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Oliver

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Je suis maintenant directeur d’une structure sportive mais il y a quelques années j’étais maitre-nageur et instructeur plongée. Je plais naturellement aux femmes d’abord pas mon physique de sportif musclé et par une attitude constamment souriante qui facilite les contacts.
J’avais fait une fois une sortie plongée avec un copain et sur le bateau il y avait un autre groupe de plongeurs qui logeait dans le même camping. En descendant du bateau je passai devant une petite jeune fille, genre étudiante timide un peu maigre, et lui dit en rigolant « alors à tout à l’heure sous la douche » puis je n’y pensai plus. Une heure plus tard de retour au camping je pris ma douche quand j’entendis frapper à la porte de la cabine et une petite voix dire « Oliver tu es là ». C’était la petite du bateau qui m’avait pris au sérieux. Elle est rentrée dans la cabine, s’est mise nue. Elle était assez poilue avec des touffes brunes sous les bras et entre les jambes. Elle m’a embrassé à pleine bouche et m’a dit « j’ai envie ». Nous fîmes l’amour debout d’abord par devant, pendant qu’elle poussait des gémissements de plaisir peu discrets. Puis elle se retourna pour s’appuyer des bras sur la paroi et me dit « vient encore » en se dressant sur la pointe des pieds pour se mettre à la bonne hauteur. Je l’ai baisée en lui massant les seins jusqu’à ce qu’elle jouisse bruyamment puis elle m’a sucé jusqu’à ce que je lui remplisse la bouche. Mon copain m’a dit ensuite qu’il s’était branlé en nous écoutant depuis la cabine d’à côté. Le lendemain elle quittait le camping mais je l’ai recroisée un jour au marché où elle faisait ses courses avec son compagnon. Elle m’a souris discrètement.
L’année suivante j’ai fait une saison de maître-nageur dans un grand village de vacances au Mexique en bord de plage. La clientèle était aisée et mon travail consistait à surveiller la piscine. Nous avions des gens de tous les pays riches d’Europe et d’Amérique du nord. Il fallait être aux petits soins pour satisfaire leurs souhaits. Je remarquai un jeune couple qui venait tous les après-midis. Ils étaient français et passaient un bon moment au soleil sur des transats. Lui avait un physique banal, ne semblait pas sportif. Il lisait des journaux de cotation boursière et s’absentait régulièrement une petite heure et elle m’expliqua qu’il allait passer des ordres en bourse sur son ordi dans leur chambre. Elle était pulpeuse avec des formes rondes et un corps plein de fille qui aime la bouffe et la vie. Elle rigolait souvent. Et dès le deuxième jour, quand elle vit que l’ambiance était détendue elle bronza avec juste un petit string ficelle dont la taille cachait à peine sa fente qui restait bien visible à travers le très fin tissu. Avec mes collègues nous plaisantions sur la taille respectable de ses seins. Lorsqu’elle bronzait sur le ventre elle écartait les cuisses de façon impudique son épilation totale ne freinant pas les regards.
Etant francophone nous parlions de temps en temps. Je remarquai que quand je passai près d’eux elle me regardait puis fixait mon maillot et remontait chercher mon regard en souriant. Je lui souriais avec parfois un petit clin d’œil. Un jour elle me dit qu’ils s’étaient mariés il y peu et qu’ils étaient en voyage de noces ce qui me laissa perplexe tellement ils n’avaient pas l’air sur la même longueur d’onde.
Nous avions à proximité un local technique qui servait à stocker le matériel surtout les jeux et les matelas flottants. Nous y avions aussi un petit frigo avec des boissons et mes collègues et moi y allions à tour de rôle pour faire de petites pauses à l’ombre.
Le quatrième jour, elle était seule depuis peu, son homme venant de s’absenter. J’allais boire un verre d’eau fraîche dans le local. Elle me suivit, entra derrière moi, ferma la porte et me dit « s’il te plait, baise moi, j’en peux plus ». Puis elle vira son string, se coucha cuisses écartées sur un des matelas et me dit « vient vite ». Un peu surpris je ne savais quoi faire. Elle insista en ajoutant « décide toi, on a peu de temps, tu ne le regretteras pas ». J’ai verrouillé la porte puis je l’ai rejointe sur le matelas et ce fut un festival, une vraie fête du slip car elle avait un appétit féroce et beaucoup de désirs non satisfaits. Lorsqu’elle eut jouit une première fois sous mes pénétrations vigoureuses ; elle se tourna et me dit « encule moi fort, ça me manque ». Je l’ai prise en levrette dans l’anus qu’elle avait serré. Elle aimait vraiment et accompagna mes coups de boutoirs par des encouragements « encore, plus fort, éclate moi, oui, oui ». Elle jouit une deuxième fois et fut secouée de tremblements de tout le corps. Puis elle s’effondra les yeux révulsés. J’ai cru qu’elle avait perdu connaissance mais trois minutes après elle bronzait de nouveau sur son transat quand son homme est revenu. Il n’y eu pas d’autres occasions. Un de mes collègues me glissa juste dans l’oreille « tu t’es régalé avec la grosse ». A la fin de leur semaine, elle me glissa un pourboire royal que j’ai accepté avec humilité.
L’année suivante j’étais devenu responsable du rayon matériel nautique dans une grande surface d’articles de sport. Je l’ai vue arriver et à son regard rieur je compris qu’elle m’avait reconnu. Elle voulait un nouveau maillot de bain et je l’ai emmenée directement aux modèles très légers. Ma surprise fut qu’elle était accompagnée du même homme qui devait donc avoir d’autres talents.

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