C’est le grand soir. Ma petite amie est arrivée à me convaincre de réaliser un de mes fantasmes. Aller à une soirée déguisée avec elle et une amie entièrement habillée en femme.
Pour me convaincre, elles se sont organisées. Ma chérie m’a entièrement épilée la veille. Il faut dire qu’elle n’a pas eu beaucoup de travail. Puis elle m’a dit que si j’osais, elle se chargerait de me trouver des dessous et des dessus très sexy à ma taille. Elle me fait porter déjà régulièrement des sous-vêtements féminins sous mes habits d’hommes. Elle me rassure donc en me disant que ce sera pareil, sauf que j’irais enfin au bout des choses.
La soirée commence à 17 heures. Les deux filles arrivent chez moi, et mon amie me propose de me bander les yeux le temps de la préparation afin de ménager la surprise et d’éviter mes réactions de pudeur de dernière minute. Je me retrouve donc en petite culotte en dentelle et avec des froufrous, le tout rose bonbon, les yeux bandés, livrées aux deux amies.
Je suis assise sur une chaise et je peux sentir qu’elles se sont partagé les taches. L’une s’active sur mon visage, rasé de très près, et je sens qu’elle me met du fond de teint, du rose sur les joues.
Puis mes lèvres sont enduites avec soin. Mon amie me guide quand je dois les frotter l’une contre l’autre pour parfaire leur forme en cœur.
Son amie s’occupe intensivement de mes mains et de mes pieds. Je sens qu’elle colle sur chacun de mes ongles de faux ongles que j’ai hâte de découvrir. Puis l’odeur de vernis alors qu’elle s’occupe de mes pieds ne me laisse aucun doute sur ce qu’elle fait.
Ma copine m’enlève mon bandeau provisoirement et j’ai l’interdiction d’ouvrir les yeux, sauf quand elle me l’ordonne alors qu’elle sait qu’elle sera tellement proche que je ne pourrais rien voir…
Mes yeux font l’objet d’une intense préparation. Allongement des cils, épilation légère des sourcils (mon amie m’assure que cela ne se remarquera même pas dans mon autre identité…) far à paupières. Crayon qui intensifie le regard et qui agrandit mes yeux.
Puis je sens des bas glisser sur mes jambes épilées. Un porte-jarretelle s’enrouler autour de ma taille. On me baisse ma petite culotte à mi cuisse le temps de mettre en place les attaches. Je tend mes bras, yeux fermés, et un soutien gorge vient rejoindre le reste des dessous. Je rougis de honte d’avoir toujours ma petite culotte à mi-cuisse alors que je sais que son amie n’ en rate pas une miette.
Puis on me fait enfiler une petite robe, très serrée à la taille, qui moule parfaitement mon corps. Les brettelles glissent sur mes épaules. Je ressens toujours de l’air sur mes cuisses et je me doute donc qu’elle ne doit guère les couvrir.
Des gants long à doigts coupés viennent prendre place le long de mes bras. Puis des bijoux à mon poignet, des boucles d’oreille assez lourdes sont fixés à mes lobes (le poids est bien différents des petits brillants que je porte parfois en garçon).
On me met un collier autour du coup, serré, qui me couvre ma pomme d’Adam pourtant peu volumineuse.
Une chaine fine est fixée à ma taille. On me trousse le temps de la fermer et elle prend place juste au dessus de mon porte-jarretelle. On me colle quelque chose sur le nombril (je suis surprise de la minutie et des détails mis en œuvre, sachant que je ne compte pas découvrir cette partie de mon anatomie dans la soirée !)
Enfin je sens une perruque être fixée sur mes cheveux courts.
C’est à ce moment là que ma petite amie m’indique que ce qu’elles font pour moi doit être récompensé. Et qu’elles peuvent de ce fait jouer un peu avec mes sensations. Je sens un sac de glaçons sur mon sexe, et je sais que je vais définitivement être à mon désavantage devant ces filles. Mais une fois mon sexe congelé (il doit être minuscule) je sens que l’on équipe mon services trois pièces d’un accessoire, dont je ne comprend pas vraiment l’utilité dans un premier temps.
Enfin on me fait me pencher en avant, culotte baissée, et je sens un objet très lubrifié envahir mon intimité, et glissé d’un seul coup au fond de moi, mon petit trou se refermant partiellement sur une partie très étroite. Ma petite culotte est remise en place et ma jupe descend à nouveau mouler mes petites fesses. Je ne sais pas ce que j’ai en moi, mais la sensation est extrêmement agréable.
Enfin des escarpins avec des talons modestes me sont fixés avec douceur, une lanière venant enserrée mes chevilles
C’est enfin le moment attendu. Elles me dirigent vers une glace en pied. Il est 18h30. J’ouvre les yeux… et je ne reconnais pas la personne que je vois. Une blonde, les cheveux ondulés, superbe, androgyne, avec de petits seins (je m’aperçois que le soutien gorge contient de petites prothèse). De longues jambes qui n’en finissent plus, mise en valeur par cette robe légère qui ne couvre que mes fesses et qui laisse deviner la lisière de mes bas et les attaches de mon pj.
Tout est rose. Assorti… les bas résilles, le porte jarretelle, la petite robe sexy, le soutien gorge dont on voit les bretelles, ma bouche magnifiquement maquillée, qui ressemble maintenant à un cœur, et même le blush sur mes joues rehausse cet aspect de « bonbon » délicieux.
Je découvre que le collier que je porte est en cuir, agrémenté d’une boucle et d’un petit cadenas. Je suis sous le charme de mon reflet. Heureuse et complètement conquise ! L’amie de ma petite amie me trousse soudain et baisse ma petite culotte. Je découvre alors que mon « clito » est prisonnier d’une mini cage translucide et elle me dit que j’ai intérêt, si je ne veux pas trop souffrir, à rentrer dans la peau de mon personnage pour la nuit !
Elle me fait pivoter sur mes talons, et en tordant mon cou dans son collier, je peux voir que ce que j’ai en moi n’est que la base d’un beau bijou anal, orné d’une superbe pierre taillée rose.
Les deux filles me félicitent. Me disant que si je chuchote, personne ne peux se douter de la supercherie. Qu’on me demandera certainement pourquoi je ne suis pas déguisée… ou peut-être pensera t’on que c’est un déguisement de femme prostituée, porté par une femme « un peu chaude ».
Je souri de bonheur. Je ne regrette pas. Je me moque de mes angoisses. Je sens avec bonheur la douceur de mes bas caresser mes cuisses. Je m’entraine à marcher et même à tourner avec mes talons. Il me reste quelques angoisses bien sur. La peur d’être invitée pour une danse par des mecs. La peur d’un contrôle poussé de police ou d’un accident sur la route qui me mettrait dans une fâcheuse situation. Mais je me moque de mes angoisses. Je suis bien. Mes faux ongles de plusieurs ton de rose sont superbe. Mes fesses sont magnifiques. Bien sur la cage est contraignante, mais je me dit que pour ce plaisir ce n’est pas cher payé.
Nous nous installons dans le salon avec un verre d’alcool avant le repas. Je ne regarde même plus les préparatifs des deux filles. Mais soudain la sonnette retenti. Je suis soudain folle d’angoisse. Mes amies ne semblent pas très agitées et vont ouvrir. Trois hommes entrent dans l’appartement. Typés, grands, bien battis, souriant. Les deux filles font la bise et les présente :
Mohamed, le plus grand, Kamel qui doit bien faire 1m90 et enfin Farid, très souriant. Elles me disent que ce sont des amis à elles, et que par mesure d’économie, elles ont pensé que prendre une seule voiture serait une bonne idée. Kamel se tourne vers moi et me dis qu’ils sont au courant, et que cela ne les dérange pas du tout. Qu’ils étaient même curieux de voir le résultat. Que je dois me détendre car ils ne s’attendaient pas à voir une réussite aussi éblouissante. Et que s’ils n’avaient pas connu les deux filles, ils n’auraient pas pu deviner qui était la personne un peu « spéciale ». Il me tend une main et m’aide à me relever, puis me « claque » trois bises retentissantes, gardant prisonnière ma main dans la sienne. Il m’entraine vers ses amis en souriant et re-bise à tous ces garçons. Mes joues doivent être écarlates. Étrangement la main de Kamel qui emprisonne toujours la mienne me rassure. Les deux filles proposent de continuer l’apéritif ensemble, avant de passer à table. Tout le monde s’assoit, et je me retrouve bien sur guidée par Kamel juste à coté de lui. L’alcool me fait du bien et je me détends petit à petit, arrivant même à rire aux blagues salaces des garçons, dont je suis parfois la victime. Ma robe ultra courte m’empêche de croiser les jambes. Et je dois garder mes cuisses bien jointes pour ne pas offrir un spectacle osé aux autres.
Kamel à toujours sa main collée à la mienne, mais il ne m’emprisonne plus. C’est maintenant moi qui conserve maintenant ce contact rassurant.
Il propose une charade, et la personne qui ne devinera pas devra servir à table. Étrangement, alors que je ne me pense pas si bête que cela, je perds… Je ne me doute pas un instant de la complicité des cinq autres.
Je me retrouve donc avec un mini tablier bas à les servir à table. Je me traite intérieurement de conne, ne m’étant pas rendu compte que les filles dressaient une table pour six. Mais j’ai peu de temps pour manger, occupée à maitriser mes escarpins entre la salle à manger et la cuisine, à ne rien renverser, à rougir quand Kamel me félicite de mon savoir faire quand je passe à coté de lui, avec à chaque fois une caresse sur mon bras, ou l’enlacement furtif de ma taille, ou sa main qui att**** la mienne en douceur.
Lola, ma petite amie, est venue me parler à la cuisine, m’expliquant que ce soir, il n’y aura aucune jalousie entre nous. Afin que je puisse me sentir très à l’aise et jouer ma composition aussi loin que je le pourrais. Quelle n’est pas attirée par les autres filles (quelle peste !) et donc que nous ne somme plus en couple pour la nuit. Elle m’indique également que Kamel à promis de me servir de chevalier servant toute la soirée, et m’avoue même en riant que c’est lui qui a acheté tout ce que je porte… Car cela l’amusait. Bien sur nouveau fard pour moi. Mais combien de fards vais-je piquer pendant cette soirée si surprenante. Je ne compte déjà plus ! Une vraie petite blonde bien roulée un peu niaise. Qui rougit pour un rien.
Chacun me commande ce dont il a besoin, et petit à petit mon personnage s’incruste en moi. Je me sens heureuse. Moins stressée. Voyant enfin l’avantage d’y aller en groupe et de ne pas être à la merci du premier mec qui a envie de danser. Chaque fois que je m’assois, c’est donc la main de Kamel qui vient me rassurer tandis que je grignote les restes de plat. Farid est très proche de Natasha (l’amie), quand à Lola je la vois rire sans retenu quand Mohamed lui murmure des choses à l’oreille. Ma main s »accroche maintenant à celle de Kamel, ce dernier étant le seul à faire attention à moi. Il ne reste plus de petites pommes dauphines dans le plat, l’inconvénient de faire le service. Mais Kamel devant mon désarroi en pique une dans son assiette avec sa fourchette, et l’approche de ma bouche. J’ouvre la bouche comme un bébé, avec un sourire de remerciement. Ma jambe frôle la sienne sous la table, et une décharge électrique me parcours quand mes bas résilles touchent son jean rugueux. Je profite du fait qu’il continue à me nourrir comme une petite fille pour l’observer. Je n’ai jamais vraiment regardé un homme.
Je me surprend à penser qu’il a belles lèvres et une bouche bien dessiné, un visage fin et doré, des cheveux coupés très courts qui me semble très brillants, des yeux noirs et grands qui ne semble pas me quitter un instant. Me regardant ouvrir ma bouche que je sais être très rose chaque fois qu’il avance la fourchette. Les autres regardent la scène en souriant. Je n’ai pas retiré ma jambe venue par accident toucher la sienne. Et il ne fait aucun effort non plus, renforçant même progressivement le contact.
Je me sens étrangement excitée, me concentrant intensivement pour ne pas laisser gonfler mon clito, ce qui je sais deviendrait une souffrance pour moi. Et je ne veux surtout pas souffrir en public. Mais cette abstinence forcée n’est pas sans conséquence, et à ma grande honte je sens de légers écoulements sortir sans que je ne puisse les contrôler de ma verge encagée et venir mouiller ma petite culotte. C’est la première fois que des écoulements pré spermiques se produisent chez moi avec ma queue toute petite et sans espoir de pouvoir grossir. J’ai vu le cadenas quand Natacha m’a troussée
Je suis intensément troublée, obéissant au doigt et… à la fourchette à Kamel, ma petite culotte un peu humide qui prouve que cela associé a sa main qui tient la mienne et à sa jambe qui caresse maintenant légèrement la mienne ne me laisse pas insensible. Je ne sais plus ou j’en suis. Les garçons n’ont pas bu d’alcool mais moi l’effet de ce que j’ai bu ne m’aide pas à mettre de l’ordre dans mes pensées.
Les deux filles proposent de danser un peu en attendant l’heure de partir à la soirée costumée. La musique envahit la pièce. On ne laisse qu’une petite lampe allumée pour avoir un peu de pénombre et Lola choisit un cd de compilation de slow. Aussitôt Mohamed l’attire dans ses bras, puis c’est Farid qui invite Natasha, et enfin Kamel m’entraine par la main, me serre contre lui, et m’agrippe la taille alors que mes mains, conditionnées par ma comédie, passent autour de son cou. Aussitôt j’apprécie son parfum. Cela me rassure. Je sais que mon parfum, emprunté à Natasha, est très féminin. Au fil de la danse ses mains se font caressantes, s’égarant derrière ma petite robe, passant du creux de mes reins à mes fesses. Et étrangement je me sens bien. Je ne veux plus réfléchir. Je ferme les yeux, me laissant guidée. Profitant intensément du plaisir de me sentir câlinée et rassurer. Me serrant sans retenue contre son corps qui sent si bon. Seule la bosse sur son pantalon qui effleure mon ventre me ramène à la réalité pour un bref instant. Mais je ne veux pas y penser. C’est un homme, c’est normal, je devrais plutôt être fière de lui inspirer cela.
Les slow s’enchainent mais les partenaires ne changent pas. Les couples sont de plus en plus liés. Les mains de Kamel connaissent maintenant chaque centimètre carré de mes fesses. Je pense que s’il continue ainsi il va user ma mini robe. Mais je m’y habitue. Et même… j’y prends plaisir. Il me plote dans le noir et j’adore cela. Mes fesses qui ondulent avec la danse répondent à chacune des caresses. Elles me semblent déjà ne plus m’appartenir. Mon visage est blotti au creux de son épaule.
Le dernier slow de la compil est passé. Les deux filles, un peu saoule comme moi-même propose un jeu du tapis un peu modifié. Ou chacun des hommes pourra poser le tapis devant la femme de son choix, et que cette dernière devra échanger avec lui un baiser passionné comme au cinéma !
Je ne doute pas que je devrais jouer du coté des femmes. Farid commence et sans surprise, Natasha est l’élue. Ils s’embrassent passionnément sous les applaudissements des autres. Puis Lola se fait inviter par Mohamed. Bien sur il est hors de question qu’elle casse l’ambiance, et c’est tenue par la taille par Kamel que je la vois répondre sans retenue au baisé de Mohamed. Ce dernier à les deux mains sur ses fesses. Mais je ne réagis pas. Ce soir, je me transforme en Sarah. Je ne peux plus être jalouse. Juste apprendre à profiter pleinement de ma transformation.
Enfin Kamel a le tapis. Je redoute qu’il ne choisisse une des deux « vraies » filles. Je ne suis après tout qu’une apparence. Etrange cette peur de me voir repoussée, et aussi l’espoir que je ne franchisse pas ce pas.
Mais non, le tapis est à mes pieds. Kamel s’agenouille et me guide en face de lui. Ses mains se posent sur mes fesses. Ses lèvres rejoignent les miennes qui s’écartent sans que je ne puisse rien contrôler et je sens sa langue envahir ma bouche, jouer avec la mienne, et malgré mon trouble, ma langue ne tarde pas à lui répondre. Il me sert très fort contre lui. Je sens son excitation qui ne fait aucun doute. Sa verge qui semble être énorme masser mon ventre alors que sa bouche domine maintenant la mienne. Ma culotte devenir de plus en plus humide. L’envie que ce baiser ne s’arrête jamais. Le besoin irrésistible de caresser son sexe. Et malgré tous mes efforts une de mes mains quitter son coup pour, dans la pénombre, aller à la rencontre de se gros sexe que je masse à travers son jean.
Il faut quand même se relever. On remet des slows. Cette fois la danse n’est plus du tout ambigu. Tous les couples dansent bouche contre bouche. Les mains de Kamel maintenant remontent un peu ma petite robe pour masser mes petites fesses directement à travers la fine étoffe de ma culotte. Jouant avec mes dentelles et mes froufrous. Ma main ne quitte pas son sexe, l’autre toujours autour de son cou. Il me murmure à l’oreille qu’il a envie de moi (comme si je ne le savais pas !), que je suis une petite salope qui fait exprès d’exciter les hommes. Que je dois maintenant assumer. Quand nous passons à coté de Lola qui est visiblement maintenant folle de Mohamed, il lui dit que je suis tellement bandante qu’il veut aller m’embrasser dans la chambre. Lola lui répond négligemment qu’il fait comme il veut. Que cela ne la regarde pas ce soir.
Heureux de l’autorisation, Kamel m’entraine dans la chambre. Me couche sur le lit. Me trousse en m’embrassant. Explore mon corps. Éclate de rire en découvrant ma cage et mon bijou anal. M’expliquant que c’est lui qui a choisit cela. Mais qu’il pensait que les deux filles n’arriveraient pas à me le faire porter.
Je suis également complètement désinhiber. Il me traite toujours de petites salope et j’adore cela. Je déboutonne sa braguette. Ma main va directement dans son boxer pour s’emparer de ce sexe que j’ai tant senti. Ma bouche quitte sa bouche. Et se dirige vers ce sexe dressé. Je le prends dans ma bouche avec avidité. Je ne réfléchis plus. Je laisse mes envies me dominer. Je le suce par instinct. C’est mon premier mec. Je prend cette tige le plus loin possible. Il joue avec mon bijou anal en me traitant de tous les noms, mais avec douceur et tendresse. Son sexe que je sentais déjà prêt à éclater quand on dansait, ne résiste pas longtemps. Il éclate soudain au fond de ma bouche. Sans prévenir. Je suis perdue. Même pas le temps de réfléchir au gout. Kamel me dit « chéri, avale tout. Ne pense pas ! tu ne dois pas en perdre une goutte. » Et je bois, encore et encore. Je suis étrangement folle de bonheur. Je ne me doutais pas que sa production pouvait être si intense. C’est horriblement cérébral. Je sais qu’une partie de lui prend possession de moi. Que je ne pourrais plus oublier. Qu’il est en train de me marquer !
Enfin la source semble se tarir. Je le nettoie avec amour. Le léchant avec tendresse. Il replante mon bijou anal d’un seul coup. Remet ma petite culotte rose en place. Baisse ma jupe qui aussitôt moule à nouveau mon beau petit cul, non sans m’avoir mis quelques fessées avant pour soit disant me punir d’avaler dés la première fois !
Nous rejoignons les autres. Tout le monde me regarde en souriant. Lola demande à Kamel : « Alors elle est bonne et douée la petite Sarah ?». Kamel éclate de rire et sort son téléphone portable. Moi je suis rouge de honte (encore une fois). Il a tout filmé. Il propose une petite projection sur l’écran du PC pour que tout le monde puisse juger de mon talent. Bien sur tout le monde accepte ! Il me tient toujours dans ses bras mais je suis folle de rage. Je regarde avec quelle avidité je me suis emparée de son sexe. Comme une affamée. Les yeux fermés. Sans me douter qu’il me filmait discrètement. Je me revois la bouche pleine de son sperme. Et l’entend à nouveau me demander de tout avaler avec tendresse. Cette belle blonde qui avale avec les yeux qui brillent ! Rage et… excitation mêlées. Je me dis que je ne lui pardonnerais jamais !
Tous font des commentaires salaces sur mes talents de petite femme. Sur mes accessoires. Je suis morte de honte. Et pendant que mon sexe tape avance sur le PC, Kamel me masse l’abdomen. Me rappelant impitoyablement que je suis maintenant remplie de lui.
Enfin le petit film prend fin. Curieusement tout le monde me dit que c’était super. Que beaucoup de mec aurait voulu être à la place de Kamel. Ce dernier me prend dans ses bras, m’embrasse, me caresse. Me parle tendrement. Je mouille de plaisir. Il me dit que maintenant il va pouvoir effacer ma prestation de son téléphone. Je suis complètement sous le charme. Je pardonne. Et je m’entend lui dire qu’il peut garder la vidéo. Qu’il est le premier mec à me dépuceler. Et que cela mérite bien un petit cadeau.
Il n’embrasse et me dit merci, mais sans pouvoir s’empêcher de me murmurer doucement à l’oreille : « tu as tord ma petite pute amoureuse… on ne dit pas dépuceler pour cela. Je serais fier de te dépuceler. Mais pour l’instant, même si tu as été une excellente salope, tu es encore vierge ma puce ».
Bien sur tout le monde s’est demandé pourquoi je piquais un nouveau fard. Mais pas longtemps. Il était temps de prendre la route…
La suite très bientôt !!!!
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