Enfin, les vacances !!! Après une année à bosser pour obtenir ce bac de français, j’allais enfin pouvoir lâcher la pression en me détendant devant les matchs de l’Euro.
En plus, les vacances commençaient bien : mes parents partaient le lendemain pour une semaine sur la côte et avaient assez confiance en ma relative maturité pour me laisser seul à la maison. Enfin, ils n’avaient surtout pas envie de m’avoir dans leurs jambes.
Moi, c’est Romain, 18 ans et étudiant lambda. On va dire que j’ai un physique passe-partout et je n’ai malheureusement pas encore connu mon heure de gloire avec les filles.
Après une bonne nuit à jouer sur le pc, j’immergeai de ma chambre. Les parents étaient déjà partis et m’avaient laissé l’habituel petit mot sur la table de la cuisine.
« Bonjour Romain, nous sommes partis tôt, on te laisse un peu d’argent et pense à faire le ménage. Ta sœur a peut-être prévu de venir passer le weekend ici.
Les parents.»
Ah…Merde ! Ma sœur… Ce n’était pas fait pour m’enchanter mais, après tout, c’était chez elle aussi ici. Étudiante en lettres sur Lyon à 22 ans, elle bénéficiait d’une chambre sur le campus du fait de la distance et ne rentrait que quelques week-ends et pour les vacances.
Avec ma sœur, on n’était ni proches, ni distants. Une relation classique entre frère et sœur.
Profitant des premières chaleurs et comme le match ne commençait qu’à 21 heures, je décidai d’aller piquer une tête dans la piscine et commençai à somnoler sur mon matelas gonflable.
Un « salut » me sortit de mon rêve. J’ouvris les yeux. Ma sœur était là, au bord de l’eau. On s’échangea deux ou trois banalités. Je remarquai qu’elle avait changé de coupe de cheveux.
— Il fait chaud, je me change et je te rejoins dans la piscine.
— OK…
Finie la tranquillité…
Elle revint 5 minutes plus tard en maillot deux pièces rouge et, là, j’eus le choc de ma vie. Sûrement parce que c’était ma sœur, je ne l’avais jamais remarqué, mais elle a des seins juste parfaits, ni trop gros ni trop petits, juste assez pour être tenus dans les mains.
Après 5 minutes de baignade, elle m’annonça qu’elle allait se sécher et j’en profitai pour regarder de nouveau son corps.
— Dis, Romain ?
— Quoi ?
— Est-ce que ça te gène si j’enlève le haut quelque temps ?
— Hein… Euh quoi ? Euh… Non, fais comme tu veux.
Je peux vous assurer que je commençais à devenir serré dans mon short et ce n’étaient pas les coups d’œil discrets vers son transat qui m’aidaient à redescendre. Je restai une bonne partie de l’après-midi dans l’eau pour cacher mon état.
Ma sœur quitta son transat et m’annonça qu’elle partait faire une course en ville. Dès que j’entendis sa voiture démarrer, j’en profitai pour filer dans ma chambre qui se situait en face de la sienne pour me soulager.
Alors que j’étais bien concentré sur ma tâche, j’entendis un « j’ai oublié mon port…. » et, là, je vis ma sœur rouge de honte sur le seuil de la porte, me fixant, moi, allongé sur mon lit la queue à la main… Elle fit demi-tour directement et j’entendis claquer la porte d’entrée.
Coupé dans mon élan et surtout pas très fier de moi, je décidai d’aller prendre une douche bien froide.
Elle revint 2h plus avec des mac Donald et me proposa de manger devant la TV vu que le match allait commencer. Avec un clin d’œil, elle me demanda d’aller me laver les mains. Moi, tête basse, je lui obéis.
Malgré ce qu’il s’était passé, ma sœur était plutôt détendue et me proposa même d’ouvrir un pack de bières. J’acceptai volontiers : avec un peu de chance l’alcool me ferait oublier ma honte.
Ce fut la mi-temps. Je demandai à ma sœur si elle voulait une glace. Je venais juste de le remarquer mais elle avait déjà bu quatre bières. Elle avait une sacrée descente, quand même.
Je ramenai des cornets et, quand il fait chaud, on sait que ça dégouline.
— Merde, me dit ma sœur, j’en ai foutu plein mon T-shirt.
— Bah, enlève-le, lui répondis-je, plus absorbé par le match.
— Tu me repasses une bière, s’il te plaît ?
Je tendis la main, attrapai la dernière bière et me retournai vers ma sœur pour la lui donner et, là, je bloquai… Ma sœur était seins nus à moins d’un mètre de moi…
— Tu m’as dit que je pouvais enlever mon T-shirt.
— Euh oui.
J’avalais difficilement ma salive et j’avais surtout du mal à quitter ses seins des yeux. Sans savoir ce qui me prenait, peut-être de la folie, mais je posai ma main sur son sein gauche. Nos regards se croisèrent. Elle n’avait pas l’air surprise.
Je m’enhardis et commençai à me rapprocher d’elle. Je tentai un baiser dans le cou. Elle ferma les yeux. Je me couchai sur elle et descendis ma bouche sur ses seins que je léchai et embrassai comme un damné.
Je sentis la main de ma sœur qui cherchait l’ouverture de mon short. Elle tâta la bosse qui s’était formée.
— Hum… J’aime quand elles sont dures comme ça. Dis- moi, à qui tu pensais quand je t’ai surpris tout à l’heure ?
— À toi, lui répondis-je timidement.
— Alors, laisse-toi faire.
Ma sœur se leva, s’accroupit devant moi et m’aida à enlever mon short.
— C’est pour que tu voies bien quand ça va gicler dans ma bouche et j’espère qu’il y en aura beaucoup.
La meilleure sensation de ma vie… Ma sœur commença de petits va-et- vient et accéléra le rythme puis retira mon sexe de sa bouche et fit claquer sa langue sur mon gland. Peu habitué à ce genre de pratique, je me vidai dans sa bouche après 5 minutes avec un grognement.
Ses seuls mots furent « hum » quand elle me sentit me répandre.
Puis, aussi vite que possible, elle se leva, la bouche pleine. J’entendis le robinet de la salle de bain couler et la porte de sa chambre se fermer ensuite.
Je restai là, les yeux encore pleins d’étoiles, et j’étais incapable de donner le nom du vainqueur du match…
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