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Ecole du sexe (9)

Ecole du sexe (9)



Profitant de mon pénis qu’elle ne put déguster pendant plusieurs jours, Mylène fut la première à m’offrir une fellation. Une chaleur sans nom s’empara de mon corps lorsque je sentis la langue de ma sœur caresser délicatement l’épiderme sensible de mon membre dont la taille avait atteint son acné. Tantôt aspirant, tantôt caressant la longue tige dépassant de mon corps, elle fit de nombreux va-et-vient dans sa bouche. Pendant ce temps, Alice ne perdit pas de temps et s’empressa de m’embrasser tout en guidant ma main vers son jardin secret. Sa mouille, souvenir de ce que je lui avais fait subir quelques minutes auparavant, imprégna mon doigt que j’eus incrusté en elle à un tel point que lorsque je le ressortis, quelques gouttes glissèrent et tombèrent sur le visage de Mylène, toujours en pleine action. Quelques secondes plus tard, elle lâcha mon organe et le tendit vers Alice qui s’agenouilla. Elle allait débuter sa fellation lorsque ma sœur la stoppa.

– Attends, s’il te plaît. Je dois me mettre en position.

Là, elle me força à m’agenouiller et posa l’une de ses cuisses sur mes épaules. Je pus profiter pleinement d’une vision totale sur son vagin rayonnant. Elle prit mes mains et les posa sur chacune de ses fesses moelleuses.

– Surtout, tu me tiens bien.

Je ne compris pas sa remarque avant qu’elle ne place sa deuxième cuisse sur mon autre épaule. Elle manqua de peu de tomber, mais je parvins à la retenir. Elle me demanda alors de me relever. Je m’exécutai et pus alors observer le résultat de sa manœuvre : elle était assise sur mes épaules, le vagin collé à ma bouche. Faisant gémir bruyamment ma sœur, j’entamai un délicieux cunnilingus pendant qu’Alice, en bas, suçait mon gland avec ardeur. Je supportai le poids de ma sœur non pas sans mal, mais le fait de pouvoir jouer à souhait avec ses fesses me procurait suffisamment de force pour continuer. Lorsqu’Alice décida qu’elle avait assez joué de ses lèvres, Mylène descendit de son perchoir et se positionna à quatre pattes devant moi.

-C’était génial, Bastien. Mais maintenant, je te veux en moi. Je veux que tu me l’enfonces au plus profond et que tu me fasses jouir comme jamais je n’avais joui auparavant.

Je ne répondis rien à cette invitation à entrer dans sa chambre secrète ; je préférai largement obéir et, sans prendre la peine de frapper à la porte, j’entrai brutalement et provoquai un intense rugissement de ma partenaire. Je poursuivis par de violents allers-retours touchant chaque fois le point le plus en profondeur de son con.

– Oui, vas-y plus fort, vas-y plus vite ! C’est tellement bon !

Ces cris me poussèrent à redoubler d’intensité, si bien que je sentais me corps monter au septième ciel. Pendant tout ce temps, Alice me regardait avec tant envie qu’elle décida de se joindre à la partie. Elle grimpa sur le corps de ma sœur et, se mettant de dos, elle s’allongea sur le ventre et leva les jambes en l’air. Je compris alors où elle voulait en arriver, ce fut pourquoi j’attrapai férocement ses jambes et les emmenai jusqu’à mes épaules. Là, je tirai sur ses hanches afin que son vagin soit, comme un souvenir datant d’à peine quelques secondes, en contact avec ma bouche. La position de la brouette.
Quelle superbe chose lorsque l’on veut faire l’amour à sa sœur et lécher le vagin de sa petite-amie. Je décidai de ne pas en rester là et, de ma main gauche, j’attrapai la faible poitrine d’Alice et de l’autre main, j’enfonçai mon majeur dans le rectum de Mylène.
Cette dernière hurla de plaisir en sentant mon doigt frotter ses intérieurs.

– Oui, Bastien, tu es vraiment un dieu !

L’entendre me qualifier de Dieu en même temps que j’entendais Alice hurler de bonheur grâce à ma langue frottant son clitoris monta ma tension d’un cran et me permit d’accélérer. Le volume des cris de chacune des deux filles augmenta également. Nous tînmes cette position durant plusieurs minutes, nos cris résonnant probablement dans toute l’école, mais peu importait : j’avais enfin ce que je désirai. Je fus arraché de mes fantasmes par une montée de plaisir. Mon corps se raidit, mon membre également et, quelques secondes plus tard, j’éjaculai, en même temps que mes deux partenaires. Je sentis plusieurs filets de sperme se répandre à l’intérieur de ma sœur en un temps record.
Mylène, de son côté, hurlait toujours plus fort pour chaque jet claquant contre le fond de son intimité. La mouille de ma petite-amie vint asperger mon visage déjà fort inondé par la sueur. Je reposai délicatement Alice sur le sol et sortis mon membre du sexe de ma sœur. Quelques gouttes d’un liquide blanc on ne peut plus identifier gouttèrent de son jardin secret, gouttes que mon amie Alice se fit une joie de cueillir de sa langue juteuse. Mylène eut un léger soubresaut lorsque son intimité fut léchée, mais elle ne s’en plaignit pas, bien au contraire.

Durant les cinq minutes suivantes, les filles et moi nous reposâmes en discutant. Qu’il était bon de retrouver la douce et chaleureuse voix de ma sœur. Alice réussit à la convaincre de nous raconter quelques anecdotes concernant Fabian, courtes histoires pour lesquelles je fus tout ouïe.

– Euh, comment dire, Fabian n’était pas mauvais, mais il ne t’arrive pas à la cheville, me sourit-elle.

Je lui rendis son doux sourire avec, en prime, une légère caresse sur la cuisse. Elle eut alors un frisson d’extase : le cruel manque fraternel semblait avoir été réciproque.

– Tu peux développer ? Finis-je par ajouter. J’aimerai savoir ce que tu entends par « il ne m’arrive pas à la cheville ».
– Eh bien, pour commencer, il ne me plonge pas de doigt dans le cul au moment où j’éjacule. Ce n’est peut-être pas grand-chose, précisa-t-elle, mais ça décuple vraiment mon plaisir. Il était aussi moins à l’écoute de mon corps. C’était comme si…
– Comme s’il ne cherchait qu’à contenter sa bite, devina Alice. Quoi ? Pourquoi vous faites cette tête ? J’ai déjà eu des petits-copains qui ne pensaient qu’à eux, pas comme toi, bien évidemment, ajouta-elle à mon égard.
– Mais bon sang, arrêtez avec vos compliments, vous allez me faire rougir, plaisantai-je.
– L’autre, ricana Mylène, il va rougir.
La seule fois où je t’ai vu rougir, c’est quand je me suis assise sur ta bouche, la chatte à l’air, en te demandant de me lécher pendant près d’une minute. Tu avais tellement besoin d’air que tu t’étais même mis à me fesser.

Je ris à mon tour en repensant à ce souvenir. C’était pendant la saint-valentin qui eut précédé notre admission dans cette école. Sur le coup, j’avais cru mourir, mais aujourd’hui, je me rappelais encore du goût de ses lèvres quand je peinais à respirer. Je voulais absolument aspirer de l’air, mais tout ce que je récupérai se résumait en une bonne dose de cyprine ainsi que des cris de plaisir de la part de ma sœur.

– Il t’a vraiment léché en apnée, s’enthousiasma Alice.

– Ouais, t’aurais adoré voir ça, je t’assure.
– Tellement. Tiens, je viens d’avoir une idée, dit-elle en levant le doigt en l’air.

Elle me regarda alors avec complicité et avança vers moi comme un félin. Lorsqu’elle arriva devant moi, elle m’embrassa langoureusement et me força à m’allonger. Le pénis de nouveau en érection, je pensais qu’elle cherchait à s’y empaler ou tout autre chose dans le genre, mais je me trompais. J’avais fermé les yeux afin de conservé la surprise, aussi les rouvris-je aussitôt lorsque je sentis qu’elle s’asseyait sur mon visage. À la différence de Mylène, ce ne fut pas son vagin qu’elle me présenta, mais son anus. Je vis s’approcher cette douce rosette qui avait, quelques minutes auparavant, subie mes assauts bestiaux. Je sortis ma langue et commençais la dégustation. Cependant, voyant qu’elle avait réellement l’intention de s’asseoir sur mon visage, je fus contraint de la ranger et de me contenter de lui titiller l’anus du bout de ma langue et de mes lèvres. Trente secondes plus tard, je sentais l’air me manquer. Je tentai donc de respirer, en vain.
Pendant près d’une vingtaine de secondes, je prenais de grandes inspirations, ce qui eut pour effet de faire gémir Alice.

-Oh putain, il aspire vraiment, c’est hyper bon, se réjouit-elle.

Lorsqu’elle sentit que je commençai à me débattre, elle se releva. Je respirai alors bruyamment pendant qu’Alice me complimentait pour ma performance.

-C’était génial, chantonna-t-elle. Tu devrais essayer, Mylène.

Voyant que j’avais encore besoin de temps pour reprendre mon souffle, ma sœur me laissa respirer pendant deux minutes. Lorsque j’eus retrouvé la totalité de mes capacités, elle s’apprêta à s’asseoir, à son tour, sur mon visage, mais, posant mes mains sur son postérieur, je l’en empêchai.

-Attends, dis-je, je viens d’avoir une idée. Alice, tu peux prendre ma place s’il te plaît ?

Ne sachant pas ce que j’avais derrière la tête, ma petite-amie obéit et s’allongea sur le sol. Sa poitrine pointait vers le plafond lorsque je demandai à ma sœur de s’asseoir sur sa bouche. Elle s’exécuta et Alice se retrouva bientôt en apnée.

-Maintenant, écartez les jambes !

Elles obéirent prestement. Je pus alors admirer deux vagins présentés sur un plateau d’argent. Suivant mes pulsions, je me baissai et, d’un coup sec, je pénétrai le sexe d’Alice qui aurait volontiers poussé un cri d’extase si un anus ne l’en empêchait pas. Sans perdre de temps, je plongeai mon visage sur le vagin de ma sœur et y asséna d’amples coups de langue. Hurlant sa joie, cette dernière posa ces mains à l’arrière de mon crâne et appuya si fort que je ne pouvais ôter ma tête de cet étau. J’étais, d’une façon bien différente, une nouvelle fois en apnée. Tout en visitant l’intérieur de ma charmante partenaire avec ma langue, je donnai de violents coups de rein à la femme gisant à mes pieds.

Au bout d’une minute, tandis que l’air commençait à se raréfier autant pour ma dulcinée que pour ma propre personne, je sentis ma sœur venir. Je reçus alors en pleine bouche sa cyprine et, pour ma plus grande surprise, une bonne quantité de mon sperme qu’elle n’avait pas évacué précédemment.
En temps normal, le goût aurait pu me déranger, mais cette virile substance eut été tellement diluée dans cette féminine intimité que le goût n’en était que plus doux et, finalement, loin d’être désagréable. Quelques secondes plus tard, remplissant le jardin secret d’Alice, j’éjaculai à mon tour. Chacun se libéra de l’emprise de ma sœur et, pour couronner le tout, j’embrassai cette dernière langoureusement. J’en profitai également pour lui redonner le sperme qu’elle m’avait envoyé. Lorsque sa langue entra en contact avec ce liquide au goût douceâtre, elle fut légèrement surprise mais m’en débarrassa avec sa langue. Notre joie avait atteint des sommets, jusqu’à ce qu’une voix résonnât dans le silence de nos respirations :

– Je ne vous dérange pas, au moins ?

Fabian, le regard furieux, nous regardai, ma sœur et moi.

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