Histoires de baise Histoires de sexe noir Histoires de sexe travesti

Découverte du plaisir mutuel – Partie 1

Découverte du plaisir mutuel – Partie 1



L’histoire racontée ici est un souvenir de jeunesse, racontant ma découverte du plaisir mutuel.

C’était un jeudi soir durant les vacances de Toussaint. J’étais arrivé l’après midi même chez mon parrain pour y passer quelques jours afin de soulager un peu mon père qui m’élevait seul depuis le décès de ma mère un an avant. A cette époque et comme depuis toujours j’étais grand de taille, sortant au passage d’une poussée de croissance après la mort de ma mère. Mes cheveux noirs coupés court constrastaient avec ceux de mon père, qu’il déjà laissait pousser jusque entre les omoplates. Mon physique n’était pas des plus avantageux, j’étais loin d’être mince et musclé a souhait, mais les années de natation me permettait d’avoir déjà une carrure de nounours.
Ce jour là j’étais très heureux de revoir mon parrain et sa famille car bien qu’étant a l’origine des amis de mes parents, ils ont toujours été pour moi comme des membres de la famille.

Mon parrain et son épouse avait deux enfants, un fils Paco ayant un an de plus que moi, il était très brun et de taille moyenne, assez svelte bien que peu musclé malgré ses entraînements de sport hebdomadaire, avec lui les relations ont toujours été amicale mais sans plus et une fille, Lorette qui avait deux ans de moins que moi, mais avec qui je m’entendais très bien. Cette dernière était tout aussi brune que son frère, mais avait de longs cheveux qu’elle tressait le plus souvent. Son corps était très mince, mais elle avait malgré tout une petite poitrine et un fessier légèrement rebondit donnant quelques jolies formes.
Durant le repas de midi Lorette demanda où j’allais dormir, après tout il n’y avait que trois chambres et comme elle et son frère avaient tout deux des lits deux places elle se demandait qui devrait se serrer un peu. Son frère proposa que je dorme avec lui, ce qui nous surpris, elle et moi, étant peu habitué à ce que ce genre de choses viennent de sa part, lui qui avait plutôt tendance à vouloir être tranquille. Il fût donc décidé que je dormirais avec Paco, et dès la fin du repas je montais mes affaires dans sa chambre. Je trouvais un peu de place pour mon sac sous son bureau et j’en sorti quelques affaires.

L’après midi se déroulera sans particularité, Paco était chez un voisin pour jouer a l’ordi, Lorette et moi sommes restés à la maison pour avancer chacun nos devoirs. Le seul moment distrayant de cette fin de journée arriva vers 18h lors d’un moment de chahutages avec Lorette qui ne dura que trop peu de temps à mon goût. Cela a débuté car elle s’est mise à me faire des chatouilles que je lui avais bien évidemment rendues avant que tout cela ne finiss, sur son lit, dans d’interminables jeux de luttes, de clés de bras, des mains coincées entre les jambes,… Durant ces instants nos regards ne se quittaient pas. Nos mains cherchaient les points faibles et sensibles de l’autre, allant même jusqu’à essayer d’atteindre les parties intimes de l’autre, peut être par volonté de déstabiliser ou par envie de braver l’interdit. Je sentais sa respiration s’accélérer et son sourire se dessiner dès que mes doigts approchaient des zones les plus sensibles de son être. À plusieurs reprises mes mains se coincèrent entre ses jambes, les doigts bougeant pour « tenter” de se libérer, même si leur but était parfois de simplement essayer de se rapprocher toujours plus ce fruit interdit.

Le reste de la soirée fut ponctué de rigolade notamment lors du repas et l’ambiance était très détendue lorsque tout le monde se dirigea vers les chambres. Paco me demanda si j’avais sommeil et comme ni l’un ni l’autre ne voulions dormir nous nous sommes mis à parler. Rapidement la discussion à tourner sur les filles et notamment sur des amies communes, sur nos envies d’expérimentation, jusqu’à en arriver à la masturbation. J’appris donc que comme moi il se faisait plaisir presque quotidiennement, parfois sous la douche parfois couché dans son lit. L’heure avançant nous avons pris la décision de continuer à parler une fois dans le lit. Le réveil électronique affichait 22h45. Nous nous sommes donc rapidement déshabiller et nous sommes retrouver en boxer, tout deux avec une érection bien voyante. Comme si de rien n’était nous nous sommes allongé côte à côte, lumière éteinte et notre discussion repris, bien que plus hot qu’auparavant. J’appris à cet instant qu’à deux reprises il avait visionner un film pour adultes avec Ben un ami à lui que je connaissais et qu’ils s’étaient chacun masturber devant le film. Il me racontait comment il avait été gêné de sortir sa verge la première fois mais que Ben s’étant rapidement déshabiller et masturber sans gêne devant lui il s’était également lâcher pour en faire de même.
A ce moment me vint une soudaine question que je posais sans réfléchir : « Et vous vous êtes juste branler chacun de votre côté ou ….?”
Il y eu d’abord un blanc puis il me répondit que oui il ne s’était jamais touché entre eux même si la deuxième fois il aurait bien voulu toucher la verge de son ami car elle était plus petite mais plus large que la sienne donc la sensation devait être complètement différente.

A ce moment là dans la maison plus un bruit ne se faisait entendre et nous parlions donc à mi-voix afin de rester discret car les trois chambres étaient situés en L, la sienne se situant au milieu, dans l’angle. Les ronflements de son père et la respiration forte de sa mère s’entendaient légèrement au travers des murs de placo.
Du côté de la chambre de sa sœur aucun bruit ne parvenait, elle devait déjà dormir.

Ne le sentant pas à l’aise avec ce qui venait de me confier je décidais de poursuivre la conversation en reparlant de nos amies communes et des envies qu’il pourrait avoir avec elles.
Un instant après, à la suite d’un blanc dans la conversation il me proposa de dormir et chacun se tourna dos à l’autre. Ne pouvant cesser de repenser à notre discussion, je m’imaginais nos amies nues, je m’imaginais sa sœur également puis je l’imaginais regarder le film porno verge à la main en train de loucher sur celle de Ben, … Je fus sorti de mes pensées quand je senti le matelas bouger et je compris qu’il se mettait sur le dos.
Je reparti dans mes pensées, nos respirations étaient calme, aucun bruit ne se faisait entendre et le sommeil ne voulait pas venir à moi. Puis soudainement j’entendis un léger bruit régulier et je compris que Paco se masturbait sous le drap. Ne voulant pas le déranger mais voulant profiter un peu de ce moment je me retournais face à lui mais l’air endormi, il arrêta aussitôt. Je fis semblant de me rendormir et quelques minutes après il recommença doucement à se toucher.

Étant déjà bien excité par nos discussions ma verge n’était pas redescendue depuis que nous nous étions coucher et c’était d’autant plus le cas depuis qu’il m’avait raconté cette histoire avec Ben.
La sensation de léger mouvement du drap et le petit bruit de masturbation n’arrangeaient rien à mon état. Les yeux mis clos virent qu’il s’était déjà écoulé trente minutes depuis que nous nous étions coucher. Ma main glissa doucement vers mon entrejambe et caressa ma verge à travers le tissus de mon boxer. Paco ne semblait pas l’avoir remarqué et continuait son plaisir solitaire.
Son envie de jouer avec une autre verge me revint soudain à l’esprit et devint mon envie du moment.
Sans vraiment réfléchir à ce que je faisais, ma main glissa sous le drap et se posa sur lui. Dans le noir je ne su pas où elle s’était posée.
Paco surprit, arrêta de se caresser mais pensait que je dormais, puis quelques secondes plus tard quand mes doigts bougèrent à la recherche de sa verge il fut pris d’une hésitation et posa sa main sur la mienne qui était déjà descendue de son ventre sur son pubis quasi imberbe et commençait à caresser du bout des doigts son gland tout gonflé d’excitation.
Il hésita quelques secondes puis se ravisant il laissa mes doigts glisser le long de sa verge raide. Je découvris une verge de taille moyenne recouverte d’un fin prépuce ne recouvrant pas la totalité de ce gland gonflé d’excitation.
Tout c’était passé sans que le moindre mot ne soir prononcé et je pense que nous étions conscient qu’il fallait que ça continue au maximum. Aussi il resta parfaitement immobile pendant que mes doigts faisaient des aller retours assez lents le long de sa verge avant de descendre pour caresser ses testicules. Celles-ci était encore emprisonnées par le tissus de son boxer et je décidais pour les libérer complètement de lui ôter ce dernier. Délicatement je fis glisser le tissus sous ses fesses et enfin le long de ses jambes, je veillais a ce que les gestes soient lent et délicat afin que le sommier qui craquait déjà légèrement ne soit pas trop solliciter. Une fois nu je me remis à branler cette colonne de chair qui était plus petite et légèrement plus fine que la mienne bien qu’elle semblait de taille raisonnable.

Paco posa sa main sur mon torse et je senti qu’il exerçait une pression pour que je me tourne. Je lâchais donc sa verge et je m’allongeais sur le dos. Il se tourna à son tour vers moi, posa sa main directement sur ma verge dressée mais encore prisonnière du boxer. Je senti son souffle venir dans mon cou et c’est là qu’il lâcha les premiers et seuls mots prononcés dans la nuit  » J’étais à deux doigts de finir mais j’ai envie que ça dure encore…” le tout suivi d’un  » putain elle a l’air grosse”, puis il fit immédiatement glisser mon boxer et une fois nu à mon tour, ses doigts remontèrent pour s’occuper de la verge tendue, la sienne collée contre ma cuisse.

Ce jeu dura un long moment, et quand je senti être au bord de la rupture je le repoussais à mon tour et le jeu se réinversa. Mais à sa grande surprise en plus de mes doigts il senti mes lèvres se poser sur sa verge. Il fut surpris ne s’y attendant pas mais me laissa faire. Après avoir reçu une série de baisers et de succions, sa verge fut engloutie par ma bouche. Mes yeux se levèrent machinalement vers le réveil qui affichait maintenant 23h43. Le temps passait trop vite.

Les va et vient commencèrent doucement, je sentais que si j’accélèrais le rythme il ne pourrait retenir son éjaculation.
Je léchais sa verge de haut en bas, le masturbait et je suçais son gland avec un engouement qui me surpris, mais je n’osais descendre trop, par peur de l’inconnu.
L’envie de connaître cette sensation à mon tour je me rallongeait et sans dire un mot il se redressa et vint à son tour s’occuper de moi. Sa main agrippa a nouveau ma verge et la masturba un moment, je le sentais hésitant puis je senti ses lèvres se poser et s’écarter presque immédiatement pour englober le gland qui se présentait. Il fit quelques aller retours, avant que l’on se fige tout les deux car nous avions entendu quelqu’un se lever.
Je reconnu immédiatement le pas traînant de sa mère qui se dirigeait vers les WC. Il se rallongea doucement à côté de moi, toujours ma verge en main et me masturbant sans bruit. J’en devinais son sourire.

Sa mère retourna se coucher et après avoir attendu quelques minutes que son sommeil puisse a nouveau nous couvrir, il reprit sa fellation. Ma main glissa doucement entre ses jambes et le caressa en même temps.
L’ instant d’après il s’allongea et me fit comprendre qu’il était à la limite de l’éjaculation. Je me mis délicatement au dessus de lui pour le branler tout en donnant des coups de langue sur son gland et en peu de temps sa verge trembla sous mes doigts, déchargeant 3 forts jets de sperme, le premier et le second atterrissant sur ma langue et mes lèvres alors que le troisième se perdit sur son ventre. Je me rallongeais et passait ma langue sur mes lèvres, goutant ainsi pour la première fois le sperme d’un autre.
Il prit alors ma verge en main et me masturba rapidement, il ne lui fallu que quelques secondes pour me faire atteindre à mon tour la première jouissance mutuelle de mon existence. Plusieurs jets de sperme s’écrasèrent sur mon ventre et coulèrent le long de ses doigts, qu’il porta presque immédiatement à la bouche.

Une fois que j’eu repris mes esprits nous avons remis nos boxers en silence, le réveil affichait 0h53 et exténués nous nous endormirent sans difficulté jusqu’au lendemain 10h, où dès le réveil l’excitation se faisait sentir.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire