien involontairement des larmes sont venues embuer mon regard ce qu’elle ne manqua pas de remarquer. Au fil de la conversation, je m’animais, sortant de ma réserve et lui décrivait sa tante comme je la voyais maintenant. Une vulgaire salope qui, non contente d’avoir cocufié son mari pendant des année, l’avait ensuite lâchement abandonné.
Elle était touchée par ma sincérité et compatissait à mon malheur en prenant mon parti et affublant à son tour sa tante de tout les défauts possibles. Elle m’assura de son soutien et me certifia que je pouvais compter sur elle si j’avais besoin, qu’elle serait toujours là pour moi même si je n’étais que son oncle par alliance.
Elle s’animait au fur et à mesure de la conversation et gesticulait sur son siège de telle sorte que petit à petit sa jupe remonta très haut sur ses cuisses ainsi découvertes. A un certains moment, ses jambes s’écartèrent et quelle ne fut pas ma stupeur d’apercevoir entre ses belles cuisse blanches, son sexe nu quasiment épilé, juste recouvert au dessus du clitoris d’une petite toison noire soigneusement taillée. Elle fit mine de ne pas s’en apercevoir et continua sa conversation le plus naturellement du monde.
Ainsi ma nièce ne portait pas de culotte…
A partir de cet instant, la conversation m’échappe et je ne saurais dire quels ont été les sujets qui ont animé la suite de notre discussion. J’étais focalisé sur son entre-jambe et guettais le moindre de ses gestes pour apercevoir son trésor à peine caché.
Je bandais comme un âne et parvenais difficilement à remonter mes yeux vers son visage pour donner le change et paraitre intéressé par ce qu’elle me racontait. Petit à petit, l’atmosphère changeait, s’électrisait…
Leslie se tortillait de plus en plus sur son siège et ses cuisses restaient légèrement écartées en permanence. J’avais la vue constante sur sa chatte qui , non je ne rêvais pas, commençais à devenir luisante de mouille !
La petite salope commençait à être sérieusement excitée, son regard devenait brillant et sa langue humectait ses lèvres plus souvent que nécessaire. Manifestement, ma petite nièce retrouvée allumait son tonton.
Je me fis la réflexion que cela devait être génétique car elle paraissait largement aussi lubrique que sa tante Gisèle.
La génétique ou bien autre chose…
N’y aurait-il pas eu initiation de la part de sa tante ?
Il faudra que je la questionne là-dessus plus tard.
Pour le moment, elle était face à moi, la jupe remontée à ras des fesses, les cuisses semi écartée, me laissant contempler à loisir son sexe dégoulinant.
Ma bite me faisait mal, coincée dans mon boxer, il fallait que je fasse quelque chose, que je dise quelque chose…
Je me lançais :
– Dis-donc Leslie, tu ne portes pas de culotte et tu montres ta jolie chatte à ton tonton, ce n’est pas bien, on vient à peine de se retrouver.
– Mais tonton, tu la connais, tu m’as vue toute petite dans ma baignoire lorsque maman me donnait le bain.
– Ce n’est pas pareil, tu étais une enfant alors que maintenant tu es une belle femme et moi je ne suis qu’un homme avec mes faiblesses.
– Je te fais de l’effet tonton ?
– Tu as sûrement dû t’en apercevoir petite cochonne et puis je crois bien que tu le fais un peu exprès. Tu écartes les cuisses sans arrêt.
– Oui tonton, c’est vrai que j’adore exciter les hommes et puis tu es encore bel homme, je suis sûr que tu dois être un amant formidable. Tu veux que je t’en montre un peu plus ?
Ne me laissant pas le loisir de répondre, elle se lève, se dirige vers une chaise, enlève sa jupe et s’assoit face à moi les cuisses ouvertes.
Elle était là, offerte, me dévoilant son intimité comme une catin attendant que je me décide à faire un geste.
Et moi, j’étais sidéré, je n’aurais jamais imaginé une telle situation, me retrouver devant ma nièce à moitié nue, s’offrant à mon regard…
Je n’en pouvais plus.
Elle était lancée, son numéro de salope continua. Elle se leva, se retourna et se penchant en avant m’offrit la vue d’un superbe cul, les jambes écartées laissant apparaitre sa chatte déjà ouverte, et son petit trou qui me fascinait !
N’y tenant plus, je me levais à mon tour, ouvris ma braguette et sortis ma queue bandée comme un arc.
Je me dirigeais vers elle et l’attrapant par les hanches, je m’enfonçais dans sa chatte déjà bien trempée, ça rentrait comme dans du beurre, la salope n’attendait que ça, elle feulait de plaisir, s’agrippant au dossier de la chaise en se tenant fermement pendant que je la pilonnais ardemment. Je la défonçais sans ménagement pour son plus grand plaisir et le mien, elle couinait comme une truie et moi je ahanais en assenant des coups de boutoir de plus en plus violents.
J’étais cependant fasciné par ce petit trou qui me narguait depuis tout à l’heure et je me décidais enfin à oser. Je mouillais mon index et tout doucement l’enfonçais dans cet œillet bien serré. A ma grande surprise, celui-ci s’introduit sans peine, son anus l’aspirait sans effort si bien que je m’enhardis à lui en mettre un deuxième puis un troisième qui furent avalés sans aucune peine. Conscient que cette salope n’en était pas à son coup d’essai, je libérais la place et présentais mon sexe à l’entrée de cet orifice interdit. D’une lente poussée progressive je l’enculais sans difficulté, me fichant au fond de son anus jusqu’aux couilles. La petite cochonne se faisait sodomiser régulièrement, c’était évident, elle aimait ça et venait à la rencontre de mes assauts en criant son plaisir. Elle gueulait et s’agitait en cadence si bien que je fus très vite au bord de l’explosion…
Après quelques minutes de ce traitement de choc, je sentis monter un orgasme que je n’avais pas ressenti depuis plusieurs années, je me vidais en de longues et puissantes giclées au fond de son cul. Ce fut un déclencheur pour elle également qui se cabra et hurla de jouissance !
Ce fut divin, nous restâmes ainsi de longues minutes sans réagir, savourant cet instant en reprenant lentement nos esprits puis elle se libéra, se retourna et très tendrement me nettoya la bite d’une langue gourmande et appliquée.
J’étais sur un nuage. Ma nièce venait de m’offrir un moment de pur plaisir comme jamais je n’en avais ressenti. Je la relevais et l’embrassais avec fougue et tendresse à la fois.
Elle venait de relever le défi de sa tante Gisèle me démontrant avec brio que la génétique pouvait réserver de belles surprises !
Fin
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