Après quelques minutes de ce travail d’attendrissement de son anus, sentant sa résistance psychologique commencer à lâcher, je retirai complètement mon pouce, pour le remplacer par mon index et mon majeur joint : l’intromission fut plus aisée, et je pus alors poursuivre ma défloraison, enfonçant plus profondément mes deux doigts dans ses entrailles, les faisant jouer ensemble pour caresser sa caverne étroite, lui tirant des gémissements étouffés. Dans cette position, mon pouce caressait également son clitoris, attisant son plaisir, et permettant un relâchement progressif de sa résistance : le moment de passer aux choses sérieuses approchait.
Tout en continuant d’effectuer des mouvements alternatifs d’une main, j’entrepris de l’autre de déboucler ma ceinture, puis mon pantalon, pour le laisser glisser à mes pieds. Mon caleçon le rejoint rapidement sur le sol, libérant mon sexe pleinement érigé, prêt à entrer en action!
Me positionnant dans l’axe de sa fente, je lubrifiai mon gland avec le jus de sa chatte, me masturbant lentement pendant que je continuais le va-et-vient de mes doigts dans son cul. Toute résistance semblait avoir disparu, Véronique se laissait aller au plaisir, son anus battant au rythme de mes mouvements de doigts. Retirant mes doigts, je positionnai doucement mon gland à l’entrée de sa porte encore vierge, et commençai à pousser doucement. J’écartais de mes mains les deux magnifiques globes de ses fesses, dilatant son anus pour permettre à mon sexe d’y pénétrer. Véronique ne se rendit pas compte immédiatement du changement d’intrus : le plaisir que lui avait procuré la masturbation avait suffisamment relâché ses muscles pour que mon gland progresse assez rapidement vers sa cible.
Quand elle se rendit compte de la différence de taille, le plus gros était fait : le gland avait quasiment complètement franchi la barrière de ses sphincters, et sa réaction tardive à cette intrusion massive provoqua en fait l’effet inverse, propulsant mon sexe dans ses entrailles. Le gland étant passé, tout le reste pouvait suivre! Véronique se mit à se débattre contre ce pieu de chair fiché dans son cul, mais j’avais anticipé sa réaction et maintenait fermement ma proie. Je continuai à pousser mon sexe dans son ventre, encouragé par la chaleur de ses muqueuses et l’agréable sensation d’être pris dans un fourreau étroit.
Véronique se mit à se contorsionner, et commença à crier de douleur et de refus de ce viol anal. Je ne pouvais pas l’empêcher de donner de la voix, n’ayant plus de mains disponibles pour la bâillonner. Igor, qui observait la scène depuis un moment de son fauteuil en se masturbant, se leva alors, se dirigea de l’autre côté du sofa. Attrapant Véronique par les cheveux, ce qui lui fit pousser un nouveau cri de douleur, il enfonça alors son sexe dans sa bouche, ce qui eut pour effet immédiat d’étouffer ces cris. Profitant de l’aubaine, je poussai à fond mon sexe dans son cul, jusqu’à ce que mes testicules viennent taper contre ses cuisses.
Véronique était maintenant en train de lutter contre ce sexe énorme qui remplissait sa bouche, rendait sa respiration difficile et lui distendant les mâchoires. Je marquai une pause, savourant la sensation exquise de mon sexe pris dans ce fourreau de chair tendre si longtemps désiré, et profitant de la vue magnifique de son cul.
Igor continuait de maintenir la tête de Véronique relevée par les cheveux, et commença à effectuer de lents mouvements de va-et-vient dans sa bouche distendue, poussant de plus en plus en avant son gland énorme vers sa gorge. Véronique essayait de refuser cette pénétration, mais la drogue embrumait son cerveau, et la force démoniaque de l’ukrainien lui laissait peu de chances : de ma position, je voyais son cou se gonfler à chaque poussée du géant, immisçant sa verge de plus en plus profondément dans sa gorge.
Je commençai alors à mon tour à aller et venir dans son cul, me retirant presque puis replongeant lentement jusqu’à la garde, lui laissant ainsi le temps de s’habituer à ce pieu de chair fiché dans son anus. Le plaisir était immense, à la hauteur de l’attente que j’avais du subir : je voulais en profiter au maximum, mais également lui faire payer ses refus.
Après quelques minutes de ce manège, et alors que je voyais qu’Igor approchait de l’orgasme, je me retirai brusquement de ses fesses, lui arrachant un grognement que l’ukrainien mis à profit pour plonger encore plus profondément dans sa gorge : son cou violacé semblait prêt à se rompre, et je voyais ses yeux écarquillés par cette sensation étrange d’être complètement pénétré par de presques inconnus.
Igor se retira presque complètement, lui permettant de reprendre son souffle, mais je profitai de ce qu’elle croyait être un répit pour replonger d’une seule poussée ma verge au plus profond de son cul! le cri qu’elle poussa fut presque instantanément étouffé par le sexe d’Igor, que celui-ci venait d’enfoncer d’une poussée brutale au plus profond de sa bouche, venant faire buter son pubis contre le visage de Véronique : elle avait englouti (bien malgré elle!) l’intégralité du sexe monstrueux de l’ukrainien! Igor se mit alors à utiliser la gorge de Véronique comme un sexe, donnant de violents coups de reins qui arrachait des hoquets de douleur à sa victime, qui essayait de lutter contre cette brutale intrusion en se tortillant, ce qui augmentait la sensation procurée par son cul serré sur mon sexe!
Dans un râle puissant, Igor lâcha finalement une longue giclée de foutre dans la gorge de Véronique, en une dernière poussée, puis se retira de la bouche de sa victime et relâcha sa tête. Celle-ci mit un long moment à reprendre son souffle, secouée de haut-le-corps nerveux, et essayant de recracher le liquide chaud et visqueux qui encombrait sa gorge.
Je n’avais pas bougé depuis ma dernière pénétration, tout émoustillé par le spectacle de la verge d’Igor violant la gorge de Véronique. Je relâchai ses mains, que je tenais toujours bloquées dans son dos. Ecartant ses fesses, je me retirai à nouveau complètement, mais replongeai immédiatement mon sexe dans son anus, et commençai ainsi de longues pénétrations complètes, libérant mon sexe de son cul pour le replonger aussitôt au plus profond de son intimité, profitant au passage de la vue de son fion distendu. Son corps cessa bientôt de se rebeller contre ces intrusions, et elle se mit à se détendre, puis à faire onduler sa croupe sous mes vas-et-vients.
J’amplifiai le mouvement, augmentant la cadence et poussant aussi loin que possible mon gland dans ce fourreau si doux et si enveloppant. Je sentais monter dans mes reins une vague de plaisir, brûlante et enivrante. Je saisis ses hanches à deux mains et continuai mes poussées de plus en plus brutalement, essayant toujours de gagner en profondeur, lui arrachant à chaque fois des gémissements de plaisir de plus en plus marqués. Je sentais ma jouissance approcher, et je redoublai mes coups de pilon, faisant avancer le sofa à chaque fois que mon ventre venait s’écraser sur ses fesses, et les cris aigus de Véronique en plein désarroi de ce plaisir inattendu attisaient encore plus mon plaisir. Sentant brutalement mon cerveau s’obscurcir, je poussai une dernière fois mon sexe turgescent au plus profond de son cul, libérant de longues vagues de sperme si longtemps retenues, inondant son fondement déflorée. Je sentis à cet instant tout son être vibrer d’un orgasme incontrôlable, et Véronique poussa un long râle de plaisir, cambrant ses reins et basculant sa tête en arrière sous cette décharge d’adrénaline inattendue. Elle se relâcha ensuite complètement, et je restai de longues minutes fiché dans son anus, profitant encore du plaisir qu’il avait pu me procurer, et peut-être plus encore d’avoir arraché un orgasme anal à cette petite bourgeoise un peu coincée!
la soirée était bien entamée, et nous avions déjà rempli une bonne partie des objectifs! Je me retirai de son cul, lui faisant pousser un petit gémissement de surprise, et essuyai mon sexe sur une serviette de table. Véronique ne bougeait plus, respirant lentement, son cul resplendissant toujours en l’air sur le dossier du sofa, ce qui eut pour effet de redonner une belle érection à Igor, qui venait de se resservir un verre.
Pendant que je préparais deux verres de scotch agrémenté d’une dose de GBH, Igor s’était levé, et tout en sirotant distraitement son alcool, pelotait assidûment le cul offert de Véronique, n’hésitant à glisser ses gros doigts dans sa chatte et dans son fion, pour goûter la douce chaleur de ses muqueuses.
Je sentais mon ukrainien tout prêt à plonger son biscuit dans la magnifique tasse à double lobes qu’il avait sous les yeux, et je l’arrêtai d’un geste, ayant prévu une autre activité pour la suite. Je relevai Véronique de sa position peu confortable, redescendit sa robe un peu plus décemment, et lui fit boire d’une seule traite son scotch aromatisé. Puis je confiai la belle aux bras d’Igor (qui ne pu s’empêcher de recommencer à la peloter immédiatement!) pour m’occuper de son mari. Les effets du somnifère commençaient à s’estomper, je lui fit également boire son verre drogué pour le réveiller. En attendant que le GBH fasse son effet, je mis une petite musique langoureuse sur la chaîne Hifi. Véronique se mit à onduler contre l’ukrainien, qui ne savait plus où donner des mains! L’alcool et la drogue faisant effet rapidement, la maîtresse de maison était devenu comme ivre, se frottant de tout son corps en chaleur contre le torse massif d’Igor, répondant sensuellement à ses caresses appuyées.
Stéphane, qui sortait également de sa torpeur sous l’effet du cocktail détonnant que je venais de lui administrer, aperçut sa femme dansant lascivement, et cette vision de charme eut pour effet de l’émoustiller immédiatement (le GBH n’étant pas étranger à l’excitation visible de notre hôte!). Il entreprit de la prendre dans ses bras pour danser, la serrant plus fort que nécessaire contre lui. Cette danse lente laissait quand même quelques ouvertures, et nous ne manquions pas, Igor et moi, de profiter du passage de Véronique à notre portée pour lui caresser les fesses, voire comme Igor pour fourrager sous sa robe en suivant nos deux danseurs enlacés.
Véronique, sous l’influence de la drogue, ne pouvait pas faire de discernement entre les bras de son mari et les grosses mains calleuses de l’ukrainien. Il était temps de passer à la suite du programme : le mari et la femme étant maintenant complètement excités, je fis mine de prendre congé avec Igor, en nous gardant bien de nous faire raccompagner à la porte. Nous nous dirigeâmes vers la sortie, mais ayant fait semblant de claquer la porte, nous revinrent discrètement sur nos pas : Véronique et Stéphane, toujours enlacés, se roulaient des patins sans vergogne, puis commencèrent à monter les escaliers vers leur chambre.
Les escaliers étaient dans une semi-obscurité, et nous décidèrent alors d’emboîter immédiatement le pas au couple enlacé, profitant de la vue agréable du fessier de Véronique éclairé en contre-plongée.
Une fois dans la chambre à coucher, Véronique se mit à dégrafer son mari, pour extraire son sexe, de taille moyenne mais fièrement dressé, et commencer à le sucer goulûment! Je ne sais si les préliminaires qui nous lui avions fait subir avaient déclenché quelque chose en elle, mais elle y mettait une ardeur qui m’étonnait. Son mari, tout à la fois surpris de cette fellation torride, et excité par la drogue, lui prit la tête à deux mains pour amplifier les pénétrations. La belle semblait accepter assez facilement les poussées de son sexe, le passage d’Igor dans sa gorge avait suffisamment préparé le terrain pour le sexe de taille normale de son époux. Ce dernier éjacula assez rapidement, et resta fiché dans la gorge de sa femme en poussant des râles saccadés de plaisir!
Il s’écroula rapidement sur le lit, pendant que Véronique reprenait son souffle. Voyant son mari qui venait de sombrer brutalement dans le sommeil, elle retira sa petite robe noire, et passa dans la salle de bains pour prendre une douche. Pendant qu’elle était absente de la chambre, nous baissâmes la lumière, et nous nous déshabillâmes également complètement, prêts à entrer en action. Igor prit Stéphane sous ses bras et le fit glisser du lit, de manière à dégager le champ de bataille.
Véronique revint dans la chambre vêtue d’un long peignoir blanc. Je l’attendais derrière la porte, et, m’approchant doucement dans son dos, je lui passai un bandeau de soie noire sur les yeux, lui tirant un petit cri de surprise. N’ayant plus vu Stéphane sur le lit, elle cru qu’il avait repris ses esprits et proposait de mettre un peu de piment dans leurs relations, et elle se laissa faire lascivement. Je dégageai ses épaules du peignoir, et le laissai tomber au sol, découvrait son corps magnifique : Igor, qui venait de se placer face à elle, retint un rugissement de plaisir! Je me mis à lui caresser sensuellement tout le corps, pendant que l’ukrainien se masturbait face à nous.
Véronique était complètement abandonnée, et d’une pression sur la nuque, je la fis s’agenouiller et posai mon gland sur ses lèvres : un peu étonnée que son mari souhaite encore une fellation alors qu’elle venait de le faire éjaculer dans sa bouche, Véronique n’hésitât cependant pas à prendre mon sexe dans sa bouche, commençant des va-et-vient lents et sensuels, titillant mon gland du bout de sa langue, ce qui eu pour effet d’augmenter encore la taille de mon sexe. Je relevai Véronique assez rapidement, pour la guider jusqu’au lit : je m’allongeai sur le dos, et la plaçai en 69 sur moi, lui permettant de continuer ce qu’elle venait de commencer, et entreprenant pour ma part de lui caresser le clitoris de ma langue. La caresse semblait lui plaire, car en même temps qu’elle engouffrait ma verge de plus en plus goulûment, elle se mit à onduler de la croupe, tressautant de plaisir à chaque coup de langue un peu plus appuyé.
Igor, qui continuait de se masturber en nous regardant, ne pu résister longtemps à ce spectacle : venant se placer près de moi, il se mit à lui peloter les fesses, savourant le contact de cette chair si ferme et si douce, puis rapidement entrepris d’immiscer un doigt dans son cul. Le traitement que je lui avais fait subir avait suffisamment assoupli son anus pour qu’Igor parvienne rapidement à y plonger un doigt en entier, lui tirant des gémissements de plaisir pendant qu’elle continuait son office.
En bout de quelques minutes de ces préliminaires, je relevai Véronique, et la plaçai à l’aplomb de mon sexe dressé, toujours de dos par rapport à moi : j’avais ainsi une vue magnifique sur son cul. Elle vint s’empaler d’elle-même sur ce pieu de chair, soupirant d’aise, et se mit à monter et descendre, se libérant presque de son pal pour le replonger aussitôt dans sa chatte, tout en bougeant sensuellement son bassin. Mon excitation était maximale : Véronique était en train de se caresser les seins, dans un état d’excitation intense, tout en accélérant ses mouvements de va-et-vient sur mon sexe! je lui saisis les hanches, amplifiant ses mouvements, et sentant monter une vague de jouissance de mes reins! Véronique accélérait le rythme, redescendant de plus en plus fort sur ma verge dressée, gémissant de plus en plus sous le flot de sensations qui l’envahissait. Ne pouvant résister plus longtemps, je déchargeai mon sperme dans sa chatte, lui arrachant un long cri de plaisir, alors qu’elle se cambrait sous la vague de plaisir qui lui envahissait les reins! Je restai ainsi de long instants, Véronique toujours empalée sur ma verge, savourant ses moments de plaisir partagé.
Je finis par me retirer, faisant basculer doucement Véronique sur le lit. Igor, qui n’avait pas perdu une miette du spectacle, s’approcha alors : allongeant alors Véronique sur le dos, saisissant une cheville dans chacune de ses mains, il lui écarta largement les cuisses et fit glisser d’une seule poussée son sexe dans sa chatte humide. Véronique était maintenant bien préparée, et ce sexe, aussi monstrueux soit-il, pénétra aisément dans son antre de plaisir, lui arrachant un long gémissement de plaisir. Je ne sais si elle se rendait compte que les acteurs avaient changé, sous l’effet de la drogue, mais elle était complètement immergée dans la recherche du plaisir, et accepta langoureusement ce pieu de chair, avançant même son bassin pour permettre une pénétration profonde!
Il n’en fallait pas plus pour que l’ukrainien ne se mette à lui astiquer la chatte, en longs mouvements puissants, venant butter au fond de son vagin (ce qui arrachait des petits cris aigus à Véronique), ahanant et soufflant en accélérant son rythme pour très rapidement éjaculer dans un grognement à nouveau dans son sexe béant.
Véronique semblait être au 7ème ciel, et se laissa aller complètement sur le lit quand le géant se retira d’elle.
Nous avions rempli notre mission, et je proposai à Igor d’aller nettoyer le théâtre des opérations, pour ne pas laisser de traces de notre forfait, en particulier des drogues que nous avions administrées. Après m’être rhabillé, je descendis au salon, laissant le soin à Igor de remettre en ordre la chambre. Je rangeai rapidement la table, récupérant en particulier les verres et flûtes dans lesquelles j’avais mis mes drogues pour les laver parfaitement. Après avoir également nettoyé quelques tâches de sperme sur le sol, je vérifiai que tout était en ordre, puis remontai rejoindre Igor.
Au fur à mesure que je m’approchais de la chambre, j’entendais de plus en plus distinctement des ahanements et gémissements venant de la chambre. En arrivant sur le seuil, je constatai que mon comparse n’avait pas résisté à l’appel du cul de Véronique! Il avait sorti Véronique du lit, toujours les yeux bandés : elle était maintenant debout au pied du lit, penchée en avant avec les avant-bras posés sur le bois de lit, et se faisait sodomiser allégrement par Igor.
Je ne sais si Igor avait eu des difficultés pour forcer son anus, je suppose qu’il était déjà passablement assoupli par ma propre séance de sodomie, mais la belle Véronique semblait apprécier particulièrement les profondes pénétrations de l’ukrainien, gémissant de plaisir sous ses va-et-vient, ondulant des reins pour encore mieux accueillir le barreau de chair qui lui labourait les entrailles. Les reins cambrés, elle avait abandonné toute résistance à ce plaisir jusqu’aujourd’hui inconnu, et profitait au maximum de ces nouvelles sensations associées à cette pénétration anale.
L’ukrainien ahanait à chaque coup de rein, pénétrant de toute sa longueur le cul offert de la belle, ressentant les sensations incroyables de ce fourreau de chair tendre si étroitement serré sur son sexe, profitant de la vue magnifique de ses fesses tendues. Il se mit à lui gifler les fesses doucement, ce qui provoquait par réaction une contraction des muscles de Véronique et donc encore plus de sensations sur sa verge! Véronique réagissait à chaque fessée par un petit cri de surprise, mais continuait à encourager les pénétrations de l’ukrainien. Igor, poussant toujours plus fort dans son cul, lui claquait les fesses de plus en plus violemment, lui arrachant des cris de plus en plus aigus. Les magnifiques globes de son fessier devenaient rouges des claques reçues, mais cela n’entamait en rien la générosité de Véronique pour se faite sodomiser!
Accélérant tout à coup, l’ukrainien enfonçait à un rythme effréné son sexe monstrueux dans le cul que lui tendait la belle, le retirant presque complètement pour replonger violemment au plus profond de ce fourreau étroit, faisant décoller à chaque poussée Véronique du sol! quelques instants de cette cadence affolante suffirent pour qu’Igor décharge dans une dernière pénétration monumentale tout son foutre au plus profond du cul de Véronique, provoquant chez elle le déferlement d’un orgasme incontrôlable qui lui arracha un hurlement de plaisir! Igor se retira presque aussitôt, ce qui failli jeter la belle à terre car elle était tellement pantelante suite à ce coït que ses jambes ne la portaient plus, et elle ne tenait debout que grâce aux mains d’Igor qui tenait sa taille et à son sexe dans son fondement!
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