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La vie rêvée de Vanessa- Chapitre III

La vie rêvée de Vanessa- Chapitre III



Ma première nuit en tant que Vanessa fut la plus dure, mais aussi la plus étrange. Les présentations avec mes nouveaux maitres furent rapides, car aussitôt m’avoir préparé et habillé, ils décidèrent de me faire découvrir mon nouveau « chez moi ». Je fut donc conduit dans le sous-sol de leur maison, toujours tenu en laisse par Maitre N. et suivi de près par sa tendre épouse. J’avais du mal à marcher avec les talons, et très vite je reçus quelques encouragement de la part de Maitresse Vi, sous la forme de claque sur mes fesses.

La pièce était sombre, et lugubre, mais contrairement à ma première impression il n’y faisait pas vraiment froid, la température était plutôt agréable. Malgré le peu de luminosité je pouvais discerner l’aménagement de la pièce, un sol de béton avec une grille d’évacuation au milieu de la pièce, des murs capitonnés noirs et un plafond d’où pendait plusieurs crochets fixés aux poutres. Les meubles n’étaient pas du mobilier ordinaire, non, tout était fait pour soumettre, dominer et punir, et j’allais bientôt y gouter: une croix de Saint-André, une cage en fer forgé, un cheval d’arceau, etc. Enfin dans une coin de la pièce, tout un mur était dédié à différents sex-toys, pinces, martinets et d’autres objets encore inconnus. Mais aussi de nombreuses tenus, du matériel vidéo et une énorme fuck-machine.

« Voici notre donjon Vanessa, c’est ici que la majorité de nos séances sont organisées, en tout cas pour ce qui est de l’intérieur. Tu vas vite apprendre que dans cette pièce, tu n’es qu’un objet comme les autres.
– Oui Maitre.
– Maintenant je vais te montrer ta cellule, car j’ai oublié de te prévenir, mais tu vas passer quelques jours avec nous, juste le temps de poser les bases de ton apprentissages. Et qui sait, une fois asservie tu pourrais vivre ici. »

Ma « cellule »? Moi qui pensait resté juste une journée et retourner à ma vie de jeune étudiant, je m’étais complétement trompé. Je n’étais pas forcément serin, mais je n’avais pas peur. Je sentais déjà se créer un sentiment de confiance pour cette homme et sa femme. Pourquoi? Je ne pouvais pas me l’expliquer. Qui qu’il en soit il me mena devant une petite porte au fond de la pièce, il l’ouvrit et immédiatement je compris ce qu’ils avaient créés.

La pièce était minuscule, presque indigne d’y accueillir un être humain, et le mobilier était limité aux besoins primaires. D’un côté une couchette comme dans les cellules du XIXe siècle, dont l’armature était en métal, certainement pour m’y attacher si besoin est. Un petit espace sanitaire avec une douche, des toilettes et un lavabo. Rien de plus, si ce n’est une petite caméra fixé sur le mur du fond. La pièce était vraiment terrifiante, pas de fenêtre et la seul lumière au plafond était un néon dont l’interrupteur se trouvait à l’extérieur. Aucun moyen d’ouvrir de l’intérieur, et juste un petit interphone contre la porte. Le sol était également en béton avec une grille d’évacuation.

« Voici donc où tu vas passer ta première nuit, tu vas voir c’est très agréable. Personne ne s’est jamais plain. sa femme esquissa un sourire. Tu vas pouvoir te reposer et demain matin nous commenceront les choses sérieuses. Le réveil est à 6h00 donc tâche de dormir.
– Combien de temps je vais passer ici Maitre N. ?
– Juste quelques jours, mais ne t’en fait pas je sais que tu n’es pas attendu, et nous allons prendre soin de temps. Au fait j’oubliais, ce soir tu es à la diète, j’ai envie que tu perdes un peu de poids, et surtout il faut que tu comprennes que nous décidons de tout à présent. Mais je tient à t’offrir un verre de bienvenue! » Maitresse Vi ne pu se retenir de rire.

Il sorti une gamelle qu’il posa à terre, fit descendre sa braguette et urina dedans.

« Voila maintenant il va falloir que tu y prennes gout! Car tu vas adorer mon champagne. »

La porte se referma et j’entendis le verrou s’enclencher. J’étais maintenant seul dans cette petite pièce, sans savoir quelle heure il était et se qui m’attendait. Mais j’étais terriblement excité, et ceux malgré la cage sur mon sexe. Après quelques minutes, complétement exténué par cette première journée riche en émotions, je m’endormis sur la petite couchette. Je me sentais à la fois bien totalement humilié.

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