Pas toujours facile d’avouer quand on s’est fait enculer par Ris pendant toute la période où j’ai habité à Lagny, c’est-à-dire 5 années pourtant c’est ce qui s’est passé et évidemment je suis allé plus loin que ce que j’ai raconté précédemment.
Ma vielle voisine qui était la propriétaire de Ris ne fermait presque jamais la barrière de son jardin si bien que son chien se baladait librement presque toujours dans le quartier.
Quand Véga n’était pas en ‘chasse’ je le laissais rentrer chez moi et ils passaient de longs moment à jouer, cela me permis de m’en faire un copain que je pouvais caresser quand je voulais, bien sur j’avais toujours une récompense à lui donner quand il était chez moi, un gâteau ou même plus : un morceau de jambon blanc et toujours mon tube de lait concentré qu’il adorait et qui était très pratique pour d’autres jeux. Je l’attirais comme cela dans mon sous sol ou j’étais tranquille pour m’occuper de lui et de sa belle bite rouge.
Depuis qu’il avait saillit Véga j’avais toujours envie de voir son gros chibre mais il n’était plus question qu’il saillisse Véga quand elle était en chaleur pourtant lui il voulait toujours lui grimpe dessus pendant ses périodes, ce n’était que pendant 15 jours et 2 fois par an, c’était frustrant pour lui et pour elle mais une fois chez le vétérinaire, cela m’avait suffi.
Les premières fois que je l’emmenais au sous-sol alors que Rubis n’était pas en chaleur, je ne faisais que le branler, il me suivait dans la pièce atelier ou nous pratiquions nos jeux.
Véga rentrait avec nous, je m’occupais toujours un peu d’elle même si elle n’était pas en chaleur, elle aimait bien mais sans avoir l’envie que pendant ses périodes, je mettais du lubrifiant sur mon majeur et je lui levais le fouet pour avoir accès à sa vulve et je lui caressais le clito ça lui faisait creuser le dos elle avait l’air d’apprécier puis je prenais un gode de 2.5 cm de diamètre assez souple de que je lubrifias bien , je commençais à lui en mettre 3 ou 4 centimètres et le retirait après 3 minutes et je lui donnais à lécher et elle aimer lécher l’odeur de sa chate, je lui renfilais de la même façon et le retirait pareillement et le présentait devant le nez de Ris, il le reniflait puis le léchait également ; après je ré appliquais du lubrifiant sur cette bite factice et lui enfilait lentement sur 4 centimètres et puis commençait des va et viens plus rapide , c’est à ce moment qu’elle se mettait à osciller du cul comme Ris quand il voulait la monter, mes mouvements s’accéléraient et elle jouissait comme ça pendant 1 ou 2 minutes, elle se calmait et je lui enfilais entièrement le gode d’environ 15 cms et lui laissait comme ça en bougeant légèrement, à nouveau elle se creusait du dos avec son cul qui était un peu en l’air ; Ris tournait autour de nous et venait lécher la vulve et le gode en même temps, quand je pouvais j’essayais de lui caresser le fourreau pour l’exciter un peu ; je retirais doucement le gode du vagin de Véga, je la serrais entre mes bras pour la féliciter, apès elle se léchait la vulve avec application.
Je donnais le gode à lécher à Ris qui le nettoyait bien avec sa langue, moi je bandais comme un dingue.
C’était au tour de Ris de passer un bon moment, je commençais à lui prendre son fourreau et l’astiquer de plus en plus vite, son bout rouge sortait assez rapidement ; je lui faisais sortir asse vite de sa gaine en accélérant les mouvements et lui faisait sortir entièrement sa bite en le chopant derrière son nœud, il oscillait du cul comme un dingue et giclait à tout va, il aimait ça le salop, Véga était remise de ses émotions , elle pointait son nez vers cette bite toute rouge qui grossissait régulièrement et qui giclait et elle la léchait au bout pour gouter ce jus qui n’en finissait pas gicler, il était aux anges le chien. Comme pour imiter un vrai coït avec une chienne je lui passais la bite vers l’arrière entre ses cuisses tout en lui tenant bien derrière le nœud, sa bite devenait énorme et son knot gros comme une mandarine, il giclait toujours et Véga revenait bien lui lécher le bout et gouter ce nectar de mâle.
Je le tenais comme cela jusque son jus s’arrête, je lui lâchais la bite, elle pendait sous son ventre, on la voyait encore avec faire quelques soubresauts incontrôlés puis ça se calmait doucement jusqu’à ce qu’elle dégonfle et rentre dans son fourreau au bout de 10 mn ; pendant ce temps-là je branlais ma queue enflée qui ne demandait que de lâcher tout son foutre, ça ne tardait pas tellement j’étais dans un état second, je leur présentais ma queue gluante de sperme, tous les deux se pressaient de bien me la nettoyer en la léchant avec application et vous savez une langue de chien c’est d’une efficacité exceptionnelle.
Je leur donnais une bonne gamelle d’eau fraiche et leur faisait des ‘papouilles’ pour bien les féliciter.
Je raccompagnais Ris à la barriere pour qu’il rentre chez sa maitresse.
Je vous raconterais dans une prochaine histoire comment j’ai fini par céder à une envie plus délicate.
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