Je vous suis dans les méandres des venelles obscures d’une cité hypothétique. Il y fait chaud, vous êtes vêtue très légèrement : une robe flottante, légère, de couleur claire, sans rien dessous. Nous sommes tous les deux a flâner dans ces passages tantôt éblouissants de soleil, et parfois frais, a l’ombre.
Les immeubles sont vieillots, parfois lépreux. Ces venelles sentent la cuisine du sud. Il y flotte des relents d’huile d’olive, d’origan.
Nous nous trouvons dans les bas quartiers de Naples. La musique s’échappe paresseusement des fenêtres voilées, une musique sirupeuse.
Nous croisons parfois des petits vieux assis sur des chaises, sur le pas de leur portes, jouant au dominos, avec des voix qui se veulent fortes mais qui vacillent sous le poids des ans.
Vous avez chaud, vous êtes moite, et parfois vous frissonnez dès que nous passons sous des porches ou des étendages de linges encore légèrement humide.
Nous passons aussi devant des petites bandes de jeunes adultes, ceux la nous dévisagent, se demandent ce que ce couple d’étranger viens traîner dans « leur » territoire.
Ils sont assis, a moitié couchés sur des cageots, ils nous regardent passer, se regardent, souris en échangeant des paroles a voies basses, incompréhensible ce dialecte napolitain.
Ceux la vous inquiètent, vous les regarder par en dessous, furtivement. Leur regard se fait trop pénétrant. Ils vous déshabillent lentement du regard.
Vous comprenez soudain que cette petite robe légère, si agréable a porter est en même temps un piège pour les regard indiscrets qui abusent des effets du soleil.
Votre nudité, vous apparaît comme trop évidente.
Les pointes des tétons qui saillent sous le tissus, et en contre jour l’ourlé délicat mais bien dessiné des vos lèvres apparaissent, flagrantes, évidentes. Vous voulez presser le pas.
Cette nudité qui vous excitait tout a l’heure, commence a vous peser. Vous la regretter. Vous me demander de rebrousser chemin, vous voulez rentrer a l’hôtel.
Il y a plusieurs heures que nous marchons dans ce labyrinthe de ruelles. Du charme que dégage cet endroit,
apparaît maintenant un autre aspect, plus feutré, mais plus violent, cette v******e latente qui s’en dégage maintenant est plus conforme a la réalité.
Nous rebroussons chemin. Mais pour aller ou ? Ce passage, a droite, ou celui ci, a gauche? De quelle ruelle somme nous venus ?
Qu’a cela ne tienne, nous en prenons une, au hasard. Le soleil est maintenant haut dans le ciel. Il fait une chaleur torride.
Les petits vieux ont désertés leur chaise, la musique se fait murmure. C’est l’heure de la sieste. L’angoisse vous fait transpirer, des auréoles se dessinent sous vos aisselles.
Votre robe commence à se plaquer entre vos seins, faisant ressortir leur galbe. Nous marchons plus vite, nous sommes fatigués.
Nous nous rendons compte que des pas font échos aux nôtres. Des rires aussi, plutôt des ricanements. On nous suit.
Ils sont une dizaine. Devant ce groupe il y a une femme, celle qui semble être la plus âgée.
Grande brune aux cheveux frisés, en short de jeans sale, baskets trouées et blouson de jeans.
Derrière ils sont plusieurs a être dans ce même genre d’uniforme. Ils ont l’œil noir, la chevelure grasse.
Nous pressons l’allure, mais ils ont toujours la. Nous nous engageons dans ce que nous croyons être une ruelle.
Malheureusement ce n’est qu’un cul de sac.
Quand vous comprenez que nous somme dans une impasse, vous me regardez et je vois dans vos yeux que vous comprenez que nous allons avoir des problèmes.
Vous pâlissez à vue d’œil.
Ils nous barrent le passage. Impossible de faire marche arrière. Peu a peu ils nous encerclent. La femme en short s’avance vers nous.
Elle nous parle en italien, voyant que nous ne comprenons pas elle essaye l’anglais, puis le français. Bien qu’ayant un fort accent et un français approximatif, elle est assez a l’aise avec l’argot. Elle ouvre son blouson, sort un couteau a cran d’arrêt, l’ouvre.
Elle fait un signe a gauche et un a droite. Soudain trois personnes me tiennent les bras et le cou.
Et deux autres vous maintiennent les bras. Elle s’avance vers vous. Vous regarde au fond des yeux de son regard noir.
Soudain elle tend sa main gauche, prend le haut de votre robe et de la main droite elle insère son couteau dans l’échancrure et descends sa lame.
Elle coupe en deux votre robe. Elle écarte les pans de ce qui fut une belle robe printanière.
Elle vous regarde, s’écarte et vous offre en spectacle a ses compagnons. Ceux ci, d’abord estomaqué devant ce fabuleux spectacle, poussent des petits sifflement et rient a gorges déployées.
Quelques uns s’avancent veulent voir de plus près la blancheur de votre peau. La femme leur dis quelque chose. Ils avancent et commencent à mettre la main sur vous, sur vos seins.
Ils les malaxent les pincent. Dans un sursaut vous essayer de vous débattre. Mais la femme est la et commence à vouloir vous faire sentir la pointe de son couteau.
Elle le pose sous votre sein gauche et vous fait sentir que si vous vous debater plus, elle n’hésitera pas.
A ce stade, vous comprenez que personne ne peut plus rien pour vous. Vous me lancer un regard déconfit, fait de peur, de résignation.
La femme vous attache les mains dans le dos avec la ceinture de son short. Elle vous fait mettre à genoux.
Elle rabat ce qui vous reste de robe sur vos coudes. Ainsi offerte vous êtes impuissante a toute rebellions.
Comme vous baisser la tête, elle vous prend les cheveux a pleines mains et vous fait la redresser. Elle veut que vous voyiez. Et vous voyez.
Elle fait signe au plus jeune d’avancer. Devant vous, il ouvre sa braguette, sort son sexe. La femme pousse alors votre visage en direction de ce sexe.
Vous ouvrez la bouche. La femme toujours debout a coté de vous fait un mouvement de va et vient avec votre tête. Vous sentez ce sexe brûlant buter contre votre palais.
Et puis c’est le tour d’un autre, et d’un autre, et d’un autre.
Il y en a un qui, devant ce spectacle n’a pu se retenir; il a éjaculé sur votre visage quand il s’est retirer pour faire place à un autre.
Ceux qui me tiennent sont remplaces par ceux qui sont déjà passe dans votre bouche, histoire qu’ils en profitent aussi.
Vous avez eu le temps de les conter : 9. Ils sont neuf a être venu explorer votre bouche. Vous avez la mâchoire endolorie.
Les cheveux qui vous font mal. Mais au fur et a mesure il y a une espèce d’alchimie qui se fait en vous.
Alchimie du a la chaleur, aux odeurs de sexe, de transpiration acres, et du sperme qui s’est écoulé lentement du front en passant par l’arrête du nez et qui poursuit sur l’ourlé de vos lèvres constamment ouverte et remplies pour finir sur votre menton et couler en perle sur vos seins. Vous n’avez pas mal, vous êtes dans un état second, comme hypnotisée, anesthésiée.
Une fois qu’ils sont passés dans votre bouche, la femme se met devant vous, toujours vous tenant les cheveux.
Elle déboutonne son short, le baisse et vous plaque la bouche sur sa toison noire. Elle vous ordonne de la lécher.
D’une langue malhabile, engourdie, vous cherchez comment faire.
Vous dardez votre langue, elle entre en contact avec un petit bouton rond, chaud et humide. Vous vous activez dessus.
L’alchimie du parfum et de la moiteur joue de plus en plus, vous trouvez cela presque agréable.
Ensuite elle vous relève, vous embrasse à pleine bouche. Mais ce n’est pas fini. S’ils n’ont pas tous jouis dans votre bouche, c’est qu’ils vous réservaient une suite.
Debout, la femme vous fait vous plier en deux. La un des hommes s’approche de vous et vous pénètre le sexe.
A votre grand étonnement il est mouillé à outrance. Il rentre en vous sans douleur. Puis un autre et un autre.
Certain préfère prendre votre cul, qu’ils bourrent consciencieusement, avec force. Vous ne pouvez vous empêcher de pousser des petits gémissements.
Malgré votre situation votre plaisir commence à venir. La femme s’en rend compte, elle sourie.
Dans son français, elle vous traite de salope, de chienne en chaleur et pour finir elle vous crache dessus.
Vous ne savez pas si vous êtes en colère ou un petit peu contente de vous sentir prise comme une bête, comme un objet de tous les désirs.
Le vôtre en tout cas est la, discret, n’osant pas l’avouer; mais votre chatte mouillée et repus, votre cul empli en témoignent.
Quand tout le monde a limé votre chatte, fourré votre cul, elle vous fait ensuite mettre à genoux. La les neufs se masturbent sur vous.
La femme vous tient la tête pour que vous ne perdiez pas une goutte du spectacle de ce sperme qui va se rependre sur vous.
De longs jets de sperme brûlant vous fouettent les seins, le visage, les lèvres. Il dégouline lentement sur votre ventre.
Vous êtes couvertes de traînées blanchâtres, avec toujours cette odeur qui vous enivre.
Quand ils ont tous souillé votre corps la femme se penche vers vous, vous embrasse une dernière fois avant de baisser son short et d’uriner sur vous pour vous laver.
Elle récupère sa ceinture, se rhabille, tourne le dos et vous laisse la a genoux trempée. Un dernier coup d’œil et un grand éclat de rire.
Sous le soleil de ce cul de sac le spectacle que vous offrez est étonnant. A genoux, vous sécher, immobile. Hésitant entre la colère et la satisfaction.
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