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un évènement inattendu

un évènement inattendu



Cette histoire s’est déroulée il y a quelques jours. Ma femme et moi-même étions invités au mariage d’une amie commune dans le bordelais. Je passe sur la cérémonie pour vous raconter un évènement que j’avais tout sauf prévu. Après avoir copieusement mangé et surtout, pour ma femme, beaucoup trop bu, elle a ressenti le besoin de s’aérer avec moi. Malgré les années de mariage, nous somme encore très fusionnels et l’un va rarement sans l’autre. La voilà donc, le pas peu assuré sur ses escarpins à 10 cm de talon, vêtue de sa splendide robe de soie gris souris, mettant parfaitement en valeur ses splendides formes. Elle n’est pas très grande (1,57 m) mais est parfaitement conservée malgré sa trentaine. Il faut dire qu’elle en fait encore beaucoup retourner des têtes avec son splendide 95D et ses fesses bien rebondies, ni trop grosses, ni trop plates. Nous sortons de la salle du diner de mariage, bras dessus, bras dessous, et nous nous éloignons lentement en direction du parking très arboré, à deux pas des vignes. L’alcool aidant, je la sent très coquine. Il faut dire que depuis le début d’après midi, elle ne cesse de m’adresser des regards coquins, ce depuis que j’ai pu assister à son habillage. Si ta tenue est splendide, ce qu’elle porte en dessous ne l’est pas moins. Elle a sorti le grand jeu avec sa parure string noir et haut au toucher si doux et fin que l’on a l’impression qu’elle ne porte rien. Je n’ai pu m’empêcher de prendre ses deux globes à pleines mains durant cet habillage mais, l’horaire de la cérémonie approchant, nous n’avons pas pu aller plus loin. Arrivé en queue de cortège, notre voiture était garée tout au fond du parking à l’éclairage un peu faible, à l’ombre d’un arbre assez touffu cachant presque toute la voiture. Arrivant tant bien que mal à proximité de la voiture, elle trébuche et je la ratt**** in extrémis, en prenant bien soin de lui caresser les fesses au passage. Elle m’adresse alors un baiser à pleine bouche et, moi, pendant ce temps là, je laisser balader mes mains. Je la plaque alors le long de la portière arrière de la voiture et je lui soulève tant bien que mal sa robe pour poser mes mains à même la peau nue de ses fesses. Elle soupire, me lèche le lobe de l’oreille et me susurre « j’ai envie de toi, Prend-moi! » La dessus, j’ouvre la porte arrière et elle s’allonge sur la banquète arrière. elle remonte sa robe jusqu’au ventre, et redonne leur liberté à ses seins blancs sur lesquels je me jette, titillant ses tétons avec mes dents, léchant avec gourmandise ses aréoles d’un rose très pâle. J’écarte son string, baisse mon pantalon et mon boxer et je m’enfonce alors en elle; La position n’est pas très aisée (et oui, la banquète arrière d’une Mégane, c’est pas très haut!) mais, à force de la pistonner, nous jouissons pratiquement au même moment. Après quelques secondes (ou minutes, on ne se rend pas bien compte!) je me rend compte que sa respiration est devenue plus calme et profonde; Elle s’est endormie!!! Elle avait son compte ai-je alors pensé! J’en ai profité pour me relever et, sentant une envie pressante, je me suis précipité dans les vignes à deux pas de là en omettant de fermer la porte (c’était la porte opposée à la salle du diner, aucune voiture plus loin que la mienne… pas de risque!) Après avoir satisfait cette envie pressante, quittant les vignes, je constate qu’il y a des silhouettes près de ma voiture. Trois hommes sont à deux mètres de la porte en train de regarder ma femme dans les bras de Morphée, les jambes écartées. j’aurai pu interrompre tout de suite ce manège mais au lieu de ça je me suis approché doucement, caché par la nuit et les ombres, les trois voyeurs jetant quelques coups d’œil en direction opposée pour voir si quelqu’un ne venait pas de la salle. J’avais une vue parfaite sur ce qui se faisait, ma voiture n’ayant que des places vides à côté d’elle en direction des vignes. Soudain, l’un d’eux essaya: « Madame, vous allez bien? » Pas de réponse. Il recommence. Idem. Il lui pris le bras qui retomba comme une crêpe quand il le lâcha. « Elle a son compte » lança le deuxième voyeur. « Attend on va s’amuser un peu » lui répondit le premier. Et la, il commença a lui mis la main entre les jambes à demi cachées par sa robe et, très vite, arriva à son entrejambe. Pendant se temps là; le troisième larron avait sorti son portable et allumé la lumière intégrée, ne ratant rien de la scène. Le deuxième fit alors le tour de la voiture et en ouvrit la porte opposée tant bien que mal (il y avait une voiture garée à côté mais à un bon mètre ce qui lui permis d’ouvrir la porte. Je l’entendit: « Madame? vous allez bien? » J’entendis alors un son sec. Il avait du essayé une petite claque sur la joue pour la réveiller. Pas de réaction apparemment! Après quelques secondes, je l’entendis dire à ses compères: « Putain, t’as vu les nibards qu’elle a? » De toute évidence, il était en train de les malaxer à pleines mains. Pendant ce temps là, son pote était en train de gentiment doigter ma femme « Putain elle est toute gluante. Elle s’est déjà faite tirer » leur dit-il. « Qu’est-ce que t’attends? » Là dessus, je le vois déboutonner son pantalon. Il sorti son sexe qui m’a semblé d’une belle taille, surtout plus large que le mien. Il était cependant contrarié par les gestes de celui qui s’occupait des seins de ma femme. C’est alors qu’il eu l’idée de la retourner. Pas content, celui qui s’occupait de ses seins lui dit alors « Eh qu’est-ce que tu fous? » avant de comprendre De toute évidence, cette position lui laissait le champs libre pour la bouche de ma femme et un bruit de braguette me démontra qu’il avait trouvé satisfaction. Pendant ce temps là, le premier était allongé sur les fesses de ma femme et était en train de la pistonner et je l’entendais gémir dans son sommeil. Soudain, j’entendis le deuxième grogner en hurlant « Vas y ma salope, bois le bon jus de papa!!! » En deux minutes, il était rhabillé et rejoins l’homme qui éclairait la scène. Libre de faire ce qu’il voulais, le premier souleva ma femme en passant ses mains sous son ventre pour la mettre à genoux ce qui était plus pratique pour lui. Je voyais alors clairement le corps de ma femme jusqu’aux seins. Il la pistonna dans cette position pendant 1 minutes puis s’arrêta. Il tâtonnait mais je ne comprenait pas trop. Puis il repris ses va et viens et disant « Putain elle est serrée » L’enfoiré, il la sodomisait. Cette fois, elle était consciente. Je l’entendais dire! « Oh oui mon chéri, j »adore, ça! » Elle qui m’avait toujours refusé la sodomie estimant que c’était sale et douloureux! Dans cette position, elle ne voyait pas que celui qui lui procurait tant de plaisir, ce n’était pas moi! Je l’entendis hurler sa jouissance, suivie quelques secondes après par son amant d’un soir! Comment n’avait-elle pas pu remarqué que ce n’était pas sa voix? En quelques secondes, les trois lascars avaient fait place nette et déguerpi. Je m’approchais alors de ma belle. gisant à moitié à genoux, son corps se maintenant dans cette position grâce au dossier de la banquette. Sa robe était remontée sur ses hanches, son string laissant échapper ma semence et celle de son amant qui dégoulinait de son anus dilaté! Après nous être éclipsés du mariage, nous sommes rentrés à notre hôtel. Le lendemain matin, j’ai eu droit à un réveil charmant, ma femme ayant déjà sa langue sur mon gland lorsque je suis sorti de mon sommeil. Elle voulais me faire ce plaisir pour lui en avoir procurer autant, notamment la deuxième fois même si elle ne se souvenait pas de tout!

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