C’était l’été dans le sud de la France. Il faisait très chaud. Depuis mon entrée à la fac je possédais mon propre studio, ce qui me permettais de vivre sans la surveillance des parents !
Un jour, mes amis ne répondant pas à mes appels, et n’ayant rien à faire, je décidais d’aller rendre visite à ma mère, qui vivait à seulement 40 minutes de voiture de chez moi. Je pris donc ma voiture et me mis en route. Elle vivait seule dans une villa modeste, dans un quartier résidentiel assez calme. M’approchant de la maison, je ne trouvais pas de place pour me garer et j’allais garer ma voiture un peu plus loin dans l’allée. J’arrivais à pied devant la maison, et je vis une voiture qui m’était familière. C’était celle de mon meilleur ami, Thomas.
J’entrais dans la maison, sans m’annoncer. Le temps de fermer la porte derrière moi, j’entendis des bruits inhabituels. En écoutant plus attentivement, je compris vite que ces bruits signifiaient que quelqu’un était en train d’avoir des relations sexuelles. J’avançais doucement dans le couloir. Voulant faire le moins de bruit possible, je laissais mes tongs pour marcher pieds-nus. Je m’approchais de plus en plus du bruit du lit qui grinçait de plus en plus fort. Ces bruits venaient de la chambre de ma mère. La porte était poussée, mais pas fermée. Juste assez ouverte pour que toute la scène soit bien visible. Je regardais furtivement à l’intérieur, et j’eus un énorme choc !
Ma mère était là, nue, allongée sur le dos. Trois de mes amis étaient aussi présents, nus également. Thomas était en train de baiser ma mère en position du missionnaire. Ses coups de reins étaient puissants et rapides, ce qui rendait le claquement de leurs corps vraiment fort. Un autre de mes amis, Julien, était en train de s’occuper des tétons de ma mère avec sa langue. Le troisième, Jeff, était à cheval sur le visage de ma mère et se faisait sucer. En voyant cette scène, j’étais paralysé. En baissant les yeux vers mon entrejambe, je fus surpris de voir la bosse qui s’était formée.
Je m’accroupis pour cacher au maximum ma présence et pour observer la scène. Jeff tenait maintenant ma mère par les cheveux et il faisait lui aussi des va-et-vient puissants dans sa bouche. Thomas continuait à pilonner la chatte de ma mère et disait à voix haute » Grosse salope ! T’aimes la bite toi ! ». Je ne pus m’empêcher d’ouvrir ma braguette, de sortir ma queue tendue et de commencer à me caresser. Mes amis échangèrent plusieurs fois leurs places. Quand Julien se faisait sucer, il dit à ma mère « Oui comme ça ! Vas-y, régales-toi ! ». Je remarquais également qu’aucun d’eux ne portait de préservatifs.
Au bout de 10 minutes, Jeff s’allongea à côté de ma mère et lui dit « Viens t’empaler ma salope ». Ma mère, qui gémissait de plaisir depuis le début, s’exécuta. Elle était à cheval sur lui. Jeff commença a lui limer sa chatte et dit à Thomas « Viens lui casser le cul à cette grosse chienne », ce qu’il s’empressa de faire. En entendant ça, j’accélérais ma branle et je sentais que j’allais jouir d’une seconde a l’autre. Ne voulant laisser aucune trace de mon passage et n’ayant rien sous la main, je remis vite ma bite dans mon boxer et laissa sortir tout mon sperme à l’intérieur. J’étais trempé. Ma mère se faisait maintenant prendre en double pénétration par mes amis. Julien quant a lui s’était placé de dos devant son visage pour qu’elle lui fasse un anulingus. Je ressortis ma queue de mon boxer, couverte de mon sperme, et en quelques secondes je me remis à bander à fond. Tous les trois insultaient ma mère pendant leur ébat, plusieurs fois ils crachèrent de la bave sur son visage et dans sa bouche, et elle avait vraiment l’air d’aimer ça puisqu’elle en redemandait !
Après avoir là aussi échangé leurs places plusieurs fois, pour que tout le monde puisse goûter à chacun de ses trous et à sa langue, Thomas replaça ma mère dans sa position d’origine, en lui disant « Allez viens là, je vais te remplir ma pute », ce à quoi elle répondit un « Oh oui viens te vider dans ma chatte ! ». Il se plaça sur elle en missionnaire, commença les va-et-vient puissants, et il ne fallut qu’une ou deux minutes pour que le corps de Thomas se contracta, pendant qu’il poussait un râle. Il venait de vider ses couilles dans la chatte de ma mère. Il ne fallut que peu de temps pour que Julien et Jeff en arrivent à jouir aussi, mais eux préférèrent se vider dans sa bouche. Chacun d’eux disaient à ma mère « Allez ! Avale tout ! Voilà ! Bouffe espèce de chienne ! ». Encore une fois, je dus ranger ma queue dans mon boxer pour y jouir.
Mes trois amis se levèrent du lit et ramassèrent leurs affaires, laissant ma mère allongée sur le lit, du sperme dégoulinant de sa chatte et de sa bouche. Je repartis doucement sur mes pas, ramassa mes tongs, et sortit discrètement de la maison. Je courus pieds-nus dans la rue, me cachais derrière une voiture, et je vis mes amis sortirent de chez moi et partirent dans la voiture de Thomas. Je retournai à ma voiture et rentra dans mon studio. Le soir venu, Thomas m’invita à prendre une bière, avec toute notre bande d’amis, dont Jeff et Julien. Jamais ils ne me parlèrent de cette après-midi, moi non plus. Maintenant, à chaque fois que l’un d’eux ne répondait pas à mes appels, je passais devant chez ma mère et y trouvais leur voiture…
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