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Tic ! Tic ! – 5

Tic !  Tic !  – 5



La bête du musée

Tic-Tic

Tic-Tic jubilait sous son masque de cuir sado-maso, cacher à quatre pattes derrière une grosse armoire en chêne massif. Il suivait Marie Lemieux et l’autre vedette se baladant dans le musée sans petite culotte ( grâce à lui ) et en se tripotant les fesses et même le sexe. Ça, c’était déjà bandant a mort, mais en plus, il y avait maintenant les deux autres femmes aussi légèrement vêtues qui c’était jointes à elles, se masturbant aussi en marchant et il filmait ça avec sa GoPro taper au front, sans parler des caméras de sécurités qu’il avait piratées. Ça allait faire un malheur sur internet. Une vraie bombe. Les connexions sur son blogue ( PerversTic ) allaient exploser demain et, en plus, ça allait faire le tour des médias. Il pourrait même leur vendre les images en primeur avant de les téléverser sur son blogue, et cher en plus. Wow !

Tic-Tic était content, vraiment contant et bander dur dans son slip en cuir noir ultra moulant, assortit au masque à zipper qu’il portait et au collier de chien à son coup. Il ne portait rien d’autre. Il se mit à genoux et se tira les anneaux de mamelons pour s’exciter plus en se frottant l’entrejambe, surtout qu’elle parlait d’orgie entre filles en plus. S’il pouvait réussir à filmer ça aussi, alors là… ce serait vraiment le gros lot.

Tic-Tic s’était assuré que les flics ne pourraient jamais remonter jusqu’à lui à partir de son blogue. Tic-Tic était très malin, Tic-Tic était le roi des voyeurs du web et de Montréal. Il adorait entré par infraction dans les appartements de femme célibataire la nuit juste pour les filmer en train de dormir et leur voler des slips. Tic-Tic adorait les petites culottes, il en avait toute une collection dans son lof. Il dormait avec, se roulait dedans, les sentait, se masturbait en les portant. Mais surtout, il en avait maintenant des centaines qui appartenait à Marie Lemieux. Par internet, il l’avait contacté et c’était fait passé pour un de ses plus grands fan et lui avait proposé une très forte somme pour lui acheter sa collection de slips en toute discrétion dont elle avait parlé dans un magazine. Cela n’avait pas été facile de la convaincre, mais elle avait fini par accepter. Mais il avait dû travailler fort, créé sur le web un faux personnage de Maharadja, une fausse identité complète avec page web et coupures de presse, etc. Il savait bien qu’elle allait vérifier et faire des recherches. Mais tout ce travail avait drôlement payé. Tic-Tic avait un père riche, l’argent n’avait donc pas été un problème. Elle croyait maintenant sa collection en route pour les Indes, mais en réalité, elle était dans son loft. Mais, il en voulait plus, il voulait la filmer comme les autres, la nuit et lui voler d’autre slip et cette nuit, il avait enfin réussi.

« Tic-Tic réussit tout le temps à assouvir ses fantasmes, Tic-Tic est très, très malin. »

Il c’était fait passé pour un étudiant en architecture pour pouvoir passé la semaine ici, fausse lettre de recommandation à l’appui, juste pour pouvoir approcher son plus gros fantasme à vie, Marie Lemieux, en espérant la voir en petite tenue étant donné qu’elle habitait le musé, discuter avec elle, et évidemment pour pouvoir la filmé de nuit. Mais, contrairement aux autres, elle n’était pas célibataire et cela lui avait compliqué les choses et ça n’avait pas marché jusqu’à ce soir. Il lui avait parlé à quelques reprises, déguiser en étudiant, mais elle était toujours habillé jusqu’au coup et son idiot de mari était toujours là quand elle sortait. Il travaillait ici, dans le musé le salaud.

Mais ce soir, c’était le gros lot, il avait cent fois mieux et même la petite culotte quelle portait aujourd’hui et celle de l’autre vedette qu’il avait volée dans leur chambre pendant qu’elles dormaient ensemble avec l’autre tout à l’heure, quelle belle surprise, un bonus, les petites culottes de Marie-France Corbeille. Il les portait sur lui d’ailleurs, sous son short en cuir, les deux paires. Cela faisait plusieurs jours qu’il s’introduisait dans les chambres des autres femmes pour les regarder dormir et les filmer en vision nocturne avec sa GoPro attacher a son front, mais sans leurs voler de slip, car il ne voulait pas éveiller des doutes sur lui tant qu’il n’aurait pas filmé Marie Lemieux légèrement vêtu. Mais s’introduire dans la chambre de Marie Lemieux c’était autre chose. Elle lisait tard où son idiot de mari se réveillait au moindre bruit. Et puis, ce soir, l’autre vedette avait débarqué, il n’en avait pas cru ses yeux quand, cacher dans un coin sombre, il l’avait vue discuter avec le couple au salon. Il avait eu hâte qu’elle se couche dans l’une des chambres d’ami pour s’y introduire quand il avait entendu qu’elle dormirait ici pour deux soirs. Mais, grosse surprise, ils les avaient plutôt vus tous les trois entrés dans la chambre de Marie Lemieux. Wow ! Il s’était installé devant la porte pour attendre patiemment qu’ils s’endorment en les entendant baiser. Tic-Tic avait eu une grosse, très grosse érection, mais il avait été surtout très déçu de ne pas avoir pu filmer leurs ébats.

Jamais il n’aurait cru que Marie Lemieux fut aussi délurée. Et, une fois le silence venu dans leur chambre, il avait enfin réussit a y pénétrer en silence, pour les trouver endormit tous les trois sous un drap malheureusement. Il les avait filmés tout de même, nerveux, très nerveux, mais si exciter, puis voler les petites culottes qui traînait pas terre, Tic-Tic avait jubilé, presque jouis en sortant de la chambre. Mais en s’en allant vers la sienne il avait entendu quelqu’un sortir de celle de Marie Lemieux et c’était faufilé rapidement dans un coin. Il avait eu la surprise de voir son mari se mettre à se balader nu dans le musé suivit, pas longtemps après et de loin par Marie Lemieux rien de moins que nu fesses et son amie, nu fesses aussi. Et elle suivait le con en se tripotant le cul et en parlant de bites. Wow ! Une trip vraiment bizarre, mais… vraiment hot !

Le chanceux qui baisait Marie Lemieux était trop Weird. Il ne comprenait vraiment pas ce qu’elle faisait avec lui. Mais, au moins, cela avait fait sortir toutes les filles de leur chambre maintenant. Et Tic-Tic les suivait en les filmant et c’était trop bandant. Pas croyable ! Elles parlaient même d’orgie.

Quand les 4 filles disparurent dans le noir, il s’assura que sa Gopro tenait bien et ils les suivit en silence en marchant à quatre pattes comme un petit chien, langue à terre et bandée au max. Ses deux médailles porte-bonheur, accrocher à son collier de chien à clou faisait un léger Tic-Tic en se frappant ( de la son surnom, Tic-Tic ), mais c’était si faible qu’il ne s’en préoccupait pas, il savait qu’elle l’avait entendu, mais ça rajoutait du piquant à son trip ultime de voyeur. Le trip de sa vie. WAIS, Tic-Tic était le plus chanceux et le plus malin de voyeur.

Tic-Tic jubilait, mais s’il avait su que la police était en train de frapper a la porte de son loft dans l’est de Montréal avec l’escouade tactique armée jusqu’aux dents prête à enfoncé sa porte de métal à l’explosif avec un manda de perquisition en poche, il aurait peut-être perdu son sourire le pauvre Tic-Tic et Marie Lemieux aussi, quand les flics allaient découvrir, une grosse, mais très grosse collection de petites culottes lui appartenant en grande partie. Oups !

Des mains et des fesses

En marchant en se caressant le pubis, Marie faillit éclater de rire en réalisant que 3 femmes à demi nues la suivaient en se masturbant tandis qu’elle suivait son mari, en se masturbant, qui lui se promenait flambant nu et bander en plus, dans le musé armé d’un casse-tête iroquois. « Y’a que depuis que je connais Paul que ça arrive des choses comme ça » ce dit-elle en souriant quelque peut décourager par la tournure que prenait leur équiper nocturne. Quelques minutes plus tard, elle les entendit chuchoter :

— Je suis Sylvie. Ouuuu !
— Dorine. Ouf. C’est vrai que c’est le fun tabarnouche en marchant.
— Marie France. WAIS, ouf… ben le fun.
— Je sais, je…. Ouuuuuu…. Je vous regarde à la télé. Hummm…
— Seigneur qui fait chaud dans cette maison la… Ahhh, oh oui. J’y suis presque…
— Moi aussi ouf… Vous avez vu le mammouth empailler en bas Sylvie et la famille de Cro-Magnon ?
— Oh oui… et dans… oh.. Dans le noir, ça donne la chair de poule Dorine, sans parler du Bigfoot.
— Shuuuut, fit Marie, encore une fois. « Décidément j’aurais dû rester au lit », se dit-elle en tirant encore la camisole sur ses fesses tout en grimaçant tout près de jouir elle aussi. Soudain une des filles lâcha un ; oh, mon Dieu ! Et dit ;
— Stop, stop, stop…

Marie en se retournant vit l’écrivaine plier en deux les mains entre les cuisses en se lamentant, mignonne comme tout avec ses gros seins qui se frappaient ensemble. Puis Marie-France jouis à son tour en s’appuyant à une grande armoire, les yeux touts croches. Sylvie les regardait aussi la main droite dans son slip qui s’agitait de plus en plus rapidement. Et Marie de plus en plus exciter par ce spectacle en oublia Paul et accentua ses pressions sur son pubis et eu encore un orgasme juste à les voir jouir, mais un petit, qui lui coupa tout de même le souffle. Et la prof les regardait amuser avant de grimacer à son tour les yeux mis clos….

Il y eut un concert de gémissement étouffé et de plainte puis d’orteil empilé les uns sur les autres, et ça se calma tout doucement. Une fois leurs petites crampes calmées, elles se regardèrent en se reprenant, arborant des sourires timides, les yeux hagards. Puis elles reprirent leur route.

— 4 femmes qui jouissent en même temps, c’est sûrement une première mondiale, dit Marie-France. En tout cas, je vais me mettre à la marche.
— Moi aussi, dit Dorine… eh.. J’ai un peu de poids à perdre.
— Moi aussi les filles, fit Sylvie avant de rire avec les autres.
— Et ça coûte moins cher de piles, rajouta Marie-France faisant rire tout le monde.

Après un moment a déambulé dans les couloirs sombres Marie entendit :

— Moi, avoir vos fesses Marie, murmura la femme du professeur amuser de la voir tirer sur sa camisole sans arrêt, je ne les cacherait pas.
— Merci, fit Marie en soupirant.
— Moi aussi, renchérit l’écrivaine. Les miennes sont trop grosses je trouve, mais elle plaise aux hommes.
— Ça, j’imagine, fit Sylvie coquine en la regardant avec envie. Elle semble magnifique tes fesses, une pure merveille pour les yeux et sûrement si douce a caressée et ta poitrine si généreuse aussi… C’est vrai ce qu’on dit — que les rondes sont les plus belles. J’aime bien les rondes, je suis lesbienne Dorine, tu sais, et ma copine est pas mal ronde.

Marie, décourager regarda son amie tout aussi décourager, mais qui arborait un gros sourire. Cette Sylvie, se dit-elle, était toute un numéro.

— C’est vrai ? Fit Dorine apparemment surprise.
— Absolument et là, je me rince l’œil. Mon dieu, vous êtes toutes les trois si craquantes, surtout à voir jouir.
— Vous aussi Sylvie vous êtes magnifique, et vos seins… superbes !
— WAIS, j’en suis pas mal fier, regarder.

Marie sentit son sang affluer à ses joues en entendant ça et ne put s’empêcher, comme son ami de tournée la tète. Sylvie avait ouvert sa chemise et montrait ses seins en marchant à Dorine rouge comme une tomate santé. Seigneur !

De beaux gros seins tout blancs aux tétons gonflés qui se balançaient en se frappant. Marie en saliva avant de heurter de plein fouet une grosse armoire en chêne qui ne bougea pas d’un millimètre. Elle s’y cogna la tête et s’y écrasa les seins. Outch ! Elle se les frotta en grimaçant de douleur tandis que les filles riaient d’elle.

— Désolé Marie, fit Sylvie très coquine toujours les boules a l’air. Ça va ?
— Oui, oui, dis Marie énervée en contournant la maudite armoire. Elle donna un petit coup d’épaule au passage a Marie-France cramper de rire.
— Ça t’apprendra Marie a regarder par en arrière quant tu marches par en avant. Fit, celle-ci.
— OK ! OK !
— Lesbienne aussi Dorine ? Lui demanda Sylvie en reprenant la marche tout en refermant sa chemise, mais à peine.
— Hein ! Mon dieu non… je… J’ai des chaleurs Sylvie. Dit Dorine en agitant sa petite main devant son visage.
— Et les miennes, mes fesses, elles sont comment les filles ? Demanda Marie-France.
— À croquer, fit la prof, on jurerait de dos que tu as 15 ou 16 ans Marie-France. Et les seins, mignons comme tout et fermes, j’imagine ?

Marie France marcha de reculons le temps de soulever son t-shirt sous son menton puis se retourna en le laissant tomber.

Dorine soupira très fort encore plus rouge.

— Trop cute, commenta Sylvie. Je vous montre mes fesses les filles ?
— Seigneur ! Fit soudainement Marie exaspérer tout autant qu’amuser. Vous êtes ben obsédé par les fesses, surtout les miennes.
— Ben dit Marie-France, ça, des fesses Marie, plus on en voit, plus on en parle, surtout des pas si mal conserver que les tiennes, hein les filles.

Comme son amie regardait par-derrière, Marie lui dit.

— Attention à l’armoire.

Marie-France stoppa net, avant de regarder devant pour voir qu’il n’y avait rien.

Cette fois ce fut le fou rire général.

Quelque pas plus loin, Marie stoppa soudainement, tout le monde lui rentra dedans encore, elle faillit en tomber. L’une d’elles en profita pour lui prendre encore une fesse. Seigneur ! Et Paul était seulement à quelque pas dans un couloir sombre leur tournant le dos. Il venait de surgir d’un étroit couloir et il écoutait, une main derrière une oreille, avec toujours son arme dans l’autre main. Visiblement il hésitait quant à la direction à prendre toujours en cherchant quelque chose, mais quoi ? Au moins, constata-t-elle, il avait lâché ça bite.

Il aurait suffi qu’il se tourne pour qu’il les voie, figer la, en plein milieu du passage à le regarder et qu’il voit Tic-Tic, aussi, qui les suivait comme un petit chien et tout ce beau monde étaient figer, osant à peine respirer, comme si on venant de les mettre sur, pause. Mais Paul repartit lentement et entra dans une autre pièce tout au fond.

Marie se vida les poumons pendant que Tic-Tic se faufilait dans un coin sombre le cœur battant jusque dans son long pénis au gland percer par de gros anneaux, tout comme ces couilles qu’il était si fier d’exhiber sur le web dans de petits films ou il baisait des poupées gonflables portant des slips chapardées.

— Hum ! Belle fesses Marie, eh, Paul à des belles fesses je veut dire. Fit Sylvie tout bas en pelotant celle de Marie cette fois.
— Je suis d’accord, fait Marie France amusée en regardant le petit manège de la prof et sa meilleure amie qui semblait sur le point d’éclater de rire. Tes fesses attirent les mains ce soir Marie.
-Shuuuuut…. Fit Marie en chassant la main sans savoir a laquelle des trois elle appartenait, mais elle avait un doute sur la lesbienne. Mais la main revint aussitôt. Ça la chatouillait trop et lui donnait envie de rire, et elle avait encore entendu ce bruit étrange que tout le monde semblait avoir entendu ce soir finalement. Ce genre de Tic-Tic.

Sylvie qui n’avait plus faim déposa se qui restait de son sandwich sur une étagère remplie de statuette étrange pour avoir ses deux mains libres. Caresser les fesses de Marie Lemieux en posant son autre main sur les fesses rondes de l’écrivaine qui sembla apprécier, mais un peut surprise, la fit mouillé encore plus qu’elle ne l’était déjà.

Dorine fut surprise par la main aux fesses, mais voir Sylvie toucher celle de Marie Lemieux en même temps l’avait rendu toute chose. Elle aimait ça, jamais une autre femme ne l’avait touché, mais elle en avait rêvé souvent. Alors ce petits jeux coquins lui plaisait et faisant gonfler son sexe et ses mamelons, sans parler de l’orgasme de toute a l’heure avec les filles. Et, elle eut une soudaine envie de toucher elle aussi le beau derrière de Marie, elle la trouvait si belle, et elle le fit, le cœur battant. Elle trouva les fesses si douces et si chaudes et même Marie-France les imita. Les v’là à trois pelotant le cul de Marie Lemieux qui ne semblait pas s’en plaindre, même qu’elle souriait. Wow ! Jamais elle n’aurait cru qu’une situation pareille puisse se produire en venant passer la semaine ici. Elle espérait déjà que tout ça se terminerait au lit. Tant qu’a essayé quelque chose, pourquoi le faire à moitié ?

Marie sourit en soupirant très fort un peu découragé par les filles qui lui caressaient les fesses toutes les trois cette fois. C’était très agréable, mais la, elle avait une mission, suivre Paul. Tout sourire elle se retourna en se reculant un peut pour leurs faire des petits yeux méchants. Les femmes lui firent leur plus beau sourire.

— Faux pas vous gêner les filles, tabarnouche. C’est bar ouvert apparemment. Coud don, il est tu si beau que ça mon derrière ?

Elles acquiescèrent toutes les trois en riant.

— Si c’est bar ouvert, fit la prof en avançant la main vers le sexe de Marie, mais celle-ci se recula un peut plus en riant.

Marie soupira à nouveau en se retournant juste à temps pour voir Paul qui venait de réapparaître au fond du couloir, sortant de la pièce tête basse, cherchant toujours quelque chose et il venait vers elles. Elle se sentit tout électrique.

— Eh.., murmura-t-elle paniquer, cacher vous les filles.

Elles se faufilèrent toute très rapidement dans des coins sombres entre des étagères comme des petites souris qui viennent d’apercevoir un gros chat affamé. Marie, en se reculant rapidement sur le côté d’une grande armoire, fut surprise de sentir qu’elle écrasait des seins énormes et durs avec son dos tandis que des bras l’enlaçaient et qu’un menton se posait sur son épaule. Comme Dorine était juste à côté d’elle aplatie contre le mur et Marie-France juste en face, tout sourire, elle comprit que c’était Sylvie, la prof, évidemment. Elle déglutit sentant les mamelons de la femme qui durcissait contre son dos et ses propres seins gonfler par les bras qui les soulevait. Son cœur commença à battre plus vite et une vague de chaleur la traversa, elle sentit même son sexe mouiller et Paul approchait. Elle entendait clairement le son de ses pieds nu sur le plancher de bois franc et commençait à apercevoir son hombre qui s’étirait longuement devant lui. « Comme dans un bon film d’horreur, » se dit-elle, tout en trouvant la situation ridicule, mais excitante. Surtout quand la prof remonta ses mains croiser pour lui presser franchement les seins en lui murmurant à l’oreille :

— J’aurais jamais cru avoir cette chance-là un jour Marie. T’es trop sexy ma belle, tu sens mes mamelons, moi je sens les tiens. Es tu aussi mouillé que moi, je peux vérifier ?

Maudit que Marie avait chaud en apercevant une main glisser lentement de son sein gauche vers son sexe… Elle pensa l’arrêter, mais ça lui plaisait, mais surtout elle voulait voir la face de Paul si jamais il la découvrait cacher là, enlacer par une femme qui lui tripotait le sexe. Ça, ce serait trop drôle de voir la face qu’il ferait.

Quand la main glissa dans sa toison noire et que les doigts s’y attardèrent pour lui caresser le pubis doucement, elle en frémit en voyant Marie-France lui faire de gros yeux genre — WAIS, t’es chanceuse toi. Paul approchait, son hombre s’agrandissait, son clitoris gonflait, un doigt l’effleura, lui arrachant presque un crie.

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