Les fêtes de fin d’année me suscitent toujours un sentiment mélangé
d’allégresse et de devoirs mondains à accomplir. Autant Noël peut
ressouder les liens de la famille autant le réveillon de l’an nouveau
revête un caractère de corvée car relié à quelques obligations
professionnelles. En effet mon mari avait voulu que nous acceptions
l’invitation de son patron. Il avait balayé d’une main ma suggestion
d’aller nous encanailler chez l’une de mes copines. Il trouvait plus
prestigieux de suivre sa piste. Le beau monde lui agréait mieux que ma
modeste clique.
Ce qui m’agaçait n’était pas tant le couple qui allait nous accueillir,
car celui-ci était des familiers mais les autres invités. Ce seraient
assurément des bourgeois fort guindés. Je ne hais rien tant que le
snobisme. Je serais assurément fusillée du regard par ces dames dont
certaines ne devaient ignorer ma réputation. Cette pression fut-elle
surfaite et imaginaire me gâchait un peu la fête. Mon mari tacha
cependant à me rassurer. L’alcool aidant il n’y paraîtrait plus.
Celui-ci a le don d’égaliser les conditions. Je n’aurais qu’à être
moi-même.
Le couple d’hôtes était du genre libertin de la plus pire espèce.
Monsieur patron de mon mari avait obtenu de celui-ci que je lui accorde
souvent mes faveurs. Il me sautait sans vergogne notamment quand mon
mari partait à l’autre bout de la France. Il y avait dedans une sorte de
sadisme à user de la femme d’un de ses employés. Je ne pouvais faire
autrement dans l’intérêt de mon homme. En même temps et à mon grand
étonnement cette situation eut l’heur de m’agréer. En fait je pris mon
pied dès le premier jour. Son patron me traita sans vergogne en putain.
Ces riches ne savent comment pimenter leurs vies. L’ennui les menace
sans cesse. Tel un seigneur à l’égard de ses serfs ils ont besoin de
faire éprouver leur joug. J’éprouvais à l’égard du patron un sentiment
d’amour-haine. Je le détestais pour ce qu’il nous humiliât moi et mon
mari et cependant lorsqu’il me baisait et m’insultait ces mêmes
sentiments me prodiguaient une sensation contraire et positive de
jouissance. Je n’en disais rien à mon mari lui faisant accroire que je
m’adonnais à une simple formalité. Il savait pourtant que je ne
dédaignais aucune queue.
Je dus pour la soirée me mettre sur mon 31 bien davantage que j’eus fait
pour la fête de la copine. Je dus notamment m’infliger de hauts talons
et me maquiller avec le dernier raffinement. Cependant je ne pouvais
rivaliser avec les toilettes de marque des autres dames. Mon mari
n’avait pas le pognon nécessaire. Il ne tenait qu’à moi pourtant qu’il
obtint un peu plus et des augmentations de salaire. Un peu timide au
début je me réfugiais en un coin tâchant d’attendre et d’observer. Je
laissais un vieux me draguer. Ma robe moulante avait du l’attirer.
Pour m’étourdir un peu j’avais résolu d’avaler tout le champagne
alentour. Le vieux avait commencé à me caresser. Je dus d’être sauvée
par l’intervention du fils. Je veux dire celui des hôtes. Un prétentieux
notoire non moins tordu que ses parents. Le vieux m’avait susurré à
l’oreille de le suivre dans un couloir. Je me voyais le sucer déjà . Le
fils dut deviner cela et s’amusât à couper l’herbe sous les pieds du
vieux. A présent j’étais embarqué dans un slow avec le môme. Il me
serrait fort. Le con était éméché. Ses mains au su de tous parcouraient
tout l’orbe de mes fesses.
La pénombre était propice à toutes sortes de caresses. Mon cul ne fut
pas épargné. Peu à peu gagnée par l’ambiance j’avais envie d’un homme et
me laissais embrasser par ce petit morveux dans un coin de porte.
Il se vantât d’avoir sauté il y a peu une de ses tantes dans une
voiture. Il aimait mon genre de femme. Son père lui avait tout raconté.
Il me savait salope et toujours partante. Je ne pouvais raisonnablement
le démentir. Je trouvais juste qu’il parlait trop au lieu de s’exécuter.
Enfin il m’entraîna dans une sorte de sous-sol. Ses mains étaient plus
intrusives.
Dans la pénombre il m’embrassa davantage soulevant prestement ma robe
jusqu’au bas des reins. Il put s’assurer réjoui que je n’avais pas de
culotte. il pouvait pétrir à pleine main mon cul. Cela me procura comme
un orgasme. L’air frais de la proche cave courant dessus. Un déluge
d’insultes résonna dans mes oreilles. Le mot de pute revenait souvent.
J’ai toujours adoré ce genre de musique. Je fus bientôt à genoux tout à
l’usage de sa queue que je recueillis dans la bouche. Il allait éprouver
mon talent fameux. C’était ma première bite de soirée.
Je connaissais la fougue des jeunes mâles. Celui-ci ne dérogeait pas à
la règle. En un tour de main je fus bourrée debout par derrière.
Régulièrement dans les vestiaires du club de gym, des mômes s’amusaient
ainsi avec moi. Je goûtais notamment le foutre abondant dont ils se
déchargeaient. Celui-ci m’en macula le cul. J’avais consenti qu’il me
finit par le petit trou. Son père lui avait assuré que je raffolais de
cela ce qui était vrai. Il m’invectiva encore plus. J’étais la pire des
traînées. Il moquait notamment mon mari de s’être acoquinée avec moi. Je
protestais faiblement.
Un peu honteuse d’être méprisée par ce gosse je n’avais de cesse de
rejoindre maintenant les autres et la salle emplie de musique. Nombre
avaient du relever notre absence. Tandis que je nettoyais mes fesses au
lavabo le petit gredin m’assurait que mon mari serait sûrement gratifié
d’une bonne prime grâce à moi. En tout cas il était sur les rangs pour
me sauter outre son père. Je fis en sorte de ne le contredire. Il me
raccompagna en m’enlaçant par parodie et m’embrassant maintes fois sur
la bouche avant que nous ne parvînmes au salon au milieu des autres.
L’heure suivante trois types dont le vieux précédent m’attrapèrent dans
des coins de chambre. De toute façon on baisait un peu partout. J’eus
soupçon que mon bonhomme devait en faire autant. Cela tournait à
l’orgie. Il eût juste une halte et le répit de minuit pour fêter la
bonne année. Mon cher mari daignât m’embrasser sur la bouche puis il
m’abandonna à un vieux qui s’ingénia à vouloir m’enfoncer un goulot
entre les fesses. Pour m’en débarrasser je lui suggérais de me sodomiser
avec sa queue. Il fallait demeurer pour la nouvelle année dans
l’orthodoxie.
Sur les coups de trois heures j’étais rompue. Je ne savais plus combien
de types s’étaient amusés avec moi. Je songeais raisonnablement au
départ et à rejoindre tranquillement mon lit avec mon mari aussi ne
fus-je pas peu étonné que celui-ci en conversation avec son patron
m’appela avec la mine sardonique je ne lui aimais guère. En un éclair me
fut exposé leur projet. Il avait été convenu que je dorme avec monsieur
et madame. Mon mari se voulait reposer seul en son lit pour ce jour de
l’an. J’avais été troquée, vendu telle une marchandise.
Le ciel me tombait sur la tête. je n’avais pas prévu le coup. Mon mari
m’avait déjà jeté dans les bras d’un autre mais point de la sorte et
avec tant de solennité et quasi au su de tous. De loin je vis leur fils
qui ricanait. J’eus comme un sentiment d’abandon. Que mon mari m’avait
vendu à des pirates barbaresques pour un bon prix. N’allais-je pas
échouer au mieux en une sorte de sérail. Au pire dans un bordel des
bords d’Égypte. Curieuse façon d’inaugurer son année. Résignée je vis la
voiture de mon mari disparaître au fond de l’allée.
Je n’avais pas vraiment goûté l’échange entre mon mari et son patron. Ce
dernier avait quasiment sommé mon homme de lui abandonner pour cette
nuit son épouse au motif saugrenu que sa femme aussi voulait goûter de
moi et voir si réellement j’étais la salope tant renommée. Cette mise en
scène n’était que pour rabaisser mon couple. J’aurais voulu que mon mari
manifesta un peu de fierté et rembarra ces gens qui se croyaient tout
obtenir. On devrait régulièrement fomenter des révolutions pour leur
faire rendre gorge. J’allais être sautée toute cru.
Leur chambre était au bout d’un long dédale de couloirs. On eût dit à la
fois le château de Barbe bleu et celui du marquis de Sade. J’étais lasse
et n’aspirais qu’à dormir. L’alcool entre autre se vengeait de moi. Je
disais avec quelque sincérité à mes bourreaux qu’ils obtiendraient fort
peu de moi. Tour à tour comme par jeu ils m’enlaçaient et
m’embrassaient. Les baisers étaient goulus et avaient destination à me
souiller. Avec effronterie je mélangeais ma langue avec la leur. Ma
réputation de lubricité était à ce prix. La pute se rebiffait.
Je dormis fort peu. Monsieur était insatiable et son épouse point en
reste. C’était souvent le même scénario. Ainsi monsieur me sodomisait
sauvagement tandis que madame requérait que je lui léchas le cul ou la
chatte. En cela manifestement hostile à mon égard elle m’insultait et me
crachait au visage pour à la fin m’embrasser avec une feinte tendresse.
Je réagissais stoïquement à ces baisers. Je voulais paraître invaincue
malgré qu’elle voulut me rabaisser cette nuit-là. De toute façon son
mari m’avait maintes fois baisé au cours de l’année. Ce souvenir la
faisait enrager.
J’étais fourbue, effondrée dans ce lit entre ces deux gredins. Madame ne
daigna même pas me dire au revoir et me remercier me montrant
ostensiblement son cul. Monsieur me raccompagna mine chagrine. Il
affectait de m’avoir trouvé un peu mollassonne. Il ne voulut pas que je
fis de toilette et enleva un peu sperme dans mes cheveux. Il dit
sentencieusement au chauffeur qui allait me raccompagner : « Marcel
ramenez cette pute à son mari. Je vous enjoins à vous servir de même de
cette créature. La putain est gratuite aujourd’hui. » J’étais humiliée.
Dans le rétroviseur il m’observait la mine narquoise. Sans fard il
reconnut que ses patrons étaient deux gros salauds et que j’avais du
mérite à être demeurée une nuit avec eux. Finalement cet employé modeste
me réconciliait avec l’Humanité. Tout le monde n’était pas pourri.
Cependant il n’en voulut pas moins une pipe. Je la fis volontiers.
L’homme m’était sympathique même si dans sa jouissance il ponctua de
mots insanes son propos. Il me dit qu’une autre fois avec du temps qu’il
m’enculerait. Je sortis du véhicule emplie de cette promesse.
J’étais pas folichonne à voir. J’avais la bouche encore emplie du sperme
du chauffeur. Celui-ci avait fort insisté que je ne recrache rien sur la
banquette de sa substance. Il était le genre maniaque. Il m’avait jeté
sans ménagement hors du véhicule de peur qu’on ne le vit avec une femme
de mauvais genre. En effet à m’examiner on eût remarqué outre mon cheveu
en bataille, des parcelles de foutre maculant tout mon visage et puis
coulant hors des orifices sur toute la longueur de la cuisse. Mes
voisins s’exclamant : »On ramène la pute ! »
Je n’étais pas cependant au bout de mes peines. Je n ‘aspirais qu’à une
douche et à entrer dans mon lit. Aussi crus-je renaître sous l’eau
chaude du jet. Il me fallait effacer tout le péché de la nuit. J’avais
envie de me pelotonner auprès du mari qui ronflait là-bas. Chancelante
et la tête engourdie je dus admettre qu’il y avait à côté de mon mari,
une autre personne. Ce devait être une femme. Je reconnus malgré la
pénombre cette autre immonde salope qu’était sa secrétaire. Il avait eu
le front de d’amener ce jour, cette pécore dans notre lit. J’enrageais.
Sans ménagement je réveillais monsieur. Sans crier gare, je pris son
sexe dans ma bouche avec une avidité hors du commun. Je n’avais cure que
celui-ci sentit la chatte de sa voisine, la maudite secrétaire. Vingt
minute plus tôt je suçais la bite du chauffeur. Cette nouvelle année
débutait sous de joyeux auspices. Mon mari au départ interloqué sourit
devinant manifestement mon ire à l’égard de l’autre couchée à ses côtés
et qui à présent émergeait. Celle-ci sourit de même reconnaissant sous
mes traits une épouse. Elle voulut participer.
Ce fut ainsi une orgie improvisée dans la lumière blafarde de l’hiver.
Mon mari tout en me traitant de pute m’enculait tandis que sa secrétaire
après que m’avoir dévoré la bouche avec la sienne, m’offrait sa chatte
et son cul à lécher. J’étais au summum de la jouissance. Tout était sans
dessus-dessous. J’étais pris de vertige. Nous baisâmes une heure durant
nous écroulant enfin en combattants vaincus, repus. Relativement épuisée
par ces émotions je m’endormis. La garce en profita pour s’enfuir. Je
crois que revenue à moi elle aurait pâti de ma fureur.
A mon éveil je vis un mari de bonne humeur. Il m’avait préparé un repas
comme pour se faire pardonner. De même et afin que je ne m’engageas pas
dans des reproches il me demanda à lui conter ma nuit avec le patron.
Par là il me signifiait qu’il avait voulu compenser le prêt de son
épouse par l’accueil d’une maîtresse dans son lit. Match nul. Je dus
convenir et sourire que cela nous ferait des souvenirs. Que je n’avais
guère était autant sauter en si peu d’heures. Ma réputation était sauve.
Je confirmais pour finir qu’une prime lui serait échue. Tout était bien
qui finissait bien.
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