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Ma visite chez Anne

Ma visite chez Anne



Suite à cet extraordinaire orgasme que m’avait offert Anne, cette fois j’avais hâte de la retrouver. Juste le fait de repenser à tout ce qu’elle m’avait fait découvrir pendant ces quelques jours m’excitait. Je me sentais comme une jouvencelle avant un rendez vous amoureux. Je me préparais donc avec le plus grand soin. Je choisis une robe fuseau grise que je garde d’habitude pour les grandes occasions, avec un chemisier très léger. Je me maquille avec soin, prend le temps de bien me coiffer. J’enfile mes chaussures à talon. Un dernier coup d’œil dans le miroir : je me trouve belle et désirable et j’ai hâte qu’elle me découvre ainsi.
Il m’a fallu environ une demi-heure pour atteindre sa rue. Je me suis rapidement garer. J’ai cherché ensuite son immeuble. Un porche donnait sur une cour intérieure, au fond une cage d’escalier. Je scrute la liste des noms des habitants et enfin je sonne chez Anne. Une femme assez âgée sort au moment ou Anne décroche « Marie-claire ?
– Oui,
– Monte, 3ème étage porte de droite.
– Très bien.
Et au moment ou je saisis la porte que me tenais gentiment la dame j’entends « j’ai hâte de vérifier que tu n’as pas de culotte ! » et cela raccroche. Mon regard croise celui de la femme qui me lance des éclairs, elle lâche la porte et file en marmonnant. Décidemment, elle a le chic pour me mettre dans des situations embarrassantes. Mais je dois avouer que j’en étais cette fois ci plus amusée que gênée.
Je prends l’ascenseur. Me dirige vers une porte déjà ouverte. Et là je vois la silhouette fine de Anne à contre jour. Elle me saisit par le bras, me fait entrer, et là elle m’embrasse à pleine bouche. Un peu surprise je ne tarde pas malgré tout à lui rendre son baiser. Quand nos langues se séparent, elle me regarde de la tête au pied puis me complimente : « Tu es magnifique Marie-Claire, et sexy ni trop et surtout pas trop peu ».
Elle se colle de nouveau à moi, glisse ses mains autour de mes hanches, att**** habilement la fermeture de ma jupe et en moins de temps qu’il en faut pour le dire le tissus glisse à mes chevilles. Ses mains caressent, malaxent et pincent mon cul rond. Et presque instantanément je mouille. Une main glisse entre mes cuisses et s’immisce dans mon sexe chaud.
– Marie-Claire, je vais te faire jouir comme jamais tu n’as jouit. Et ensuite je t-emmène au restaurant. D’accord ?
En seule réponse, elle obtient un hochement de tête. Aussitôt elle déboutonne mon chemisier et d dégrafe mon soutien gorge mes seins lourds sont libérés et semble bondir de leur écrin. Elle me caresse, me touche, me lèche les seins, pince les tétons du bout des dents. Elle m’invite à me coucher à même la moquette. Je n’ai plus pour vêtements que ma paire de chaussures. Elle laisse sa bouche courir sur mon corps. Et sa langue atteint le bas de mon ventre. Elle entame un cunnilingus absolument divin. Sa langue masse mes petites lèvres, mon clitoris, entre dans mon sexe parfois doucement et parfois vite, parfois tendrement et parfois avec vigueur. Je me retrouve très rapidement au bord de l’explosion. C’est le moment qu’elle choisit pour s’arrêter. Mon ventre palpite. Je ne sais même pas si j’ai jouit ou non. J’ai envie de lui rendre la caresse mais elle s’y oppose.
-« Marie-Claire, je veux t’attacher, tu veux bien ? »
C’est la première fois qu’elle me demande mon avis. Je la sens bienveillante, j’accepte sans même y réfléchir.
Elle se pose à califourchon sur mon ventre saisi mes poignets et me passe une paire menotte protégé par un velours rouge. Mes mains sont au dessus de ma tête attachées aux pieds d’une lourde table en fer forgé. Elle se lève et reviens avec un genre de lien en caoutchouc. Elle en noue une extrémité autour d’une de mes chevilles, passe le lien derrière le pied de la table et noue la deuxième extrémité à mon autre cheville. La position est très inconfortable. Elle saisit un coussin et le place sous ma tête.
Mes genoux sont presque posés sur mes épaules. Ma tête relevée par le coussin fait que je vois très bien ma croupe offerte, luisante et béante d’excitation.
Et elle m’annonce avec de nouveau cette étincelle de vice dans le regard « je vais te baiser comme tu ne l’as jamais été ». Le ton quel emploi et son regard pervers font que de nouveau je suis un peu effrayée par cette petite étudiante de presque 20 ans ma cadette.
Elle commence une danse lascive et ôte sa jupe courte. En dessous elle porte un collant ouvert, qui ressemble à une porte jarretelle. Elle retire son petit pull pour me faire découvrir un soutien gorge ne couvrant pas ses tétons. Elle est belle et excitante ainsi. Elle disparait un instant et revient avec un grand sac. Elle le pose et en sors un gros gode noir, le sexe en plastique est long et large. Puis elle sort un genre de baudrier, qu’elle s’harnache autour des hanches. Elle fixe le gode dessus. Et se met face à moi, elle branle doucement son membre factice « et me dis je vais te baiser comme un mec avec mon gode ceinture, et tu en redemanderas… ».
Elle s’approche de mon visage et me demande d’ouvrir la bouche. Je m’exécute, elle me glisse le gland entre les lèvres. Je tente des mouvements de tête mes ma position ne me le permet pas. Je suis littéralement clouée à l’oreiller par ce chibre. Elle entame un petit mouvement de bassin pour le faire glisser dans ma bouche. Je sens ce gland large et rond, puis la colonne fortement veinée, mais à ma grande surprise elle ne recule pas et continu à l’enfoncer, ma bouche se distant, je le sens contre ma glotte. J’ai mal. Je sens que je vais vomir. Elle ne bouge plus cela dure 2 à 3 secondes, je suffoque. Et elle se retire d’un coup. Je tousse, j’ai des hauts de cœur.
Elle se place à genou devant moi. Je la vois bien entre mes cuisses, elle tapote sa grosse queue souple sur mon sexe humide. J’ai envie d’elle.
« – tu veux que je te baise ?
– Oui
– Comment ?
– Oui
– Ça je sais mais tu veux que je te baise à fond ?
– Oui
Elle pose le gland à l’entrée de mon vagin, et se redresse pour s’appuyer sur mes cuisses. Mon sexe s’ouvre encore plus. Elle me demande si je suis prête, et un signe de tête déclenche les hostilités. D’un grand coup de bassin elle pousse le gode jusqu’au fond de ma chatte, son ventre est collé au mien. J’ai un peu mal mais rapidement le plaisir accompagne la gêne. Elle met quelques coups de bassin très amples. Je sens le gode buter au fond de ma matrice et son ventre claque sur le mien. Elle m’arrache des gémissements. « Tu es trop ouverte ma chérie tu n’en profites pas vraiment… Je vais t’enculer ! »
– Non pas ça !
– Tu crois que tu as le choix
– Non s’il te plait je n’aime pas ça !
– Tu crois que tu n’aimes pas ça… mais tu vas jouir !
Elle sort le gode sans ménagement de mon sexe et place le gland sur ma rondelle presque vierge. J’essaie de sortir de l’étreinte mais la table ne bouge pas je suis prisonnière, et pire chaque mouvement aide le gode à entrer dans mon cul. Elle le pousse, il entre j’ai l’impression d’être déchirée. J’ai mal, très mal. Je la vois presque amusée, et elle pousse encore. Il entre en moi je sens mes chairs lui faire la place… elle entame quelques va et vient, et gagne à chaque fois quelques centimètres de plus. J’ai mal, je pleure. Son visage change, elle s’excuse. Elle laisse le gode fiché dans mon anus, mais le défait de son harnais.
Elle se penche et lèche très délicatement mon clitoris. Doucement la douleur de mon derrière laisse place au plaisir de se rapport bucco sexuel. Ses doigts s’immiscent entre mes lèvres mes yeux sont clos et je ne saurais dire combien avancent en moi. Je ne veux pas croiser son regard. Elle est de nouveau un bourreau. D’un coup je sens un déploiement dans mon ventre, j’ouvre les yeux en direction de mon entre jambes : c’est de nouveau sa main entière qui est dans mon sexe.
Je peux voir sur mon ventre les mouvements de sa main. Je la devine l’ouvrir et la refermer en même temps qu’elle exécute des allers-retours. Le plaisir devient plus fort. Je sens le gode dans mon anus se remettre à bouger. Je sens le gode et la main se croiser, comme si elle le masturbait au travers de la mince paroi de peau. Je suffoque, je la sens accélérer. Ma tête veux s’échapper mais mon corps est prisonnier non seulement de mes liens mais aussi du plaisir sourd qui m’envahit. Tout à coup des spasmes me retournent, elle agite sa main le gode, je n’en peux plus je jouis… elle enlève sa main d’un coup sec et continue à me sodomiser avec force. J’ai l’impression de jouir une deuxième fois avant même la fin de la première explosion. Je relève la tête et je vois des petits jets clairs sortir de mon sexe béant. Je m’effondre.
Elle tire sur le gode doucement et le retire. J’ai l’impression que mon sexe et mon anus ne forme plus qu’un orifice tellement je suis ouverte.
Elle me détache, Je me déplie, et se love contre ma poitrine… Je m’endors instantanément.

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