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Camping 4

Camping 4



Ouf !

Je marchais dans la rivière comme un zombie. Combien d’hommes au Québec avait eu la chance de voir cette femme la nue ? Aucune idées, mais ce que je savais par contre c’est que des millier de gars auraient bien voulu être à ma place aujourd’hui.
Une fois que je me fut éloigner de leur campement, je sortis de la rivière et j’entrer dans les bois hanter par le corps de la belle grande rousse. Je poser mon sac sur le sol, enlever mes running mouillé, mes short et mon t-shirt. Je cacher le tout sous de grosses fougères et retourner vers leur campement complètement nue avec juste ma petite caméra a la main.

Il fallait que je film la vedette légèrement vêtue. Il me fallait à tout prix des images d’elle que les autres n’auraient jamais et que je garderais précieusement pour mon petit plaisir personnel. C’était plus fort que moi, comme une fièvre dévorante qu’il me fallait apaiser absolument. Je savais très bien qu’il n’y avait aucune chance pour que cette vedette me fasse une pipe surprise comme sa tante ou que je la baise. J’étais pas le genre de gars pour des femmes comme elle tout simplement. Elle était un cran au-dessus de moi dans l’échelle sociale. Même sa tante avec 30 ans de moins ne m’aurait probablement jamais regarder, artiste ou pas. Je manquais trop d’assurance et de charisme, enfin, a mon avis.
J’avançais prudemment faisant attention a ne pas me faire fouetter les fesses par les branches que j’écartais en me disant qu’avec un peut de chance elle prendrait son café assises dehors avec Pierrette et toujours nue sous sa serviette, même quelle écarterait peut-être un peut les cuisses pour mon petit film. En me déplaçant à pas de loup dans la forêt silencieuse, faisant attention a ne pas marcher sur des branches morte et cassante ou une carcasse fraîche d’écureuil ou pire, un nid de guêpes je bandé dur à nouveau en repassant dans ma tête le fil de tous les événements incroyables du matin. Je toucher la bosse sur mon front pour être certain que j’avais pas rêver, je grimacer de douleur tout en marchant sur quelque chose de mou et de visqueux dans lequel mon pieds s’enfonça. Dégoûté je vis qu’il s’agissait d’un gros champignon gorgée d’eau. Je m’essuyer sur la mousse et continuer.

C’est toujours grisant d’être nue en forêt, mais la, ça l’était dix fois plus parce que je me préparais à m’approché en douce de deux belles campeuses pour les filmer. Surtout que Marie Lemieux était considérer comme l’une des dix femmes les plus sexy du Québec et si prude a montrer tant soit peut son corps quelle avait refuser de poser en bikini pour le magazine Elle Québec. Elle avait exiger un maillot une pièce, malheureusement. Quant a l’offre de Playboy, elle avait toujours refusé d’en parler. J’en revenais toujours pas de la chance que j’avais eu tout à l’heure de la voir entièrement nue.
Je me sentais privilégier d’avoir entrevue sa vulve, d’avoir vu ses belles fesses grâce à la complicité de sa tante.
On est tous plus ou moins voyeur nous les hommes. C’est la piètre excuse que je me trouvé pour apaiser ma conscience en avançant, sentant ma bite tanguer et sursauter à chaque pas. Comme un a****l j’étais à l’affût du moindre bruit pouvant me trahir et plus j’approchais, plus mon coeur cognait dans ma poitrine et plus ma queue durcissait.
Je regrettais de leur avoir parler de l’ours, cela les avaient peut-être fait s’enfuir dans leur roulotte. En y repensant, mes avant bras et mes petites fesses se couvrirent de grosse chaire de poule tout comme mon scrotum, je déglutis en scrutant les environs, trop sombre a mon goût. Je priais pour que ce maudit a****l soit partit explorer le grand Nord ou baiser sa blonde dans une grotte profonde, très profonde. Tout de même ce silence total m’inquiétait. D’habitude on entend toujours quelque chose en forêt mais la ; pas de corbeaux, pas d’écureuils, ni de canards, même pas un mulot furieux, rien. Étais-ce moi qui avais fait fuir tout cette faune ou quelque chose de plus imposant. Étant un créatif de nature j’eus des sueurs froides a imaginé cet ours adulte me fonçant dessus touts crocs sortit en bavant, sans parler de ces griffes probablement plus longues que ma bite.
Perdue dans mes pensées je me cogné le petit orteil du pied gauche contre une roche parfaitement ronde, perdu la, au milieu de nulle part, a moitié enfouie dans la mousse. J’étouffer un cris en m’agrippant le pied et sautillant sur place.
-Maudite roche ! Fis-je tout bas. D’où tu viens ? De la planète mars !
Je me massé l’orteil tout rougit un moment et repartit en claudiquant et grimaçant. Ma petite aventure devenait dangereuse.
Je me forcé à penser uniquement au longues jambes de la rousse et a sa mini serviette de bain pour oublier l’ours et trouver le courage de continuer tout en regardant mieux ou je mettais les pieds. J’étais sur les nerfs et en sueurs. Si je me faisais prendre à filmer en cachette une personnalité connue, elle risquait de mal le prendre et d’appeler la Sûreté du Québec. Mais c’était trop excitant pour que je renonce et puis on a tous nos petites perversités. J’étais un voyeur et je l’avais accepter tout comme ma blonde. C’était tout de même moins pire que d’aimer renifler des petites culottes sur une corde a linge ou des souliers de femme dans un grand magasin, en tout cas, c’était moins gênant quant on se faisait prendre. Quand même, j’avais des sueurs a m’imaginer assit, nue et menotte au poignet a l’arrière d’une auto de police avec deux petites policières qui me regarderaient furieuse pendant que l’une d’elle me sermonnerait.
-Vous n’avez pas honte a votre age, filmer Mme Lemieux en cachette franchement ! A le droit de camper tranquille la pauvre sans ce faire harceler par des obsédés comme vous.
-Oui, oui j’ai honte, désolé…
-Ta une petite bite en plus !
-Pardon…
Je revint à la réalité et je souriais.
Sa m’arrive souvent de partir comme et d’imaginer des stupidités. Sa intriguait ma blonde au début de me voir rire tout seul constamment.
Les longues fougères vertes qui me montaient au cuisses, les branches de sapin qui s’étiraient jusqu’au sol et les nombreux buissons que je frôlais me chatouillaient les fesses, les cuisses et la bite me donnant de doux frisons. La mousse épaisse qui recouvrait le sol, si douce sous mes pieds, amortissait le bruit de mes pas m’aidant énormément dans mon approche furtive tel un chat habile a se fondre dans la nature pour s’approcher de sa proie.
Voila ce que j’étais en ce moment, un voyeur furtif ! Silencieux, efficace, une ombre bref un pro !
Penser cela me fit sourire encore en passant entre deux gros sapins plier en deux, je repoussé de grosses branches tout en enjambant un petit arbre mort. L’une d’elles, la plus grosse évidemment, revint me fouetter les couilles en silence mais avec une telle force que je ravalé un cris et un haut le coeur en me les prenant de la main gauche tout en tombant à genoux le souffle coupé, les yeux déjà plein d’eau.
-Outch ! Murmurai-je en me laissant rouler sur le dos, genoux en l’air et posant la caméra sur la mousse pour me les agrippées à deux mains.
Monsieur furtif venait d’en prendre un coup et un méchant.
-Jésus-Christ ! Lâchai-je en me les secouant pour atténuer la douleur.
Ma bite ramollit à une vitesse stupéfiante tandis que j’observais le ciel un moment puis la maudite branche qui se balançait toujours. Je la regardait comme une ennemie, comme si mes yeux avaient le pouvoir de la détruire comme le gars des X-Men. J’aurais bien aimer.
J’attendis quelques minutes que la douleur s’estompe, puis, je me relever en boitant encore un peut mais moins, jambes écartées, plus humble que jamais. Je ramassé ma caméra et continué en m’essuyant les yeux sentant mes testicules m’élancer, mon orteils aussi et la bosse sur mon front.
Douleur et plaisir c’est pas pour moi!
J’entendis leurs rires bien avant de voir quoi que ce soit et soudain, j’y étais.
Juste de les entendre me fit bander à nouveau et oublier mes petites douleurs, enfin, presque.
Je stoppé, m’accroupie et vit entre les arbres la roulotte jaune et le 4×4 gris. J’avancé encore plus prudemment, comme un soldat qui se retrouve soudainement en pleins milieux d’un champ de mine, tout nu, me déplaçant sur la gauche vers l’entré du terrain pour dépasser le véhicule. Il y avait assez d’arbres et d’arbustes touffus pour que je puisse m’approcher un peut plus et sans être vu. Mon coeur accélérait toujours et ma bite était maintenant tellement dure qu’elle me faisait mal tandis que je me faufilais en me tortillant habilement entre les branches ou enjambant des arbres morts sans faire le moindre bruit. La peur d’être vue augmentait toutes mes sensations, me submergeait, me galvanisait, un peut comme une drogue. Je n’avais pas connu ça depuis fort longtemps et sa me rappela surtout l’époque ou, au chalet, j’espionnais ma jolie petite tante Jeanine, une belle petite brune au beaux yeux gris-bleu, du haut d’un gros cèdre dans le quel j’aimais grimper. Je l’observais pendant quelle s’enduisait de crème solaire puis se faisait bronzer en bikini, seul près du lac, cacher des regards par une rangée de petit sapin sans se douter que j’étais la, pratiquement juste au-dessus d’elle et bander dur, la main dans le pantalon a caresser mon sexe bouche ouverte. Les branches fournies du cèdre odorant me cachait complètement et me permettait de bien voir. C’était mon endroit secret au chalet ou je pouvais tout observer sans être vue.
La plus part du temps elle restait étendue sur le dos jambe écarter, les bras le long du corps et semblait dormir. Comme tout garçon de mon âge j’essayais d’imaginer ses seins dont la peau blanche débordait de son haut de maillot me faisant saliver ou son sexe si mystérieux dont j’entrevoyais la forme sous le tissus léger quelle étirait parfois pour mieux cacher de jolis poils noir et friser.
Parfois aussi, coucher sur le ventre, elle enlevait son haut de bikini en se cachant les seins d’une main tout en regardant au alentours pour voir si elle était bien seul puis posait sa tête sur ses bras croiser, les yeux fermer, se laissant dorer au soleil. La première fois que je l’avais vue faire sa, j’avais faillit dégringoler de l’arbre, bander plus dur que je ne l’avais jamais été. J’avais eu une peur bleue de tomber sur elle, je me rappelle encore mon coeur qui avait faillit me sortir de la poitrine. Dans les années 60, jamais on ne voyait comme maintenant de scène de nudité explicite à la télé, a heure de grande écoute en plus. Je n’avais même jamais vu de magazines porno a cet age la non plus, alors voir ma jolie tante a demi-nue… Ouf !
Après sa, elle le fit plus souvent cet été la. Je prenais un malin plaisir a admirer son dos nue, ses fesses bien rondes, ses petites jambes et surtout ses seins généreux écraser sous elle et qui débordait de son torse. Une belle masse de chaire blanche qui me fascinait. Le jeune garçon que j’étais alors priait à chaque fois pour quelle se retourne sur le dos, ce quelle n’avait jamais fait malheureusement, en tout cas, pas en ma présence. Déjà a l’époque au chalet, je devais avoir 11 ou 12 ans, j’aimais plus que tout m’enfoncer profondément en forêt, loin de tout sentier pour me mettre nue et me masturber en pensant à ma jolie tante, a mes cousines ou même ma soeur un peut plus vieille que moi. Une grande fille maigre dont les seins commençaient à apparaître.
Le faire dans le silence de la forêt était bien plus jouissif qu’en cachette sous les draps le soir…

Passer le véhicule je les aperçut enfin, assise cote a cote au soleil dans des chaises de camping et elle sirotait leur café en discutant. La rousse, toujours en serviette, Dieux merci, avait croiser ses longues jambes et battait du pieds ce qui faisait jouer les gros muscles de ses cuisses sous la peau à peine dorée.
J’avais une telle peur de me faire prendre que je suais à grosses gouttes et respirais bouche ouverte pour être le plus silencieux possible.
Je me choisis un bon endroit pour filmer et me mit à genoux tout doucement, ma bite tendue à l’extrême pointant vers le ciel. Je me pencher un peut vers l’avant en soulevant ma caméra et mon gland toucha quelque chose d’extrêmement doux. Je baissé les yeux et le vit empêtré dans une épaisse toile d’araignée en forme de cône tendu entre deux petites branches morte. Le monstre hideux sortit aussitôt de sa cachette, une longue feuille sécher et enrouler. Un a****l imposant d’un bon 2 centimètres de long, noir et jaune avec de longues pattes répugnantes. Une puissante décharge électrique me traversa le corps et me fit presque sortir les yeux de leurs orbites.
J’ai moins peur d’un ours que d’une araignée, c’est ma phobie. J’ai vraiment faillit hurler cette fois en sursautant violemment. La bestiole stoppa devant mon gland, essayant sans doute de comprendre ce quelle avait bien put prendre dans sa toile. Ni pattes, ni ailes, une grande bouche mince a la verticale, sa ne criait pas et ça ne se débattait pas.
Je l’imaginais déjà me piquer le gland pour ensuite l’envelopper dans un cocon, le liquéfier et le savourer lentement et probablement de l’intérieur.
Doux Jésus ! Tout mon système électrique était en surcharge et mes nerfs tendus comme des cordes a piano.
Je me reculer rapidement a genoux, la caméra dans une main, écartant des branches de l’autre, les yeux fous et le plus silencieusement que je pouvais en regardant la toile s’étirer. Et dans ma panique mon cul heurta un tronc d’arbres mort me stoppant net. La toile c’était déchirer, ouf, et l’araignée disparue, ouf. Mais ou ?
Complètement paniqué je vérifier mes bras, mon torse, mes jambes, ma bite, mais rien.
Je soupiré longuement et me frotter le derrière parce que l’écorce sèche et rugueuse de l’arbre m’avait griffer les fesses et cela me chauffaient terriblement. D’autres petites douleurs de plus. Moi et un gars des forces spécial, ça faisait deux, aucun doute la dessus.
J’essayé de me débarrasser de la soie gluante collée à mon gland rester gonfler, sans doute à cause de la peur, ma elle adhérait à mes doigts et sa me chatouillait trop, je faillit jouir.
En jetant des coups d’oeil au filles pour être certain quelle ne me voyait pas je prit une poignée de tourbe pour me nettoyer la bite puis les doigts, les yeux petit tellement c’était agréable, surtout après ma petite frousse. J’en tremblais encore.
Je respirer à fond quelque peux épuiser, l’adrénaline qui retombait sans doute, remarquant que les femmes discutaient toujours calmement. Gros soupir de soulagement.
Un peut nerveux et me trouvant encore moins mâle que d’habitude, je me trouvé un autre endroit et m’y installer, mais seulement après l’avoir inspecter minutieusement. L’avantage ces que je les voyais mieux d’ici, et que j’étais pratiquement en face d’elle.
Bien assit sur mes fesses, toujours brûlante, j’appuyer sur le bouton de mis en marche de ma caméra, le bruit que fit la lentille sortant de l’appareille me sembla résonner autant que celui d’une perceuse électrique dans un cathédrale déserte. Mon coeur s’arrêta net et mon corps se couvrit de sueurs froides encore une fois.
Je me voyais déjà fuir tout nue avec les branches qui me fouettait le corps en me disant quelles devinerais très vite qui était l’idiot de voyeur qui les espionnait. A ma connaissance j’étais le seul mâle du coin, le seul mâle humain en tout cas.
Mais elle parlait et riait toujours.
Ouf…
Mes épaules retombèrent, mon coeur malmener se calmait et je commencé à filmer en faisant un un zoom avant sur elles.
On avait investit une petite fortune sur cette mini caméra haute définition et cela en valait le coup.
Même avec le zoom a fond, il n’y avait aucune pixellisation. Je filmais toujours en format cinéma avec une netteté d’image qui me surprenait à chaque fois sur notre écran géant, même chose pour les photos.
Je fit un gros plan de la poitrine blanche de Pierrette qui débordait amplement de son bikini, de son ventre un peut rebondit, de sa gorge recouverte de grosses taches de rousseur puis de son visage pour en garder un bon souvenir et enfin je me concentrer sur la belle grande rousse qui parlait en sirotant son café en repliant les orteils parfois.
Je la filmer du bas vers le haut m’attardant sur ses orteils aux ongles sans keetex, sur ses long mollets lisse, ses genoux osseux, ses cuisses ferme et mince de mannequin et enfin sur sa poitrine un peut basse et écraser sous la serviette rose pâle et qui remuait doucement quand elle bougeait.
La pointe de son mamelon droit pointait toujours et avec le zoom j’avais l’impression d’être juste a coté d’elle et que je n’avais qu’a pointer un doigt pour le toucher, j’en salivais. Je filmer sa gorge, elle aussi recouverte de taches de rousseur brune et luisante de sueur, puis ses lèvres sans rouge et pale parfaitement dessinée tandis quelle buvait et se léchait les lèvres avec sa petite langue pointue.
Vu de si prêt, c’était tellement érotique que ma bite sursauta prête à exploser.
Je filmer son nez droit un peut busquer aussi recouvert de petites taches de rousseur comme le haut de ses joues et ses yeux brun-vert au longs cils magnifique et toujours a demie fermer.
C’est yeux et son sourire unique avec ses dents parfaite et ses deux dents de devant très large, ses ce qui faisait son charme a cette fille la, comme bien d’autre ces vrai, mais elle, je le voyais maintenant, même sans maquillage et coiffer tout croche elle restait superbe. Un subtil mélange d’élégance et de garçon manquer. Bandante a mort.
Mais moi, ce qui m’avait toujours fait bander le plus, c’était les rondes avec d’énormes seins comme Suzanne et a l’époque ou cette fille avait commencer à faire de la télé je m’étais souvent demander pourquoi je tripaits autant sur elle. C’était une bombe oui mais pas mon genre. Puis j’avais fini par comprendre. Elle ressemblait terriblement a ma soeur. Ma belle grande soeur d’un an mon aîné avec qui j’avais eu mes premières expériences sexuelles comme bien des garçons. Elle était curieuse la tabarnouche, même si elle était aussi timide que moi. Comme notre mère était morte dans un incendie un jour ou on était à l’école et qu’on avait pas d’autre famille, on nous avait placé séparément. Moi a l’orphelinat, puis adopter par la suite et elle dans une famille francophone au États-Unis, dans le Maine. On ne c’était jamais revu et comme tous nos souvenirs de familles s’étaient envolés en fumé, c’était à peine si je me rappelais à quoi ressemblais ma soeur si ce n’est qu’elle aussi était un vrai garçon manqué avec de grandes dents de lapin sur le devant.
Marie Lemieux, la belle lectrice de nouvelle, me rappelait ma soeur et mes premières expériences sexuelle. C’était probablement pour sa que j’avais développer une petite obsession pour elle.

Je revint à la réalité en les entendant rire et je continuer à filmé.
Comme moi Marie avait une petit bosse au front mais aussi quelques ecchymoses aux cuisses sans doute du a sa mésaventure dans la roulotte.
Il faisait de plus en plus chaud et sa peau blanche à peine bronzée se couvrait de sueur. Comme mon ex, c’était le genre de fille a rester blanche tout l’été sauf au-dessus des bras et des cuisses.
Elle riait constamment ses deux la, un trait de famille sans doute…
Puis Marie posa son café sur la table, prit la brosse et commença à démêler ses longs cheveux qui avaient sécher au soleil en décroisant les jambes, enfin. Mais comme son derrière se trouvait plus bas que ses genoux à cause du renfoncement de la chaise en toile, je ne vis rien, si ce n’est son beau nombril. J’étais si près que je n’osais pas me lever complètement de peur quelle ne me voit, mais je put le faire suffisamment pour entrevoir finalement son sexe sous la serviette entre-ouverte et sa belle toison avale presque en gros plan et je filmais tout sa. Merci petit Jésus, me dis-je !
Sa valait le détour et quelques petites douleurs. Oh oui !
-En tout cas j’en revient pas ! Dit-elle en refermant les genoux.
Merde ! Je me rassis sur les fesses.
Elle rouvrit les cuisses, je me redresser et mes genoux craquèrent. Out ch ! Elle les referma aussitôt. Cette fois je rester assit et filmer Pierrette encore un peut.
-De quoi! Fit celle-ci les yeux fermer, le visage serin lever vers le soleil. De la sueur perlait de sa gorge jusqu’entre ses seins pour s’accumuler dans son nombril et les petits replis se son ventre un peut rond.
-Ben, fit Marie sur un ton enjoué, sa fait pas mal bizarre de surprendre sa tante entrain d’avaler le sperme d’un gars, tabarouette ça donne un choc !
Wow ! Entendre cette femme la parler de sperme fit pulser ma bite. Encore la semaine dernière elle avait reçut en entrevue le premier ministre du Québec.
Pierrette sourit avant de répondre.
-Vient pas me dire que ta jamais avaler ma grande, hum ! Je te croirais pas !
-Wais, sé sûr ! Affirma t’elle. Chut pas forte la dessus mais sa m’arrive, mais vous, ma tante si… Si…
-Si quoi ?
-Si digne, si fier. Si hautaine… Enfin ! C’était une sacré surprise !
-Toi aussi quand on te regarde a la télé tu donne l’impression d’être trop digne, trop fier et trop sérieuse, pas le genre a sucer une bite pis a avaler. Mais on le fait toutes non ?
-Wais je sais, mais de la a le voir ! Vous êtes un peut comme ma deuxième mère, j’ai habiter chez vous trois ans. Sa me fait drôle ses toute. Je m’attendais pas a sa en venant camper avec vous ! On est icite pour ce reposer pis se faire bronzer en principe, non ?
-Cé plate sa se reposer, se faire bronzer ! On bronze pas de toute façon toué deux. Té blanche comme un drap pit moué avec !
-Bon, bon ! J’ai rien dit ma tante ! Cé vrai qu’avec vous faut que sa bouge tout le temps, même si ces juste la tête hum ! Dit-elle en lorgnant vers Pierrette contente de sa petite tirade.
– Chut une femme comme les autres Marie, j’écarte les cuisses, je suce, pis parfois j’avale. Et ce matin j’avais le goût de sucer pis d’avaler, de faire ce petit plaisir a cet homme la, pis Paul en a une belle. Sa bite est ni trop grosse ni trop petite, bien droite et sans prépuce j’aime mieux sa pour ce qui est de sucer et toi ?
Je déglutis en regardant Pierrette sourire les yeux toujours fermer en me disant quelle le faisait exprès pour embarrasser sa nièce comme tout à l’heure ou me faire bander plus dure comme si elle savait que j’étais la. Je commençais a pensé qu’avec cette femme la, tout était possible.
La, Marie cessa de se brosser les cheveux et regarda drôlement sa tante, les yeux rieur.
-Ta- ba -rouette ma tante. On parle crue à matin ! Lâcha t-elle en éclatant de rire et rougissant. Ouf. J’ai chaud !
Sa voix érailler si sensuelle me m’envoûtait.
-Ben si on veut bien se comprendre faut utiliser les bons mots non ? Tes une spécialiste de la communication, tu devrais le savoir. Ta étudier la dedans.
-J’ai étudier en communication, en journalisme et un paquet d’autres choses mais pas en discutions entre femmes sur les pénis, les pipes, et… et le reste. Fit Marie en recommençant à s’occuper de sa longue chevelure épaisse. Je parle crue aussi parfois avec mes amis de fille, surtout quand on a un petit verre dans le nez, mais avec vous ses la première fois ! Sa me gêne un peut, ces comme si je faisais sa avec ma mère.
-Seigneur, ta mère et moi si tu savais ce qu’on se raconte…
-Non ! Non ! !Non ! Coupa Marie. Je veux justement pas le savoir. Ma tante tabarnouche on pourrait pas parler d’autre chose… je sé pas… Cé beau dans le coin non ?
-Tes prude sa se peut pas ma grande, ta cinquante et un ans je te rappelle.
-Wais, merci de me le rappeler.
-Cé bon de se le faire rappeler Marie.
-Chut prude, chut comme ça cé toute ! Pis chut la seul de la famille, je comprends rien la dedans. P’pa non plus y et pas le genre timide. Dé fois je me demande si j’ai pas été adopter tabarnouche.
Mes bras se couvrirent de chaire de poule en entendant cela. Et si… Mais non, impossible. Elle venait de Québec, elle le disait assez souvent. Et puis ma mère était toute petite, mon père par contre aucune idée. Il avait déguerpit en apprenant que ma mère était en sainte de ma soeur. Mais moi j’étais grand, 5′ 8  » tout comme la grande rousse. Je l’avais lut quelque part. Même taille, même yeux bruns, un ans de plus que moi. Je chasser cette idée idiote, moi le frère de Marie Lemieux. La je rie en silence en revenant a mon trip de voyeur.

-Pis les bites ? Demanda Pierrette avec un petit sourire au coin.
Marie soupira en levant les yeux au ciel puis secouant la tête l’air complètement décourager par sa tante.
Sa me fit rire en silence. Autant ces femmes la m’excitaient, autant elle m’amusait. Je découvrais que ma belle lectrice de nouvelle n’était pas aussi pogner et pédante quelle le paraissait a la télé. Qu’en faite, c’était tout le contraire. Une belle grande fille timide comme une adolescente, qui sacrait et parlait de sexe comme tout le monde mais difficilement comme moi. Une miss catastrophe en plus. On avait des atomes crochus, j’étais aussi un monsieur catastrophe et un grand timide. Sa me plaisait et… Et si c’était ma soeur…
Idiot, me dis-je aussitôt, ta trop d’imagination !
Et la j’entendit…
-Quoi les bites ! Bites ! BITES ! Criait Marie en riant. Je l’ai tu utiliser la le bon mots la Pierrette !
-Wais, et pis, les bites ? Arrête dont de te brosser les cheveux tu m’énerve.
-Pis quoi les maudites bites ? Fit Marie exaspérer sans cesser de se les brosser.
-Avec ou sans prépuces ?
Elle réfléchit un moment en plissant la bouche.
-Bof ! Fit-elle en soulevant les épaules. Sa me dérange pas.., en autant que se soit propre !
Elle se regardèrent un instant puis éclatèrent de rire. Moi aussi.
-Ben quoi ! Fit Marie entre deux fous rire. C’est vrai non ? Seigneur si quelqu’un nous entendait !
J’en avais des frissons de les entendre justement, d’entendre le mots bite sortir de la belle bouche si sensuelle de la lectrice de nouvelle et de sa tante aussi !
Elle se calmèrent un peut. Marie remonta la serviette qui avait glisser sur ses seins en recroissant ses longues jambes.
Il y eu un long silence puis Pierrette rajouta.
-En tous cas ma grande, tu té pas gêner pour regarder tantôt… hum ! Même que sa ta éxiter, sa se voyait. T’était sé haute en tabarouette. Si tu serais arriver un peut plutôt t’aurais put m’aider !
-Woh la ! Tabarnouche. Fit Marie en riant encore. Je pense qui en as eu pour son agent le beau Paul avec vous ! Enfin, il la eu gratis, mais, y était content je pense ! Pis avec la longue, longue, très longue expérience que vous avez, pas besoins d’être deux pour faire ça.
Pierrette pinça la bouche avant de dire.
-Ya peut être un longue de trop Marie !
-Ok j’en enlève un.
Nouveau rire.
-Comme ça, tu le trouve mignon aussi ! Demanda la tante malicieuse.
-Wais ! Fit Marie au bout d’un moment en baissant le ton et regardant aux alentours, comme si elle avait peur que je puisse l’entendre. Y as un beau petit genre pis un beau petit cul ! Continua t-elle embarrasser en déposant la brosses et prenant le pot de crème a bronzé, s’en versant généreusement dans les mains pour s’en mettre sur les bras, les épaules et la gorge. Pis y as de maudite belle cuisses en tout cas, j’en reviens pas ! J’aime sa moi des beaux grand gars timide comme ça pis pas poilu ! Wais, j’aime ben sa !
Mon ego enflait…
-Sa je le sais ma grande ! Ta toujours sortit avec des hommes timides sauf celui que, malheureusement, malgré mon avis contraire et celui de tes amis, ta marier et dont tu viens, enfin, de divorcer.
-C’était une grande phrase sa ma tante, reposer vous un peut.
Elle rirent encore.
Moi qui pensais que des femmes comme Marie préférait les beaux grands gars style George Cloony. Je jubilais. Elle paraissait souvent au bras d’homme de ce genre la dans les magazines de vedette ou dans les galas. J’étais surprit.
-Paul est un artiste, y fait des affaires sur le net, je sais pas trop quoi encore, photomontage, quec chose du genre ! Ah oui, un graphiste.
-Hum ! Dommage qu’il ait une blonde, mais vous, sa vous as pas trop déranger tantôt.
Dommage qu’il est une blonde ! Sa me donna le tournis. Dommage pourquoi ? Juste baiser ou plus…
-Lui non plus !
-Non, sa je pense pas ! Pauvre elle ta vue ses seins Pierrette, c’est une belle femme par exemple, une indienne on dirait ?
-Oui, une métis !
-A sa place je m’en serais fait enlever un peut ! A doit avoir mal dans le dos la pauvre ! Dit-elle en se crémant le visage.
-Y paraît que non !
Marie rit encore.
-Quoi ? Fit Pierrette.
-Ben, c’est le genre de conversation qu’on a matin, on dirait qui as juste sa le sexe ; les bites, les seins, les fesses. Ça doit être le camping qui fait sa !
-Tu manque de sexe, ses pour sa que t’en parle autant ma grande ! Affirma Pierrette d’un ton anodin.
-Quoi ! Moi ! S’étrangla Marie. Sé vous qui parler juste de ça ! S’exclama t’elle surprise et amuser en fronçant les sourcils. Pis comment sa je manque de sexe. Je manque pas de sexe moi! Enfin… C’est un peut tranquille depuis un bout mais… Ces pas si pire.
-Je le savais ! Pis j’ai ben vu comment tu regardais sa bite tout à l’heure, y as pas juste des belles Cuisses hein !
-Ouais y en as une belle, pis ! Sé pas parce que je l’ai regarder que je manque de sexe. Sé beau de voir un gars en érection sé toute !
Elle rougissait encore la grande timide, sa la rendait que plus bandante a mes yeux, plus désirables. Et moi j’étais électriser de les entendre parler de ma bite. J’imaginais déjà que trop bien ce que Suzanne allait dire en regardant ce film. « Ouais mon homme la tête a dut t’enfler, pas juste la bite hum !”
-Ta déjà baiser avec un gars qui se rasait les couilles comme lui. Cé si doux sé pas croyable.
-Oui sa mé arriver ma tante ! Affirma t-elle platement.
-Ça fait quoi ? Six mois que té séparer, té dut ! Continua Pierrette. Saute-y dessus le beau Paul y demande juste sa ! Y te dévorent des yeux comme si t’était une déesse. En tout cas y a fait un tout un saut quant té apparu à matin sur le chemin.
Elle rirent un moment et Marie dit.
-Mais en ! Pauvre lui. La face qui a faite, sans parler de la mienne.
-Y doit être de ceux qui bande sur toi en cachette de sa femme en te regardant à télé, et la, oups, té juste a coté de lui pendant qui me vient dans bouche. Imagine ! Son coeur a dut arrêter y est devenus tout blanc.
Elle rirent encore un bon moment et Marie rajouta en reprenant de la crème a bronzé et commençant à se frotter les cuisses pendant que je filmais ça en gros plan.
-Je sé ben qui se ferait pas prier pour me fourrer, mais sé pas parce que je suis séparer que je baise tout ce qui bouge et pis y as sa blonde, pis chut en vacances. Au repos en principe.
-Je l’ai ben sucer même si y as une blonde, pis y ma dit qu’ils étaient pas jaloux ni l’un ni l’autre alors !
-Wais ! Wais ! Vous les avez surprit à baiser en pleins milieux du chemin en plus. Y aime s’exhiber ses deux la !
-Y se pensaient seul dans le coin. Cé le fun de le faire en pleine nature non ? La peur de se faire surprendre. Sa dure moins longtemps par exemple, sa les excite trop les hommes mais bons. Ta jamais fait sa évidemment ?
-Oui sé le fun ma tante. Fit Marie sur un ton de femme blasé tout en riant encore et en repliant ces jambes l’une après l’autre, posant les talons sur la chaise pour se huilé les mollets et les pieds.
Je put filmer encore son sexe qui m’obsédait !
-Wais mais quand même ! Continua t-elle. En tout cas avec le chaud que vous m’avez fait faire tantôt devant lui, y as juste plus le goût de me fourrer ça ses sur ! Merci encore Pierrette. C’était ben le fun, pas gênant pantoute de montrer ses fesses a un voisin de camping !
Elle referma le pot de crème et étira ses longues jambes devenues luisante a présent en pliant et dépliant ses orteils.
La tante rit a son tour avant de rajouter.
-De rien, mais on a pas vu juste tes fesses, ta noune avec, mais juste un petit peut !
-Sacrement ! Ces pas vrais ?
-Bof, à peine, mais assez pour savoir que tu te teins les cheveux. Moi je le savais mais…
-Câlice ! Ma tante ! Fit Marie en haussant le ton de découragement.
-Quoi, c’était drôle sé toute !
-Non, justement sé pas drôle. Une chance qui avait personne aux alentours avec une caméra. Ma carrière aurait prit le bord.
La je me sentit un peut mal, mais pas trop.
-J’aurais jamais fait sa dans un camping, tu le sé ben !
-Je le sé, pis moué jamais je me serais montré à moitié nue comme je suis la… mais… Enfin.
-PMais ces pour sa qu’on est ici je te rappelle, dit Pierrette, parce que ces tranquille, parce que y a pas des dizaines de personnes pour te reconnaître comme la dernière fois en Gaspésie et venir nous déranger sans arrêt pour se faire prendre en photo avec toi en disant; Oh que vous êtes bonne au nouvelle, vous êtes plus belle qu’a tv, je vous pensais plus mince, plus grande, bravo pour votre programme…
-Ok ! Ok ! J’ai comprit ! Mais je vous en doit une en tous cas Pierrette ! Je l’oublierai pas celle la ! Marie secoua la tête de découragement avant de rajouter d’un ton faussement pompeux le sourire au lèvre en soupirant.
-Ah seigneur ! Sa devient lassant d’être une bombe ! De voir dans les yeux de toué hommes, ou presque, celle la je te dis… Je la fourrerais d’aplomb !
-Pauvre toi ! Mais je te comprends. C’était comme sa tu sais pour moi aussi quand j’étais jeune, même a ton age, toué gars bandait sur moi. Mais on vieillit vite ma grande, manque jamais une occasion de te faire baiser quant t’en a envie. Pis fait comme moi a matin, saute-y dessus le beau Paul, ses un timide, lui y osera jamais tu le gêne trop. Attire lé dans un coin loin de sa blonde pis fait toi fourrer, sa te ferais du bien ! Je pourrais aller les voir et lui demander de venir te donner encore un coup de main pour la roulotte comme excuse, pendant que moi je jase avec sa copine !
La grande rousse éclata de rire tête renverser en arrière, moi je jubilais les yeux tout rond ! Cette Pierrette la, c’était tout un numéro. J’avais le goût d’aller l’embrassé.
-Hum ! Je vais y penser l’entremetteuse !
-Pense-y pas trop, fait-le !
-Pis vous, pas envie de vous faire écarter les cuisses par lui ? Y doit penser qu’a sa depuis la pipe pauvre gars!
-Moi ? Tu pense, a mon age ?
-Faite pas l’innocente, vous le savez ben ! Vous êtes encore bandante a mort ma tante !
-Wais sé vrai, et je dirais pas non ses sur ! Tu m’arrangeras ça !
Je soupiré étourdis. Ces filles la avaient une bonne complicité pour une nièce et sa tante et avec un peut de chance je baiserais les deux. Ouf…
-Pauvre gars, si y savait ce qui l’attend ! Lâcha Marie le plus sérieusement du monde. Puis elle se regardèrent et pouffèrent de rire encore une fois. Et Pierrette rajouta.
-Cé pas fin pour sa blonde sa par exemple !
-Ben non, mais la y est peut être un peut tard pour avoir des remords après ce que vous y avez faite à matin !
-Wais peut-être ! En tout cas si jamais tu lui fais la même chose prépare toi, y as un gros réservoir le grand Paul.
La elle rirent à n’en pleurer.
Je filmais en souriant aussi tout en me masturbant lentement de la main gauche en me bavant dessus ou presque. Je m’imaginais déjà entre leurs cuisses sans y croire. Et ce quelle ne savait pas, c’était que Suzanne n’était pas la et pour trois jours en plus. J’imaginais déjà plein de choses, comme baiser touts les trois ensemble ce soir dans leur roulotte après avoir but mes deux bouteilles de vin ! Pourquoi pas ? Ou demain en randonnée avec Pierrette si elle acceptait de venir, j’aurais pas trop de problème a l’étendre quelque part. Je le savais maintenant.
J’avais dut me réveiller dans un monde parallèle aujourd’hui ! C’était trop beau. Mais une chose était certaine, je ne rêvais pas. J’avais trop mal partout pour sa.
Une autre que moi sortirait probablement de la jungle en disant ; Salut, je passais par la tout nue, on va dans la roulotte les filles. Mais j’avais trop de plaisir a les espionner et a les filmer. Et puis demain je ferais l’imbécile si l’une ou l’autre manigançait pour me jeter entre les cuisses de l’autre. J’en salivais déjà.

Marie hocha de la tête en reprenant son souffle semblant cette fois complètement décourager par sa vielle tante.
-Seigneur. Fit Marie. Vous changerez jamais Pierrette.
-Dieux merci ! Fit l’autre.
Marie ferma les yeux, le visage vers le ciel comme sa tante pour profiter du soleil jambes bien écarter à nouveau.
Je me masturbais toujours et mon sexe commençait à dégoûter. Je retenais mes gémissements de plus en plus difficilement mais je me lâcher. Je ne voulais pas en terminer si vite, rien ne pressait. Le ciel était bleu, sans nuage, les filles étaient belles et parlait de sexe, pourquoi se presser.

Mais si j’avais su…

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