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Rtrouivailles 3éme partie

Rtrouivailles  3éme partie



 Le lendemain matin, nous nous regardons toutes les quatre comme des chiens de faïences. Qu’est-ce qui nous ai arrivé hier ? Sommes nous réellement des putes ? Que représentons nous pour ces jeunes mâles ? Juste des filles faciles et de bons coups de vacance ? Pleins de question se bousculent dans ma tête et je pense que mes copines aussi car le silence est de plomb. J’ai honte de me l’avouer, mais j’ai adoré ça. Je décide de débrider le petit déjeuné et lance :
« Bon les filles ! C’est les vacances ! »
Puis je me mets à chanter :
«  Vacances j’oublie tout ! Plus rien à faire du tout ! J’m’envoie en l’air ça c’est super ! Folies sexuelles c’est tout ! »
Toutes on éclate de rire. J’ai réussi à briser la tension. Aussitôt Katia dit :
« T’as raison ! On l’a bien cherché et on est là pour le fun. Et puis on a toute prises notre pied hier ! Alors soyons des salopes jusqu’à la fin du séjour ! »
Alors que Sophie reste muette, Marina reprend :
« Michèle ? En dehors de tes galipettes avec Sophie, Tu comptes recommencer avec les mecs de la plage ? »
Je la regarde à la gois gênée et amusée et lui répond :
«  Je sais pas ? Pourquoi ? Cela te dérangerait ? » 
« Non, non, je trouve ça….. Je sais pas… C’est compliqué…. Je balance entre jalousie et envie de te voir prise en tournante par ces gars ! »
Sophie, choquée par l’intervention de Marina, rétorque :
« Ha oui ! Carrément ? Je crois que je comprends tes motivations Marina ! ».
« Vraiment ? Bah pas moi ! »
En me regardant, Sophie dit :
« Je ne t’en empêcherais pas Michèle, ssi tu en as envie. Mais pour Marina, ça ressemble à une sorte de vengeance entraînée par la jalousie. »
Katia voyant la tension augmenter, intervient :
«  D’accord d’accord. On calme le jeux les filles. Le principal, c’est que l’on s’éclate pendant les vacances et sans discorde. Ok ? »
Reprenant la parole, je lance :
« Ok. Ça marche ! »
Et on s’embrasse toutes pour partir vers une aventure incertaine à la plage. Sur le chemin de la plage, mains dans la main avec Sophie, je repense à tout ça et me dit :
« J’aime Sophie, mais putain que c’est bon de se faire mettre par un beau mâle viril. »

Je sais que je devrais avoir honte, mais mettez-vous à ma place. Je suis bi et je l’assume.Mes copines sont chaudes comme la braise et on a que l’embarra du choix en mâles sur la plage qui ne demande que ça, nous sauter. Ca fait peut-être de moi une salope, mais j’ai trop envie de pouvoir en profiter même si Marina peut-être jalouse de me voir me faire sauter par plein de mecs.
Arrivées sur la plage, les gars sont là. On s’installe sans faire attention à eux. Mais ce qui devait arriver arriva. Au lieu, un fois de plus, d’aller avec les filles me baigner, je reste seule à me faire dorer au soleil. Il n’en faut pas plus pour que les mecs rappliquent. Max me dit :
« Vous nous faite la gueule les filles ?  On vous a pas assez bien baisé hier ? »
Je suis un peu surprise de ce langage directe mais lui répond , avec applomb :
« Si si mais… »
Il me coupe la parole :
« On a envie de t’sauter avec les potes ! J’suis sûr que quatre queues ça t’fait pas peur ! »
Je savais qu’à un moment ou un autre, je passerais à la casserole avec ces types là. Mais aussi rapidement et  sans subtilité, comme si il suffisait de le dire pour que j’écarte les cuisses, c’est quand même brutal. Mais j’ai le feu au cul et rien que de l’entendre me dire ça, je mouille directe. Ni une, ni deux, ils m’emmènent dans les sapinettes, sans que j’ai pu dire quoi que se soit et d’emblée, je me fait saillir contre le tronc rugueux d’un sapin qui m’arrache la peau du dos.
C’est à la fois bestial et passionné. Mes jambes autour de sa taille et ses bras autour de mon cou, je me met à presque crier des insanités :
« Oui !!! Ha oui c’est boooon ! J’ai besoin d’vos queues. Baisez-moi fort. Faites-moi jouir. Je veux sentir votre sperme dans ma bouche, sur mon corps ! »
Marina avait voulu me voir prise en tournante, et bien c’est vœux étaient exaucés, sauf que ne pourrait pas être spectatrice.
Tout en me sautant, il dit à ses potes :
« Vous voyez, ce n’est pas difficile de sauter ces putes ! Elles ne demandent que ça être ramonées ! ».
Il sort de ma chatte et en appuyant sur mes épaules, il me met à genoux en m’ordonnant :
« Suce ma grosse bite pendant que les potes te baises ! »
De toute façon, plus question de reculer. Mes lèvres enserrent l’engin, ma main saisit ses testicules que je fais rouler dans ma paume tandis que ma bouche s’active sur le chibre qui distend ma mâchoire.

Ni une, ni deux, les autre me pénètrent tour à tour. D’abord juste par la chatte mais rapidement ils m’embrochent en double. Tout en ahanant, ils me labourent, m’élargissent, me défonce comme je leurs demandais toute à l’heure. A grands coups de reins, les queues se succèdent. Je n’aurais pas imaginé prendre autant de plaisir à me faire défoncer ainsi comme la dernière des salopes. Je suis devenue la proie consentante de ces furieux qui me pelotent les seins, me bourrent le vagin et le cul. Je suce sans discontinuer les chibres qui se présentent devant moi tandis que d’autres se relayaient dans ma vulve ou mon anus. Ils ne sont que quatre, mais j’ai l’impression qu’il sont une dizaine tant ils sont endurant. Comme souvent, quand je baise avec des inconnus, les noms d’oiseaux, les qualificatifs qui se voudraient insultants m’électrisent.
Pendant un temps qui me semble interminable mais trop court à la fois, j’ai vogué sur une déferlante de plaisir et d’orgasme, au rythme dément imposé par ces partenaires qui me possèdent sans discontinuer. Qui aurait pu imaginer que cette mâtinée aurait été aussi délirante. Ces jeunes mâles ont une fougue incroyable et me procurent des sensations tellement extraordinaire. Pendant que mes copines batifolent dans les rouleau de la mer, je suis là, débauchée comme la catin, sans penser à me rebiffer. Puis, c’est apocalypse, le feu d’artifice final, mes forniqueurs de la plage, m’aspergent de leurs spermes dans des cris rauques d’animaux en rûtes. Ils s’effondrent peu à peu repue de tant de luxure. Je sui moi aussi dans un état second ; anéantie.
Reprenant mes esprits alors que deux d’entre eux s’amusent à m’étaler le sperme sur mon corps, je leurs dit :
« Les garçons, ça suffit. L’orgie est terminée. Il est temps d’aller prendre un peu de repos ! »
Les gars n’insistent pas et quand ils sortent de la sapinette, les filles qui avaient rejoint la plage et me cherchaient, comprennent immédiatement la situation.
L’un des gars en passant devant mes amies leurs dit :
« Votre salope de copine est chaude comme la braise ! Qu’es-ce qu’on lui a mis !! » 
Le copines viennent aussitôt à la rescousse et me trouve couverte de sperme et à demie comateuse.

Sophie m’aide à me redresser et m’embrasse tendrement malgré le sperme qui recouvre mon visage.
« Ma chérie, ils t’ont violée ? »
Marina éclate de rire en disant :
« Vu sont sourire béat, je crois plutôt qu’elle s’est faite défoncer en prenant sont pied ! »
Après avoir échangé un bref regard avec mes amies, j’acquiesce :
« Tu as raison Marina. Il m’ont baisé comme jamais je ne l’ai été. Maintenant, j’ai besoin de me laver et je meurs de soif. D’avoir avalé tant de foutre m’a donné soif ! »
Comme je ne tient pas sur mes jambes, elles m’aident à aller me nettoyer dans la mer.
Ensuite nous remontons au bar de la plage pour me désaltérer. Les garçons nous rejoignent. J’aurais préféré à ce moment un peu plus d’intimité avec mes copines. Aprés une bonne bière, je suis surprise de voir que Sophie ne reste pas vraiment inactive. Elle est entrain de sucer le black de la bande. Aussitôt suivi de Marina et Katia.

Vraiment elles sont incroyables. Le quatrième qui reste en plan , veut aussi que je le suce. Mais j’ai eu ma part. Je l’embrasse et le laisse une dernière fois l’occasion de caresser ma poitrine et mon cul, alors que je le masturbe doucement.
Les autres se lâchent dans les bouches de mes amies et le mien sur ma cuisse. Il a bien fallu nous séparer. Mais Marina en douce dit aux mecs :
«  Si vous envisagez d’organiser à nouveau une séance comme celle-ci n’oubliez pas de m’y convier ! »
Ils rigolent en lui répondant :
« Nous n’y manquerons pas. Des salopes comme vous on en recontre pas à chaque coin de rue ! »

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