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Pour Estelle.

Pour Estelle.



Estelle et moi avions convenu de nous rencontrer à Nantes, elle m’avait dit avoir des amis dans le coin et désirait faire d’une pierre deux coups. J’avais un après midi de libre, c’était un mercredi, elle m’avait donné l’heure de son train et je l’attendais donc à la gare de Nantes avec une petit boule au ventre, rencontrer quelqu’un pour la première fois à quelque chose de tout aussi excité qu’effrayant surtout pour quelqu’un d’aussi méfiant que moi mais je demeurais confiant.

Le train était arrivé en gare depuis une bonne minute et la foule commençait à s’en extraire, je scrutais donc cette dernière à la recherche d’une jeune femme, plutôt filiforme et relativement grande (1m70 m’avait elle dit) censée porter une robe bleu marine.

Assez rapidement j’arrivais à la localiser et je me dirigeais vers elle pour l’aborder, j’appréhendais pas mal à vrai dire et elle ne me remarqua pas de prime abord, je lui lançais un « Bonjour Estelle », un peu gênée elle me retourna le bonjour en rangeant son portable et ses écouteurs dans son sac à main.

« On va se boire un truc à côté? Ya un café juste au coin là, en face? » Lui lançais je. Elle esquissa un léger sourire et me répondit que c’était une bonne idée.

Au café nous nous mîmes assez naturellement à discuter de tout et de rien, paradoxalement nous en savions déjà pas mal l’un sur l’autre puisque nous avions déjà bien bavardé en ligne. Cependant, elle seule avait vu mon visage, elle était restée discrète car elle avait soit disant vécu une mauvaise expérience avec quelqu’un rencontré en ligne par le passé, j’avais respecté son choix et je m’étais fié à sa description physique d’autant qu’elle faisait l’effort de se déplacer. Qui plus est, Estelle semblait avoir d’autre atouts qui m’avais poussé à accepter de la rencontrer à l’aveugle pour ainsi dire.

Après avoir siroté un Coca et une Badoit, Estelle émit l’envie de visiter le jardin des plantes qui se trouvait juste à côté, il faisait beau et je lui répondis que pourquoi pas après tout. Elle me confia qu’elle connaissait déjà les lieux puisqu’elle venait régulièrement à Nantes.

Il était relativement tôt, et à par quelques badauds, il y avait peu de monde dans la jardin, je pointais du doigts le chemin qui montait en spirale au belvédère, nous bifurcâmes aussi tôt dans cette direction.

Arrivés au sommet, l’endroit était désert et tant mieux. Estelle s’accouda sur la rambarde en bois se cambrant légèrement, ce n’était pas une invitation mais je pris tout de même la décision de me ‘rapprocher’ en posant ma mains sur ses fesses puis en remontant le long de son dos ce qui la fit sourire avec un très léger rire. Je m’accoudais à mon tour mais dos à la barrière et Estelle, filiforme me fit face. Tous les deux avec un regard assez inquiet nous regardions si qui que ce soit était sur le point de nous déranger et constatâmes que nous étions absolument seuls là haut. Elle touchait du doigts l’une de ses lèvre tout en regardant le chemin comme pour s’assurer que personne ne venait quand je lui dis « Approche toi. », ce qu’elle fit, encore méfiante , j’attrapais son poignet tout fin pour amener sa main sur mon sexe, elle se mit à me caresser à travers avant de délicatement ouvrir ma braguette et engouffrer sa main.

Elle malaxait mon sexe qui durcit rapidement alors que nous nous embrassions. Nous fîmes une pause, encore pour regarder si personne ne venait puis elle passa sa main dans ses cheveux mi-longs pour les attacher avec un élastique qu’elle portait autour du poignet puis, en la guidant par l’épaule, je lui ordonnais de s’agenouille, ce qu’elle fit.

Une fois à genoux, je la saisis d’une main par ses cheveux attachés en sortant mon sexe de l’autre. « Ouvre » lui dis je tout en ramenant sa tête contre moi. Sa bouche grande ouverte, mon sexe la pénétra et je commençais à faire des vas et viens avec sa tête en forçant parfois pour tester ses limites mais elle ‘encaissait’ bien si on peut dire. Elle était presque capable de tout mettre dans sa bouche. Je la laissais respirer de temps à autres, des filets de baves liaient ma queue à ses lèvres alors qu’elle respirait fort pour reprendre son souffle. Une fois qu’elle jugeait s’être assez reposée elle tirait la langue pour en demander encore. De temps à autre elle laissait s’échapper des sons semblables à des gémissements, difficile à dire la bouche pleine.

Quand j’en eus assez d’utiliser sa gorge je la soulevais par les cheveux pour lui faire comprendre de se relever. Estelle se mit instinctivement dos à moi, je remontais sa robe, assez pour pouvoir accéder à ses sous vêtements pour les lui baisser au niveau des genoux. Sa chatte était rasée et elle mouillait pas mal, assez pour que ma queue rentre avec aisance.

Tout en la tenant par les cheveux le la pénétrais, pas comme une brute, relativement doucement, je la sentais se contracter, ses gémissement était très clair à présent. J’éjaculais assez rapidement et profondément en elle. Après quelques fortes pulsations je me retirais, rien ne coulait… elle me suça comme pour laver tout ça puis se redressa pour se rhabiller.

Une petite tape sur les fesses quand sa robe fut remise correctement et, comme un accord, nous nous décidâmes d’aller chez moi.

Une fois la porte fermée à clef, je lui demandais de se dévêtir et d’aller dans la chambre en pointant la direction. « Allonge toi et mets ça. » en lui tendant un bandeau. Délicatement elle se banda les yeux « Et maintenant » Me dit elle avant que je la retourne sur le ventre. Je manipulais son corps avant de la cambrer, la tête dans les coussins, le cul en l’air bien écarté. « Donnes tes mains! » Lui dis je avant de m’en saisir pour les lier avec un autre bandeau que je serrais relativement fort.

J’avais l’ascendant sur elle. Estelle gigotait à droite à gauche mais restait docilement en place. Ses fesses étaient surélevées, je me mis à jouer avec elle, la lécher, la caresser, la doigter parfois je la fessais fort. Je tendais mes doigts à sa bouche pour qu’elle les mouille, je jouais avec sa chatte tout en préparant son anus à ma venue car elle m’avait bien fait comprendre qu’elle aimait qu’on la sodomise.

Après l’avoir fait jouir avec mes doigts et ma langue, Estelle me demanda d’arrêter, non pas qu’elle n’en ait plus envie mais elle était « trop sensible » à ce moment là, ça en devenait douloureux. Je décidais donc de la relever, de la poser sur ses fesses, toujours les yeux bandés, mains attachées.

Je me tenais debout sur le lit, face à elle, à genoux une fois de plus… »ouvre la bouche, suce et crache un peu dessus » Sans réfléchir elle me pris en bouche. Cette fois je la laissais faire à sa manière, elle me suçait le gland tout en bavant bien sur mon penis. Au bout de 2 ou 3 minutes je me retirais de sa bouche pour la remettre dans sa position initiale.

J’écartais ses fesses pour bien voir son anus, je crachais dessus avant de doucement approcher ma verge elle aussi encore pleine de sa bave avant de m’insérer dans son trou. Le premier palier franchi, Estelle laissa un gémissement entre plaisir et douleur s’échapper. Je glissais assez doucement en elle à départ puis quand assez lubrifiée je me mis à aller vraiment plus vite, plus vigoureusement… je faisais de long vas et viens, en entier dans son anus. J’avais une forte envie de jouir mais je me distrayais en frappant ses fesses vraiment fort avec la paume de mes mains jusqu’au moment où s’en fut trop pour moi. Je voulais initialement venir dans sa bouche mais je n’eus pas trop le temps de réfléchir, je lui envoyais tout dans le cul… je continuais en elle malgré le fait d’avoir jouis, je poussais tout au fond mais le mouvement faisait déborder le tout… ma queue luisait de tout ce sperme,je me retirai enfin.

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