Suite du stage d’Elodie :
La femme me fait monter à l’intérieur et m’installe sur un banc en bois me semble t’il. C’est très petit. Une fois installée j’entends que l’on ferme comme une porte. J’entends aussi le bruit d’un claquement de cadenas. Je m’imagine que je dois être dans une cage comme j’en ai déjà vue dans des films. Un vrai fourgon cellulaire. Puis c’est le tour de la porte coulissante extérieure d’être verrouillée. Les portes avant du fourgon se ferment aussi et le bruit du démarrage me parvient. J’essaie de voir où je suis enfermée mais avec les mains menottées dans le dos et la cagoule ce n’est pas évident. Du bout des doigts dans mon dos j’arrive à toucher ce qui me semble un grillage très épais. Je suis donc dans une cage comme un a****l. En écartant les genoux un peu, j’arrive aussi à toucher les cotés donc j’en déduis que la cage ne fais pas plus d’un mètre de coté.
J’en suis là de mes réflexion quand le véhicule s’ébranle. Voilà je suis en route vers mon lieu de détention. Je suis ballottée dans cette cage. Cela ne fait plus de doute car après quelques virages, je me suis cognée maintenant à toutes les parois. Évidemment je ne sais pas ou l’on m’emmène mais le trajet est moyennement long, je dirais environ 45 minutes. Il doit se faire sur des petites routes de campagne, ce qui est sur c’est que ce n’est pas un trajet monotone d’autoroute. Je sens toutes les accélérations, freinages. Je pense que ma cage n’est pas dans le sens de la marche, enfin c’est ce qu’il me semble.
Je crois que nous sommes presque arrivés, car pendant un moment le fourgon s’arrête, ne bouge plus, puis redémarre. Je pense que cela doit être un feux tricolore, car la vitesse augmente avec les secousses.
Cette fois ça y est, un bref virage, un arrêt, une porte qui claque. On doit surement ouvrir un portail, la camionnette reprend très légèrement de la vitesse mais le son de roulement a changé. Ce sont maintenant des graviers. Encore quelques virages puis arrêt définitif. Le moteur se coupe. Ça y est on vient d’arriver.
Je suis contente que le fourgon s’arrête car je commence à avoir vraiment chaud et aussi à ne pas être bien après le voyage dans l’obscurité totale.
J’entends la porte latérale se déverrouiller et s’ouvrir. Je sens l’air extérieur entrer dans la fournaise du fourgon. Puis c’est au tour du cadenas de ma cage de s’ouvrir et enfin la voix de la femme m’intimant l’ordre de me lever.
Ce que je fais avec difficulté car avec les mains dans le dos ce n’est pas évident et en plus maintenant tous mes muscles sont endoloris.
La femme me prend par le bras et me guide afin que je mette les pieds à terre. Ça y est j’y suis, c’est ma réflexion au moment là. Je sens quelqu’un prendre la chaîne de conduite de mes menottes mais la femme ne me lâche pas le bras. Elle me guide sur quelques mètres, puis nous montons environ 5 marches. Je suppose que nous sommes sur le perron d’une maison; la porte s’ouvre et ensuite elle me fait pénétrer; nous marchons encore quelques mètres puis un escalier que je descends. A mon avis on m’emmène au sous sol c’est vrai que c’est en principe là que se trouve les cellules.
Une fois en bas de cet escalier, j’ai l’impression que l’on me force à entrer dans une pièce. On m’intime l’ordre de monter une marche. J’ai l’impression que je suis sur une estrade. Puis la personne tenant la laisse de conduite la lâche et celle-ci vient frapper l’arrière de mes cuisses.
J’entends les pas s’éloigner et je suis là toute seule me semble t’il debout et mon attente commence. Je ne sais pas où je suis. Cela me fait flipper. Le silence est total mais au moins il fait moins chaud que dans le fourgon cellulaire. Je suis en sudation mais aussi super excitée et la cyprine commence à couler à travers mon string. Je suis maintenant toute mouillée. Je sanglote de peur mais aussi de honte. Que va t’il se passer. Je commence ma longue plongée dans l’inconnu.
Le temps passe d’une façon interminable depuis que je suis dans cette pièce. Je n’entends aucun bruit identifiable. J’essaie de ne pas bouger car comme j’ai encore la cagoule j’ai peur de tomber. Je ne sais pas où je me trouve en réalité et cette attente ne semble pas vouloir finir.
Au bout d’un moment, en fait sûrement quelques minutes j’entends des pas dans les escaliers qui m’ont menée jusque ici. Deux pas différents des talons aiguilles et d’autre plus lourds. Cela doit être le couple dominant qui va s’occuper de moi.
C’est vrai que toute cette attente m’a vraiment émoustillée, je sens le jus de mon sexe s’écouler hors de moi. J’ai honte, mais le pire c’est que je ne peux rien y faire pour l’endiguer.
La porte de la pièce où je suis, s’ouvre brutalement au point de me faire sursauter. J’ai l’impression que l’on allume une lumière mais à l’intérieur de la cagoule c’est pour le moment le noir total. C’est vrai que c’est incroyable ce que peut provoquer la suppression d’un sens. Je ne l’avais jamais expérimenté jusqu’à aujourd’hui.
Je sens la présence de quelqu’un juste à mes cotés.
Dans la seconde qui suit, on me retire violemment la cagoule, ce qui a pour effet de m’aveugler un court laps de temps. La pièce est violemment éclairée par deux projecteurs braqués sur moi et je découvre que je suis bien sur une estrade d’une vingtaine de centimètres de haut.
Le couple dominant est là aussi le Maître juste à mes cotés, c’est lui qui a enlevé la cagoule tandis que la Maîtresse se trouve assise à une table juste à coté de l’estrade. Sur cette table trône une boite en carton et à ses cotés ma pochette où sont mes papiers et téléphone. Je reconnais cette situation, que j’ai déjà vue dans les films lors du passage au greffe. La Maîtresse viens de faire une photo de moi ainsi exposée et toujours attachée.
Le Maître s’approche puis d’un geste assez rapide me retire mes boucle d’oreilles ainsi que mon collier. Puis il les donne à la Maîtresse qui inscrit tout cela sur le registre et les jette dans le carton. Pendant ce temps, le Maître enfile des gants en latex avec ce bruit bien particulier et fait claquer sa seconde peau. Je trésaille connaissant la suite des événements.
Il pratique une fouille complète de mes cheveux de la racine à leurs pointes et inspecte avec une grande minutie tous les orifices pouvant recevoir des choses interdites en détention. Ses doigts courent des oreilles au nez et inspecte la totalité de la cavité buccale y compris en retournant les lèvres et en passant son doigt à l’intérieur de mes joues et sous la langue que je doit tirer à sa demande. C’est super humiliant car dès ce moment tu sais que tu n’es rien d’autre qu’un morceau de viande mais c’est aussi ce que je recherchais depuis tant d’années.
Cette violation de mon intimité me fait encore plus couler mais aussi me tire les larmes. C’est un sentiment bien ambigu.
Une fois son inspection finie, il me regarde dans les yeux et descends ses mains sur ma taille, puis mes hanches. Ses mains courent sur mes fesses et sur le pubis. Toujours yeux dans yeux il me dit de m’ouvrir et d’écarter mes jambes. Une fois effectué sa main s’insinue entre mes cuisses par le pubis je sens son gant glisser sur mon pantalon. Quand il ressort celui-ci, il constate que c’est très mouillé et chaud. J’en suis toute gênée et il en fait part à la Maîtresse.
Il me demande de lever une jambe puis l’autre afin de me débarrasser de mes souliers, qui une fois répertoriés vont rejoindre le reste de mes affaires dans le carton. Ensuite il défait le bouton de la ceinture du pantalon et descend lui-même la fermeture car je porte toujours les mains menottées dans le dos. Il descend le pantalon avec autant de mal que moi quand je l’ai enfilé ce matin. Comme il est un peu juste en dessous de ma taille réelle je dois me tortiller pour qu’il daigne rejoindre le sol.
Le Maître l’inspecte et surtout l’empiècement qui comporte des traces de ma jouissance. Je suis rouge de honte à cette inspection. Ensuite c’est le tour du tout petit string qui cache à peine les parties vitales. Me voilà nue en bas ne portant encore pour un petit moment que mon chemisier.
La Maîtresse récupérant le string se permet une réflexion « elle mouille comme une fontaine ». Bien évidemment cela n’arrange pas mon honneur. Je suis tombée en bas de la déchéance.
Puis le Maître, ouvre le chemisier pour découvrir ma poitrine, puis passe dans mon dos afin de retirer les menottes. Cela me soulage car la position est dure à tenir et j’ai des engourdissement dans tout le haut du corps. Instinctivement je me masse les poignets comme je l’ai déjà vu faire dans les films mais c’est un soulagement fugace; Les menottes m’ont laissé de belles marques sur les poignets.
De suite, le Maître retire le chemisier dévoilant du même coup ma poitrine et surtout ma nudité complète. Il se charge de me retirer ma montre, mes bracelets et mes deux bagues. Je suis aussi nue que le jour de ma naissance.
Je me doute bien que maintenant je vais subir l’affront total, celui d’être fouillée intimement.
Je reçois l’ordre de mettre mes bras en croix de façon qu’il puisse passer ses doigts latexés sur les aisselles et sous le pli de la poitrine. Il en profite pour me pincer les tétons afin de soulever les seins pour voir si rien ne s’y cache.
Puis sur ordres de la Maîtresse je dois me retourner, écarter mes jambes, me pencher en avant et mettre mes mains sur les chevilles. Une fois dans la position je sens les doigts du Maître s’insinuer dans la cavité vaginale où ils exécute la fouille totale puis en ressortant c’est au tour de mon anus de subir ce nouveau viol.
Après cette séance, j’ai enfin l’autorisation de me relever et de me présente devant le bureau de la Maîtresse pour signer le registre de mes affaires qui me seront inutiles jusqu’à ma libération.
Une fois ma signature apposée, elle se lève et avec un démaquillant supprime toutes touches féminine de maquillage sur le visage mais aussi sur les ongles des mains et des pieds. D’ailleurs ceux-ci sont coupés au coupe ongles ce qu’une femme ne fait jamais. Ma dégradation commence. Je veux essayer de cacher ma nudité en croisant mes mains sur mon sexe et immédiatement je reçois un réprimande… Les bras le long du corps.
A suivre…
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