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L’étreinte

L’étreinte



Imagine une pièce confortable mais austère, un canapé trône dans un angle, des livres sur une bibliothèque, la pièce rappelle plus une salle d’attente qu’un lieu de vie, elle est impersonnelle, sans vie, triste.
Je suis assis sur ce canapé quand rentre cette femme si rayonnante à la chevelure noire, elle porte une jupe longue blanche immaculée, trop presque puisque elle laisse deviner sous le tissus de la jupe un petit string blanc.
Elle vient s’assoir près de moi, je ne peux cesser de la regarder, son bustier met en valeur sa poitrine, le peu que je devine de ses jambes me laisse sans voix, elle remarque que je la regarde avec insistance et me fait un petit sourire complice, je ne manque pas de voir que les tétons de ses seins semblent durcir à vue d’œil sous ce bustier qui me laisse imaginer ce corps si désirable.
Je change de position, tout à la fois pour ne pas qu’elle remarque ma gène mais aussi pour tenter de cacher ce début d’érection qui me prend soudainement.
Sa peau si velouté, semble si douce, et si délicate, elle ne se départit jamais de son sourire désarmant, je suis envouté, et mes yeux bien malgré moi font des allez retour sur toutes les parcelles de son corps que je peux observer.

Dans un sourire malicieux elle se penche pour att****r une revue sur la table basse, son bustier découvrant sa chute de rein et sa peau qui semble si douce et palpitante.
Mes yeux sont aussitôt ramenés sur son bustier et sur sa poitrine que je devine ferme et généreuse dans ce morceau de tissus qui la comprime.
Elle lève la tête vers moi et me regarde dans les yeux, elle n’a pas besoin de parler elle me fait comprendre qu’elle m’a vu du coin de l’œil.
Je rougis et je détourne les yeux.
Elle se lève et tourne le verrou de la porte de la pièce, tout en s’approchant du canapé d’une démarche féline et très sensuelle.
Ses jambes sont comme fines et très joliment sculptée, une taille parfaite, des hanches que sa jupe volante fait deviner plus qu’elle les montre.
Elle s’assoit sur le canapé face à moi, elle me regarde, et passe une main dans son dos je devine qu’elle détache son bustier, je commence à me sentir mal à l’aise.

Elle approche son visage du mien et je ferme les yeux quand ses lèvres touchent les miennes. Je frissonne au contact de ces lèvres si belles et si délicieusement parfumées.
Elles se décollent des miennes et me font sentir un vide, un manque, une absence incroyable. Je rouvre les yeux pour voir son visage à nouveau proche du mien, enfin ses lèvres se reposent sur les miennes.
Je veux qu’elles n’en bouge plus, les sentir sur les miennes pour l’éternité. Ne plus jamais en être éloigné, mais elles redisparaissent.
J’entrouvre la bouche comme pour les appeler, les supplier de revenir, et je sens cette pointe de langue qui s’insinue entre mes lèvres, je la devine légèrement humide de sa salive, timide et pourtant terriblement curieuse.
Je la mordille du bout des lèvres pour la faire captive de ma bouche. Je commence à faire pointer la mienne vers cette langue intruse qui dessine le contour de mes lèvres entrouvertes.
Puis je sens le contact rassurant de ces lèvres qui reviennent s’unir aux miennes en un baiser où la salive nous fait partager encore plus les frémissements de l’autre.

Elle att**** une de mes mains qu’elle me guide vers son corps. Je dois être posé sur sa cuisse, je sens sa peau qui est parcourue de frissons, j’imagine ses tétons dressés dans leur cocon de tissus.
Je sens mon entrejambe qui frémit elle aussi, ce baiser qui dure maintenant et où nos langues se croisent et s’entremêlent dans une danse folle et emplie de désir est en train de faire monter en moi une pulsion d’amour.
J’ose approcher ma deuxième main de ce corps que je ne vois pas mais que je devine par sa chaleur et ses mouvements.
Je pose ma main sur ce qui doit être le ventre, et sur ce bustier qui est toujours en place, je remonte ma paume à plat sur la hauteur du bustier tentant de sentir la peau qu’il abrite, et je me rends compte que j’étais loin d’imaginer à quel point le téton pointe sous le tissus, dur, plein d’excitation.
Ma main qui est sur sa cuisse descend sur son genou, je cherche un chemin pour m’immiscer sous cette jupe, et pouvoir toucher cette peau que je n’ai pu toucher que du bout des yeux et de mon imagination.
Nos lèvres se collent et se décollent au rythme de nos baisers et je la sens aussi fébrile que moi.
Elle a posée ses mains sur mon torse qu’elle caresse au travers du t-shirt, ses mains me font l’effet de la caresse d’une plume, aussi douces et légères, elles me font dresser les tétons aussi et je sens qu’elle me les pince au travers du tissus et qu’elle les fait rouler entre ses doigts.

Je décide de finir de détacher ce bustier et de lui retirer, nos baisers n’ayant pas faiblit en intensité, je le fais les yeux clos d’une seule main.
La manipulation est délicate mais j’y arrive tant bien que mal et je le dépose loin de nos deux corps. Ma main revient sur sa peau si douce et si chaude.
Je peux la caresser du bout de mes doigts, de la pulpe de ceux ci, le plus gentiment et délicatement possible, tantôt faisant rejoindre mes doigts tantôt les étalant de toute la taille de ma main.
Puis de mon pouce et de mon index je souligne le galbe de sa poitrine que je caresse en remontant pour amener ma paume sur son sein, ma paume que je fais appuyer sur ce téton si dur pendant que mes doigts enveloppent son sein en une caresse douce et lente.
Ma seconde main tendant toujours de trouver où elle peut entrer sous ce tissu.
Elle trouve le bas de la jupe que je soulève et sous laquelle elle se glisse impatiemment.
Ses mains à elles ont retirés mon t-shirt de l’intérieur de mon jean et elle a glissée ses mains sous celui ci, une devant et une dans le dos. Elle me caresse si délicatement, si doucement, je dois parfois m’arrêter de l’embrasser de peur de trop frissonner sous ses caresses.
Ma main qui est maintenant sur sa jambe est surprise, même si la vue de ces jambes laissait imaginer une douceur incroyable, le toucher semble irréellement doux et étrangement soyeux.
Mes doigts semblent glisser sur celle ci, comme emportés sur un courant d’air chaud et souple.

Je bous de pouvoir toucher son corps plus en profondeur, ma main qui remonte le long de sa cuisse s’approche de plus en plus de son intimité.
Ma main sur sa poitrine a déviée et cours désormais sur son épaule, son bras et son dos, je caresse sa peau comme si ma main pouvait en aspirer la sève au travers de ses pores.
Elle a commencé à défaire la ceinture qui retient mon jean, ce qui me donne encore plus d’audace dans mes caresses, je la voudrais nue même si mes yeux toujours fermés je ne pourrais pas profiter de son corps.
Ma main rencontre un bout de tissus qui doit être son string, je n’ose pas aller plus loin comme si il représentait une barrière infranchissable à mon désir.
Elle pour sa part a défait les boutons de mon jean et commencé doucement à le faire glisser sur la taille. Une de ces mains passe dans le tissu et touche mon caleçon et ce qu’il contient.
Elle ne semble elle pas avoir cette retenue et prend au travers du tissu à pleine main ce que mon corps offre en réponse à ses caresses.
Cela débloque ma main qui se glisse sur le string et le parcours en des mouvements de doigts l’effleurant plus qu’autre chose.
Ma main en dessine le contour sur sa peau nue, comme pour délimiter la zone que je voudrais explorer et qui m’est refusée par ce minuscule petit morceau de tissus.

Je descends mon autre main qui caressait son corps si doux et réactif, pour qu’elle se pose sur sa taille. Je cherche à l’aveuglette comment est maintenue cette jupe pour la retirer mon corps réclamant de pouvoir toucher plus encore ce corps magnifique.
Je trouve ce qui retient cette jupe sur sa peau et je défais la fermeture, ma main glissant dans son dos au bas de ses reins et touchant la peau nue de ses fesses dessinées par ce petit bout de tissus qui fait monter en moi l’excitation.
Elle semble réagir sous ma caresse, son corps se cambrant un peu nos lèvres se décollant et se recollant encore et toujours au rythme incessant de nos cœurs qui palpitent de désir.
Puis je perds ses lèvres de la surface des miennes, pris de surprise je hoquète et ouvre un œil pour la voir me sourire et mon poser son index sur ma bouche comme pour m’inviter à ne pas dire un mot.
Elle se lève du canapé et sa jupe glisse sans difficultés tout le long de son corps finissant à ses pieds, pieds que je n’arrive pas à lâcher de mon regard.
Pris d’une soudaine pulsion je m’agenouille devant elle, et lui att**** un pied, je retire sa chaussure à talon lacée et caresse le dessus du pied d’une main pendant que l’autre posée dessous lui sert de support.
Je dessine du bout du doigt chaque orteil et chaque veine, puis je lui masse le pied à deux mains lentement par la plante et je ne peux résister au désir de lui déposer des baisers de mes lèvres que je couvre de salive avec ma langue.
Ensuite du bout de ma langue je passe par chaque endroit ou mes lèvres se sont posées, je prends son gros orteil entre mes lèvres et je le mordille gentiment, le léchant du bout de ma langue, le suçant de manière expressive.
Une fois léché et abusé de ce pied, je décide de faire de même sur le second, je l’imagine me regardant de toute sa taille pendant que je fais cela, et je sens ses doigts qui glissent dans mes cheveux jouant à les mêler et les démêler au rythme des caresses que je lui procure.

Je veux ce corps tout entier, mes mains s’agrippent à ses hanches, j’enfouis mon visage entre ses jambes, elle referme ses doigts sur mes cheveux, je sens qu’elle veut que je continue mes attentions.
Mes doigts passent sous le string et je commence à le faire descendre le long de sa hanche, elle se laisse faire, je le fais donc glisser jusqu’au sol et je l’aide à sortir ses pieds.
Je lève mon regarde vers elle, elle me regarde et me souris toujours, elle passe une main sous mon menton et me caresse, en remontant le long de ma joue.
Je baisse mes yeux vers son entrejambe, je sens monter la salive dans ma bouche, je tente de rester raisonnable mais mon corps ne m’obéit plus, j’approche mon visage de l’intérieur de sa cuisse.
Je vois que ses lèvres semblent brillantes, luisantes, j’en déduis que mes caresses ont eu autant d’effet sur elle que sur moi, je me sens particulièrement à l’étroit dans mon caleçon et voir ces lèvres gonflées de désir et déjà si humide n’est pas pour me calmer.
Je passe mes doigts tout autour des lèvres, sans les toucher, la peau douce frémis et semble répondre à mes doigts comme si nos peaux se connaissaient et tentaient de se parler par ces contacts répétés.
Je pose mes lèvres à l’intérieur de la cuisse, un baiser léger toujours mais appuyé, puis je fais sortir le bout de ma langue de mes lèvres entrouvertes et je commence à faire des petits dessins avec ma salive tout en me dirigeant lentement vers la zone tant désirée.
Mes lèvres parfois recouvrent ma langue pour poser des baisers sur cette peau nue si sensible et si chaude, je pose mes mains sur ses fesses, pour les caresser autant que les pétrir de mes doigts et de mes mains pendant que ma langue est désormais toute proche de son intimité.
Je décide de garder mes mains sur ses fesses, et de caresser parfois le bas de son dos et le haut de ses cuisses, pendant se temps ma langue arrive sur une de ces lèvres, et tout de suite j’ai la récompense de sentir le jus qui recouvre celles ci sur ma langue, je me délecte de ce gout et commence avec ma langue à écarter les lèvres lentement, de la pointe au début puis en léchant une lèvre puis l’autre en les séparant laissant visible son petit bouton d’amour et l’entrée de son intimité.

Elle enfonce ses ongles dans mon crane, dans mes cheveux, elle appuie parfois sur ma tête me rapprochant toujours plus contre son corps, elle veut que je continue mes caresses.
Je pointe ma langue entre ces deux lèvres et je remonte en direction de son clitoris, je le lèche délicatement de la pointe d’abord, faisant des petits mouvements circulaires dessus, puis du plat de ma langue le lubrifiant de ma salive.
Puis avec ma langue je collecte du liquide qui coule plus bas pour le déposer sur ce petit bouton et pour le lécher copieusement et garder en moi ce gout.
Mes mains soulignent les fesses de cette femme et je me sens particulièrement excité par ce que je lui fais, je sens à la pression de ses mains et de ses doigts qu’elle aussi est très excitée, ce que me confirme le liquide chaud et délicieux qui s’écoule d’elle.
Ma langue le répand sur ses lèvres, partout, la léchant avec de plus en plus de ferveur, puis je décide de la pénétrer avec ma langue, d’abord juste au bord, dessinant du bout de ma langue tous les bords de son intimité, puis entrant en elle de plus en plus profondément, ses mains se raidissant sur mon crane et m’appuyant plus fortement encore pour que ma langue soit le plus profondément possible en elle.
Puis je l’entends dans un râle susurrer, « viens, prends moi ». Tout en m’aidant à me relever de ses mains impatiente, elle est haletante, son sein palpite d’avoir trop d’envie.
Une fois relevé elle se jette sur ma bouche et m’embrasse avec envie me léchant les lèvres et prenant plaisir à gouter son propre désir sur ma bouche.
Je quitte rapidement ce que je portais encore et elle pose une main rapidement sur mon sexe en érection que je viens de faire sortir de sa prison de tissus.
Du bout des doigts elle fait quelques mouvements lents sur mon sexe puis elle me tourne le dos et pose une main sur le haut du canapé, se penchant en avant offrant une vue splendide sur sa croupe si appétissante.
De son autre main elle écarte ses lèvres et me demande de la pénétrer.

Je m’approche d’elle, je tiens mon sexe dans ma main, je le caresse lentement en m’approchant de ce qu’elle m’offre. Je voudrais me remettre à genoux et la lécher encore et encore mais elle désire plus et je le désire aussi.
Je suis tout proche de son corps je sens la chaleur de sa peau et je ne peux cesser de regarder son intimité. Je pose mon sexe sur ses lèvres, et je le fais aller et venir sur celles ci en le frottant le plus fortement possible qu’elle le sente bien.
Quand il arrive sur le clitoris je le frotte en tentant de dessiner le tour de celui ci avec lui comme si je tenais un crayon. Son sexe humide et gorgé de sang, rose et accueillant me donne envie d’elle.
Je décalotte lentement mon sexe et je commence à l’insérer en elle juste la tête, je prends plaisir à l’entendre soupirer comme si j’allais enfin la contenter, et son vagin qui s’écarte au passage de la tête pour se refermer dessus m’excite encore plus.
Je ressors mon sexe et je sens qu’elle est frustrée de ce mouvement qu’elle n’attendait pas. Ses doigts tirent encore plus sur ses lèvres pour les écarter comme pour m’indiquer le chemin que j’aurais du mal à trouver.
Je rapproche mon sexe et en le frottant contre ses lèvres je réinsère la tête uniquement et je le retire à nouveau, je sens monter en elle une envie de plus en plus forte. Elle ne me dit rien mais je sais qu’elle me veut en elle au plus profond et que ces petits mouvements ne lui suffisent pas.
Je recommence plusieurs fois jusqu’à la lasser presque et à ce moment là quand elle s’y attend le moins je pénètre en elle le plus profondément possible.
Son souffle qui marque une pause m’indique que la manœuvre lui a donné des sensations incroyables. De toute façon je m’en rends compte puisque mon sexe dégouline de son liquide et qu’il bouge en elle tellement facilement.
Je commence à faire bouger mon bassin pour que ma virilité voyage en elle et découvre les recoins les plus sombres de son intimité.
J’ai posé mes mains sur ses hanches et elle a posée ses mains sur les miennes, nous sommes tous les deux essoufflés, et nous soupirons, nos désirs et nos envies commencent peu à peu à se fondre en un plus puissant frisson qui va peu à peu nous envahir.

Une fois dans son corps je commence à faire des mouvements de va et vient, lentement toujours pour ne pas faire monter trop vite l’excitation qui mène au plaisir.
De mes mains libérées des siennes je parcours ses reins, son dos, se croupe, ses fesses si belles et si sensuelles. Mes doigts dessinent et suivent les courbes de son corps et de ses formes.
Parfois je ressors mon sexe, le temps d’étaler un peu du liquide qui coule sur ses lèvres et son clitoris afin de les garder lubrifiés près à recevoir des caresses.
D’une main j’enserre sa taille et je passe ma main entre ses jambes pour pouvoir toucher par en dessous son clitoris tout en continuant mes mouvements en elle. Elle gémit parfois, à du mal à respirer comme moi souvent, et elle se caresse la poitrine de ses mains libres.
Au fur et à mesure de notre étreinte je remarque que nous nous sommes un peu relevés tous les deux, je sors de son nid de plaisir et je m’allonge sur le dos sur le canapé l’invitant à s’installer à califourchon sur moi.
Elle se met au dessus de mon sexe et l’att**** d’une main, son autre main écartant ses lèvres, elle le frotte elle aussi contre elle, me regardant avec le sourire, dirigeant tout de cette position.
Je me laisse faire avec plaisir, entièrement sous son joug, elle fait ce qu’elle veut de moi. Puis elle m’insère en elle, d’un coup sec penchant sa tête en arrière les yeux mi clos.
Je pose mes mains sur ses hanches mais c’est elle qui décide des mouvements, des gestes, de la vitesse, de la profondeur même, je laisse aller mes bras par dessus ma tête et elle pose ses mains sur les miennes, penchant sa poitrine sur mon visage.
Je décide de lécher la pointe de ses seins lorsqu’ils passent près de ma bouche, et ma langue cherche par tous les moyens à gouter sa peau couverte de sueur.

Elle est sur moi dominante et dirige notre ébat quand tout à coup elle libère mon membre et s’allonge sur le dos les jambes bien écartées me laissant voir son intimité ouverte et couverte de liquide.
Et elle approche ses mains, l’une d’elle reste à hauteur du clitoris tandis que de l’autre elle insère deux doigts en elle. Elle bouge son bassin comme pour le diriger sous les doigts qui la fouille.
Je la sens haletante, parfois sa main qui caresse son clitoris remonte sur ses seins et pince la pointe de ceux ci ou les titille gentiment. Elle me rend dingue et la regarder faire m’excite encore plus, elle le sait, je vois qu’elle s’en rend compte à son sourire et à ses gestes lents comme pour me faire comprendre qu’elle choisirait où et quand le plaisir viendrait.
Sa main souligne sa poitrine pendant que ses doigts continuent dans un balai incessant à entrer en elle, à en sortir son excitation qu’elle tartine sur son clitoris et ses lèvres comme pour m’attirer pour que je vienne la lécher.
Ce que je ne résiste pas à faire, je me jette littéralement en avant la bouche entrouverte et la langue sortie, sur son intimité, ma langue reste sur ses lèvres que je déguste avec plaisir, les suçotant parfois et les aspirant dans ma bouche, j’essaye de lécher ses doigts à chaque fois qu’ils sortent humide de son excitation.
Ma langue se perd sur ce corps, je la fait descendre sur la peau qui sépare son anus de ses lèvres et j’excite cette zone sensible du bout de ma langue.
Elle tremble, je l’imagine sentir monter une vague de plaisir et ça m’excite encore plus, je voudrais qu’elle jouisse là maintenant, ma langue redouble d’efforts et d’insistance. J’arrive parfois à la faire entrer en elle en même temps que ses doigts.
Son bassin se soulève en des mouvements erratiques, elle gémit et sa main crispée sur son téton me laisse penser qu’elle est en train de succomber à une vague de plaisir intense.
J’en profite pour la caresser, pour suivre la courbe de ses cuisses avec mes doigts, pour la faire frissonner de mes caresses légères.
Puis je la prends dans mes bras et je la fais s’installer à quatre pates sur le canapé. Je m’assoie derrière le visage à hauteur de son intimité.
Mes doigts jouent avec ses lèvres et son clitoris encore tout dur de son plaisir, et ma langue par la fouiller et lécher toute la zone qui m’est accessible, depuis son anus jusqu’à son clitoris, je rentre en elle et ma langue recueille le précieux liquide qui s’écoule toujours indiquant qu’elle est encore très excitée.

Je ne cesse de la lécher, je voudrais m’abreuver à cette fontaine pour le restant de mes jours, elle glisse une main sur son clitoris pour me faire comprendre qu’elle en veut plus, encore plus, elle a envie de moi je le sens.
Je suis si dur que je me demande si je l’ai déjà été un jour à ce point. Je me positionne derrière elle, et je refonte mon sexe contre ton sexe, sur ses lèvres et son clitoris, son sexe offert m’appelle j’insère mon membre en elle, et je le ressort aussitôt, sans forcer mais rapidement, je recommence le manège plusieurs fois, le bruit de succion de son sexe humide de désir me remplit d’envie d’elle.
Je la pénètre finalement lentement, pour que dure ce bruit intense de son sexe chaud et humide qui englouti mon membre et mon désir.
Je commence à faire des mouvements de va et vient ainsi que des mouvements de bassin, parce que je veux qu’elle me sente partout en elle, je veux qu’elle me sente partout dans les moindres recoins de son anatomie.
Je lèche un doigt avec lequel je dessine depuis le bas de ses reins, la raie de ses fesses et son anus, pour finir sur la commissure de ses lèvres.
Je sens le liquide sur mon sexe qui coulisse et je décide de faire glisser ce doigt en elle, je sens de la surprise mais finalement elle se laisse aller à cette impression inattendue.
De mon autre main et pendant qu’elle se caresse le clitoris je trace sur son dos milles symboles tous plus complexes les uns que les autres dans des caresses lentes mais délicates et toujours légères.
Je sens qu’elle contracte parfois son vagin sur mon sexe, et je sens que mon plaisir monte, j’ai le souffle qui se fait plus haletant plus dur, ses mouvements sur son clitoris se font plus rapides et plus appuyés, elle sent le plaisir monter en elle aussi.
Je la préviens que mon désir est trop fort et que je vais jouir et elle insiste pour que je continue encore en elle.
En ralentissant le mouvement pour ne pas jouir je continue à la caresser et mon doigt en elle la fouille.
Elle me crie de jouir, me demande de me laisser aller, et je reprends mes mouvements rapides me laissant faire, la jouissance arrive par vague pour nous deux, mon jet en elle est puissant et entrecoupé de vagues de plaisirs intenses, j’ai les yeux clos, la tête penchée en arrière, son vagin à elle se contracte par saccades autour de mon membre, nos deux organes finissent de vibrer de manière désynchronisés, son vagin qui se contracte faisant couler la moindre goute de mon plaisir en elle.
Je m’appuie sur ses hanches j’ai du mal à reprendre mon souffle, elle a posé sa tête sur le canapé et souffle elle aussi, nous sommes ruisselants de sueur, et nos corps frémissent encore de notre jouissance partagée.
Nous nous installons finalement dans les bras l’un de l’autre fatigués, nus et complètement repus de nos ébats.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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